Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 2 Commentaires

Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 23

Chapitre vingt-trois – Manon me voit, Manon m'aime

Trash
Elles se sont arrêtées juste après la baie vitrée. Elles se tenaient par la main, sublimes. Manon portait une petite robe noire moulante courte, zippée tout du long, de haut en bas, et des escarpins à talons aiguilles. Juliette elle portait une minijupe ultra-moulante et courte, des bas autofixants dont on apercevait la lisière, des escarpins à talons aiguilles, et un top largement décolleté. Je les reluquais. Je me suis levé et approché d’elles. J’ai tendu la main vers Manon, et l’ai attirée tout contre moi. Je l’ai embrassée langoureusement. — Tu es divine mon amour.— Merci. Je te plais ? — Beaucoup.— Dommage que tu n’en profites pas ce soir...Elle avait dit avec un sourire coquin. Je me suis tourné vers Juliette, et l’ai prise à son tour par la main pour l’attirer à moi. Je tenais toujours Manon fermement contre moi, Juliette m’a fait un bisou sur la joue mais à la commissure des lèvres. — Installez-vous mesdemoiselles, je reviens.Je revenais avec du champagne et trois flûtes. Les filles discutaient sur la banquette de la terrasse. Je nous ai servi le champagne et elles m’ont fait une place entre elles. Manon était collée contre moi. Elle avait une main sur ma cuisse. Elle m’a embrassé. Puis elle s’est tournée vers Juliette.— Il te plaît ?— Il est pas mal.Juliette faisait comme si elle me découvrait. Elles avaient préparé leur affaire, OK ça m’allait.— Et toi mon chéri, comment tu trouves ma copine ?— Honnêtement ? Il faudrait qu’elle se lève que je puisse juger correctement.Juliette s’est levée, elle a défilé devant nous. Manon était assise vraiment tout contre moi, une main sur mon torse, une jambe relevée sur moi, j’avais une main sur sa cuisse. Je l’embrassais tout en regardant Juliette.— Tourne-toi un peu Juliette.— Elle tournait, les talons lui faisaient une très jolie cambrure.— Mmmmmmmmm— Alors ?— Elle est très sexy oui.— Elle te fait envie mon amour ?— Oui.Manon fit signe du doigt à Juliette d’approcher. Juliette s’est assise sur ma cuisse libre. J’avais mon autre main sur son bassin. On s’est embrassés, doucement, nos langues jouaient l’une avec l’autre. Manon regardait. J’avais toujours une main sur sa cuisse. Puis Manon s’est écartée. Mes deux mains se sont alors occupées de parcourir le corps de Juliette. Je le connaissais, mais l’ambiance faisait que je le redécouvrais ; c’était très agréable. Je sentais le regard de Manon sur nous, sur moi. Je me tournais vers elle pour l’embrasser.— Merci ma chérie.— De rien mon amour.
J’ai roulé une grosse pelle à Juliette, une main sur son cul et l’autre massant ses seins à travers son top. Elle n’était pas en reste. Elle me caressait le torse et je sentais son autre main sur mon entrejambe. Elle m’a retiré mon t-shirt et a commencé à m’embrasser les pecs puis les abdos, prenant tout son temps. Elle s’est retrouvée à genoux entre mes cuisses. Le visage collé sur ma queue. Elle a regardé Manon.— Je peux ?— Il est tout à toi Juliette.— Mmmmmm, ça a l’air tellement gros. Elle a ouvert mon pantalon et l’a fait descendre sur mes chevilles. Elle caressait mon sexe à travers le boxer blanc, le mordillait, se frottait tout contre. Elle miaulait presque. Je la regardais, puis regardais Manon qui ne ratait rien. Je bandais comme un âne. Juliette a sorti ma queue, finalement, et l’a prise en main. Elle l’a embrassée, câlinée, léchée délicatement avant que sa langue ne s’enroule autour de mon gland. — Mmmmmmmmmm— Tu es bien là mon chéri ?— Oh oui... Tu ne veux pas te joindre à nous ?— Non mon amour, profite, moi je me régale aussi du spectacle. Juliette avait surenchéri :— Tu es sûre Manon ? Il y en a largement pour toutes les deux ?— Je sais;-) Vas-y ma chérie, suce-le, je veux te voir sucer mon homme.Elle ne s’était pas fait prier. Elle m’a pompé, magnifiquement. J’avais les deux bras écartés sur le dossier de la banquette ; j’étais nu, elle était encore habillée, à genoux devant moi, mon chibre ébène en bouche et Manon, assise au bout de la banquette, semblait apprécier. Juliette me pompait maintenant comme une folle, léchant mes couilles, les mettant une puis les deux en bouche, masturbant mon pieu dans sa bouche, elle tapotait mon gland sur sa langue. — Elle te suce bien mon amour ?— Oui, c’est trop bon ma belle. — Et toi, tu aimes sa queue ?— Je l’adore oui, tu es chanceuse Manon.— Oh oui, je sais.
J’avais envie de la baiser. Je me suis levé et l’ai relevée. Je l’ai déshabillée, elle s’est retrouvée en bas et talons. Je l’ai assise sur la banquette et je l’ai léchée jusqu’à ce qu’elle explose de jouissance sous mes coups de langue. Elle a hurlé de plaisir. Je souriais intérieurement en me demandant si dans la maison d’à côté, Catherine avait entendu cela. Je me suis redressé, j’ai écarté ses cuisses et me suis enfoncé en elle. J’ai commencé à la baiser ainsi, on s’embrassait. Je regardais Manon très souvent. Elle semblait très excitée mais ne bougeait pas trop. Elle se cambrait néanmoins. Elle me souriait. J’ai passé mes mains sous les fesses de Juliette, et ma queue toujours en elle, je l’ai soulevée. Elle a poussé un petit cri, mais a enroulé ses jambes et ses bras autour de moi. Je l’ai baisée debout, la faisant sauter sur ma queue. Toujours en elle je décidais de l’emmener au salon. Je la tenais d’un seul bras, si bien qu’en passant devant Manon, je lui ai tendu la main qu’elle a prise. Je l’ai emmenée avec nous. Je me suis assis sur le canapé, Juliette empalée sur ma bite, et Manon a pris place dans un fauteuil en face. Juliette allait et venait sur moi et a joui puissamment. Je l’ai maintenue contre moi, mon gland tout au fond d’elle. Je suis sorti d’elle et l’ai mise à 4 pattes sur le canapé. Je l’ai prise en levrette, vigoureusement elle a joui encore une fois. Je regardais Manon. Je me suis mis debout, Juliette, assise sur le canapé m’a sucé et m’a fait jouir, elle a tout avalé. Je ne quittais pas Manon des yeux, qui a mimé de ses lèvres un « je t’aime ». Je lui souriais et lui ai répondu « moi aussi » de la même manière. Elle était heureuse, radieuse. Je me suis assis sur le canapé. Juliette est partie dans la salle de bain.— Viens près de moi ma belle.Manon est venue s’asseoir tout contre moi. On s’est embrassés.— Tu es beau mon amour.— Tu as aimé ?— J’avoue... oui. Beaucoup.J’avais glissé ma main sous sa robe. — Mmmmmm, en effet dis donc.— Oui...Elle baissait les yeux presque timides.— Tu es gênée d’avoir mouillé ?— Un peu oui, peut-être.— Il ne faut pas. Tu sais ce dont j’ai envie là ?— Dis-moi.— Que tu me suces.Elle m’a regardé, et s’est penchée sur mon sexe gluant, brillant de la mouille de Juliette. Elle l’a pris en bouche et l’a nettoyé. Elle gémissait.— Tu aimes ?— Oui mon amour, c’est trop bon. Elle s’excitait sur ma queue et ne mentait pas, elle adorait cela.— Tu aimes ma queue couverte de la mouille d’une autre ?— Ouiiiiiiiiiii.J’ai posé mes mains sur sa tête et lui ai baisé la bouche. — Tu m’excites trop Manon. — Toi aussi bébé. — On ne peut pas vous laisser deux minutes !Juliette venait de revenir. J’ai levé la tête en souriant. Manon a pris ma queue dans sa main et me branlait.— Pardon, je n’ai pas pu résister.— C’est ton mec Manon, tu ne vas pas t’excuser quand même. Je vais vous laisser.Elle n’avait pas fini sa phrase que Manon est intervenue :— Tu plaisantes ? Viens. Juliette nous a rejoints, elle s’est agenouillée sur le canapé en symétrie de Manon, et elles m’ont sucé toutes les deux. Manon a relevé la tête :— Et là, mon chéri, tu aimes ?— Là je suis au paradis mon amour. — Tant mieux.— Il en manque juste une ou deux.— Pardon ?— Une sur mes couilles et une pour m’embrasser. — Salaud.— T’es pas gonflé toi, a dit Juliette en riant.— Ben quoi, vous me demandez.— Oui, ben on verra une autre fois pour ça hein ; pour ce soir tu devras te contenter de nous.— Je suis parfaitement contenté, rassurez-vous. Manon est venue se mettre au-dessus de moi, je l’ai léchée pendant que Juliette me suçait, sa chatte était délicieuse, trempée. Je m’appuyais contre elle. Elle se tortillait sur mon visage, je l’ai fait jouir rapidement, elle était en feu. Je l’ai fait descendre sur ma queue, et Juliette lui a glissé mon sexe dans la chatte. Manon m’a chevauché doucement, on s’embrassait, je lui léchais les seins, jouais avec ses tétons. Je sentais la langue et la bouche de Juliette sur mes couilles pendant que Manon allait et venait sur moi. Manon se cambrait à fond sur moi et je sentais que je la remplissais comme jamais. Elle a joui et tout son corps s’est raidi sur moi, l’extase m’a envahi à mon tour et j’ai joui en elle, nos deux corps fusionnés, Juliette s’était reculée, assistant à ce moment de jouissance parfaite. Collé l’un contre l’autre on s’embrassait, nos corps se relâchant peu à peu. Elle m’a murmuré un je t’aime tout doux. Je l’ai embrassée. Cela semblait durer de longues minutes. Ce n’était sans doute pas le cas.
Manon s’est finalement relevée et assise tout contre moi. Elle m’a souri et a finalement souri à Juliette :— A ton tour ma belle de me goûter sur sa queue.— Mmmmmm volontiers.Juliette s’approchait de moi à quatre pattes et me suça la queue, pendant que j’embrassais Manon. Puis elle est venue s’asseoir à mes côtés. Je l’ai embrassée aussi. On a bu un peu de champagne en discutant, tous les trois, ainsi. Et naturellement, Juliette s’est éclipsée.
On était allé se prendre un bain, elle était assise tout contre moi, son dos contre mon torse. Je l’embrassais dans le cou.— Je sais maintenant Isaiah.— Tu sais ?— Je sais que je suis absolument prête à tout pour toi. — Vraiment ?— Vraiment.Sa voix était claire et assurée. Nous avons fait l’amour et avons joui ensemble deux fois encore, avant de nous endormir.
Diffuse en direct !
Regarder son live