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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 29

Chapitre vingt-neuf – le harem prend forme

Trash
— Allez roule chauffeur.— Bonjour mon Roi. Nous allons où ? — Chez ma nouvelle blanche à black.
Je lui donne l’adresse. Il me demande comment s’est passée ma matinée. Il me propose une petite bouteille d’eau. C’est déjà un excellent larbin. - On arrive devant chez Charlotte.
— Tu m’attends sagement là. Garde ton téléphone allumé on ne sait jamais. — Bien Monsieur.
Je sors de la voiture et sonne chez Charlotte. Elle m’ouvre, dans la même tenue que samedi.
— Bonjour professeur.— Salut. Je vois que tu as encore « oublié » le shorty.— Oups...
Elle me fait entrer. Je lui colle une énorme main au cul. Elle se retourne et se jette sur moi. On s’embrasse, mes mains posées sur ses fesses, elle collée contre moi.
— Mmmmm depuis le temps que j’en ai envie Isaiah.— Oui ? Tu as dit quoi à ton mec ?— Que je bossais de la maison.
Je glisse ma main sous sa jupette et commence à la caresser à travers un petit string. Humide.
— J’adore t’imaginer ce matin, m’attendre, impatiemment, penser à moi quand ton mec te parlait.— Je n’arrête pas de penser à toi Isaiah.
— Je sais ma belle. — Je la tiens par le cou et lui roule de gros patins. — Vous avez baisé ce week-end ?— Non, j’ai refusé.— Vrai ?— Oui.— Tu voulais te préserver pour ton étalon noir.— Oui Isaiah, je veux être ta blanche à black. — Tu sais que ça se mérite ça.— Tout ce que tu veux.— Suce-moi.
Elle s’accroupit devant moi, là, dans l’entrée. Et sort ma queue.
— Oh mon Dieu !— Tu l’avais pas sentie samedi ?— Si... mais je pensais pas...— Que c’était si gros.— Non, c’est incroyable.— Ça va te changer.— Tu m’étonnes, elle doit faire le double de celle de Sylvain. En long et en large.— Eh eh. Tu vas t’en sortir ?— Mmmmm je vais faire de mon mieux.
Elle commence à lécher ma queue tout du long, puis les couilles, puis sa langue s’enroule sur le gland. Elle gémit lorsqu’elle l’enfourne dans sa bouche. Elle se caresse la chatte alors qu’elle me pompe. Je joue avec ses seins à travers son petit top. Elle me regarde tout en lustrant ma pine. Je la relève et la déshabille entièrement. Je pose mes mains sur ses hanches et la soulève pour porter sa chatte à hauteur de mon visage, ses jambes sur mes épaules. Elle pousse un cri de surprise, et je commence à la lécher, elle est trempée.
— Oh putain, le pied, comment tu as fait ça ? Faudrait que Sylvain voie ça.— Tu crois qu’il y arriverait ?— Non sans doute pas.
Je la lèche comme un fou, sa petite chatte tout épilée, ses belles lèvres bien dessinées, son clito tout dur. Je le fais gonfler entre mes lèvres, je la fouille de ma langue, je me couvre le visage de sa mouille. Je la sens qui se raidit sur moi, qui se cambre à fond, elle a les mains dans ses cheveux, elle gémit de plaisir, se tortille sur moi.
— Mais non, mais non, ahhhhh putain, mais c’est pas possible, ahhhhhhhhhhhh
Elle jouit sur ma bouche. Et je me délecte de sa jouissance.
— Ahhhh putain, Isaiah, j’le crois pas.
Petit à petit son corps se détend, se relâche, je la fais redescendre en la gardant tout contre moi et l’embrasse.
— Je n’ai jamais eu ça.— Ça ?— Un orgasme comme ça.— Ah bon ? Je peux repartir alors...— Nooooonnnnn, je veux ta queue.— Je sais ma belle. Tu me montres la chambre ?— Suis-moi mon chéri.
Elle m’embrasse et me prend par la main, elle est encore toute tremblante. Je la prends et la porte. Comme un mari porterait sa femme le soir de la nuit de noces. Elle sourit et me guide jusqu’à la chambre. Grande pièce, avec un grand lit, la chambre comme le reste est décoré avec goût. Il y a une grande armoire sur le côté avec des portes-miroirs. Je la pose assise sur le lit, je me fous à poil et monte debout sur le lit, derrière elle. Je lui fais pencher la tête en arrière et glisse ma pine dans sa bouche. Je descends et remonte doucement dans sa bouche qui émet des gros bruits de succion. Je sors de sa bouche et lui pose mes couilles dessus, elle les lèche puis les gobe.
— Mets-toi à quatre pattes, ton mâle va te saillir.— Oui mon chéri.
Elle se met à quatre pattes sur le lit, face au miroir, je me place derrière elle. Je pose ma queue entre ses fesses et fais quelques mouvements de va-et-vient sur son cul. Je lui mets des petites fessées, qui la font gémir, presque miauler. Je prends ma queue en main et la fais claquer sur sa chatte avant d’enfoncer tout doucement mon gland en elle. Elle est serrée comme jamais. Je reste avec juste le gland enfoncé, je la sens se raidir, et se cambrer.
— Putain, c’est énorme Isaiah.
Elle me regarde dans le miroir. Je me retire.
— Reviens, reste en moiiiii.
Je remets mon gland et m’enfonce un peu plus loin, et recommence à quelques reprises en allant à chaque fois un peu plus loin. Elle gémit de plus en plus fort.
— Putain que t’es serrée ma belle.— Ouiii, désolée.— Il va plus toucher les bords ton mec.— Ah ah, on s’en fout, défonce-moi Isaiah.
Je claque mes mains sur ses fesses et commence à aller et venir en elle, de plus en plus vite, fort et loin. Elle crie de plaisir, j’accélère encore, puis ralentis d’un coup et me plaque sur elle et l’écrase sur le lit, je m’enfonce un peu plus loin, commence à danser sur elle, ma queue est une foreuse et Charlotte cède. Je vais là où personne n’est jamais allé. Elle hurle de bonheur, son visage que je vois dans le miroir face à nous est transporté par un orgasme fulgurant et qui n’en finit plus. Je reste en elle, et continue à m’enfoncer alors qu’elle se remet à peine. J’accélère de nouveau les mouvements de mon bassin. Je la pistonne à fond et elle jouit une seconde fois. Son corps tremble, je me couche sur elle, ma queue toujours dans sa chatte ruisselante. Je la caresse, l’embrasse, je suis entièrement sur elle. Elle parle difficilement :
— Merci... merci Isaiah.— Tu aimes ?— J’adore. Et tu n’as même pas joui...— Il était tant qu’un vrai mâle vienne prendre la place de ton petit mari.— Ouiiiiiii.
Toujours en elle, je bascule en arrière et la fais basculer avec moi, elle se retrouve sur ma queue, me tournant le dos, plaquée sur moi ; elle se redresse et commence à me chevaucher. Elle tourne sur ma queue, avant de se pencher en avant. Je pose mes mains sur ses fesses et la fais monter et descendre sur mon pieu.Puis je la replaque contre moi, son dos contre mon torse, je prends ses jambes et les tiens en l’air et je commence à la limer à fond. Elle jouit très vite. Cette fois je n’attends pas, je l’allonge sur le dos et viens entre ses cuisses, je la prends en missionnaire. Elle a ses mains sur mes fesses, je la baise comme un fou, elle en redemande. Je la baise tellement fort que le lit menace de se casser (encore un). Elle jouit encore un orgasme encore plus puissant que les précédents et elle me garde tout au fond d’elle de longues minutes. On s’embrasse. Je finis par me retirer puis viens me mettre au-dessus de son visage. Elle prend mes couilles en bouche, ma bite repose sur son visage. Puis je lui baise la bouche et finis par jouir dans sa bouche, sur son visage, sur ses seins ; j’en mets partout. Elle avale ce qu’elle peut. Je laisse retomber mon sexe sur son visage, elle m’embrasse, le caresse.
— Merci mon chéri. — C’était un très bon premier vrai cours qu’en penses-tu ?— Il faut que je prenne un abonnement, voilà ce que j’en pense. — Tu es sûre de toi ?— Oh oui.— Je prends une photo de ma queue juste à côté de son visage, elle sourit, il y a du foutre sur son joli visage.
On prend une douche tous les deux en se câlinant tendrement. Elle veut que je reste. J’ai à faire. Je la quitte en l’embrassant. Dehors, Michel m’attend sagement. Je monte en voiture.
— En route chauffeur.— Oui, Monsieur. Où allons-nous ?— Chez votre amie Stéphanie.— Bien Monsieur. Nous y serons dans un quart d’heure.— Alors vite, je suis pressé.— A vos ordres.
Je vais être plus tôt que prévu chez Stéphanie, tant mieux, elle sera surprise. Je reçois un SMS de Charlotte :
— Merci mon chéri, j’en reviens toujours pas. Je n’avais jamais vécu ça.
Je vois que j’ai un message sur le groupe whatsapp des filles :
— On va se faire un peu de shopping avant de venir chez toi. 20H OK pour toi bébé ?— Oui, parfait. Faites-vous belles ah ah.— Toujours !
Claire m’a aussi écrit :
— Il faut vraiment que j’attende jusqu’à jeudi ?— À voir. Demain midi ?— Ouiiiiiii— Dans le bureau d’Anne-Sophie alors.— Merci mon chéri.
Je sonne. Stéphanie m’ouvre. Elle est effectivement une jolie femme, pas très grande et pulpeuse. Elle porte une jupe moulante aux genoux, des collants ou des bas, des escarpins, un top légèrement décolleté. Je la déshabille du regard. Elle est surprise.
— Stéphanie ?
Je dis cela en lui tendant la main.
— Euh, oui, oui, et vous êt...— Isaiah.
Moment de surprise.
— Ah, oui, Isaiah, bien sûr, mais tu n’es pas en cours ?— Non.
Je souris. Elle me regarde, semble décontenancée.
— Je peux entrer ? — Oui oui bien sûr, excuse-moi, c’est juste que je ne m’attendais pas à...— Oui je suis venu plus tôt que prévu.— Oui oui, pas de soucis, non je ne m’attendais pas à voir un...— Un ?— Un homme quoi. D’habitude Greg ramène des lycéens.
Elle dit ça en souriant.
— Ah ah oui, j’imagine.
J’entre avant qu’elle puisse réellement se décaler, du coup je la frôle. Elle passe devant moi, je mate son bon cul, bien rebondi, un peu gros, parfait, on s’installe au salon.
— Tu veux boire quelque chose Isaiah,— Un café volontiers.— Tu le prends comment.— Noir, fort. Et long.
Elle ramène du café et me le passe, elle s’assied sur le canapé à côté de moi.
— Je t’avoue que c’est vraiment inhabituel. — Je suis inhabituel. — Ah ah, d’accord. Tu es copain avec Greg ?— Mmmmmmmm je ne crois pas qu’il m’apprécie réellement. Mais qui sait, peut-être le fait que nous travaillions vous et moi ensemble permettra d’aplanir la situation.— Tu sembles très... mature Isaiah, j’avoue.
Mon téléphone sonne, c’est un message de Manon qui me dit juste qu’elle m’aime.
— Oh je suis désolé, c’est juste un message de Manon, ma copine.— Manon ?— Oui. — La Manon de Greg ?— Mmmmm disons qu’à présent elle est ma Manon. Et soit dit en passant, elle n’a jamais été à Greg. — C’est troublant, je... je ne suis pas sûr que Greg serait ravi que nous parlions de cela.— Je me doute oui. Pas plus qu’il n’est ravi que j’ai été élu délégué à sa place.— Comment ça ?— Il ne vous a pas dit ? Il s’est présenté, mais n’a eu que sa voix. — Ce n’est pas bien grave.— C’est ce que j’essaie de lui dire.— Bon alors, de quoi voulais-tu parler Isaiah ?— De la manière dont je veux que ma classe passe l’année.— Ta classe ?— Je suis le chef de classe, j’assume ce rôle. Les gens m’écoutent, me respectent, je veux en tirer profit. — C’est très sérieux non ?— Je suis très sérieux Stéphanie.— Peut-être devrais-tu plutôt m’appeler Mada...— Vous voyez Stéphanie, je ne crois pas qu’il y ait d’âge pour assumer ce que l’on est.— Ah ?— Oui. Par exemple je suis jeune, mais je sais qui je suis, un leader. Êtes-vous familière avec le concept du mâle alpha ?— Mmmm ? Euh, oui, oui bien sûr.— Ah, j’avais des doutes, vu les hommes de la maison. Bref donc j’en suis un, et je le sais, et les gens le ressentent.— D’accord, oui.— Et vous, vous êtes une femme sûre de vous, encore jeune dans votre tête et votre corps, vous vous assumez pleinement. Et je pense qu’en travaillant main dans la main, nous pouvons vous et moi aider les élèves de ma classe à en faire de même, à s’assumer.— Je ne vois rien de mal à cela. C’est une noble volonté.— Eh bien j’en suis ravi, Stéphanie. Vraiment.
Elle me regarde, elle est aussi surprise que déconcertée.
— Mmmmm ce café excellent, Stéphanie.— Merci Isaiah.
Je la regarde, sans rien dire. Elle relève un peu ses fesses du canapé, pour réajuster sa jupe, assise, je la vois qui se cambre légèrement. Je choisis ce moment pour me lever.
— Merci beaucoup de m’avoir reçu Stéphanie.— Oh mais, mais de rien.
Elle se lève. Elle fait toute petite à côté de moi. Je lui souris. Alors que je me dirige vers la porte et qu’elle me suit, je m’arrête tout net. Elle manque de me heurter de peu. Je me tourne. Je plonge mes yeux dans les siens.
— Stéphanie ?— Oui Isaiah ?
Je laisse le silence s’installer.
— Non, rien, désolé. Encore merci pour le café noir.— De rien, de rien Isaiah.
Je lui serre délicatement la main et la garde un peu dans la mienne, de longues secondes, sans rien dire, puis m’en vais. Je sens qu’elle reste sur le pas de la porte. Je m’arrête sans me retourner. Puis je pars. En tournant de l’allée dans la rue, je l’aperçois du coin de l’œil. Je souris intérieurement.
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