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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 26

Chapitre vingt-six – dimanche, le jour du seigneur

Trash
Le dimanche matin, nous nous levons, on prend tous les deux une douche mais restons très sages. La tradition chez elle est que le petit-déjeuner se prend en famille. Ça me va et j’ai une faim de loup. Je descends, habillé, je porte une de mes nouvelles chemises, achetée la veille. Manon, elle porte une minijupe en jean et un petit top très mignon noir. Avant de descendre rejoindre ses parents, je l’embrasse fougueusement dans la chambre.Ses parents sont à table, en train de prendre leur petit-déjeuner ; on se salue, ils nous invitent à nous joindre à eux et Anne me dit de faire comme chez moi. Julien est déjà là, en tenue de sport. Il va aller faire du sport plus tard. Manon lui dit qu’il pourrait profiter de mes conseils. Il est ravi. Ça ne me dérange pas donc je lui dis qu’il n’hésite pas. Manon lui précise que je suis vraiment un sportif accompli. Il avoue que ça se voit.
— Qu’est-ce qui se voit ?
Isabelle vient de nous rejoindre.
— Qu’Isaiah est un sportif accompli.
Isabelle s’assied. Elle porte un petit short de surfeuse, court, et un débardeur. Putain qu’elle est bandante.
— Ah, ah oui c’est sûr ça se voit.
Elle me regarde puis regarde Manon en souriant.
— Ça s’entend aussi.
Manon la fusille du regard. Anne intervient :
— Pourquoi tu dis ça ?— Hein ? Non rien maman. — Je ne comprends rien quand vous parlez entre vous.— Sans doute est-ce fait pour mon amour, a répondu tendrement Frank.
Ils rient tous les deux, complices. Moi je souris. Je mime des lèvres un « désolé » à l’attention d’Isabelle, qui me répond de la même manière « il ne faut pas ».On part ensuite Manon et moi se promener, puis on déjeune ensemble. Je la ramène chez elle et suis prêt pour aller chez Anne-Sophie. Avant de me mettre en route, je lui écris :
— Suis chez toi dans 15-20 minutes.— Parfait mon Roi, je finis de me préparer. — Au fait, étant délégué de classe, il me faut les numéros et adresses des parents délégués.— Oui pas de souci, je te donne ça tout à l’heure.— Non, on aura mieux à faire. Envoie-les-moi maintenant, ce sera fait.— Bien mon Roi.
Je me mets en route. Garé devant chez elle, j’écris à Catherine :
— Dînez sans moi ce soir, je vous rejoins plus tard. Fais-toi belle.— Oh dommage... on se voit ce soir alors.
Je sonne à la porte. C’est Anne-Sophie qui m’ouvre. Elle porte des bottes à talons aiguilles, un petit tailleur noir, minijupe, des bas je suppose (j’espère que ce ne sont pas des collants ; si c’est le cas, je les déchirerai), et j’ai l’impression qu’elle a juste un soutien-gorge sous la veste cintrée du tailleur, ce qui lui fait un très beau décolleté. Je la reluque, de la tête aux pieds. Elle dit doucement :
— Ça vous convient ?— Mmmmmm, oui. Et ton mari ne dit rien ?— Je lui ai dit qu’il fallait que je sois pareil qu’au lycée. Il a compris. — Ah, donc en plus d’être cocu il est du genre soumis, parfait.— Mais il n’est pas cocu...
Elle dit cela avec un sourire aux lèvres.
— Pas encore en effet. Tu m’as envoyé ce que je t’ai demandé ?— Oui, bien sûr Isaiah. Entre.
Je suis Anne-Sophie, on s’assied au salon, dans le canapé, mais pas collé l’un à l’autre. Un homme entre, il semble plus petit qu’Anne-Sophie, en tout cas quand elle porte des talons.
— Ah mon chéri, je te présente Isaiah, mon élève dont je t’ai parlé.— Isaiah voici Michel.— Bonjour Isaiah, mon épouse m’a dit le plus grand bien de vous.— Cela m’arrive souvent !— Il est rare de voir un élève excellent solliciter des cours particuliers.— Oui, mais j’apprécie l’excellence et je veux exceller en tout.— Quelle ambition.
Je le regarde de haut en bas, j’ai l’impression qu’assis je suis plus grand que lui debout. Il est mince, ne doit pas avoir fait de sports depuis la terminale. Je souris.
— Oui je sais. Ce n’est pas le cas de beaucoup, mais je veux être le meilleur. En tout. Enfin, je vous dis ça, vous ne devez pas vraiment comprendre.
Il baisse les yeux, je souris de plus belle. Je sens Anne-Sophie se cambrer à mes côtés.
— Je prendrais volontiers un café. Je suis sûr que vous faites de l’excellent café Michel.— Oh oui mon chéri, tu nous prépares ça ?
J’ai une impression de déjà-vu, ah oui, la veille chez Charlotte, mais là je sais que cela va aller beaucoup plus vite. Je ne vais prendre aucune pincette. Michel va dans la cuisine.
— Tu m’as menti sur tes aventures, c’est impossible que tu ne l’aies jamais trompé !— Oui, pardon. J’ai eu une aventure il y a deux ans, avec son ancien patron. Quand Michel l’a su il m’a avoué que cela l’excitait. Depuis notre vie a changé, il est vraiment dévoué disons. Mais quand son patron l’a viré, il a aussi coupé les ponts avec moi. Ça m’a calmée aussi, alors depuis, Michel est aux petits soins pour moi. Mais rien d’autre. — Tu lui as dit quoi sur moi ?— Que tu étais un élève brillant, et qu’en plus tu étais très beau. Que je n’avais pas pu dire non aux cours particuliers. Je lui ai dit que tu étais black. Hier soir je l’ai surpris sur un site où des blanches se tapent des blacks. Il m’a dit que c’était par pure curiosité. Je n’ai pas insisté.
Je la regarde.
— Tu aurais dû me le dire ça !— Je sais, pardon Isaiah. J’ai eu un peu peur.— Peur ? De quoi ?— Je ne sais pas.— Je peux partir là, pas de soucis.— Oh non, reste, s’il te plaît.— Alors viens, approche-toi.
Elle me regarde et hésite. Je vais pour me lever, elle se glisse vite contre moi et me retient.
— Reste.— Tu es sûre ?— Oui, je le veux.— Alors embrasse-moi.
Je passe un bras autour d’elle, elle m’embrasse, je lui roule une grosse pelle en la serrant contre moi. Elle glisse une jambe à moitié sur moi.
— Je devrais te laisser là pour m’avoir menti.— Je sais Isaiah, je te demande pardon.
On entend Michel qui revient, du coup je la serre contre moi et lui roule de grosses pelles. Une main dans ses cheveux et l’autre posée sur sa cuisse qui est remontée sur moi.
— Mais ?
Je le coupe direct.
— Chut ! Assieds-toi dans le fauteuil là.
Il me regarde, je ne le lâche pas des yeux, il baisse la tête, pose le plateau avec nos deux tasses. Et va s’asseoir dans le fauteuil juste en face de moi. Je suis assis tel un pacha, Anne-Sophie à moitié sur moi me caressant le torse et me faisant des bisous dans le cou et un peu partout. J’ai toujours la main posée sur sa cuisse, et je la caresse négligemment. Je ne quitte pas Michel des yeux.
— Alors, il paraît qu’on aime aller sur les sites où des blanches se font baiser par des blacks ?
Il sursaute, rougit.
— Ne t’inquiète pas, c’est normal. Mais tu vas voir, ces sites vont te paraître bien fades maintenant.
Il ne répond pas, il est pétrifié. Je roule un gros patin à Anne-Sophie. Puis je dis à Michel :
— Réponds honnêtement, tu penses que mon sexe est plus gros ou moins gros que ceux que tu as vus hier soir ?— Je... je ne sais pas. — Anne-Sophie ?— Moi je sais...— Eh eh, et ?— Bien plus grosse...— Mais ce n’est pas...— Chut ! Tu ne parles que quand on te donne la parole petit branleur. Compris ?— Oui.— Oui qui ?— Oui Monsieur.— C’est mieux. Bon allez, montre-lui.
Anne-Sophie se met à genoux sur le canapé à mes côtés, déboutonne ma ceinture et mon pantalon et fait glisser le tour avec mon boxer sur mes chevilles. Ma queue jaillit. Michel est littéralement bouche bée. Anne-Sophie la branle lentement. Je souris :
— Alors ?— C’est... c’est plus gros.— Parfait, alors le spectacle va te plaire, non ?— Euhhh... oui oui.— Oui qui ?— Oui Monsieur.— Ça va finir par rentrer ! Allez, suce-moi ma petite salope.
Elle se jette dessus et me pompe, massant mes couilles de sa main. Je retire ma chemise et m’étire de tout mon long, la queue dans la bouche de la proviseure.
— Tiens, rends-toi utile machin, apporte-moi mon café.
Il hésite une seconde, puis se lève, prend la tasse et me l’apporte. Je la prends sans un mot. Il reste planté quelques longues secondes.
— Tiens, tant que tu es là, enlève-moi mon fute et mes pompes.
Il s’agenouille à nos pieds et me retire mes pompes, mon pantalon et le boxer. Il se relève avec le tout à la main. Il me regarde.
— Eh bien, ne reste pas là planté, tu les plies correctement, tu les poses sur le fauteuil là.
Je dis ça en maintenant la tête de sa femme sur ma queue de ma main libre. Il obéit et plie correctement mes affaires sur le fauteuil. Je lui lance ma chemise qu’il rattrape au vol et range avec le reste. Je bois mon café pendant qu’Anne-Sophie me suce la bite, bavant comme une chienne dessus. Sans rien dire je tends ma tasse vers Michel, qui comprend, s’approche de moi et la prend. Il me la tient. Je pose mes deux mains sur la tête d’Anne-Sophie et lui baise la bouche. Je relâche la pression.
— Lèche mon corps ma belle.
Elle lèche mes couilles, un peu mes cuisses puis ma bite, puis remonte sur mes abdos puis mes pecs. Elle remonte encore pour que sa langue vienne jouer avec la mienne.Je m’adresse à Michel:
— Mmmm j’adore ça qu’une belle femme lèche mon corps.
Puis à Anne-Sophie:
— Tu es l’épouse de qui Anne-Sophie ?— De Michel.— Et tu es la femelle de qui ?— Ta femelle mon amour.
En disant cela, elle se jette sur moi et m’embrasse. On reste collés l’un à l’autre de longues secondes. Je me lève avec elle dans mes bras.
— Déshabille-toi.
Elle le fait. Je constate que Michel est vraiment ridicule à côté de moi. D’ailleurs il se sent ridicule.
— Comment tu me trouves ?— Pardon ?— Comment tu me trouves lopette ?— Euh... très, très beau Monsieur.
Je plaque Anne-Sophie qui est en bas string soutien-gorge et talons contre moi.
— On fait un beau couple tu ne trouves pas ?— Oh si si Monsieur.— Je suis sûr que les voisins trouveraient aussi.— Oh non, non il faut pas qu’ils sachent.
Je souris et embrasse Anne-Sophie.
— Tu as envie que je te baise ma belle ?— Oh ouiiii, j’en meurs d’envie je ne pense qu’à ça.— Eh eh, tu m’étonnes ! Tu sais Michel que depuis quelques jours, elle ne mouille plus que pour ma queue. Elle n’a eu le droit que de la sucer une fois. Alors tu comprends son impatience.— Oui Monsieur ; je comprends.— C’est bien. Et toi ? Tu as envie que je la baise ?— Euh... oui, oui Monsieur.— Supplie-moi.— Pardon ?— Supplie-moi de baiser ta femme.— Je... je vous en supplie Monsieur, baisez mon épouse.
Les mains d’Anne-Sophie ne cessent de me caresser. J’ai une main sur ses fesses. Il n’arrive pas à détacher ses yeux de ma queue.
— Mais dis donc, on dirait qu’elle te plaît ma grosse bite de black...
Il ne répond pas. Ma main qui est sur les fesses de sa femme remonte dans son dos et lui dégrafe le soutien-gorge qui tombe à ses pieds.
— Ramasse-le.
Michel se penche et le ramasse. Alors qu’il se relève, je pose ma main sur son crâne et le maintiens à genoux à nos pieds. Anne-Sophie sourit, on s’embrasse, j’ai le gland à quelques centimètres à peine du visage de son mari.
— Pas touche, compris.— À vos ordres Monsieur.— Enlève-lui son string, elle n’en a plus besoin.
Il le fait.
— Il est comment ?— Trempé Monsieur.— Tu penses qu’elle mouille pour qui ? — Vous Monsieur bien sûr.
Ma main libre redescend et se glisse entre les cuisses d’Anne-Sophie, je lui glisse un doigt sur la chatte.
— Elle a la chatte en feu.— Oh oui, j’imagine Monsieur.— Il faut que j’éteigne l’incendie alors.— Oui, s’il vous plaît, je vous en supplie.
Je mets une fessée à Anne-Sophie et l’entraîne sur le canapé avec moi. Je m’assieds et la fais venir sur moi, face à moi.
— Allez ma belle, viens me chevaucher, tu l’as bien mérité.
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