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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 51

Chapitre cinquante-et-un – son âme au diable

Trash
— A vos ordres mon Roi.J’embrasse Marina et les laisse. Dans la voiture je regarde mon tel. J’ai des messages.
Anne-Lise m’a répondu :— Alors quand tu veux mon chéri. Et : une soubrette ? C’est-à-dire ?— Quand je veux ?: Maintenant ! Et : oui, une soubrette, une femme de ménage chargée de l’intendance chez moi et... disons, dévouée...— Ah, alors écoute je vais me renseigner et essayer de te trouver ça;-) Maintenant ? Mon fiancé est là, et ses parents aussi...— Pourquoi me dis-tu quand je veux alors ?!— Pardon Isaiah.— Je suis en bas de chez toi dans 15 minutes, sois en bas, et bien habillée s’il te plait.— Mais je leur dis quoi ? — Qu’il y a un problème avec ta dernière grosse vente, que ton client n’est pas content, que tu ne peux pas faire autrement ! 15 minutes en bas !!— D’accord mon chéri.
J’ai ensuite une nouvelle invitation d’un groupe whatsapp avec Manon et Isabelle. C’est Manon qui l’a créé mais Isabelle qui a écrit :— Merci Isaiah. Merci à vous deux. Je... enfin, suis encore un peu sous le choc je dois dire. Enfin, bref bisous.
Je constate que Marina et Benoit m’ont déjà écrit :— Merci mon amour, et trop hâte d’être à mercredi. Je t’aime;-)et :— Mon Roi, merci merci de faire jouir mon épouse et de lui donner le plaisir, et bientôt l’enfant qu’elle désire et qu’elle mérite tant d’avoir. Merci !
J’ai un message de Jessica :— On part sans dire au revoir ? Je plaisante, merci pour cette nuit mon chéri. À bientôt j’espère... PS : si Greg est dans cet état là pour son ex et sa sœur, il réagit comment pour sa mère ? Lol, bisous !— Je le ménage un peu, il ne sait pas encore ! Tu vois je suis gentil avec lui, ah ah ! À bientôt ma belle.

Et telle mère telle fille :— Isaiah, c’était un plaisir de t’avoir à diner hier soir et surtout de te « croiser » ce matin... bisous.
Je souris, et me mets en route. Quand j’arrive, Anne-Lise est devant chez elle. Elle monte dans la voiture. Elle est stressée. Elle porte une taille jupe cintrée quand elle s’assoit je vois un porte-jarretelles et des bas. Je souris. Elle a en plus un joli décolleté, et des escarpins à talons aiguilles. Je lui roule une énorme pelle en la maintenant contre moi. Je la tiens par le cou :— Tu as peur qu’on nous voit ?— Oui, un peu.— Il faut que tu comprennes une chose : avec moi, tu ne dois pas avoir ce genre de craintes. Tu crois que ton petit cocu ferait quoi s’il nous voyait ?— Il serait fou de rage.Je souris :— Et ? Écoute, je crois qu’il ne dirait rien au contraire. Je ne crois pas qu’il fasse le poids face à moi.— Non, c’est sûr, mais moi...— Et toi, je lui ferai comprendre qu’il a bien de la chance d’être fiancé à une femme comme toi, et crois-moi il comprendra la chance qu’il a et s’inclinera devant toi.— Tu crois ?— Je sais. Maintenant, tu es montée dans la voiture, alors embrasse-moi normalement, sans avoir peur, sans regarder par-dessus ton épaule. Ok ?— Oui, d’accord Isaiah.Je lâche son cou. Elle m’embrasse, tendrement.— Salut ma belle.— Bonjour Isaiah. — Bien, maintenant, autre chose : si je te dis de me sucer là, tu me suces, compris ?Elle frémit.— T’en fais pas je ne vais pas te le demander.— Oui Isaiah.— Et si je te dis que je veux venir chez toi ?— Je t’invite.— Bien.Je l’embrasse. — Sinon, on arrête là, Anne-Lise, tu comprends ?— Oui mon chéri, mais je ne veux pas qu’on arrête.— Je sais ça. Mais toi, il faut que tu en sois convaincue.— Je le suis. Je souris.— Tu es sûre ?— Oui Isaiah.— Suce-moi. Elle me regarde. Essaie de savoir si je plaisante ou pas, se rend vite compte que je ne plaisante pas ; je ne plaisante jamais avec une fellation ah ah ! Elle me sourit, m’embrasse, puis se penche pour sortir ma queue de mon pantalon. Elle me suce lentement, je lui caresse les cheveux. Après deux ou trois minutes, je démarre et commence à rouler, ma queue toujours dans sa bouche. On arrive à l’appartement.— Il est vraiment magnifique !— Oui c’est vrai ! Il faudra que je vous invite à diner ton fiancé et toi... Pour vous remercier.— Mmmm coquin !Elle reprend sa fellation, dans le salon du haut. — Ahhhh oui, tu sais que tu suces vraiment comme une reine.— Merci mon chéri. J’adore te sucer.— Tu adores me sucer ou tu adores sucer ?— Te sucer. Je ne le fais quasiment jamais à Thierry.— À qui ?— À mon fiancé;-)— Ah. Ne lui fais plus du tout, compris ? Ce plaisir là m’est réservé à présent.— Bien mon chéri. Elle se déshabille et vient s’empaler sur moi, face à moi. On baise ainsi de longues minutes et elle finit par jouir sur moi. Je reste en elle et la fais danser sur ma queue. Son téléphone dans son sac sonne. Je le prends et le sors. Elle me regarde, interdite. Je souris :— C’est ton petit fiancé !Elle se plaque contre moi et m’embrasse. Elle prend son téléphone.— Décroche !Elle hésite. Puis obéit.— Allo.... Oui... Euh je ne sais pas trop pourquoi.Je lui dis doucement :— Mets le haut-parleur.Elle le fait et pose le téléphone à côté de nous. Je plaque mes mains sur ses fesses et la fais aller et venir sur mon pieu. Durant toute la conversation, elle fait tout pour contenir ses gémissements et cris :— Je ne sais pas encore.— Tes parents vont partir.— D’accord, ok. Dis-leur... dis leur que je les appelle ce soir.— Et moi je fais quoi ?Là je la plaque contre moi, la maintiens fermement et l’embrasse tout en pilonnant sa chatte. Elle ne peut pas répondre, et ne peut se retenir de gémir :— Hein ?... Anne-Lise ?... Ma chérie ?... qu’est-ce qu’il se passe... ? Anne-Lise ?Je lâche d’un coup dans un dernier grand coup de rein :— Ahhhhh putain !!!!!Elle est cambrée, toute empalée sur moi et un orgasme l’envahit.— Ahhhhhh putain !!!!!— Anne-Lise ? Ça va ?Il lui faut de longues secondes pour réagir :— Oui, oui, pardon, je... il y a une énorme fuite d’eau !— Ah bon ? Mais comment ça se fait ?— Mais j’en sais rien moi... c’est un très gros tuyau en plus !Elle me sourit en disant cela. Je la soulève et la mets à 4 pattes sur le canapé, la tête au-dessus de son téléphone. Je la prends en levrette.— Ecoute... il... je... je dois te laisser Thie... Thierry....— Oui, ok, mais tu es sûre que ça va ? Tu as l’air bizarre ?— Ouiiiiii... enfin... non, c’est terrible... mais ça va....— Promis ?— Oh ouiiii, promis.— Je peux faire quelque chose ?— Nooooonnnn, tu peux rien toi...— D’accord...— Enfin si...— Dis-moi ?— Tu peux faire le ménage...— Quoi ?— Et ensuite à diner.— Hein ? Mais je... c’est toi qui...Elle prend le téléphone à la main et crie dedans :— Oui et bien là c’est toi qui vas le faire !!!J’accélère le mouvement et la plaque de tout son long sur le canapé.— Compris ?— Oui... oui mon amour.— Voilà. Tu vois quand tu veux ! Je te laisse !— Ok... je t’aime...Elle raccroche et jouit alors que je suis tout en elle et que je la tire par les cheveux pour qu’elle se cambre.— AhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhJe jouis en même temps et me vide en elle. Je pousse un long râle puissant. Elle jouit de plus belle.— Ahhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiJe la sens fondre sous moi. Après quelques minutes dans cette position,je m’assieds dans le canapé. Sans que je ne le lui dise, elle vient me nettoyer la queue.— Oh wouaaaahhh, ça t’a plu autant qu’à moi mon chéri ?— Eh eh. Fais attention, on prend goût à ce genre de choses.
On se prend un bain, on discute de son mariage. On refait l’amour dans le bain. Je me lave et me prépare. Je la raccompagne chez elle. Au moment de sortir de la voiture, elle me roule une pelle, cette fois sans hésitation, sans aucune crainte. Elle me regarde, avec un petit sourire coquin :— Tu veux monter ?— Mmmmm coquine. Non, je n’ai pas le temps ; mais ne t’inquiète pas, une prochaine fois.Elle m’embrasse et sort de la voiture. Je sors aussi.— J’ai quand même le temps de t’accompagner à l’ascenseur.— Quel gentleman.— Ah ah.On entre dans le hall de l’immeuble, je la colle contre moi et lui roule une énorme pelle. L’ascenseur arrive et s’ouvre, elle reste contre moi. Du coin de l’œil on devine deux silhouettes. D’un coup Anne-Lise se détache de moi et se tourne.— Oh mon Dieu.Je souris. Les deux personnes, plus âgées regardent Anne-Lise, puis moi. L’homme a une stature assez forte, il a l’air sûr de lui, la femme est une belle femme. Très bien habillée, distinguée.— Euh, Maman, Papa, je croyais que...Sa mère la coupe :— On a aidé Thierry avec le repas de ce soir !— Oui, il nous a dit que tu étais... très occupée !Anne-Lise est rouge de honte, je réalise que j’ai toujours une main sur son cul. Je ne bouge pas. Je souris aux parents :— Madame, Monsieur, Isaiah, enchanté.Ils sont surpris de mon assurance et me saluent l’un après l’autre.— Je suis... un ami d’Anne-Lise.— Oui, on a cru comprendre.— Bon, je vous laisse.Ses parents passent à côté de nous, et nous tournent le dos, en parlant tout bas. J’en profite pour lui rouler une dernière pelle. Puis elle aussi tout bas :— T’abuses, je suis dans la merde !— Mais non, ma belle, parle à ta mère, elle comprendra. — On verra !— Tiens-moi au courant.— Ok mon chéri. Et c’est elle qui m’embrasse. Je les laisse, non sans dire au revoir à ses parents. Gentiment. Je me mets en route. Suis en retard.J’arrive chez Anne-Sophie. J’envoie un message à Anne-Lise :— Parle à ta mère uniquement, et insiste sur les défauts de ton mec. Elle comprendra !— Elle a compris !— Je t’avais dit;-)— Je lui ai dit que Thierry n’en foutait pas une à la maison, me négligeait etc... elle m’a demandé si c’était juste une fois.— Tu lui as dit quoi ?— Je ne voulais pas qu’ils s’étonnent de te voir au mariage donc je lui ai dit que je ne savais pas encore;-)— Salope;-)— Je sais;-)— Et ton père ?— Ma mère lui a parlé ça va. Ils n’apprécient pas Thierry plus que ça. Donc vis-à-vis de lui ils s’en foutent. — Et moi ?— Ah ah... Ma mère a juste dit : « t’aurais pu plus mal choisir »— Ah je vois de qui tu tiens ton bon goût.— Mon père vient de me dire qu’il aurait préféré un gendre comme toi, avec une vraie poignée de mains et qui le regarde dans les yeux.— Ah ah, j’ai senti que le feeling passait entre lui et moi.— Donc ils vont garder ça pour eux. Ils m’ont juste dit d’être discrète.— C’est vrai, tu devrais faire attention !— Ah ah très drôle. Bon je suis rentrée, il est en train de faire le ménage;-)— Engueule-le !— Pourquoi ? Il fait ce que je lui ai dit de faire.— Pour avoir demandé de l’aide à tes parents !— Ah oui, tu as raison. — Toujours.— Bisous mon chéri.
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