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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 20

Chapitre vingt – une journée bien remplie

Trash
J’ai été réveillé par la bouche d’Élodie sur ma queue, elle me massait les couilles et s’occupait de mon érection matinale.— Mmmm salut ma belle.Elle allait me répondre, je l’ai maintenue sur ma pine.— Non, non, ne t’arrête pas.Je me souvenais de la veille, elle était arrivée une demi-heure plus tard chez moi, elle avait sonné. Je lui avais ouvert, elle portait un manteau noir type trench court.Elle est entrée, m’a embrassé et a ouvert son manteau : porte-jarretelles string et soutien-gorge en dentelle noire, bas noirs, et escarpins à talons aiguilles noirs. Elle était divine. Je lui ai sauté dessus. Je l’ai portée jusque dans ma chambre, elle m’a déshabillé à la vitesse de la lumière pour à son tour se jeter sur ma queue. Elle m’a pompé et branlé entre ses seins.Je l’ai léchée jusqu’à la faire jouir, jouant avec son clito, ses lèvres, la fouillant de ma langue puis de mes doigts. J’ai bu sa mouille, avant de la pénétrer en missionnaire. — Fais-moi l’amour Isaiah, comme tu le fais à ta copine.Je l’ai fait jouir trois fois de suite en missionnaire, elle me voulait contre elle, en elle. Je me suis vidé en elle. Elle appuyait de ses mains sur mes fesses pour me garder au fond d’elle encore. On s’embrassait, ma queue toujours en elle, a redurci. Je suis resté en elle mais nous ai fait basculer. Elle sur moi elle a dansé sur ma queue, se l’enfonçant tout au fond d’elle. Je massais ses seins, ses fesses, lui doigtait le cul. Je lui ai ensuite pris le cul en levrette. J’ai fini par jouir dans sa bouche. On a fini par s’endormir. Et donc elle me réveillait par une magnifique fellation. Elle était nue, elle avait un corps de rêve. J’ai de nouveau joui dans sa bouche. Elle a tout avalé.— Mmmmmm je ne m’en lasse pas mon chéri.— Moi non plus !Elle m’a souri.— Tu me ferais un enfant ?— Non.— Pourquoi pas ? Tu imagines le physique qu’il ou elle aurait ?— Oui j’imagine. Mais je n’enfante pas une femme célibataire.— Salaud.— Oui. Trouve-toi un mari et repose-moi la question à ce moment-là. — Tu sais qu’un des larbins qui était là l’autre soir est marié...— Ne me tente pas.— Je vais me renseigner eh eh.— Ça marche. — Nettoie ma queue maintenant.— Putain, je sais pas comment ni pourquoi, mais je peux pas te dire non.— Mais si tu sais. Tu es folle de moi.
— Peut-être.On s’est levés, elle est partie, je me suis douché et suis allé au lycée. J’avais une journée chargée. On s’est retrouvés avec Manon en cours le matin. A un moment elle m’a glissé un papier avec juste écrit dessus « Juliette ». J’y ai répondu :— Juliette ?— J’ai réfléchi à ta question.— Tu acceptes ?— Oui. Avec Juliette. — Tu es sûre de toi ?— Oui.— Il faudra qu’on lui en parle alors.— Déjà fait;-)— Mmmmmm belle initiative ma chérie;-) j’adore...— Merci;-) vendredi soir. Après son mec arrive.— Ça me va.— Elle était ravie d’aider ah ah.Je regardais Manon, elle était tellement belle. Ses yeux pétillaient. Il ne se passait pas une seconde sans que je la désire.— Tu sais, ce que je t’ai écrit hier soir.— Oui ?— Je le pense.— Moi aussi.
La matinée s’est bien passée, j’ai déjeuné avec Manon et Élise et Sophie, c’était sympa. Puis je me suis absentée. Manon m’avait demandé si elle pouvait parler à Élise et Sophie, je lui ai dit qu’à elles elle pouvait, que je la laissais seule juge pour ça. Mais qu’il ne fallait absolument pas en parler à d’autres ni que les deux n’en parlent autour d’elle. Elle m’a promis.
Je suis repassé chez moi et suis parti à la piscine. Il était 13h10 quand j’arrivais. Je me changeais vite fait dans les vestiaires et rejoignais le bassin, en boxer maillot et une serviette posée sur l’épaule. Je remarquais une maître-nageuse que je n’avais jamais vue. Une fille, la vingtaine, châtain, dans les 1m65, plutôt mince, sportive manifestement, dans les 85 ou 90B. Elle me reluqua, je lui ai souri. Je remarquais assez vite Charlotte au bord du bassin sur un transat et sur un transat à côté un mec, qui devait faire la même taille que charlotte, mince, pas très musclé. Pas très beau non plus. En short de bain. Je faisais le tour du bassin, Charlotte leva la tête et la baissa immédiatement. Elle portait un joli bikini bas noir noué sur les côtés, et un haut bleu triangle. Je me suis assis sur un transat pas loin. Puis je me suis levé et je suis allé vers le bassin en passant devant eux. Je tourne la tête regarde le type, qui me regarde passer, puis pose les yeux sur Charlotte, ne dis rien, puis me fige devant eux. Et feins la surprise :— Charlotte ?— Pardon ?— Isaiah, de la salle de sport. Elle rougit. Son mec a levé la tête et ne comprend pas.— Ah... euh... oui oui. Salut. — Salut. C’est marrant ça. Je ne savais pas que tu venais là.— Ah euh, oui. Oui, parfois. — Même salle de sport, même piscine, il faut qu’on arrête ah ah.— Ah ah oui, c’est vrai.L’autre s’est raclé la gorge. Quel naze. — Ah, pardon ; chéri, voici Isaiah. Isaiah, voici mon mari. Sylvain.— Salut. — Bonjour. Vous vous connaissez du sport ? — Se connaître est un bien grand mot, disons que j’ai conseillé Charlotte sur ses chaussures de sport.— Qu’est-ce qui n’allait pas avec celles qu’on a choisies ?— Elles n’étaient pas du tout adaptées à Charlotte. Et puis on a lié connaissance. — Tu ne m’as pas dit ?!Il interrogeait Charlotte, un peu vexé, un peu inquiet.— Ce n’est pas très important Sylvain.— Ben quand même. — Il faut qu’elle te dise à chaque fois qu’elle rencontre quelqu’un ? — Pardon ?— Non non rien. Bon, je vous laisse. A bientôt Charlotte.Je me suis éloigné sans les laisser répondre. J’ai fait des longueurs. A un moment le Sylvain est lui aussi venu nager. On s’est croisé une première fois dans la ligne d’eau et vu nos rythmes respectifs, je l’ai vite rattrapé puis dépassé. En le dépassant, je l’ai un peu envoyé dans le décor. Vous me connaissez ;-) Je ne supporte pas qu’un petit blanc-bec se mette sur mon chemin. Je l’ai à peine entendu râler. Je suis sorti de l’eau et alors qu’il continuait à nager, je me suis assis sur son transat à côté de Charlotte. Elle a été surprise.— Oh, tu m’as fait peur. — Pardon Charlotte.— T’abuses quand même.— Oh, allez, dis-moi que tu n’es pas contente de me voir. — Mais Sylvain...— Qui ça ?— Très drôle.— Sérieusement, c’est qui ?— Arrête Isaiah.— En tout cas félicitations. — Pour ?— Ton corps de rêve.— Pfffff...Elle a rougi et baissé les yeux.— Merci.Sylvain arrivait à ce moment-là.— Merci pour quoi ?Je souriais, Charlotte a balbutié. J’ai pris le relais.— Le gérant de la salle de sport m’a demandé si je pouvais aider Charlotte, lui donner quelques cours de sport, vu qu’elle cherchait un coach et que je suis dispo. Du coup j’ai dit oui. — Un coach ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?Sylvain semblait énervé. Charlotte elle ne pouvait plus reculer, sous peine d’aggraver les apparences.— Je t’en avais parlé, c’est vrai que j’ai du mal à me motiver toute seule. Isaiah est compétent, c’est le gérant de la salle qui me l’a dit. Donc voilà.— On peut faire ça chez moi si tu veux. Ou chez vous peu importe. Tu me diras quand tu peux.— Chez nous plutôt.C’est Sylvain qui avait répondu. J’ai rebondi :— C’est aussi avec toi qu’il faut que l’on voie pour le quand ?Il n’a rien osé répondre. Charlotte a répondu :— Le gérant m’a donné ton numéro je te dirai. OK ?— OK ma belle. En tout cas, pas de stress, de ce que je peux juger, ce sera vraiment disons du travail de complément. Ton corps n’a pas beaucoup de défauts.Je me suis levé :— Je te rends la place euh... — Sylvain.— Ah oui, Sylvain, c’est ça. Je me suis éloigné. Il s’est assis dans le transat, je n’ai pas entendu, mais manifestement il n’était pas content et Charlotte a fini par aller nager, manifestement saoulée par son mari.
Je décidais de ne pas faire plus, et d’aller voir la maître-nageuse. Ça tombe bien elle me regardait. Je lui ai souri, elle m’a souri, je l’ai rejointe. Elle s’appelle Solène. On discute un peu. Elle a commencé cette semaine. Je lui dis que ça nous change de ses nouveaux collègues un peu blaireaux. Elle sourit, et semble d’accord avec moi. Elle finit le boulot une demi-heure plus tard. — Ça tombe très bien ça Solène.— Ah bon ? Et pourquoi ? Elle me dit tout sourire.— Parce que d’ici une demi-heure j’aurais très envie de te faire l’amour.— Ah bon ?— Oh oui.— Et avant, non ?— Avant aussi, mais tu n’es pas dispo. Elle m’a demandé mon numéro et l’a enregistré dans son téléphone. — Je t’écris dès que je suis dehors.— Parfait, je suis garé devant. — Quelle voiture ?— Oh, tu me reconnaîtras.
Je me suis douché, changé, et ai attendu dans la voiture. Je l’ai vue devant l’entrée, elle écrivait sur son téléphone. J’ai reçu son SMS :— Suis dehors.J’ai klaxonné, elle a levé la tête et m’a vu dans la Cobra. Elle m’a rejoint, est entrée dans la voiture.— Salut.— Salut. Je n’ai pas l’habitude de faire ça ; mais là...— Trop tentant ?— J’avoue oui. Je me suis penché et l’ai embrassée. On s’est roulé de grosses pelles. — J’habite à cinq minutes.— Parfait.
Arrivés chez elle, on avait à peine fermé la porte qu’elle s’est accroupie devant moi et à fait glisser mon jean et mon boxer sur mes chevilles.— Oh mon Dieu.— Oui ?Elle m’a sucé goulûment, elle savait y faire la salope. Elle jouait de sa langue sur mon gland, alternait léchage et succion, elle embrassait ma queue, ses mains caressant mes couilles mais aussi mon torse. Parfois elle appuyait ses deux mains sur mes cuisses pour me pomper activement. Elle enchaînait les gorges profondes et bavait abondamment sur mon chibre.
Je l’ai léchée et elle a joui très vite avant de me supplier de la pénétrer. Je l’ai prise en cuillère avant de la renverser, elle sur moi, me tournant le dos, je lui ai pilonné la chatte. Je sentais la mouille couler sur moi. Puis toujours en elle je l’ai fait basculer vers l’avant pour la prendre en levrette. Je la tenais par les cheveux. Je lui ai mis des fessées. Elle se tapotait le clito pendant que je la défonçais. Elle me caressait aussi les couilles. J’ai voulu jouir sur son cul de rêve. Mais elle voulait me goûter. J’ai joui dans sa bouche. Elle m’a avalé. Après une douche, elle m’a dit qu’il fallait que je parte, que son mec n’allait pas tarder.— T’as un copain ?— Oui, et il termine le boulot bientôt.— Il termine tôt ?— Oui, c’est un des blaireaux de la piscine.On a ri tous les deux. Elle me plaisait. Je l’ai embrassée et suis parti. Je me suis posé dans un café. J’ai écrit à Claire pour lui demander à quelle heure elle serait chez elle.— J’y suis. Je n’ai pas cours le jeudi après-midi.— Parfait ! J’arrive dans 20 minutes.— Je t’attends Isaiah.
En route j’ai reçu un SMS de Charlotte :— Donc, j’ai des défauts ?— J’ai dit pas beaucoup, et avec moi ne t’en fais pas, ils disparaîtront vite.— Ah vraiment ?— Oui. Il paraît qu’avec moi, les femmes se sentent belles et parfaites.— Je ne sais pas les autres, mais ce n’est pas faux... j’avoue...— Ton mari n’est pas trop fâché.— Si. Mais ça lui passera.— Et du coup, il faut que je voie avec qui pour le quand ?— Avec moi ça ira !— Et donc ?— Ce week-end tu peux ? Faire un premier cours, disons un état des lieux.— Je peux mais samedi matin.— Parfait. 11h ?— Oui. OK. Tu me donneras l’adresse. — La voici. — Oh mais tu n’es vraiment pas loin de chez moi, très bien ça. — ;-)
Je suis arrivé chez Claire. La belle habitait dans une belle maison. Son mari avait un bon boulot et gagnait très bien sa vie. J’ai sonné. Elle a ouvert la porte. Elle savait recevoir !
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