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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 28

Chapitre vingt-huit – l'homme de la maison

Trash
Catherine se tenait droite entre Carl et moi. J’avais ma main posée sur mon jean et je ne me cachais pas vraiment : je me caressais doucement. Je dis d’un ton sec :— Tu me sers un whisky Carl.Il se lève sous l’œil amusé de sa copine. Il nous tourne le dos, je roule une pelle à Catherine. Je prends sa main et la pose sur mon paquet.Carl se retourne avec mon whisky à la main.— Mais... qu’est-ce que vous faites ?J’ai ma main sur le cou de Catherine, ma langue joue avec la sienne.— A ton avis, qu’est-ce qu’on fait ?— Mais non...— Mais si, je t’ai prévenu, il faut faire tout pour la garder. Et comme tu n’es pas capable de la faire jouir, je suis obligé de prendre les choses en main.— Mais Catherine ?— Il a raison mon chéri. — Vraiment ?— Mais oui, et ne t’inquiète pas, on l’a dit l’autre jour, sur la terrasse, tu te souviens : chacun sa place. — Oui ?— Oui ! Et tu sais où est la tienne non ?— Oui... oui mon amour. J’ai sorti ma queue. Catherine l’a en main.— Regarde comme elle est grosse, comment veux-tu que je résiste.— Oui, oui je sais.— Depuis que j’y ai goûté l’autre soir, je ne pense plus qu’à ça.— Quoi ?Tout en me branlant lentement, elle lui raconte comment elle m’a sucé sur la terrasse pendant qu’il lui léchait les pieds. Elle sourit. Carl ne dit rien.— Bon, tu sais ce qu’il te reste à faire...Elle dit ça en agitant l’escarpin lâche à son pied. Carl s’approche me tend mon verre et s’agenouille aux pieds de Catherine. Elle lui fait lécher les semelles de ses escarpins.— Bon, allez, suce-moi Catherine. J’ai pas toute la nuit.
— Ah bon ? Dit-elle toute déçue.— Mais si, t’en fais pas. Elle me sourit et m’embrasse puis me prend en bouche et me pompe superbement. C’est vraiment une suceuse hors pair.— C’est de famille ce don de suceuse.Je lui baise la bouche à fond. Puis elle me branle entre ses loches. Elle vient ensuite s’asseoir sur ma queue, face à moi, je peux bien profiter de sa poitrine magnifique, la lèche, joue de ma langue sur ses tétons durcis. Je la prends ensuite en levrette sur le canapé. Je lui mets des bonnes fessées. Elle jouit deux fois, avant de me supplier de venir jouir dans sa bouche ; je me branle de nouveau entre ses seins puis elle me pompe et me fait gicler dans sa bouche. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Elle s’effondre sur le canapé. Je m’assieds la queue luisante, à ses côtés, mon verre à la main.— Au fait ça se passe comment avec le copain de Juliette.— C’est un nul. — Oui ça je me doute. Ils sont chez toi là ?— Oui. — Je me suis jamais fait la mère et la fille en même temps. J’aimerais que vous soyez les premières.— Mmmmm coquin. Mais concentre-toi sur la mère d’abord bébé. J’ai cru comprendre qu’avec toi, j’ai du retard sur ma fille...— En effet.— Alors rattrapons ça.Elle me reprend en bouche et me refait durcir. Je l’emmène dans la chambre. Sur le lit je la lèche, sa chatte est délicieuse, toute trempée, je la fais jouir de ma langue. Je l’aspire littéralement. Je la baise toute la nuit, dans la chambre de mon père, je la fais jouir six ou sept fois. Pour ma part je jouis trois fois dans la nuit, une fois sur son cul, une autre sur ses seins.En missionnaire au petit matin, elle me demande de rester en elle et de la remplir. Je me colle contre elle et la pistonne et finis par jouir en elle alors qu’elle est secouée par un ultime orgasme. Je me déverse en elle et reste longtemps dans sa chatte.
Je prends une douche de mon côté. Quand je descends, je reste nu. Catherine est en nuisette dans la cuisine, avec Carl qui a préparé le petit-déjeuner. Je roule un patin énorme à Catherine.— Carl, faut te racheter un lit on a cassé le tien cette nuit.— Sérieusement ?— Oui sérieusement. J’ai pistonné tellement fort, qu’il y a un pied qui a cédé. — Ah.— Tu en profiteras pour en prendre un plus grand.— Et plus solide aussi, a ajouté Catherine en souriant. Je me tiens debout à côté d’elle, j’ai une superbe vue sur ses grosses mamelles. D’une main j’empoigne ses gros seins, les pétris. Je bois mon café de l’autre main.— Ta fille t’a pas dit ? J’adore être sucé le matin.En disant cela, je m’assieds sur une chaise jambes écartées. Elle me sourit et vient s’agenouiller devant moi et commence à me sucer. J’en profite pour envoyer quelques messages, pendant cette pipe matinale.
D’abord à Manon, pour lui dire bonjour. Puis à Michel, le cocu d’Anne-Sophie :— Viens me chercher à 13h15 au lycée larbin. Et bloque ton aprèm pour ton Roi.
Puis je décide d’écrire à la maman de Greg. — Bonjour Madame, je me présente Isaiah, je suis le délégué de classe de Greg. C’est le proviseur Madame Loiret qui s’est permis de me communiquer vos coordonnées. En effet, je sais que ce n’est pas courant mais je pense qu’il est important d’échanger, de créer un dialogue entre les délégués et les parents délégués. Serait-il possible que l’on se rencontre ? Peut-être chez vous ? Après les cours ? Dans ce cas, ne dites rien à Greg, j’en profiterai pour lui faire une surprise. Cordialement Isaiah.
Réponse de Manon :— Coucou mon amour, on se voit vite. Au fait, les filles pensent que tu les snobes, vu que tu ne réponds pas sur le groupe Whatsapp.
Réponse de Michel :— A vos ordres Maître. Aurez-vous besoin de quoi que ce soit ?— Je te redis. Sois à l’heure. J’ai horreur d’attendre.— Bien Maître, bien sûr oui.
Je reçois un SMS de Solène :— Tu penses venir cette semaine à la piscine ?— À la piscine je ne sais pas, mais chez toi pourquoi pas ?— Mmmmm dis-moi. Quand tu veux.
Je réponds à Manon : — Il m’est un peu difficile de jouer le jeu sans être tenté...
J’écris à Kate :— Demain, 18h, à la sortie de ton taff OK ?— Parfait oui. Bisous.
Puis à Elodie :— Demain dans la soirée on se voit pour ton truc. Fais en sorte qu’Alexia soit là.— OK bébé. Je ne te suffis pas ?— J’ai juste envie de ses gros seins.— OK, je vais voir ce que je peux faire.
Réponse de Manon :— Personne ne te demande de résister à la tentation mon amour;-)— mmmmmm... On en rediscute tout à l’heure.
Alors que je jouis dans la bouche de Catherine, j’écris à Claire :— J’espère ne pas être déçu par la tenue vestimentaire de ma prof préférée...— Je vais essayer de ne pas décevoir mon élève préféré, même si je ne peux pas faire n’importe quoi quand même. J’espère que tu ne m’en voudras pas.— Ne t’inquiète pas. Je sais que tu sauras très bien te faire pardonner. On fixe le jeudi aprèm pour mes cours de soutien ? — Oui si ça te va ?— Oui c’est bien.— Merci Isaiah. A tout à l’heure.
Alors que Catherine a tout bien avalé et me nettoie la queue, je me lève et monte me nettoyer vraiment et m’habiller. Au lycée, je suis accueilli par une Manon, divine. Et toute joyeuse. Elle me fait craquer. Elle porte une jupe courte moulante motif léopard, et un top noir un peu décolleté. Des bottines à talons. Je la serre dans mes bras et l’embrasse.On rentre en cours, en passant devant Greg, je prends le cahier de texte de la classe. Je lui souris :— Ca va devenir une habitude.— Pfff de quoi ?— Et bien que je prenne des trucs à toi.Manon que je tiens tout contre moi sourit et dit :— Avec juste une petite différence : je n’étais pas vraiment à lui, alors que maintenant je suis à toi mon amour.— Ah oui c’est vrai, pardon. C’est même une très grosse différence. On s’éloigne en riant et on va s’asseoir. Une fois assis, je lui souris :— J’adore quand tu es perverse comme ça. Je ne pensais pas que ça viendrait aussi vite.— Avec toi bébé, je viens très très vite.— Ah ah.
Pendant le cours, je reçois une réponse de la maman de Greg, Stéphanie:— Bonjour Isaiah, effectivement ce n’est pas commun, mais cela me semble être une excellente idée. Tu peux venir à la maison à la fin de tes cours en effet, j’y serai. Greg a un cours de piano, il n’arrivera que plus tard, pour la surprise. Je joins l’adresse.Je souris. C’est parfait. J’écris à Anne-Sophie pour lui demander de m’envoyer des photos de Stéphanie, qui est sa copine. Et de tout me dire sur elle. Stéphanie est une belle femme, petite, 1m65, blonde, et Anne-Sophie me dit qu’elle doit avoir des seins à peu près comme ceux de Claire. C’est une femme au foyer, mariée à un cadre dirigeant qui bosse beaucoup. Elle joue au golf avec ses copines et est mère de deux enfants, Greg donc et la sœur de Greg qui a un an de plus que lui. Sa sœur, Jessica vit dans un appart en coloc avec une copine à elle maintenant. Je dis à Anne-Sophie qu’elle se débrouille pour m’obtenir l’adresse de la coloc. Elle me répond tout de suite :— Pas de souci, la voici. Michel l’a aidée à déménager cet été;-)
Je montre l’échange à Manon et lui dis que je veux le faire payer de l’avoir si mal traitée. Elle me sourit. — Merci mon Prince charmant.— Bon, je le fais aussi pour moi ah ah. — J’imagine coquin. Enfin, si je peux aider, dis-moi OK ?— OK ma belle.
Plus tard dans la matinée, je lui passe un mot :— Alors comme ça, je néglige tes copines ?Elle rit en voyant le mot. — Hihi, elles sont vexées...— Et toi ?— Moi ?— Qu’en dis-tu ? C’est toi qui comptes.— Tu le penses vraiment ?— Tu en doutes encore ?— Non, mais je pensais qu’elles te plaisaient et que...— Elles me plaisent. Beaucoup. Mais elles ne sont pas comme d’autres filles, ce sont tes copines. Donc c’est toi qui comptes, je le répète. — Je vais voir avec les filles OK ?— OK ma belle.
Au cours suivant on est en demi-groupe, je ne suis avec aucune des trois. Elles écrivent sur le groupe Whatsapp. C’est Manon qui lance les hostilités :— Pour se faire pardonner de vous avoir négligées, Isaiah propose un barbecue chez lui ce soir, ça vous dit les filles ?Putain, la garce. Bon en même temps, ce soir ça me va bien. Il y a peu de chance que j’arrive à passer la nuit avec la mère de Greg. Enfin peu de chance pour ce soir ah ah. Élise répond direct :— Oui super idée. Vous n’avez qu’à dire que vous passez la nuit chez moi les filles. — OK pour moi aussi. On apporte quoi ?— Rien, à part vos maillots de bain, la piscine est chauffée. Et Manon ajoute :— Et le jacuzzi.
J’écris à Carl dans la foulée :— Ce soir, tu passes la nuit chez Catherine, j’ai besoin de la maison, et va faire des courses : de la viande pour barbecue, et de l’alcool et de la salade. Et mets du champagne au frais.— D’accord Isaiah. — Tu as acheté un nouveau lit ?— Pas encore.— T’attends quoi ? Dépêche.— Oui OK.
Je déjeune vite fait et sors du lycée. Il est 13h20, Michel est garé devant le lycée, je monte à l’arrière de sa voiture.
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