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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 13

Chapitre treize – diner « en famille »

Trash
Mon père et Catherine étaient assis dans le canapé. Catherine portait une minirobe orange très moulante et courte, bien décolletée et des mules à talons compensées. Je remarquais alors que Juliette portait une jupe noire très très courte évasée, des sandales à talons aiguilles avec lanières remontant sur la cheville, et un top ouvert sur l’intérieur de ses seins. Je souriais et me penchais à son oreille :
— Félicitations au fait, tu as très bien respecté le thème.— Merci mon chéri.— Ta mère aurait pu mieux faire cela dit.— Laisse-lui le temps.
On s’est assis. Ils buvaient du champagne. Carl en a servi une coupe à Juliette. Moi je me suis pris une bière. On a trinqué. L’apéro et le dîner se sont bien passés, on parlait de tout de rien, on a bien ri. Catherine était très sympa et semblait remarquablement s’entendre avec mon père. Comme lui, elle était cultivée, curieuse, intelligente. Et vive d’esprit avec un bon sens de l’humour. Et le détail qui faisait la différence : mon père, d’un caractère docile semblait déjà être sous sa coupe, et était véritablement aux petits soins avec elle, prêt à toutes les petites attentions, les gentils mots. Et cela plaisait beaucoup à Catherine. Moi j’avais terriblement envie de Juliette. Je tentais de me retenir. J’avais aussi envie de Catherine qui m’avait mis ses loches sous les yeux à deux ou trois reprises. Je grillais qu’elle me matait, mais pas plus que ça. On était, elle et moi, dans la cuisine avant le dessert.
— Ton père est charmant Isaiah. — Merci. Je suis convaincu qu’il pense au moins la même chose de vous.— Je sais oui. Merci d’avoir organisé ce dîner, je suis ravie.— Excellent. — Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je reste ici cette nuit ?— Non, pourquoi ?— Je ne sais pas. Parfois il peut être difficile pour un enfant d’accepter une nouvelle femme dans la vie de son père. — Je ne suis plus un enfant, et mon père fait bien ce qu’il veut.— Tu es contrarié Isaiah ?— Pas du tout. — Vous êtes vraiment différent lui et toi.— C’est sûr oui. Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises.— Il paraît. — Comment ça.— Ma fille me dit tout Isaiah.
— Ah... Parfait, au moins vous savez sur quel pied danser. — Je ne serai pas venue sinon.
Juliette lui avait donc raconté ce que je lui avais dit l’autre soir : mon père a un petit sexe, mais surtout il est précoce. Et elle lui a sans doute raconté que j’étais à l’exact opposé. Tant mieux.
— Tu avais une question l’autre matin, quand tu es passé à la maison ?— J’en avais plein.— Oui mais tu avais le droit à une seule.— Je voulais savoir si comme toutes les femmes de caractère, vous adoriez vous cambrer à quatre pattes pour un vrai mâle.
Elle m’a regardé, semblait rougir mais vouloir se contenir. Une gifle est partie. Je n’ai pas bronché. J’ai souri.
— C’est déplacé Isaiah ; vraiment très déplacé.— Ce n’est pas une réponse.— Ecoute, je ne t’en veux pas et ça restera entre nous. — Toujours pas de réponse, je prends donc cela pour un oui. Vous m’aidez à apporter le dessert.
Je prenais le gâteau qu’elles avaient apporté et lui laisser prendre les assiettes et les cuillères. On ne parla pas de notre échange. Et Catherine ne laisse absolument rien transparaître. Elle était forte. J’avais encore plus envie d’elle. On prit un digestif sur la terrasse. Et alors qu’avec Juliette on alla se baigner, Catherine resta avec mon père. Alors que l’on s’embrassait dans l’eau, je les vis eux aussi s’embrasser puis rentrer. Je le fis remarquer à Juliette.
— Jaloux ?— On verra dans quelle chambre il y aura le plus de bruit cette nuit !— Compte sur moi mon chéri.
Et j’ai pu compter sur elle. On a baisé une bonne partie de la nuit, elle n’hésitant à crier de plaisir et moi à pousser des râles puissants de cerf satisfait. J’avais prévenu Juliette que le dimanche je ne serai pas là, que je devais « aider » Élise. De toute façon elles avaient prévu d’aller à la plage toutes les deux. Finalement mon père les accompagnerait. Alors que Juliette prenait sa douche dans ma chambre, j’arrivai dans la cuisine. Catherine était là à table, et mon père préparait le petit-déj. Je me mis derrière elle, debout, j’étais en boxer, j’étais suffisamment près d’elle pour qu’elle sente ma présence et qu’au moindre mouvement elle sente mon corps sur elle.
— Salut. Bien dormi ?— C’est à toi qu’il faut demander ça !— Pas mal. Pas beaucoup mais pas mal. — Tu me fais un café Carl. Je vais pas tarder à y aller.
Je suis passé devant elle, j’ai senti son regard sur moi. J’avais une érection matinale sous mon boxer ; je me suis adossé au plan de travail, face à elle, sans aucune gêne. Son regard avait du mal à rester sur mon visage ou même ailleurs, ailleurs que sur mon boxer. Mon père a réagi timidement :
— Tu ne veux pas aller t’habiller Isaiah ?— Non, suis bien là. Et puis je suis sûr que Catherine en a vu d’autres. Peut-être pas dans un passé récent, mais quand même.
Juliette est arrivée, a embrassé sa mère et saluer mon père, et s’est collée contre moi pour m’embrasser. Elle m’a murmuré :
— Tu bandes comme un âne là mon chéri.— Permets-moi de te dire que te coller à moi comme ça, ne risque pas d’arranger ça.
Je suis parti. Mon père les a donc emmenés à la plage pour la journée. Je l’imaginais au service de la mère et la fille. En allant chez Élise, j’en venais à regretter de ne pas les accompagner. Ce sera pour une autre fois. A dix heures pile je sonne à sa porte. Élise vient m’ouvrir. Elle est en petite nuisette de soie et dentelle, très très très courte, rose, et super décolletée.
— Mmmmm pile à l’heure.— Je n’aurais pas voulu être puni. — Tu as bien fait !
Elle s’est collée à moi, les yeux dans les yeux et sur le pas de la porte m’a dit doucement :
— Embrasse-moi beau gosse.— Je l’ai embrassée. Elle m’a pris par la main.— Entre.
On est allé dans la cuisine. Elle m’a expliqué que finalement elle était seule aujourd’hui chez elle. Elle m’a dit qu’elle voulait son petit-déjeuner au lit. Et elle est montée dans sa chambre. Il y avait un papier avec une liste : café, jus d’orange, pain, j’ai mis le tout dans un plateau avec beurre et confiture et les croissants que j’avais apportés. J’ai frappé à sa porte.
— Entrez... (j’entre)... Ah, Isaiah, entre, pose le plateau sur la table de chevet là.— J’ai obéi. Elle me regardait.— Mmmmm, pas mal. Déshabille-toi.
Je me suis déshabillé. Elle se mordillait la lèvre. Elle m’a souri.
— Mets-moi en appétit.
Je suis monté sur le lit, j’ai caressé ses pieds, ses jambes, ses cuisses, puis lentement j’ai retiré le string assorti à la nuisette, et je l’ai léchée. Le cunni a duré presque une demi-heure, et deux orgasmes plus tard, la belle prenait son café pendant que je mettais beurre et confiture sur ses tartines. J’étais nu, la situation m’amusait. Mais je sentais que j’allais devoir inverser le cours des choses.
— Tu veux bien me masser les pieds pendant que je mange.— Oui.
Je l’ai fait, et alors que finissait le massage et elle les tartine :
— Je vais y aller Élise.— Pardon ?— Je ne suis pas du genre à ne pas honorer les paris perdus, mais là, je me lasse.— Tu te lasses ?— Oui. Ou plutôt, je n’y arrive pas. En fait, tiens je vais prendre un croissant et tu vas me sucer pendant que je le mange.— Ce n’est pas du tout ce qui était convenu. — Je vais manger ce premier croissant, si quand j’ai fini tu n’es pas à quatre pattes en train de me sucer, j’en prends un deuxième et je le mange en route.— Tu déconnes ?
J’ai commencé le croissant, assis à ses côtés, sur son lit. Ma queue massive reposant sur une cuisse. J’étais bien. Je la sentais qui fulminait à mes côtés. Je la sentais qui regardait ma queue. Je mangeais le croissant, ni rapidement ni lentement. Il n’y avait aucun enjeu de mon côté. J’avais envie qu’elle me suce, mais si elle ne le faisait pas, je rejoindrais mes voisines à la plage. J’étais vraiment bien. Alors que je mettais l’avant-dernière bouchée de croissant en bouche, je sentis sa main se poser sur mon sexe et le prendre lentement. Je mâchais. Je déglutis finalement et mis la dernière bouchée du croissant en bouche. Elle se mit à quatre pattes et enroula la langue sur mon gland.
— Mmmmmmm, c’est bien mieux comme ça, tu ne trouves pas.
Ma queue en bouche, elle ne répondit pas. Je pris son visage dans ma main, pour lui sortir ma bite de la bouche.
— Tu ne trouves pas ?— Si... j’avoue...— Donne-moi du café.
Elle me passa sa tasse.
— Merci ma belle. Dis-moi, ton objectif c’était quoi exactement ? Me faire craquer pour que je te supplie de pouvoir te baiser ?— Quelque chose comme ça oui. — Eh eh, bien tenté.
J’ai vidé la tasse.
— Viens m’embrasser.
Elle s’est glissée contre moi, à moitié sur moi et m’a embrassé, j’avais ma main sur ses fesses.
— Et tu pensais sérieusement y arriver ?— Manon et Sophie m’ont dit de ne pas y croire.— Tu aurais dû les écouter.— Je sais oui. — Demande-moi pardon.— Pardonne-moi Isaiah.— Pour toi, ce sera mon Roi.— Pardonnez-moi mon Roi. — Tu peux alterner avec mon Prince, Votre Altesse, ou Maître. Compris ?— Bien Maître.— Parfait. Maintenant, je veux que tu me fasses jouir en utilisant uniquement ta bouche. — A vos ordres Maître.
Elle me regardait, je l’ai embrassée.
— Tu attends quoi ?
Elle est descendue sur ma queue et l’a prise en bouche sans se servir de ses mains et a commencé à me sucer. Elle était déchaînée. Je lui doigtais la chatte pendant qu’elle pompait ma grosse queue. Après de longues minutes de ce traitement :
— Tu n’es pas assez douée, ce n’est pas grave ça viendra. Je te donne l’autorisation de t’aider de tes seins. Ils sont magnifiques on aurait tort de ne pas s’en servir.— Bien mon Roi. Merci.
Elle s’est mise à quatre pattes au-dessus de mon sexe et l’a glissé entre ses grosses mamelles. Mmmmm divin. Elle alternait avec sa bouche. C’était exquis. J’ai fini par jouir, sans la prévenir. Du coup elle a reçu des salves épaisses et puissantes sur le visage et la poitrine. Mais elle n’a rien dit.
— Va te nettoyer. Ensuite tu reviens vite nettoyer ma queue.
Elle l’a fait, et a repris ma queue en bouche pour bien la faire briller. J’étais satisfait. J’ai repris un croissant et du café qu’elle m’a très gentiment servis.
— Tu as envie de moi ?— Oui. Beaucoup.— Tu as envie que je te baise ?— Oh oui mon Prince. — Supplie-moi. — Je vous en supplie Votre Altesse Isaiah, baisez-moi. Baisez votre petite salope. — Non !
Elle baissa les yeux.
— Tu ne le mérites pas. Pas encore. J’ai beaucoup donné ces derniers jours, j’ai besoin d’un massage. Tu as de l’huile.
Elle est allée en chercher. Nous sommes allés dans le jardin, je me suis allongé sur le ventre sur un transat et elle m’a massé tout le corps. C’était très très bon, et j’en avais vraiment besoin.
— L’autre côté maintenant.
Elle m’a massé de face. Elle avait interdiction de toucher mon sexe.
— Tu aimes me masser ?— Oui, votre corps est divin mon Roi.— Oui. C’était très bon. — Merci Maître.— Penses-tu être capable de me faire jouir juste avec ta bouche à présent ?— Je crois oui.— Tu crois ? Et bien j’attends. Vas-y, au travail.
Elle a pris ma queue en bouche et a commencé la fellation. J’ai pris mon portable et ai pris des photos et vidéos. Elle suçait vraiment très bien. La belle allait bien réussir à me faire jouir ainsi. J’essayais de me retenir, pour faire durer le plaisir. Au bout de longues minutes je lui ai dit d’arrêter qu’elle n’y arrivait pas. On s’est baignés, embrassés, on a discuté de tout de rien. Elle à genoux à mes pieds, moi assis sur la banquette. J’avais faim je lui ai dit de me faire à manger. Elle m’a préparé le déjeuner qu’elle m’a servi sur la terrasse. J’ai mangé, c’était très bon. Elle m’a servi un café. Je lui ai demandé un café gourmand, elle a compris le message. Elle s’est agenouillée à mes côtés sur la banquette de jardin et m’a sucé. Je fermais les yeux. J’avais envie de la baiser. De voir ses seins ballotter au-dessus de moi et sous elle en levrette. Alors je me suis complètement détendu. Et elle a fini par me faire jouir juste avec sa bouche. J’ai juste maintenant sa tête sur ma queue quand la semence est montée. Elle a tout pris en bouche, n’a pas pu tout avaler, si bien que ma queue s’est retrouvée couverte de bave et de sperme. Bien sûr elle a tout bien nettoyé.
— Mmmmm c’était trop bon Élise. Vraiment.— Merci mon Roi. — Oublie tout ça. On arrête ?
Elle m’a souri.
— Volontiers.— J’ai trop envie de te baiser.— Ahhhhhh enfin, moi aussi j’en peux plus.
Je l’ai soulevée et l’ai fait venir sur moi, j’ai glissé ma queue en elle. Je léchais ses gros seins et faisais aller et venir ses fesses sur ma queue. Elle a joui et s’est déversée sur ma queue et mes cuisses. Je ne me suis pas arrêté pour autant, je me suis levé, encore elle et l’ai baisée en traversant le jardin, je suis descendu dans la piscine par l’escalier, toujours en elle, et l’ai fait aller et venir sur mon pieu à l’endroit même où l’on s’était embrassé deux jours avant. Je suis un romantique. Elle a apprécié le clin d’œil. Elle a joui encore une fois, quand au bord de la piscine, je la prenais en missionnaire. Et je me suis vidé sur elle, sur ses énormes seins, que j’ai couverts de semence. Elle a repris ma queue en bouche.
— Et merde, comment on fait maintenant ?— Pour ?— Je vais être accro moi.— Je vous avais prévenue.— Oui. Viens.
Elle m’a pris par la main.
— Je veux que tu me prennes dans toute la maison.
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