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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 35

Chapitre trente-cinq – coup de poker

Trash
Rapidement Carl se retrouve en slip, et Nicolas en caleçon. Catherine elle est en jupe et soutien-gorge. Juliette n’a encore rien perdu, moi non plus. J’en profite pour bien mater la belle paire de seins de Catherine. Au tour suivant, Catherine perd sa jupe. Elle se lève et l’ôte. Elle fait exprès de faire ça au milieu de la pièce pour que tout le monde voie bien. Moi je mate sans aucune gêne. Nicolas lui ne peut s’empêcher de reluquer mais tente de rester discret.Juliette elle, me regarde, je souris en lui montrant son mec qui mate sa mère.
— Hey, ça va, je te gêne pas trop ?!— Hein, euh, non, mais... pardon, je regardais pas.— Oui bien sûr.
J’en rajoute une couche :
— En tout cas, félicitations Catherine, quel corps de rêve.— Oh merci Isaiah, tu es adorable.
On rejoue, je fais tout pour faire perdre Juliette, qui préfère enlever son minishort. Elle est donc en string et top.
— Dis donc, c’est de famille les corps de rêve !— Oh merci Isaiah, c’est vrai que tu es adorable.— De rien ma belle.
Au tour suivant Juliette perd de nouveau. Elle retire son top et se retrouve comme sa mère en string et soutien-gorge. Je souris.
— Bon, là ça devient injuste, je vais enlever ma chemise.
Je le fais et suis torse nu. Les muscles saillants.Les deux tours suivants me permettent de faire perdre Carl puis Nicolas. Pour Carl je n’ai pas trop de mal à lui faire enlever son slip.

— Tu as voulu rester dans le jeu, c’est comme ça !
Il le fait. Son petit sexe tout mou me fait sourire. Pour Nicolas il faut que Juliette l’engueule presque en le traitant de mauvais joueur pour qu’il finisse par retirer son caleçon. Sexe normal disons, dans la petite moyenne. Je fais ensuite perdre Catherine qui retire son soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques, ils se tiennent bien. J’ai envie de les prendre en main, de les masser, de les embrasser. Je fais exprès de dire à Nicolas qu’il aille chercher des bières dans le frigo. Il refuse, mais Juliette lui dit qu’elle en veut une. Il se lève finalement : le con bande. Son sexe n’a pas beaucoup grossi, mais pas de doute il est tout raide, il bande. Il revient avec les bières. J’ai fait perdre Juliette qui a elle aussi du coup laissé tomber son soutien-gorge. Ses seins sont jolis aussi. Nicolas se rassied. Juliette le taquine :
— C’est moi ou ma mère qui te mettons dans cet état ?— Hein ? Non, mais c’est toi, bien sûr, t’es folle.
On rejoue et je fais exprès de perdre. Je retire mon pantalon. Mon boxer est gonflé par ma queue. Je reste debout, je fais durer le plaisir. Je m’étire en bandant tous mes muscles.
— Ça vous dirait un bain de minuit ? J’ai un peu chaud là.— Ah oui, carrément.
Juliette est enthousiaste. Et Catherine enchérit :
— En plus on est en tenue !— Pas tout à fait les filles.
Je dis ça en souriant. Nicolas lui ne sourit pas du tout, il est quand même toujours raide.
— Oui bon ça va.
Juliette rit :
— Hey toi non plus tu n’es pas tout à fait en tenue.
Je la regarde longuement, mes yeux plongés dans les siens.
— Tu as raison !
Je baisse mon boxer, libérant ma queue, en mode demi-molle. Juliette et Catherine sont béates, Carl ne dit rien. Nicolas manque de s’étouffer. Je brise le silence.
— Bon, on y va.
Je prends Juliette par la main. Elle se lève et Nicolas s’accroche de justesse à son autre main et nous suit. Carl et Catherine viennent aussi. Catherine court dans l’eau et l’entraîne avec elle. Moi je ralentis exprès. Je m’arrête net, et fais tourner Juliette vers moi, elle est obligée de lâcher la main de Nicolas. Qui se retrouve deux ou trois pas devant nous avant de réaliser qu’il avance tout seul. Je souris à Juliette et lui dis tout bas, enfin presque :
— J’en peux plus là ma belle, tu es trop craquante ce soir.— Mmmmmmmmm
Elle se cambre et vient tout contre moi. Je l’embrasse. Nicolas se retourne et nous voit, l’un contre l’autre, ma langue dans la bouche de sa copine. Elle a les bras autour de mon cou. J’ai mes mains dans son dos, elles descendent jusque sur ses fesses. Je la soulève et la porte, elle passe ses jambes autour de ma taille, dans un petit cri de surprise. Mais nos bouches restent liées.
— Hey, mais... qu’est-ce que tu fais Juliette ?... Eh oh ????
Il se rapproche de nous, je le sens, je pivote si bien que Juliette lui tourne le dos, il doit voir mes grosses mains qui empoignent les fesses de sa copine. Carl et Catherine jouent dans l’eau, ils ne disent rien. Je pense que Catherine occupe Carl. La connaissant, ça doit l’exciter. Puis alors que Nicolas râle encore et veut attraper le bras de Juliette, je décide de rentrer au salon. Je marche, portant Juliette, lui roulant toujours des grosses pelles, elle est dans un état second, elle sent ma queue sous elle qui grossit et se raidit. Nicolas nous suit. Je le sens, ça m’amuse, je comptais rester au salon, je change d’avis, je monte dans ma chambre, avec Juliette dans mes bras. Nicolas ne tarde pas à entrer, non sans avoir hésité devant la porte. J’allonge Juliette sur le lit et suis sur elle.
— Putain !!!!! Mais arrêtez merde !
Je me redresse, regarde Juliette. Je l’embrasse encore une fois puis calmement, en m’allongeant à moitié sur le lit, adossé à la tête de lit :
— Je te laisse régler ça.
Juliette se relève, elle est excitée et furieuse, elle sort et entraîne Nicolas, juste à l’extérieur de la chambre. Elle l’engueule, j’adore :
— Mais ça va pas ?— Quoi ?— Ça va pas de gueuler comme ça, tu te crois où là.— Mais attends, tu rigoles là, d’où tu l’embrasses ?!— Je l’embrasse parce que j’en meurs d’envie.— Quoi ???— Oui, et je meurs d’envie qu’il me baise toute la nuit.— Mais...
... Quelques minutes d’échanges de ce type, puis le ton se calme, s’apaise.
— J’en ai envie Nico, OK ? Je ne sais pas quoi te dire.— Mais je t’aime moi.— Je sais Nico, et moi aussi je t’aime. Mais là...— Mais c’est quoi, c’est juste une fois ?— Oui... oui... juste une fois.
Menteuse eh eh. Je l’entends qui embrasse Nicolas et lui dit :
— Merci mon amour, merci.
Elle revient dans la chambre, elle me regarde avec envie, suis nu sur le lit, je me masturbe très lentement. Mon autre bras relevé derrière la tête. Elle avance vers moi. Avec un sourire je crie :
— Hey Nico. Tu peux fermer la porte avant de partir !
Le con le fait. Juliette me sourit. Elle se glisse sur moi et m’embrasse puis redescend, léchant mon torse pour arriver jusque sur ma queue, qu’elle enfourne dans sa bouche. Elle me suce comme jamais elle ne m’a sucé. Je finis par jouir dans sa bouche. Ensuite je la lèche et je la baise. Elle est en feu. Je suis en train de la prendre en levrette, quand la porte s’ouvre. Catherine entre dans la chambre. Elle est nue. Elle voit sa fille à quatre pattes sur le lit et moi derrière elle, allant et venant dans sa chatte. Je la tiens par les cheveux. Catherine se mord la lèvre. Elle avance doucement. Elle hésite. Juliette ne dit rien, elle crie de plaisir et lui sourit. Catherine monte sur le lit et vient tout contre moi. On s’embrasse. Alors que je fais jouir sa fille, elle a passé une main sous mes couilles qu’elle masse. Juliette est comblée. Je m’allonge sur le dos, elle prend ma queue en bouche, je fais venir Catherine sur moi et la lèche. Elle mouille comme une folle elle aussi. Puis elles échangent leur place et Catherine me suce puis me branle entre ses mamelles, avant de venir s’empaler sur mon chibre puissant.
Je la baise à son tour et lèche Juliette qui dégouline de mouille sur moi. Je les baise une bonne partie de la nuit dans mon lit, avant de dire :
— Et si on essayait le nouveau lit de Carl.
J’emmène les deux femmes dans la chambre de Carl qui dort.
— Allez, debout là-dedans.
Il se réveille en sursaut.
— Laisse-nous la place s’il te plaît mon chéri, on va tester ce lit de compétition.
Je les mets à quatre pattes l’une à côté de l’autre et les prends en levrette l’une après l’autre. Je doigte l’une pendant que je défonce l’autre. Je prends leur cul aussi. Carl est resté un moment à l’entrée de la chambre, puis s’est éclipsé. Je finis par jouir. On s’écroule tous les trois, les deux femmes de part et d’autre de moi, je les embrasse.
— Tu crois que tu vas pouvoir arranger le coup avec Nico ?— Oui oui. Je pense. Bon, je vais pas lui raconter la partie où ma mère nous rejoint je crois.— Ah ah, non tu fais bien en effet.— Pourtant elle est sympa cette partie-là, non ?— Sympa pour toi l’étalon. — Oui !
On s’endort finalement, et ce dont je rêvais au moment de céder à la fatigue, se réalise au petit matin : j’ouvre les yeux, et je vois Catherine et Juliette, qui me sucent doucement, leur bouche va-et-vient sur ma hampe dressée. Je tourne la tête et je vois Carl avec un plateau avec du café. Ah le pied. Catherine sourit :
— Je me suis dit que tu aimerais un bon café.— Mmmmmmmm merci les filles. C’est royal.
Je me redresse et m’adosse à l’oreiller, je prends mon café alors que la mère et la fille me sucent. C’est divin, et je finis par jouir dans la bouche de Catherine, alors que sa fille a mes couilles dans la sienne. Catherine et Carl s’en vont, Juliette reste un peu dans mes bras. Au moment de partir :
— Tu me tiens au courant, j’espère que ça va aller avec ton mec.— Oui je te dis.— Si je peux aider.— Oh, non, merci, je crois que tu en as assez fait. Ah ah.
Je l’embrasse. Elle s’en va. Je file à la douche. Je me pose au salon avec un café et regarde mon portable, pas mal de messages.Le premier de Carl qui me dit qu’il passe me prendre au lycée à la sortie pour qu’on aille visiter deux logements avec sa conseillère immobilière. Je lui réponds que c’est OK. Ensuite j’ai un message de Jessica :
— J’ai trouvé ton numéro sur la table du salon... et j’ai réalisé que tu n’avais pas le mien, alors maintenant c’est réparé. Bisous. Jessica.— J’aurais pu le demander à ton frère;-)— Il aurait sûrement apprécié ! Mieux vaut sans doute ne rien lui dire.— Tu crois ? Au fait, les cadres tiennent bien ?— Très bien oui. Merci !
Je laisse cette discussion en suspens. J’ai un message de Kate :
— Isaiah, mon corps tremble encore des orgasmes de cet après-midi. Je suis toute à toi. Ta petite salope, Kate.— Parfait !
J’arrive au lycée, Manon est sublime, on s’embrasse. Je lui propose de passer la soirée ensemble. De se faire un ciné, ou ce qu’elle veut. Va pour le ciné. Je me rends compte que je suis terriblement bien quand elle est près de moi. Je lui dis. Elle me dit qu’elle aussi. Plus tard dans la matinée j’écris à Juliette, pour savoir comme ça va :
— Ecoute ça va, bon il est un peu secoué. Mais je lui ai dit que c’était juste une fois, que je n’avais pas pu résister, etc...— Menteuse...— Oui, ben écoute, un problème à la fois;-)
J’écris un message à Benoît :
— Organise un verre dans un café avec Marina toi et moi. OK pour le photographe. Je suis dispo à 18h.— Bien Maître. Je vous redis vite.
Plus tard :
— Monsieur, Marina est OK, je lui ai dit que vous étiez un photographe, qui a fait un shooting avec deux de mes collègues, et qu’elles vous ont chaudement recommandé. Elle propose de se voir à 18h donc, je vous envoie l’adresse du café qu’elle adore.— Parfait. Que lui as-tu dit de moi ?— Rien, si ce n’est que vous êtes charmant, et très charismatique. — Dis-lui que je suis black...— Bien mon roi.— Et tu me diras si elle réagit.
À peine quelques minutes plus tard :
— Mon Roi, je lui ai dit : « ah au fait mon ange, il est black, j’espère que c’est OK pour toi ». Et elle m’a répondu « pas étonnant qu’il soit charmant et charismatique alors;-) »— Parfait mon petit cocu. A tout à l’heure alors.
A la fin des cours, je sors du lycée, je dis à Manon que je passe la prendre chez elle ce soir, et je rejoins mon père. Il me dit qu’il s’agit de deux appartements, je suis un peu déçu, je préférerais une maison, mais bon, allons voir. On arrive en avance. Là où je ne suis pas déçu, c’est quand je vois arriver la conseillère immobilière : brun, yeux noisette, 1m70, 60 kilos je pense, la trentaine, cheveux mi-longs, 90c de tour de poitrine, petit tailleur noir, chemisier blanc, escarpins Louboutin aux pieds.
— Isaiah, voici Anne-Lise. Anne-Lise, mon fils Isaiah.
Je lui prends la main.
— Enchanté Anne-Lise.— De même, votre père m’a beaucoup parlé de vous.— Ah ah, oui pas étonnant, je suis de loin ce qu’il y a de meilleur chez lui.
Ça jette un petit froid. Anne-Lise se reprend et nous invite à aller voir le premier appartement. Qui est nul.
— Non ce n’est pas du tout ce que je cherche.— D’accord, le suivant vous plaira je pense.— J’espère Anne-Lise, j’espère.
Arrivés devant l’immeuble, je m’arrête :
— Bon, on va reprendre du début, parce que là ça ne va pas du tout. L’immeuble est ignoble. Je ne rentre pas là-dedans, et encore moins pour y vivre.— Ne vous fiez pas aux apparences, l’appartement est vraiment joli.— Si justement Anne-Lise, je me fie aussi aux apparences ; voyez, j’ai horreur de mentir sur la marchandise, par exemple, quand on me voit, on sait ce que l’on va avoir, vous comprenez ?— Euh... oui, oui bien sûr.— Et j’espère qu’il ne s’agit pas d’un budget limité, Carl vous a dit que l’argent n’est pas un problème n’est-ce pas ?— Oui oui, bien sûr. Mais je ne pensais pas que...— Carl ?— L’argent n’est pas un problème en effet Anne-Lise.— Parfait.
Elle sourit.
— Alors, j’ai quelque chose qui je pense vous conviendra.— Vous êtes sûre ?— Oh oui.
On reprend la voiture, on suit Anne-Lise.
— Tu la connais depuis longtemps ?— 10 ans elle était à Paris avant.— Elle est mariée ?— Fiancée je crois.— Tu aurais dû me la présenter avant Carl. Tu en as d’autres des connaissances de ce type ?— Non non (je le regarde sévèrement) Promis Isaiah.
On s’arrête devant un petit immeuble de trois étages, tout neuf, et magnifique. L’entrée de la résidence est superbe. Je souris. On rejoint Anne-Lise.
— Ah, là c’est mieux.— Attendez de voir l’intérieur.
On la suit. L’appartement en question est au dernier étage. Il y a un ascenseur privé avec code et clef qui mène directement à l’appartement. J’adore. L’endroit est à tomber. C’est un duplex : l’entrée est grande, et donne sur un immense séjour avec une large baie vitrée, vue sur la mer, un grand balcon tout du long. Il y a une immense cheminée des canapés, toute la hi-fi déjà installée. Il y a un coin salle à manger, enfin un coin, les volumes sont très grands. D’un côté il y a la cuisine, spacieuse, de l’autre les w.c., une salle de bains, et deux chambres ou bureau. Un escalier monte à l’étage. En haut, de nouveau une grande pièce, une autre cheminée, des canapés et fauteuil, une autre installation hi-fi. Et la pièce donne de chaque côté sur une terrasse. Vue sur la mer d’un côté, sur un jardin de l’autre. LA terrasse côté mer est la plus grande et comporte un salon entier de jardin et un barbecue. Cerise sur le gâteau : un superbe jacuzzi. Il y a un couloir qui part de la pièce centrale et qui donne sur une nouvelle salle de bains, des w.c., et deux autres chambres. Je suis en extase. Anne-Lise sourit :
— Alors ?— Là, je suis heureux.— C’est magnifique non ?— Superbe oui. — Personne ne l’a encore visité.— Encore mieux.— Intéressés ?— Oh oui, même plus, je le prends.— Vraiment.— Oui. Carl ?— OK, s’il te plaît.— Beaucoup.— Alors c’est d’accord.— Ah ah, parfait. Bon, je vous laisse régler les détails.
Pendant qu’ils discutent je fais une longue vidéo de tout l’appart et l’envoie à Manon.
— Mon nouveau chez moi...— Wouaaahhh mais c’est fou.— Oui. Et c’est un peu ton nouveau chez toi aussi;-)— Ça a l’air trop beau. — Je te le montre ce soir.
Je mets la pression sur les deux pour pouvoir emménager le plus vite possible. Anne-Lise qui fait là sa plus grosse vente de l’année s’arrange, et je laisse Carl tout organiser. Je garde les clefs, Carl organise le déménagement pour le lendemain. Parfait, je prendrai possession des lieux le lendemain soir. Je lui dis que je ne veux pas un accroc. On finit par redescendre. Je dis à Carl :
— Je te laisse repartir, n’oublie pas de tout bien coordonner.— Oui, t’inquiète pas Isaiah.— Anne-Lise, cela vous dérange de me déposer ?— Non, non pas du tout.— Alors en route.
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