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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 34

Chapitre trente-quatre – le roi et ses cocus

Trash
Je laisse Kate, après quelques câlins et une bonne douche. Michel m’attend sagement dans la voiture. Je lui donne l’adresse d’Élodie. Je lui dis qu’il peut rentrer. Il me rappelle qu’il reste à ma disposition. Dans l’immeuble je croise Alexia qui sort. Elle porte des cuissardes à talons aiguilles, et une robe pull moulante et courte qui met en avant ses obus magnifiques. Une veste cintrée par-dessus. Elle lève la tête et me voit.
— La salope, elle m’a pas dit que tu venais.
Je lui souris. Alexia est vraiment un avion de chasse, elle a un visage d’ange et elle est bandante, avec ses énormes mamelles. Je la serre contre moi et lui roule une énorme pelle. Une idée me vient.
— Tu fais quoi ce soir ?— Je vais à un dîner avec des copines.— Non, tu viens avec moi, un dîner avec mon père et sa copine et la fille de sa copine et son mec.— Ah ?— Je pensais emmener Elodie, mais ça va la faire enrager.— Mmmmm dans ce cas, OK bébé. — Je t’écris pour te dire où et quand je passe te prendre OK ?— OK.
On s’embrasse encore, elle me laisse son tel et s’éloigne. Je monte à l’appart. Je sonne. Elodie vient m’ouvrir. Elle est en bottes à talons aiguilles, bas et body en cuir noir. Elle est trop belle et à ses pieds il y a le larbin qui est nu et tenu en laisse par Elodie. Je souris. Elle me fait entrer, je l’embrasse, le larbin à nos pieds. On va dans le canapé, elle tout contre moi on s’embrasse, elle a les jambes allongées sur le dos du larbin à quatre pattes au pied du canapé.
— Bon, alors, il veut quoi le larbin ?— Il veut que tu séduises sa femme, il rêve d’être cocu.— Mmmm à voir.
Je sors ma queue et dis à Elodie de me sucer, elle se met à genoux sur le canapé, à mes côtés et commence une douce fellation. Je dis au larbin en question de se mettre à genoux devant moi. Je lui pose des questions sur lui et sa femme puis lui demande s’il a des photos d’elle dans son téléphone. Il me dit que oui et me tend son téléphone. Il s’appelle Benoît, il a 29 ans, marié depuis trois ans avec Marina, qui a 27 ans. Elle est d’origine russe. Mais est née en France. Ils sont ensemble depuis sept ans. Marina l’a trompé juste une fois, en vacances, en Guadeloupe avec un noir. Mais depuis il me dit qu’elle est fidèle. Lui est fou amoureux d’elle, sous-membré et presque précoce. Il fantasme depuis longtemps sur le fait d’être cocu. Et Marina voudrait un enfant. Je balaie les photos dans son téléphone. Marina est un avion de chasse : 1m78, 65 kilos, 95E de tour de poitrine, blonde, yeux bleus, cheveux longs, magnifique. Quand il me dit sa taille, je ris, lui doit faire 1m74... En plus elle est toujours perchée sur des talons. Elle est professeure de russe au lycée (un autre lycée, dommage, en même temps je l’aurais remarquée). Lui travaille comme DAF dans une PME, il gagne très bien sa vie. Ce qui l’aide à satisfaire les désirs de Marina.
— Parfait tout ça. Mais tu es sûr de toi ?— Oui Maître. Je n’en peux plus d’attendre.
Elodie a toujours ma queue en bouche et me pompe.
— Et pourquoi moi ?— Depuis que je vous ai vu l’autre soir, je n’arrête pas de rêver de vous j’avoue. — Je te comprends. Elle sait que tu as ce fantasme-là ?— J’ai déjà évoqué le sujet mais elle le repousse, elle a peur que cela mette en péril notre couple.— Elle sait que tu es soumis ?— Elle ne sait pas que je le suis à ce point, et ce que je fais avec Maîtresse Elodie. En revanche, dans notre couple, je lui suis dévoué disons ; j’obéis, je suis en charge des tâches ménagères, etc...— Très bien. Comment es-tu sûre qu’elle ne t’a trompé qu’une fois ?— Je lui ai pardonné et demandé de me le dire si ça se reproduisait, et puis elle a des horaires fixes avec son boulot. — Et pas de loisirs ?— On fait tout ensemble.— OK. Là elle est en cours ?— Oui. — Oui qui ?— Oui Maître, pardon.— Vous avez chacun votre voiture ?— Oui Monsieur.— Tout à l’heure j’aurai besoin d’un chauffeur. — Bien sûr Maître. — Bien. Tu vas réfléchir à comment tu verrais les choses, notamment comment je pourrais rentrer en contact avec Marina. Pendant ce temps je vais m’occuper d’Élodie.
Je me suis levé j’ai soulevé Elodie et l’ai emmenée dans la chambre. Laissant le larbin à genoux au pied du canapé.
— Et ne bouge pas, sauf si on t’appelle !— A vos ordres.
On baise pendant deux heures avec Elodie, on jouit tous les deux, deux fois. On prend une douche tous les deux. J’explique à Elodie que je voulais l’emmener ce soir à mon dîner, mais que j’emmenais finalement Alexia. Elle fait la gueule. Me demande si elles peuvent venir toutes les deux. J’hésite. J’accepte. Finalement c’est plutôt une bonne idée. Puis dans le salon, alors qu’Élodie est toute câline, contre moi, le larbin à nos pieds me dit :
— Monsieur j’aimerais vous inviter à dîner à la maison.— Et Marina serait là ?— Oui, bien sûr.— Et tu lui dirais que je suis qui ? — Un photographe qu’une collègue m’a présenté. Elle parle depuis longtemps de faire une séance photo avec un pro. — Oui OK, ça peut le faire.— Vous voulez bien ?— Oui larbin.— Oh merci Monsieur.
On continue à discuter, je lui pose des questions sur Marina. Alexia rentre. On se met d’accord sur le fait qu’elles viennent toutes les deux au dîner. Elles sont contrariées. Je les fais se réconcilier sur ma queue autour d’une fellation à deux bouches, moi jambes allongées sur le dos du larbin. Je les envoie ensuite se préparer, avec pour consigne d’être irrésistiblement sexy. Je continue à creuser le sujet avec Benoît. Entre-temps je reçois un SMS de Sandrine :
— Oupppsss, on a oublié les deux cadres que je voulais fixer... dans ma chambre...— Il va falloir arranger ça alors.— Tu pourrais passer demain ?— Je te redis.— OK, mais j’aimerais faire ça vite, ça me manque là.
Alexia et Elodie reviennent : Elodie porte une combinaison short court, noire, et décolleté devant et derrière et des escarpins à talons et brides sur la cheville. Alexia elle, porte un body en dentelle noire, une minijupe en jean, des bottines à talons aiguilles et une veste courte en cuir. Elles me regardent en souriant.
— Alors, c’est suffisamment sexy ?— C’est parfait. Allez, on y va.
Benoît se rhabille et nous conduit jusqu’à chez moi. On se caresse et on s’embrasse tous les trois à l’arrière de la voiture. N’ayant pas envie qu’elles passent la nuit là, je dis à Benoît de les attendre. Elles sont déçues, mais savent que c’est comme ça. On entre, je suis au milieu, une fille à chaque bras. Catherine Carl, Juliette et son mec, Nicolas sont sur la terrasse. On les rejoint. Les visages de Catherine et Juliette s’éclairent en me voyant, je vois leur sourire amusé par la présence de deux filles à mes côtés. Carl ne dit rien, et Nicolas semble gêné. Je fais les présentations. Catherine et Juliette se lèvent pour me faire la bise, je les serre contre moi à chaque fois. Alors que Nicolas est derrière Juliette, je mets ma main juste sur le haut de ses fesses. Elle se cambre contre moi. Nicolas voit ma main mais ne dit rien. Je sens que je l’intimide, et ça ne s’arrange pas quand je lui serre la main ; je la broie. Il se tord de douleur mais parvient à ne rien dire. Mais une sacrée grimace. On s’assied sur la banquette vide, les deux filles à mes côtés, elles sont à moitié sur moi, j’ai une main sur chaque cuisse près de moi.
Je sens Nicolas de plus en plus gêné mais qui n’arrive pas à s’empêcher de mater Elodie et Alexia.
— Carl, tu nous sers du champagne ? — Ah oui oui bien sûr Isaiah.
Il se lève, moi je roule des pelles aux deux. La soirée et le dîner se passent bien. Rien à dire. J’arrive à rouler une pelle à Catherine devant Carl dans la cuisine. Et à en rouler une autre un peu plus tard dans le couloir à Juliette qui se jette sur moi. On boit un verre au salon. Je fais comprendre à Alexia et Elodie qu’elles peuvent y aller. Je leur roule de grosses pelles devant les quatre autres puis les raccompagne à la porte. Benoît les attend dans sa voiture.
— Merci les filles, vraiment.— J’espère qu’on a été utiles.— Oui je pense. Vous avez vu la gueule du Nico ? — Ouiii, il faut dire t’as abusé de nous ramener toutes les deux.— Fallait pas être aussi sexy ! En tout cas je vous revaudrai ça, promis.— On n’oubliera pas beau black.
Elles sont toutes les deux contre moi, je meurs d’envie qu’elles me sucent, là dans l’entrée. Mais je résiste, je ne dois pas faire retomber l’ambiance lourde du salon. Quand je reviens, Juliette s’absente juste pour aller à la salle de bain, j’en profite pour m’asseoir juste à côté de Nicolas. Il fait une moue bizarre. Il ne parle pas trop, je discute essentiellement avec Catherine et Carl. Je leur demande si le nouveau lit est bien.
— Ecoute il est très bien, mais je t’avoue qu’on ne l’exploite pas vraiment à fond.— Ah ah, oui j’imagine.
Juliette revient, et est obligée soit de s’asseoir seule dans un fauteuil, soit de s’asseoir à côté de moi. Elle choisit la deuxième solution. Je me retrouve entre elle et son mec. Au moment où elle s’assied, je glisse ma main sur le canapé, elle s’assied dessus. Elle sursaute légèrement mais se reprend vite, comprenant de quoi il s’agit. Je me fais la remarque qu’assis, ils m’arrivent à hauteur d’épaule tous les deux. Je bouge mes doigts sous elle, si bien qu’elle a bien du mal à rester stoïque. Carl a branché Nico sur des sujets d’actualité. Moi je parle shopping avec Juliette et Catherine. Cette dernière finit par dire à tout le monde :
— Ça vous dit un poker ?— Ouiiii super idée Maman. — Oui c’est une bonne idée mon amour.— Si vous voulez perdre, ça me va.— J’ai dit ça en souriant.— Prétentieux va. Et toi Nico ça te dit ?— Oui OK.
On s’installe à la table du salon. Rapidement je prends le dessus. Je les plume l’un après l’autre, ils font chacun une recave. Je gagne de nouveau, et la dernière qui perd tout son tapis est Juliette, qui est très mauvaise perdante.
— Je peux me refaire.— Non, mais c’est fini là ma belle, désolé. — Je ne peux pas perdre comme ça.— Mais tu n’as plus rien. — J’ai encore mes vêtements.
Je souris, Nicolas pas du tout :
— Non, mais ça va pas. Allez, il est temps de rentrer.— Oh allez, ça peut être marrant non, on fait un tour de strip-poker. Maman ?— Moi ça me va.
Carl baisse les yeux et dit oui doucement. Nicolas :
— Mais non, allez on rentre.
Puis il dit tout bas à Juliette :
— Ça va être trop gênant avec ta mère et son père. Viens on rentre.
J’interviens :
— On peut faire jusqu’aux sous-vêtements, ça fera comme si on était en maillot.— Oui, super, allez, c’est parti, je distribue.
Catherine sourit, Juliette jubile, Nicolas peste.
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