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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 38

Chapitre trente-huit – une bonne organisation, c'est la clef

Trash
Manon se réveille. Elle est magnifique. Je la regarde. Les yeux qui s’ouvrent doucement, elle me sourit. Je l’embrasse, la caresse délicatement. Elle se blottit contre moi.
— Ça va ma chérie ?— Oui et toi ? Bien dormi ?— Oui très bien. — C’était trop bon hier soir Isaiah.— Oh oui.
Silence. Elle sourit timidement.
— Il faut qu’on en parle Manon, si on la croise ce matin, il faut qu’on soit sur la même longueur d’onde toi et moi. — Oui, tu as raison, mais c’est ma sœur.— Et elle nous a vus, et crois-moi, ce n’était pas juste par erreur, elle s’est rincé l’œil.— Mmmmm. Et ça t’a plu toi ?— Je ne vais pas te mentir, oui ça me plaît. Évidemment. Mais ça n’a pas d’importance. Ce qui compte là c’est toi. C’est la même chose que pour Sophie et Elise. Dans mon esprit, c’est toi qui dois dicter le jeu-là.
Elle respire, ferme les yeux.
— Elle te plaît ?— Il faudrait être difficile. — Tu la trouves plus jolie que moi ?— Non, pas du tout. Je la trouve plus sexuelle que toi. Tu vois ce que je veux dire ?— Oui, je crois.— Mais pas plus jolie. Je ne trouve aucune femme plus jolie que toi Manon.— Flatteur.
— Je ne veux pas que tu te forces à quoi que ce soit Manon, ou que tu fasses quelque chose uniquement pour me faire plaisir.— C’est difficile de faire la part des choses. — Je sais.
Je la serre dans mes bras. Je l’embrasse.
— Et si je te laissais seul avec elle ce matin.— Mais ça ne changerait rien Manon, je me comporte de la même manière que tu sois là ou non. — Oui c’est vrai. Et c’est aussi ce que j’adore chez toi, tu le sais. — Je sais ma belle. On peut aussi se comporter toi et moi normalement et voir ce qu’elle fait elle.— Ah ah oui on peut faire ça.
On s’embrasse encore longuement. On se lève, Manon est juste en petite nuisette, elle est adorable. Je suis en boxer. Vu la fin de la discussion, je commence à enfiler mon pantalon.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je m’habille.— Non non, reste en boxer.
Je la regarde, elle me sourit de son air le plus coquin.
— Mmmmm, tu veux ?— Oui mon chéri.— Tu as une drôle de façon de ne rien faire toi.— Fais-moi confiance bébé.— Ça marche ma belle.
On descend, Isabelle est dans la cuisine, elle aussi en petite nuisette. Encore plus courte que celle de Manon, et quand elle se retourne vers nous, je constate que la nuisette ne cache pas grand-chose de sa poitrine opulente.
— Salut Isa.— Salut les amoureux.
On échange quelques banalités. Je remarque les regards d’Isabelle sur mon corps presque nu. Le boxer est bien rempli. Manon est d’humeur légère, et fait plusieurs allusions à la nuit. Isabelle ne relève pas trop. À un moment Isabelle va chercher un pot dans les placards du haut mais n’y arrive pas. Manon me pousse du bras pour que j’aille l’aider. Je me lève et me mets juste derrière elle.
— Attends Isabelle, je vais t’aider.
Elle sursaute.
— Ah, euh oui, merci. C’est le pot là.— OK.
J’ai à peine à lever le bras pour l’attraper.
— Et voilà.
Je lui donne le pot, si bien que mon bras l’entoure presque. Elle semble vouloir profiter de cet instant, respire lentement.
— Merci Isaiah.
Je me retourne, Manon est tout sourire. Je l’interroge du regard. Elle me sourit et me fait oui de la tête. Je reviens vers elle. Je me penche sur elle et l’embrasse. Elle se lève et se colle à moi. Elle me roule une énorme pelle. Puis va vers sa sœur.
— Ça va Isa ? T’as l’air toute chose ?— Euh... non, enfin oui, oui ça va.— OK. Je vais prendre ma douche moi, profitez-en...— Pardon ?
Manon sourit à sa sœur :
— Pour faire connaissance.
Elle part en riant et me réembrasse avant de quitter la cuisine. Je bande. Isabelle est adossée au plan de travail. Elle semble fébrile. Je m’approche d’elle. Je lui souris, comme avec Manon, je la domine largement en taille.
— Le spectacle t’a plu hier ?
Elle baisse les yeux. Je mets ma main sous son menton et lui remonte la tête. Je plonge mes yeux dans les siens.
— Alors ?— Oui...— Oui quoi ?— Le spectacle m’a plus oui.— Tu semblais moins timide le week-end dernier.
Elle ne répond pas.
— C’est le fait de mouiller pour le mec de ta sœur qui inhibe ?!— Hein ? Mais non...
Je lui souris. Je m’approche un peu plus d’elle encore.
— Quand ta sœur a su que tu regardais, elle m’a demandé de la défoncer, de te montrer comme je la fais jouir.— Mais je...— Tu ?
Elle se mordille la lèvre. Elle ne répond pas. Je me penche vers elle et lui dis tout bas :
— La prochaine fois, ne t’en va pas.
Et je quitte la cuisine pour rejoindre Manon. Elle est sous la douche, je me glisse derrière elle. Je bande comme un âne. Ma queue est entre ses cuisses juste sous sa chatte, je vais et viens un peu entre ses lèvres, sans la pénétrer. Elle tourne la tête pour m’embrasser.
— Alors ?
Je me glisse en elle et commence à la prendre, je soulève une de ses jambes. Elle gémit.
— Alors elle n’ose pas, mais elle en meurt d’envie. — Tu m’étonnes. Et tu n’as pas poussé ?— Non. Et puis j’avais trop envie de toi ma chérie.
On fait l’amour sous la douche et on jouit tous les deux. On se prépare et on file au lycée. On ne recroise pas Isabelle. Au lycée, je réalise qu’il faut que je trouve du temps pour Sophie et Elise. C’est compliqué.Manon elle, reçoit un SMS d’Isabelle :
— Désolée Manon, pour cette nuit...— Désolée de quoi ? T’inquiète. Tu sais, je sais bien qu’il est beau et irrésistible.— A ce point ?— T’en penses quoi toi ?— J’en pense que oui, il l’est... Difficile de penser le contraire...— Pourtant t’as résisté ce matin...— Mais je peux pas te faire ça.— Me faire quoi ? Coucher avec mon mec ?— Oui...— Et si je te dis que tu peux...— Euh... je ne sais pas Manon...— On en reparle.— OK... Bonne journée. Je t’aime.— Moi aussi Isa. Et t’en fais pas. Vraiment.— Merci.
De mon côté j’écris à Anne-Sophie et Michel :
— Ce midi, mon petit cocu, tu m’attends en voiture devant le lycée j’ai besoin de toi tout l’après-midi. Et Anne-Sophie libère toi aussi à la fin de mes cours, et on se rejoint dans la voiture. J’ai besoin de voir un truc avec toi, et pas le temps de faire autrement.
Réponse de Michel immédiate :
— À vos ordres Maître.
Puis un peu plus tard d’Anne-Sophie :
— OK mon chéri. Je pensais justement à toi.
Puis j’écris sur le groupe avec Manon, Elise et Sophie :
— Moi : Les filles, je sais que je suis occupé, mais je dois trouver du temps pour vous...— Elise : C’est gentil de penser à nous;-)— Manon : Il fait au mieux;-)— Elise : je sais, je rigole ma belle t’inquiète.— Sophie : demain après les cours ?— Moi : Parfait Sophie. — Elise : C’est loin ça, tu fais quoi à la pause là ?— Moi : moi rien, mais toi tu vas me sucer !— Elise : mmmmmm oui mon prince;-)— Sophie : hey moi aussi je veux te sucer.— Elise : trop tard, et puis chacune son tour.— Manon : ne vous battez pas les filles surtout
A la pause j’emmène Elise dans ma voiture. Il n’y a personne autour, elle sort ma queue, se penche sur moi et me suce à fond, elle est déchaînée, elle m’aspire le gland. J’appuie sur sa tête pour qu’elle m’avale le plus possible. Elle me branle ensuite à fond dans sa bouche, jusqu’à ce que je me déverse dans sa bouche. Elle avale tout ce qu’elle peut, puis nettoie le reste de sa langue ensuite. On est carrément en retard, du coup je la retiens.
— T’inquiète, on va rater ce cours c’est pas grave, je m’en occupe.
Elle me sourit et du coup me reprend en bouche. Puis je la doigte ; elle est trempée. Je démarre et l’emmène chez moi. On sort de la voiture, on entre chez moi et à peine franchi la porte, je remonte sa jupe et lui écarte le string. Je me glisse en elle et commence à la baiser debout en levrette. Elle jouit très vite. Je lui mets des fessées puis l’entraîne au salon. Je la lèche et elle jouit de nouveau. Puis elle vient s’empaler sur moi, face à moi. Je mets ma tête entre ses obus pendant que mes mains la font aller et venir sur mon chibre. Je la fais de nouveau jouir, avec ma queue dans sa chatte et un doigt dans le cul. Elle s’agenouille finalement à mes côtés sur le canapé et me suce de nouveau. Pendant ce temps j’appelle Anne-Sophie :
— Oui, juste pour te dire qu’Élise et moi sommes absents au cours que nous avons là, donc fais le nécessaire... OK... parfait !
Je raccroche, Elise sourit. Elle me branle entre ses seins et je finis par jouir dessus. On se nettoie, et on retourne au lycée, pour le dernier cours de la matinée. Sophie joue les jalouses, Manon s’amuse. Elise relance le débat sur le groupe whatsapp :
— Elise : Merci mon chéri, divin cette petite pause !— Moi : mais de rien, tes seins m’avaient manqué !— Sophie : pfffff— Manon : t’inquiète Sophie, il m’a dit ce matin que ton cul lui manquait.— Sophie : c’est vrai ça ?— Moi : Je ne mens jamais.— Sophie : merci;-)
Je déjeune en vitesse avec Manon, et file retrouver Michel qui est garé devant le lycée. Je vois Anne-Sophie qui est à l’arrière. Je me glisse sur la banquette à ses côtés. Je lui roule une énorme pelle. Michel démarre. On roule. Je lui dis de tourner sans trop s’éloigner. Pendant ce temps, Anne-Sophie me suce à l’arrière. Elle se délecte de ma queue, savoure la fellation, alterne les moments de succion lente et les moments où elle me pompe fougueusement. Je jouis dans sa bouche, mais les jets sont tellement puissants et abondants qu’elle en prend aussi sur le visage, sur son chemisier et dans les cheveux. Je souris.
— Tu es belle avec ma semence un peu partout.— Merci mon chéri.
Je dis à Michel de redéposer Anne-Sophie au lycée, qui se dépêche de retourner à son bureau, tête baissée et emmitouflée dans son manteau. Je laisse Michel là et rentre chez moi. Il a l’air déçu, il avait prévu d’être avec moi tout l’aprèm. Je prends une douche et me change. Posé dans le canapé, j’écris à Claire :
— Je peux venir quand ?— Quand tu veux.
Je file chez elle. À peine arrivée elle me saute dessus, me pousse dans le canapé et s’agenouille entre mes cuisses pour me sucer. Mon téléphone sonne, c’est un message de Charlotte :
— Je n’en reviens pas de faire ça, mais voilà...
Elle me donne l’adresse du bar de vendredi, et l’heure. Ils ont rendez-vous là-bas à 20h. C’est parfait, je me dis que j’irai avec Sophie puis la laisserai repartir seule.Alors que Claire glisse ma queue entre ses mamelles, je réponds à Charlotte :
— Parfait tout ça. Tu n’as plus qu’à réfléchir à comment tu vas t’habiller pour moi...— Je suis en train mon chéri... Je le crois pas que je fasse ça...— Ne t’inquiète pas. Concentre-toi sur le fait de me faire plaisir.— Je ne fais que ça !— Et j’en suis ravi !— Bisous mon BBC préféré.— Bisous ma petite blanche à black.
Je finis par jouir sur les seins de Claire. Elle joue avec mon gland sur ses mamelles et ses tétons. Elle se lèche les doigts qui ramassent le sperme sur elle. Je la fais venir sur moi, face à moi et m’enfonce en elle. Elle me chevauche très vite et à fond dès le début. Elle jouit rapidement sur moi. Elle m’embrasse. Puis me souriant :
— Suis-moi.
On va dans sa chambre. Elle me pousse sur le lit. Me regarde, reste debout en souriant :
— Attends-moi.
Elle s’éclipse. Elle revient : elle porte une guêpière en dentelle violette et noire, string assorti, bas noir avec des détails violets et une paire d’escarpins à talons aiguilles de 14 centimètres.
— Mmmmm, j’ai bien fait d’attendre dis donc.— Ça te plaît ?— Oui, beaucoup.— Je l’ai acheté pour toi...— C’est vrai ça ?— Oui mon chéri, comme tu m’as demandé.— Approche.
Elle vient à quatre pattes sur le lit, et vient m’embrasser puis elle redescend, et sans les mains prend ma queue en bouche et me suce. Je me redresse sur le lit et la mets à quatre pattes, je lui retire le string et commence à la lécher. Puis je la prends en levrette. Je lui mets des fessées, elle se cambre et jouit une nouvelle fois. Alors que je suis encore en elle, elle tourne la tête vers moi et tout sourire :
— Mon cul est à toi mon étalon.
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