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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 24

Chapitre vingt-quatre – samedi sportif

Trash
J’ouvrais les yeux, Manon était à genoux entre mes cuisses et me suçait. Elle portait juste un petit string. Elle me sourit quand elle me vit me réveiller.
— Mmmmmmm, bonjour ma chérie.— Bonjour mon amour. — Tu sais que c’est ce que je préfère ça. — Il paraît. Tu remercieras Juliette, c’est elle qui me l’a conseillé.
Je souriais, et glissais une main dans ses cheveux pour l’encourager à continuer. Je jouissais finalement dans cette bouche sublime que j’adorais. Elle avalait ma semence matinale. Je l’attirais sur moi et l’embrassais.
— Merci ma chérie. Pour ce matin, et pour hier soir.— De rien. C’était incroyable pour moi aussi tu sais.— Je sais. — Je me sens vraiment bien là.
Charlotte m’avait écrit :
— Est-ce que 10h serait OK pour toi Isaiah ?— Tu es si impatiente de me voir que ça ?— ... pas de commentaire...— OK pour moi ! Mets les bonnes chaussures !— Je ne risque pas d’en changer maintenant.
Manon m’avait donc proposé le soir de venir dîner chez elle. Je pourrais ainsi rencontrer ses parents, son petit frère et sa sœur. Manon était la deuxième. Ils s’entendaient tous très bien me dit-elle. J’acceptais évidemment, et lui demandais ce que je pouvais apporter.
— Ce que tu veux, mais franchement, besoin de rien vraiment.

On avait pris notre petit-déjeuner ensemble et elle m’avait quitté. Je prenais une douche et m’habillais d’un jean et t-shirt, je prenais mon sac de sport et filais chez Charlotte. Je sonnais à la porte d’une petite maison, très mignonne. C’est son mec, Sylvain, qui ouvrit. Je fais largement une tête de plus que lui et le double de lui en largeur et épaisseur. Je lui ai tendu la main. Il l’a saisie et a grimacé quand j’ai serré.
— Salut,... ? — Sylvain.— Ah oui, Sylvain.
Je suis entré, le bousculant un peu.
— Et bien entre, je t’en prie.— Oui. — Charlotte ? Ton... ton prof est là.
Charlotte est arrivée. L’avion de chasse : elle s’était habillée avec une des tenues qu’on avait achetées ensemble, une tenue de tennis : petite jupette blanche, top assorti dont le décolleté se fermait avec une fermeture éclair. Socquettes et baskets. Deux détails : la jupette allait avec un shorty qu’elle avait manifestement « oublié » de mettre et la fermeture éclair du top était descendue suffisamment pour nous laisser deviner la naissance de ses seins. Elle avait une queue-de-cheval haute.
— Ah, salut Isaiah. Tu es pile à l’heure.— Un bon coach doit être ponctuel. En tout cas, bravo, je vois que tu as abandonné tes anciennes baskets pour une paire plus... comment dire... performante.— Eh oui, c’est le jour et la nuit. — Je te l’avais dit.— Tu veux un café ? — Volontiers.— Sylvain, tu nous ferais un café mon chéri, je montre la pièce à Isaiah ?— Oui oui OK. Tu le prends comment ton café ?— Noir.— OK. Un peu de lait ma chérie ?— Non, ce matin j’ai envie de le prendre tout noir aussi.
J’avais posé mon sac et le laissais volontairement derrière moi quand elle m’entraînait vers la pièce aménagée en petite salle de sport. Je passais devant Sylvain et lui souris. Il baissa les yeux. Je constatais que Charlotte ne se privait pas pour bien rouler du cul devant moi. La pièce comportait un vélo d’appartement, un rameur, je vois des tapis de sol, des petits haltères de différents poids. Un gros ballon pour femme enceinte.
— Ah c’est bien, vous êtes pas mal équipés.— Oui, c’est Sylvain qui a acheté tout ça.— Ah bon ? Il doit pas s’en servir souvent.— Ah ah non, il est comme moi, il aurait besoin d’un coach.— Mouais, pas vraiment comme toi non plus, la nature ne l’a pas franchement autant gâté.
Charlotte mima une moue faussement réprobatrice. Sylvain arrivait avec les cafés.
— Ah merci mon chéri.— Oui merci mon chéri, ai-je renchéri dans un grand sourire.
Charlotte et moi avions ri, pas Sylvain.
— Bon, Charlotte, je te propose de te montrer déjà des exercices d’assouplissement, d’étirements et comment faire un bon échauffement, ça te va ?— Tu es le chef !— Sylvain, tu peux rester et regarder si tu veux, tu pourrais apprendre deux ou trois trucs.
Le piquer de la sorte fit qu’il se vexa et alors qu’il eut été moins dangereux qu’il reste, il s’éclipsa. Pffffff, de toute façon là ou pas là, j’allais me taper sa femme.Je dis à Charlotte de s’asseoir, jambes serrées et tendues. Je me positionnais à genoux derrière elle, si bien que mon entrejambe était à la hauteur de sa tête. Je plaçais mes mains sur son dos, je la sentis frissonner.
— Ça va Charlotte ?— Euh oui oui, très bien. C’est juste que...— Oui, j’ai des grandes mains, ça surprend généralement.— Oui, grandes. Et puissantes dis donc.
Je la faisais se pencher doucement vers l’avant puis l’aidais à remonter, lentement aussi. Quelques allers et retours de la sorte et en remontant une énième fois, elle se colla la tête contre moi. Elle devait sentir que là aussi c’était grand et puissant.
— On peut rester comme ça un peu Isaiah, je crois que j’ai besoin d’une pause ?— Déjà ? Il était vraiment temps que je te prenne en main dis donc
J’avais dit ça en riant, elle avait joué les fausses vexées.
— Au fait, vu qu’on est en pause, tu sais que tu es censée mettre le shorty qui va avec sous cette jupette.— Ah bon ? Quelle idée ? C’est plus joli comme ça, non ?— Plus joli oui, sans aucun doute.
J’avais posé mes mains sur ses épaules, je la massais doucement, et surtout maintenant la plaquais contre moi, et contre mon paquet qui grossissait et durcissait quelque peu. Elle ne pouvait pas ne pas le sentir. On a repris les exercices, je ne manquais pas une occasion de mettre mes mains sur ses hanches, sous sa poitrine, sur ses épaules, sur ses cuisses, sur ses fesses. Elle ne disait rien. Elle avait aussi profité de quelques moments pour poser les siennes sur mon torse. Elle l’avait même palpé et m’avait complimenté. Je sentais qu’elle n’oserait rien avec son mari à côté.La séance a pris fin. Elle avait demandé à Sylvain de me payer. J’avais beaucoup aimé recevoir des billets de la main du futur cocu. Sur le pas de leur porte :
— Encore merci Isaiah. On se voit samedi prochain ? Même heure ?— Oui pas de problème. — Et peut-être avant à la piscine ou à la salle.— Oui, qui sait.
Je partais la laissant me mater m’éloigner. Je ne me retournais évidemment pas.Je repassais chez moi déjeuner. Carl était là et Catherine aussi. J’allais faire une petite sieste bien méritée, puis faisais de l’exercice dans ma salle ; je pensais à Charlotte que je voulais vraiment baiser. Ça ne tarderait pas. J’étais sur mon banc à soulever des haltères lorsque Catherine entra. Elle portait une minijupe et un top décolleté.
— Wouahhhh dis donc, tu ne rigoles pas, c’est du sérieux.— C’est rien là, je m’échauffe.— Ah oui ? Mmmmm c’est impressionnant.
Pour ma part je ne portais qu’un cycliste, chaussettes et chaussures de sport. Des gants de muscu également. Le corps déjà luisant. Catherine se tenait contre le mur à l’entrée de la pièce.
— Je peux t’aider Catherine ?— Je crois oui.— Dis-moi.— Ce soir je voudrais faire une surprise à Carl. — Ah ? Je ne suis pas là ce soir.
J’avais dit ça en souriant.
— Tu es bête. Tu pourrais venir, j’ai besoin de ton expérience.— Je suis en train de m’entraîner là. — S’il te plaît.— Bon, OK.
Je l’ai suivie dans la chambre de Carl. Il y avait trois ensembles de lingerie étalés sur le lit.
— J’hésite, je ne sais pas lequel plaira le plus à ton père ?
Je m’approchais du lit et commençais à regarder les trois ensembles, je prenais même en main certaines pièces.
— Mmmmm, tout est très joli, peu importe il sera ravi quoiqu’il arrive.— Oui je sais. Mais j’aimerais vraiment le rendre fou tu comprends.— Je crois que ça c’est déjà fait.— Toi tu préfères lequel ?— Il faudrait les essayer. Que je puisse juger.— Mais ton père est en bas Isaiah, dans le bureau.— Et ?— Et ? Il n’apprécierait sans doute pas que je fasse un défilé de lingerie à son fils.— Et ?— Oh et puis, tu as raison.
Elle ramassa les trois ensembles et alla dans la salle de bain. Je n’ai pas hésité et me suis allongé sur le lit de mon père ; j’en ai profité pour écrire à Manon :
— On dit 20h ce soir ma chérie ?— Oui. Parfait.
Je vis que Charlotte m’avait écrit :
— Isaiah... je pensais que peut-être on pourrait faire une deuxième séance avant samedi ?— Tu as demandé à Sylvain ?— ;-(non ! Ça resterait entre nous ?— Lundi si tu veux. L’après-midi.— Je pourrai bosser de la maison donc OK.— OK, je te redis l’heure demain.— Merci;-)
Catherine revenait dans la chambre, elle portait un body en dentelle rouge, très très décolleté et des bas rouges autofixants et des escarpins noirs. Putain, elle était bandante. Je la détaillais. J’avais posé ma main sur mon cycliste et me massais très très légèrement. Sans aucune gêne.
— Qu’en penses-tu ?— Mmmmmmm c’est pas mal du tout ça. Tourne un peu.
Le body était un body string ; Catherine avait vraiment un bon cul que, manifestement, elle entretenait.
— Mmmm oui, vraiment pas mal.— Reste comme ça s’il te plaît.
Je me suis levé et me suis mis juste derrière elle. Elle sentait mon souffle dans son cou. J’ai posé ma main droite devant elle sur son cou et l’ai légèrement serrée. Elle a frémi. De la main gauche je lui ai mis une petite fessée. De nouveau des frissons qui lui parcourent tout le corps.
— Tu comptes m’allumer longtemps comme ça Catherine ?— Tant que tu ne me sautes pas dessus.— Que dirait Carl de ça ?— Je pense qu’il ne dirait rien. Je me trompe ?— Sans doute pas.— Peut-être même qu’il aimerait.— Ça, on verra plus tard. On n’en a pas reparlé, comment as-tu trouvé ma queue l’autre jour ?— Parfaitement à mon goût.— Ça devait te changer ?— En effet.— Demain soir, vous passerez la soirée ici avec moi, compris ?— Oui.— Oui qui ?— Oui Isaiah. — Bien. En attendant, reprenons. Continue donc de m’allumer.
J’ai relâché mon emprise et suis retourné sur le lit. Catherine est allée dans la salle de bain se changer. Elle revenait rapidement, portant un porte-jarretelles string soutien-gorge assortis en dentelle noire et rouge magnifiques, des bas noirs avec des détails en dentelle rouge et les escarpins.
— Et comme ça ?— Tourne-toi.
Elle tournait sur elle-même. J’avais envie de son cul. Je bandais comme un âne. Je me suis levé et me suis placé devant elle, face à elle.
— Très bien. Garde la troisième pour demain soir.— D’accord Isaiah. — Bien maintenant tu vas aller te faire lécher par Carl. Tu dois être bien mouillée il va se régaler. Et je veux t’entendre quand je passerai devant le bureau. Compris ?— Oui Isaiah.
Je lui ai mis une fessée. Et suis sorti.Je prenais une douche pour me calmer et décidais de partir plus tôt. Je voulais acheter des fleurs et du vin pour les parents de Manon. Je décidais d’aller faire du shopping.
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