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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 22

Chapitre vingt-deux – chef de classe, chef de meute

Trash
Laissant Catherine à ses rêveries, j’écrivais à Manon :— Salut ma chérie, ça va ? Ton après-midi s’est bien passée ? Je pense à toi. Passe une bonne soirée ma belle.
Puis j’écris à Claire :— Ton mari va peut-être se comporter bizarrement quand il va sentir qu’un mâle dominant a marqué son territoire dans toute votre maison... bonne soirée ma belle.
Je plongeais ensuite mes yeux dans ceux de Catherine, qui finit par lever la tête :— Tu as soif ?— Oui. Sans la quitter des yeux :— Carl, tu vas me chercher une bière ?! Et toi tu prends quoi ?— Un verre de vin blanc.— Et un verre de vin blanc pour Catherine aussi.
Carl sortait de l’eau et nous regardait.— Merci mon petit amour. Elle avait dit cela en me souriant.
Carl était revenu avec nos verres, on trinque et on discute au bord de la piscine. Manon m’avait répondu :— Bonne soirée à toi mon amour, vivement demain... J’étais étonné, mais agréablement surpris, Claire aussi avait répondu :— J’ai ton odeur partout sur moi, et en moi... Tu crois qu’il va le remarquer ?— Sans aucun doute, mais le mâle bêta ne dit rien, il s’incline juste...
Puis on est allé sur la terrasse et Catherine a dit à Carl d’amener la bouteille de blanc, j’en profitais pour m’asseoir à ses côtés sur la banquette, laissant Carl s’asseoir dans un fauteuil. — Pfffff, j’ai mal aux pieds après cette journée.Je regardais Carl. — Eh bien Carl, quand une femme dit cela, c’est pour se faire faire masser les pieds. Il faut vraiment tout te dire.— Tu devrais écouter ton fils. Carl s’est agenouillé devant elle et a massé ses pieds après lui avoir retiré les sandales. Je le regardais en souriant.— On est vraiment bien ici.— Oui, tu as raison. Il est vrai qu’on est mieux ici qu’à la maison, quand on est chez moi, cela manque comment dire d’une présence, d’une vraie présence masculine. — Et je doute que l’arrivée du copain de Juliette change quoi que ce soit à cela...— Ah ah, oui c’est sûr. Et encore tu ne l’as pas vu ah ah.— Il ne faut pas hésiter à m’appeler Catherine tu sais, si vous avez besoin de cette présence.— Oh c’est gentil ça, merci Isaiah. — Et les pieds, ça va mieux ?— Oh oui. C’est trop bon Carl, merci mon chéri.— Oh mais de rien mon amour, c’est normal.— Tu sais ce que mon ex faisait que j’ai toujours adoré ?— Dis-moi ?— Il alternait les massages et le léchage de pieds, c’est tellement relaxant, vraiment divin.— Vraiment ?— Oh oui, fais-moi confiance.Je décidais d’intervenir :— Tu devrais arrêter de tout remettre en question tout le temps, Carl, Catherine a l’air de savoir ce qu’elle fait, alors fais-lui plaisir et obéis. Tu ne crois pas ?— Oui oui, tu as raison. Mais c’est juste que...Catherine avait levé le pied au-dessus du visage de Carl. — Que quoi Carl ? Ah, tu es un peu gêné ? Je comprends, pas de problème. J’ai attrapé une serviette à côté de moi, l’ai étendue sur la jambe de Catherine et le visage de Carl. Catherine et moi avons ri.— Et bien voilà, tu peux faire ce que Catherine t’a demandé tranquillement, sans aucune gêne. C’est mieux non ?— Euh... oui oui j’imagine.— Pardon ? Il faut que tu parles plus fort on n’entend pas.— Oui Isaiah. — Alors, il se débrouille comment ?— Franchement ? C’est pas mal. Je me penchais et soulevais la serviette. Carl avait le pied de Catherine dans sa bouche. J’éclatais de rire.— Oh, non Isaiah, s’il te plaît.— OK, comme tu préfères.Je remettais la serviette.— Pas gagné pour la présence masculine... Mais bon, chacun son rôle.— Et chacun sa place !— En parlant de place... (je baissais le ton) je suis un peu à l’étroit là.Catherine me regardait. Sans attendre sa réponse, j’ôtais mon maillot et libérais la bête. Catherine n’en manquait pas une miette, et se mordillait la lèvre. Un sourire se dessinait sur son visage. Je la vis se cambrer sur la banquette. Je lui pris la main et la posai sur ma queue. Elle ne tarda pas à me masturber lentement, passant les doigts sur mon gland et se les léchant ensuite. Elle ne pouvait pas tellement me sucer dans cette position, je me suis donc levé, suis passé derrière Carl, et me suis placé debout, un pied de part et d’autre de lui, au-dessus de la serviette qui l’abritait. J’avançais lentement, sexe bandé, vers la bouche superbe de Catherine qui me souriait. Du bout de la langue elle titillait mon gland, le faisait rebondir dessus. Puis elle enfonça mon sexe tout au fond de sa gorge, une main posée sur mes couilles et elle resta un instant comme ça salivant beaucoup. Cette salive coulait sur la serviette. Elle me pompa ensuite, sans les mains. Elle finit par me branler dans sa bouche et me faire jouir, par jets puissants qu’elle avala. Avec délectation. Elle nettoya consciencieusement ma queue que je finis par remettre dans mon maillot. Je vins me rasseoir à ses côtés. Et finis ma bière. Elle souleva la serviette, Carl léchait ses deux pieds en alternance. Elle souriait. — Merci mon amour, tu es adorable. C’est bon maintenant.— Cela t’a plus ma chérie ?— Oh oui ! Viens m’embrasser.Carl s’est relevé et Catherine a posé ses lèvres contre les siennes et a maintenu cette posture de longues secondes. — Mmmm j’ai une faim de loup, pas vous les garçons ?— Oh oui !On a commandé un dîner chinois. On a mangé tous les trois sur la terrasse c’était très sympa. Il ne s’est rien passé de particulier. Je suis finalement allé me coucher.
Une fois au lit j’écrivais à Manon et voyais un message d’elle :— Je me couche, bonne nuit mon amour.— Je me couche aussi ma chérie, bonne nuit. Fais de beaux rêves. — Merci toi aussi. A demain.
Je vis que j’avais aussi un SMS de Claire :— Mon mari m’a trouvé, je le cite « très belle et très femme » ce soir. — Tu lui as dit quoi ?— Que je me sentais même femelle.— Vous avez baisé ?— Non, il voulait mais je n’en ai pas envie.— Dis-lui de te lécher. — Il est à son bureau là.— J’aime bien son bureau lol. Envoie-lui un SMS et dis-lui de venir te lécher, que tu l’attends au lit. — Mmmmm, tu crois ?— Je veux.— Alors d’accord mon chéri. — Mais ne lui accorde rien d’autre que ça. Je veux juste qu’il te lèche. Demande-lui s’il te trouve à son goût ce soir.— OK. Je te raconterai.
Je me réveillais le lendemain. J’avais un moment pensé que Catherine m’aurait rejoint dans la nuit. Mais je savais qu’elle et moi jouions le même jeu : faire durer le plaisir et faire monter la tension et la pression. Je n’étais pas franchement en avance, je me suis préparé vite fait. J’ai reçu un SMS de Juliette :— Ce soir, on se voit chez toi, ma mère sera à la maison avec ton père.Ça m’allait. Manon était sublime ce matin. Je remarquais aussi que Sophie et Elise n’étaient pas en reste, elles me faisaient aussi bien bander toutes les deux.
— Juliette t’a dit pour ce soir ?— Oui.— On arrivera elle et moi vers 20h ça te va ?— C’est parfait ma chérie. Toujours sûre de toi ?— Oh oui.Elle l’était. Nous avions cours avec Claire et en tant que prof principale c’était elle qui organisait l’élection des délégués. Greg avait été désigné délégué temporaire pour le début de l’année. Il fallait maintenant voter pour une fille et un garçon. Chez les filles, une seule candidate, Elise. Chez les garçons, deux candidats, un mec sympa, et Greg. Je voterais donc pour l’autre. J’apprenais aussi que les parents délégués étaient le père du mec sympa et la mère de Greg. TILT : je souriais. Manon me regardait.— Ça va ?— Oui, j’ai une idée.— Ah ?— Regarde.Je levais la main, Claire le remarquait tout de suite.— Oui Isaiah ?— Madame, est-il trop tard pour inscrire comme candidat ?— Non non bien sûr que non.— Alors je m’inscris.— C’est noté. Nous allons d’abord voter pour la déléguée, ce sera moins long.Je voyais Greg qui s’était retourné et qui me regardait dégoutté. Je lui souriais. Évidemment Elise a été élue et était ravie. Je me tournais vers Manon :— Tu vas voter pour qui ?— Mmmmm je ne sais pas...Elle me souriait. J’avais envie de l’embrasser. Je l’ai fait. On a ensuite voté pour le mec délégué. Le mec sympa s’est retiré de la course. J’ai été élu avec toutes les voix sauf 1. Beaucoup de rires et de vannes à l’encontre de Greg qui était au fond du trou. J’étais donc délégué avec Elise et il me tardait aussi de voir à quoi ressemblait la maman de Greg. À la pause j’allais le voir :— Faudra que tu me files le téléphone de ta maman Greg.— Hein ? Ça va pas.— Tu préfères que je vienne chez toi ?— Ouais non non. — Tu vas lui dire que tu as perdu ou tu préfères que je lui annonce moi ?— Va chier.
Ce petit épisode me remplissait de joie. Le midi, je recevais un SMS de Claire :— Il m’a léchée et a semblé apprécié.— Parfait, il a voulu te baiser ?— Oui. Mais j’ai refusé.— C’est vrai ? Ne me mens pas.— Je ne te mens pas, promis. — Très bien.
A la fin des cours, Manon m’embrassa longuement. — A tout à l’heure mon chéri.— A tout à l’heure ma belle.
Je rentrais à la maison, j’hésitais à aller à la piscine. Je reçus un SMS de Karine :— Coucou toi. Je suis avec Sarah là, on pensait à toi... Pour tout te dire je me sens un peu délaissée...— Tu as un mec non ?— Depuis quand ça te gêne ?— Vous êtes où ?— Chez moi, au bord de la piscine.— J’arrive.— ;-)
J’allais directement chez elle, j’avais le temps de m’occuper des deux, de rentrer me doucher et d’être prêt quand Manon et Juliette arriveraient. Je les trouvais toutes les deux en bikini au bord de la piscine. Je leur roulais une grosse pelle à chacune. Les deux debout contre moi, de part et d’autre de mon torse, j’avais un bras autour de chacune d’elles.— Je vous préviens les filles, j’ai une heure pas plus, à vous consacrer.— Mmmmm alors ne perdons pas de temps, Mr le ministre.Elles se sont accroupies toutes les deux et m’ont sucé. J’ai baisé leurs bouches posées en même temps sur mon chibre dressé. Sarah m’avait ensuite pris entre ses seins, encore une fois sensation divine. Elle faisait ça à merveille, léchant mon gland à chaque fois qu’il remontait. Je roulais des pelles à Karine en même temps. Je les ai prises l’une après l’autre en levrette. Après de longues minutes dans cette position, j’ai fait s’allonger sur le dos Sarah et j’ai dit à Karine de se mettre au-dessus d’elle, face à elle. Je prenais en alternance la chatte de Sarah et la chatte ou le cul de Karine. Karine a ensuite pivoté pour pouvoir me sucer quand je sortais ma pine de la chatte de Karine.— Tu aimes la mouille de ta copine sur ma queue ?— J’adore bébé.J’avais fini par jouir sur le ventre de Sarah, et Karine avait tout bien léché.
Je suis rentré chez moi, j’ai pris une douche, j’ai pris soin de mon corps, j’ai enfilé un pantalon en lin beige et un t-shirt col en V blanc. J’étais beau. J’avais hâte, hâte de partager ce moment avec Manon. Je l’aimais. Je n’en doutais plus. J’avais envie qu’elle soit épanouie dans notre relation.
Je buvais une bière sur la terrasse quand Manon m’a écrit :— On est là dans cinq minutes mon amour.— Entrez, la porte est ouverte, suis sur la terrasse.— OK.
Je les vis arriver sur la terrasse cinq minutes plus tard. Une entrée divine.
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