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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 15

Chapitre quinze – Madame Loiret

Trash
Les cours du matin se terminent, je vais vers le couloir de l’administration puis change d’avis. J’ai faim. Je vais manger d’abord. Elle attendra. Je mange donc avec Manon, puis lui dis que je dois y aller. On s’embrasse. J’arrive devant le bureau de la secrétaire de la proviseure. Une vieille mais très très gentille ; elle traite les élèves comme ses enfants, et comme je me comporte bien avec elle, demandant comment elle va, elle semble m’adorer. Elle me dit que je peux entrer dans le bureau sur lequel est écrit « Madame Anne-Sophie Loiret - Proviseur ». J’entre. Elle est assise à son bureau.
— Isaiah, on avait dit 12h. Il est 12h45.— On n’avait rien dit de tel, j’ai reçu un message le dimanche, je ne l’ai lu que ce matin, et j’avais prévu de déjeuner avec ma copine. Vous ne voulez pas qu’un élève pose un lapin à sa copine, ce ne serait pas correct ?!
Elle me regarde, aussi surprise que troublée. Elle ne sait pas quoi dire. Je lui souris et m’assieds de l’autre côté du bureau.
— Vous vouliez me voir ?
Elle toussote, passe la main dans les cheveux, se redresse sur son fauteuil. Elle finit par reprendre le fil.
— Oui, oui, Isaiah. Je voulais savoir comment se passait ton intégration ?— Absolument parfaite. Mais vous faites cela avec tous les nouveaux ?— Non, mais comme tu avais pris les devants la semaine dernière... je me devais de... faire un suivi. J’apprécie beaucoup ce genre d’initiatives.— Merci. — Et donc tu as déjà une copine, c’est bien ça.— Oui, très bien. — Puis je te demander qui c’est ?— Vous pouvez demander oui.— Qui est-ce ?— Cela ne vous regarde pas, si ?— Je suppose que non, pardon Isaiah.
Je souris. Elle s’excuse c’est parfait.

— Pas de soucis. Il s’agit de Manon, qui est dans ma classe.— Ah, parfait, bonne élève.— Oui très bonne en effet.
Elle baisse les yeux mais ne relève pas. Elle se cambre. J’en profite :
— Et vous ? Mariée ?— Isaiah... !
Je ne dis rien mais ne la quitte pas des yeux...
— Oui mariée, mais bon, ce n’est pas le sujet. Et donc tout va bien ?— Maintenant que vous le demandez, je réalise qu’il y a une chose qui ne va pas super.— Ah ? Dis-moi ?— Madame Bertin.— Oui ? Ta professeure de français.— Et prof principale oui.— Et qu’y a-t-il ? Elle est l’une de nos meilleurs professeurs tu sais.— Je me doute. Mais elle ne me sollicite pas assez je trouve. — Ah bon ? C’est étonnant, elle apprécie les élèves qui participent, les élèves actifs.— Oui je m’en rends compte, mais c’est comme si elle m’ignorait, comme si elle ne voulait pas que je sois... comment dire... trop actif. — Ah. Ecoute je vais lui en parler. — Non.— Pardon ?— Je pense qu’il serait mieux, et plus agréable pour elle que je lui en parle moi, de vive voix. Peut-être pourrions nous organiser un rendez-vous, vous elle et moi ?— Ah oui oui tu as raison, elle serait peut-être moins vexée.— Oui je pense aussi.— Mercredi matin avant les cours ?— Parfait, nous l’avons en premier cours le mercredi.— Ah oui, cela tombe très bien. Je vais le lui dire.— Merci. — De rien Isaiah, c’est normal.
Je ne la quitte pas des yeux, elle soutient mon regard puis finit par baisser la tête.
— Vous avez l’air fatiguée Anne-Sophie.— Pardon ?— Excusez-moi, j’avais l’habitude d’appeler mon ancienne proviseur par son prénom. Mais c’est vrai que vous avez l’air fatiguée, tout va bien ?— Oui oui Isaiah. Ecoute, j’ai à faire là et...— Je veux dire, vous êtes heureuse ? Je m’y connais un peu dans ce genre de choses, vous avez le teint d’une femme pas épanouie, je veux dire, physiquement, vous voyez ?— Je... non, enfin... je... oui, mais...— Je comprends qu’une femme dans votre position ait beaucoup de choses à faire, mais il est capital de prendre le temps pour soi. De plus il est prouvé qu’une femme de pouvoir a besoin d’un homme à la maison qui la soulage...— Oh... Isaiah, je ne suis pas vraiment une femme de pouvoir.— Mais si. Madame la proviseure, ce sont de sacrées responsabilités.— Votre mari travaille ?— Il est en recherche d’emploi en ce moment, mais cela ne te regar...— Je m’en doutais. Un mâle actif est naturellement plus à même de satisfaire sa femelle, on a appris cela en cours de bio.— Vraiment ?— Non, pas vraiment, disons que je le dis par expérience.— Bien, euh, bon, donc je contacte Madame Bertin pour mercredi matin.— Parfait.
Je me lève, je ne la quitte absolument pas des yeux.
— Et si, d’ici là, vous avez besoin de quoi que ce soit n’hésitez pas Anne-Sophie.
Elle me regardait, comme hypnotisée. Je suis sorti du bureau. La laissant probablement sur sa faim.Le reste de l’après-midi s’est passé tout à fait normalement. J’ai dit à Manon que ce soir, on ferait notre première « date », que je m’occupais de tout. Je lui ai dit de se tenir prête à 17h, que je passerai la prendre. Elle me répond qu’elle dirait à ses parents qu’elle dormait ce soir chez Elise. Dans l’après-midi je reçois un message m’informant que j’ai rendez-vous avec la prof de français chez la proviseure le mercredi matin avant mon premier cours, à 8h. Je repasse donc chez moi, prends une douche et me change pour le soir. Je tombe sur mon père avant de repartir.
— Comment ça va Carl ?— Bien bien et toi ?— Très bien. Et avec Catherine ?— Très bien, elle est formidable.— C’est clair. Et au lit ?— Ça ne te regarde pas Isaiah, s’il te plaît.— Mais si. Tout me regarde. Je suis l’homme de la maison, n’oublie pas. — Écoute ça va. — Tu devrais vraiment faire tout ce qu’elle désire. Une femme comme ça, tu n’en trouveras pas deux. Et elle risque d’aller voir ailleurs si tu n’es pas à ses pieds. Tu le sais ça ?— Oui oui, je sais, tu as raison. Crois-moi je fais tout pour qu’elle me garde.— Tant mieux ! N’hésite pas à me demander si tu as besoin d’aide. J’ai l’impression que je ne pourrais pas rêver mieux comme belle-mère.— Merci Isaiah.
Je suis parti, et me suis garé pas loin de chez Manon. Pas question de venir chez elle, puisqu’elle était censée rejoindre Élise. Je lui avais dit qu’il n’était pas question qu’elle ne me présente pas rapidement, et elle avait bien sûr dit que c’était évident, et pensait le faire le week-end suivant. Cela me convenait. Je lui avais dit de ne pas se changer, elle avait obéi. Elle avait son sac à main et un petit sac pour la nuit. Elle monte en voiture, on s’embrasse longuement. Puis je démarre.
— On va où ?— Faire du shopping.— Ah oui ? Pour qui ?— Pour toi ma belle. — Mmmm super, j’adore.— Moi aussi.
En route, j’ai ma main sur sa cuisse, on discute. Elle me pose des questions sur mon père. Je lui raconte un peu notre vie, et ne lui cache pas que je suis l’homme de la maison et que mon père fait ce que je lui dis. Je n’ai pas de gêne vis-à-vis de ça. C’est son caractère et le mien et ça marche ainsi. Je lui parle de notre héritage et lui explique que je suis déjà propriétaire d’un appartement à Paris, et que l’on est en train de faire les démarches pour m’acheter une maison ici. Manon est à la fois gênée, troublée, fascinée. Ma liberté et ma franchise la perturbent, elle me l’avoue.
— Vois le bon côté des choses, tu es avec un mec qui a de l’argent, et qui adore en profiter et en faire profiter. — Vu comme ça. — Et en plus c’est sans contrepartie.— C’est-à-dire ?— Eh bien, tu n’es pas avec pour mon argent ?— Non, bien sûr que non.— Donc, je veux faire profiter ma copine de ma situation, mais il n’est pas question de l’acheter, tu comprends ?— Oui, je comprends. Et j’adore quand tu dis "ma copine"
On écume les magasins de luxe, les videurs, vendeuses, vendeurs, clientes et clients, nous regardent comme des extraterrestres : à la fois pour notre âge, et aussi pour la beauté et la puissance que dégage notre couple. Balmain, Louboutin, Jimmy Choo, Aubade etc... On se fait plaisir. Manon est aux anges, genre pretty woman, mais ambiance plus légère, et... plus érotique aussi. Surtout quand, chez Balmain je me glisse avec elle dans la cabine d’essayage.
— Mais enfin, Monsieur que faite vous ?
Son air est espiègle.
— Je viens juger sur pièce.— Et ce que vous voyez vous plaît ?— Beaucoup. Vous voulez voir à quel point ?— Laissez-moi regarder.
Elle se glisse tout le long de moi et s’accroupit, elle déboutonne mon jean, et sort ma queue. Elle me suce, lentement, puis me lèche les couilles tout en me branlant. Elle est de plus en plus douée. Elle le sent, et cela la motive encore plus. Elle me pompe à fond, et je finis par venir dans sa bouche, elle avale tout. Elle nettoie ma queue, je la relève et l’embrasse.
— Mmmmm merci ma belle.— Je te plais vraiment beaucoup j’ai l’impression.— Qu’est-ce qui m’a trahi ?
On rit ensemble, on termine le shopping par de la lingerie.
— Prends ma carte bleue, voici le code. Lâche-toi. OK ?— OK, mais tu ne viens pas.— Je veux avoir la surprise.— Mmmmmm, OK mon amour.
Elle m’embrasse et entre dans le magasin.J’en profite pour écrire à Elodie :
— OK pour demain soir. Tu me dis où et quand.— Mmmm super. Disons 20h, voici l’adresse.— A demain.— A demain l’étalon.
Puis je décide de répondre au message de Madame Loiret pour le rendez-vous du mercredi. Je ne prends plus aucune pincette:
— Anne-Sophie, j’aurais besoin de vous voir avant le rendez-vous avec Madame Bertin. Je viendrai donc ½ heure plus tôt que prévu. D’autre part, je suis sûr que vous pouvez faire mieux que la tenue d’aujourd’hui (un tailleur-pantalon, je m’en voulais de ne pas lui avoir fait de remarques le midi), pour un de vos meilleurs éléments. Isaiah
Je l’envoie. Il ne se passe pas deux minutes avant que je reçoive une réponse :
— Isaiah, bien noté, je serai donc dans mon bureau dès 7h mercredi...
C’était encore ½ heure plus tôt que ce que je lui disais. Parfait. Manon m’a rejoint. Elle était radieuse.
— Tu as trouvé des choses ?— Je crois oui...— Mmmm, hâte que tu me montres tout ça. On va prendre un verre ?— Ouiiii
Je l’emmène dans un bar branché, on passe un super moment. Manon est une fille intelligente, vive, avec un grand sens de l’humour. Elle est fine et cultivée. J’aime que les gens nous regardent, nous admirent. Et je réalise qu’elle apprécie cela autant que moi. On va ensuite dîner, un super restaurant, on se régale. On partage aussi le goût des belles et bonnes choses. J’en suis ravi. A la fin du repas, alors que je paie, je lui propose d’aller prendre un verre. Elle me sourit et :
— Je préfère rentrer bébé.— Mmmmm OK, ma belle.
En route elle me demande si mon père sera là. Je lui dis que je lui ai demandé de dormir chez sa copine, la voisine. Elle ne relève pas mais semble rassurée. On arrive à la maison elle me saute dessus. On fait l’amour dans le salon et je la fais jouir deux fois. Puis je lui dis :
— Il est l’heure d’un petit défilé tu ne penses pas ?— Oh si.
Je l’emmène dans ma chambre, lui montre la salle de bain. Je m’installe sur le lit. Quand elle revient, elle porte un ensemble de dentelle blanc string soutien-gorge porte-jarretelles, bas blancs et les Louboutin que nous avons achetées plus tôt. Je ne suis pas fan de la lingerie blanche, mais là, Manon est à tomber. Je lui fais signe d’approcher. Elle rampe sur le lit jusque sur ma queue.
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