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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 18

Le roi

Trash
Claire m’embrasse, sa bouche cède, sa langue s’enroule sur la mienne, comme celle d’Anne-Sophie pas une demi-heure plus tôt.Anne-Sophie reglisse près de moi. Je passe ma main dans les cheveux de Claire et lui roule des pelles. Je me lève. Et la prends par la main pour qu’elle se lève à son tour. Je l’embrasse, et lui mets une énorme main au cul, je lui palpe les fesses. Mon autre bras s’enroule autour de la taille d’Anne-Sophie que j’attire aussi contre moi. Je les embrasse l’une après l’autre.
— Anne-Sophie, en tant que chef d’établissement, je pense qu’il est de ta responsabilité de montrer à Claire ses nouvelles prérogatives, tu ne crois pas ?— Oui, tout à fait, Isaiah.
Alors que j’embrasse Claire, Anne-Sophie s’accroupit devant nous et sort ma queue. Claire ne peut s’empêcher de baisser les yeux et pousse un cri. Elle me regarde, regarde mon sexe, et revient à moi :
— Mmmmm, encore mieux que dans mes rêves...
Ma main dans ses cheveux descend jusque sur son cou, ma langue joue avec la sienne. Puis, la main autour de son cou je la regarde :
— Tu la veux ?— Oh ouiiii.— Dis-le.— Je veux ta queue Isaiah.— Et bien qu’attends-tu, il y en a largement assez pour vous deux.
Elle s’est accroupie à son tour, elles m’ont sucé à tour de rôle. J’ai sorti mon portable pour les filmer. Hypnotisées par ma bite, elles n’ont pas vraiment réalisé ou bien elles s’en foutaient. Tout en filmant je leur ai fait poser leur bouche de part et d’autre de mon sexe et j’ai commencé des mouvements de va-et-vient. Je baisais leurs deux bouches en même temps. C’était magnifique. J’avais une vue plongeante sur le décolleté de Claire. Sa poitrine avait l’air magnifique.La sonnerie a retenti.
— Ah, dommage, mesdames, il va falloir remettre ça à plus tard.
Claire a poussé un cri du cœur :
— Oh non, je t’en prie, laisse-moi te faire jouir, Isaiah.— Non !
J’avais répondu sèchement. Claire me regardait penaude. Je l’ai relevée et lui ai souri :
— Je n’ai pas envie d’être en retard à ce cours, c’est ma prof préférée.
Elle m’a rendu mon sourire et m’a embrassé. Anne-Sophie m’a aussi embrassé. Elles se sont remises en état, Anne-Sophie a essuyé ma queue dans des kleenex. Avant de partir j’ai précisé :
— Bon, je crois que je vais avoir besoin de cours de français aussi. Tu fais ça à domicile j’espère ?— Cela m’arrive, ou bien je me déplace chez l’élève.— Chez toi ce sera très bien. — Comme tu préfères mon chéri. — Exactement. Bon, Anne-Sophie tu as mon portable, tu vas le donner à Claire aussi et vous allez toutes les deux m’envoyer un SMS, comme ça j’aurai vos numéros, je vous dirai pour les premiers cours. — D’accord.— Oui.
Je suis sorti du bureau, j’ai salué l’assistante, lui ai demandé comment elle allait. Je lui ai dit qu’elle était allée chez le coiffeur et que ça lui allait très bien. Elle m’a souri et m’a remercié. Je suis allé en cours. Manon est arrivée, petit short, bottines à talons, joli top et veste en cuir courte et cintrée. Elle s’est jetée sur moi et m’a embrassée.
— Coucou mon chéri.— Salut ma belle. Tu vas bien ?— Oui et toi ?— Oui. Mais tu m’as manqué. — Je sais ma chérie. Toi aussi. — C’est vrai ?— Oh oui.
Elle ne m’a rien demandé sur ma soirée de la veille ; tant mieux. Je lui ai parlé de Juliette, et lui ai dit de lui écrire que je pensais que ce serait bien qu’elles se parlent, qu’elle pourrait être honnête avec elle et que ça aiderait. Elle m’a remercié. Et lui a écrit. Juliette lui a proposé de déjeuner avec elle à la fin des cours. Manon a accepté. De son côté, Claire m’a bien plus sollicité durant le cours. J’étais ravi. Elle a ignoré complètement Greg, j’étais ravi aussi.On quitte le lycée, Manon rejoint Juliette. Pour ma part je repasse chez moi. Je constate que Claire et Anne-Sophie m’ont écrit. Le SMS d’Anne-Sophie : « Isaiah, je suis ravie de notre rendez-vous, je reste à ta disposition ». Celui de Claire : « voici mon numéro pour les cours particuliers ». J’ai enregistré les deux numéros. Je n’étais pas content de la teneur des messages. Trop impersonnelle.
J’ai créé un groupe whatsapp avec les deux. Le groupe était intitulé « le roi et sa cour au lycée ». Je leur ai écrit : « je suis sûr que vous pouvez faire mieux que vos précédents messages pour votre meilleur élève ». Claire fut la première à répondre :
— Pardon mon Roi, vous avez maintenant mon numéro et je suis donc à votre disposition pour les cours dont nous avons parlé.
Anne-Sophie n’a pas tardé :
— Mon Roi, je peux me libérer quand vous le désirez, même cet après-midi si vous le souhaitez pour poursuivre la conversation de ce matin.
J’ai répondu :
— Ne vous battez pas, il y en aura pour tout le monde. Comme Claire a répondu la première, elle aura la primeur du premier cours. Ce sera demain après la fin des cours.— Merci Isaiah.— Je comprends, je suis à ta disposition néanmoins... bien sûr.— Je sais !
Je suis allé à la salle de sport. J’étais devenu pote avec le gérant, qui m’avait même proposé de donner des cours. Et aussi avec deux trois habitués. Alors que je ramais, je remarquais une fille sur un tapis de course. Brune, grande, dans les 1m75, mince, un cul superbement moulé dans un legging court. J’ai quitté le rameur pour le tapis à côté d’elle. Je me suis mis à courir.
— Salut.
Elle tourne la tête tout en courant. Jolis yeux noisette, mais surtout une superbe bouche.
— Salut.— Tu devrais changer de chaussures, celles-ci ne vont pas avec ta foulée. Tu risques de te faire mal.
Elle me regarde surprise. Et arrête le tapis pour marcher juste. Je fais de même. On marche donc côte à côte.
— Ah oui ? Personne ne me l’a dit. — On a des foulées différentes d’une personne à l’autre, et il y a disons des types de foulées et il faut des chaussures adaptées sinon on prend vraiment le risque de se blesser.— Ah OK, je ne savais pas, j’irai au magasin. Merci.— Mais de rien. Isaiah enchanté.— Charlotte.
Elle m’a tendu la main, je l’ai prise délicatement. Elle devait avoir 28 ou 29 ans, devait faire dans les 56 ou 57 kilos, un 90B de tour de poitrine, et portait une alliance. Parfait, pensais-je.
— Ne va pas racheter des baskets avec le même conseiller.
Je dis ça avec un large sourire.
— C’est mon mari.
Elle a souri aussi.
— Oups... désolé...— Pas grave... Disons que je l’écoute mais ce n’est pas non plus un grand sportif.— Pas comme toi ?— Ah ah très drôle— Je disais ça sérieusement.— Ah ?— Un corps comme le tien... soit la nature a été très très sympa, soit tu l’entretiens bien.
Elle sourit en baissant les yeux.
— Soit un peu des deux.
J’ajoute en souriant.
— Merci.
Elle me regarde sans trop oser.
— Toi, en revanche, on dirait que tu n’es pas vraiment un sportif du dimanche.— Ah ah, oui on peut dire ça. Je suis sportif de nature, depuis que je suis tout petit... Enfin, je n’ai jamais été vraiment petit mais bon.
On discute un peu puis on se remet à courir, je sens des regards sur moi. Discrets. Elle finit par s’arrêter. J’en fais de même.
— Isaiah ?— Charlotte ?— Je pensais aller me racheter des chaussures là, des conseils ?— C’est difficile à dire comme ça.— Tu... enfin... non, laisse tomber.— Je veux bien.— Pardon ?— Je veux bien t’accompagner.— C’est vrai ? Ça te saoule pas trop ? — Pourquoi ça me saoulerait ? Accompagner une jolie femme faire du shopping, c’est top.— Mon mari ça le saoule.— Je doute que l’on ait un seul point commun lui et moi, Charlotte...— En effet.
Elle baisse les yeux.
— On se retrouve dehors, Charlotte ? — OK.
Je me douche et me change, j’attends dehors. Je la vois finalement sortir, bottes, jupe noire aux genoux, et manteau court. Elle est ravissante, BCBG. On va au magasin, on rit bien tous les deux, on se moque des vendeurs. Je lui dis qu’ils ont l’air aussi compétents que son mari. Elle rit. Elle en profite pour acheter d’autres tenues de sport. Évoque le fait qu’elle aimerait avoir un coach sportif pour la motiver à faire de l’exercice. Je mentionne « par hasard » que le gérant de la salle m’avait proposé de donner des cours.
— Dommage que tu n’aies pas accepté.— Ah ah, j’ai refusé car je sens le traquenard. Je doute que toutes les clientes soient comme toi. Et donner cours à des mamies de 60 ans, non merci.
On rit.
— Je pourrais donner des cours particuliers cela dit. — Ah oui vraiment ?— Oui. Je pourrais te conseiller si tu veux.— Pourquoi pas.— Quel enthousiasme.— Non, mais... c’est juste que... je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée...— Pourquoi ?— Je suis mariée et tu...— Je ?— Tu es... enfin... je ne suis pas sûre que mon mari apprécierait.— Apprécierait quoi ? Qu’un beau mec sportif conseille sa femme ?— Voilà. — Il préférerait qu’un vieux avec du bide le fasse ?— Ah ah, oui sans doute. — Et tu fais toujours ce que ton mari veut ?— ... le plus souvent, j’avoue.— Eh bien, il doit être doué au lit !— No comment...— Ah ? Même pas ? Mais alors pourquoi ? — Je ne sais pas... je n’aurais pas dû dire ça...— Tu es de nature docile ?— Arrête... Arrête Isaiah. — OK. Pardonne-moi. Je ne voulais pas être indis... enfin si je voulais mais pardonne-moi.
Elle sourit.
— OK, on oublie ?— On oublie.
On finit son shopping, puis on se quitte. Je la retiens :
— Je te laisse mon tel ? Si tu as besoin de conseils ?— ... je ne sais pas Isaiah...— 06...— Bon OK.
Elle le note dans son téléphone. Taquin, je lui dis :
— Tu m’enregistres sous un nom de code ? — Il faut oui.— Il est jaloux à ce point.— Oh oui.— Tu as des idées de nom de code ?— Non, pas vraiment.— Black Stallion ?— Ah ah, vachement discret.— Ah, il faut être discret, pardon, je n’avais pas compris. Alors mets BAB, et s’il tombe dessus tu peux dire que c’est le surnom d’une copine.— BAB ? Ça veut dire quoi ?— Tu chercheras.— OK. Je fais ça.
On se quitte. Je souris. BAB = Blanche à Blacks.
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