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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 53

Chapitre cinquante-trois – soir de match

Trash
Anne-Sophie s’arrête dans l’entrée du salon. Je tourne la tête vers elle. Elle porte une robe très courte et moulante, imprimé léopard, encolure en v largement échancrée sur ses seins. Elle tourne sur elle-même, la robe est vraiment courte et ouverte dans le dos. Elle porte des bas autofixants avec une paire de cuissardes noires à talons aiguilles. Elle me sourit :
— C’est assez sexy pour vous Mr ?— Mmmmmm oui, approche ma belle.
Elle vient se blottir tout contre moi. Elle croise les jambes on voit les bas. Je lui mets la main sur les fesses, les caresse, les pétris. Elle m’embrasse. Ma main se glisse sous son string, je découvre avec plaisir qu’il est fendu, je souris.
— Je me suis dit que ce serait plus pratique.— Très bonne idée.
Michel arrive dans le salon.
— Oh mon Dieu, mais tu ne peux pas rester dans cette tenue.
Elle le regarde, l’air hautain :
— Pardon ? — Non mais je veux dire...
Il baisse les yeux.
— Oui ?— Non, rien, pardon mon amour. — Oui, je préfère. Tiens, rends-toi utile, viens faire briller mes cuissardes.
Il s’agenouille à nos pieds et lèche les chaussures de son épouse, qui, elle, est lovée dans les bras de son amant et l’embrasse à pleine bouche. On sonne à la porte.
— Va ouvrir.
Il se redresse, et nous regarde l’air de dire : vous n’allez pas rester dans cette position, s’il vous plaît. Je souris, prends Anne-Sophie par le cou et lui roule une grosse pelle. Il va ouvrir. Anne-Sophie se lève et réajuste sa robe. Je reste là où je suis en plein milieu du canapé. Ma bière à la main. Elle se rassied à mes côtés, pas dans mes bras mais vraiment proche. On entend Michel qui leur ouvre, les salue, et qui complimente Claire :
— Oh, wouahhh tu es superbe Claire.— Oui, je lui ai dit que c’était peut-être un peu trop pour un match mais elle a insisté.— Ah ah oui je vois. Anne-Sophie a fait la même chose.— Tu vois mon chéri, je t’avais dit que ce ne serait pas trop.
Ils nous rejoignent au salon : visage de surprise joyeuse et d’excitation pour Claire, visage de surprise et d’incompréhension pour Bertrand. À côté d’eux, Michel baisse les yeux. Je ne quitte pas Claire des yeux, je souris froidement. Anne-Sophie se lève et les salue, alors que les trois entrent vraiment dans le salon. Elle porte un top manches longues en cuir et résille transparente : les manches, les épaules et le dos sont en résille, sur les côtés deux bandes de cuir reliées par un laçage au milieu. Avec sa poitrine, cela fait un effet incroyable. Elle a une jupe crayon juste au-dessus des genoux, très moulante et fendue sur l’arrière. Des bas autofixants et des escarpins à talons aiguilles de 14 centimètres. Elle est elle aussi incroyablement sexy. Claire rompt le silence :
— Ah oui en effet, tu es superbe Anne-Sophie.— Oui, magnifique !
Bertrand bave devant elle.
— Oh comme c’est mignon, regarde-moi ça Claire, nos petits maris qui nous couvrent de compliments.— Ils sont adorables.
Bertrand me regarde, quand je pose les yeux sur lui, il baisse la tête. Et ose à peine dire :
— Et qu’est-ce que... je veux dire, c’est ton élève non Claire ?— Ben oui, voyons, tu sais bien que c’est Isaiah, tu m’en as parlé hier !
Elle sourit. Il ne réagit pas, elle continue :
— Je ne savais pas que tu serais là Isaiah !— Bonjour Claire.— Bertrand sursaute au fait que je l’appelle par son prénom, mais ne dit rien. Moi je n’ai pas bougé du canapé. Anne-Sophie enchaîne :— Oui, Isaiah est vraiment un élément moteur du lycée, et il m’aide sur des sujets, tout comme il t’aide sur le français si j’ai bien compris.— Hmmmm, oui tout à fait. Quand on a la chance d’avoir un élève aussi brillant et impliqué, il faut en profiter !— Oui j’admire moi aussi son implication.— Oh, arrêtez mesdames, je risquerai de prendre la grosse tête.— Ah ah oui c’est sûr. En plus avec ton gabarit, ce serait vraiment très... gros.
Claire me sourit en disant cela. Anne-Sophie dit à Claire et Bertrand de s’asseoir dans les fauteuils, elle vient s’asseoir à mes côtés, laissant la place de l’autre côté de moi à Michel. Il leur sert à boire et à nous aussi. Après quelques minutes de discussions sans intérêt, je m’absente pour aller aux toilettes mais reste caché à l’entrée du salon. Bertrand parle :
— Anne-Sophie, juste, c’est pas un peu bizarre qu’un élève vienne chez ses profs ? Son proviseur ?— Les cours particuliers c’est soit chez le prof, soit chez l’élève de toute façon, tu ne veux pas qu’on fasse ça dans la rue !— Non, évidemment ; mais juste ce sont des ados, et puis là, par exemple, pourquoi il reste ?— Parce qu’il aime le foot ! Et pour le cas d’Isaiah, puisque c’est de lui que l’on parle non ? C’est lui qui t’intéresse ?— Euh oui, enfin m’intéresse c’est un bien grand mot, mais...— Oui OK, enfin bref, crois-moi ce n’est pas franchement un ado, c’est un homme ! Il n’a qu’à le voir à côté de certains quadras ou quinquas. — Oui, enfin, il n’y a pas que le physique qui...— Je ne parle pas que de physique... enfin même s’il faut avouer que physiquement c’est encore plus flagrant, tu ne trouves pas ?— Comment ça ?— Ben vous deux par exemple, si on vous met à côté de lui, on dirait deux petits garçons non ? Et là je veux dire physiquement.— Non mais ça va pas...— Bon écoute Bertrand, on en a déjà parlé, il est très mature, point ! Tu ne vas pas nous faire un scandale sur ça. — Non non, bien sûr, mais...— Stop !
Je souris, et reviens dans le salon. Je vais jusqu’au canapé en regardant Bertrand, et en souriant. Il ne dit rien.
— Michel, ma bière est finie.
Il se lève pour aller m’en chercher une. Claire en profite :
— Oh mon chéri, tu irais pas m’en chercher une aussi ?— Hein ? Oh t’abuses, tu veux pas demander à Michel.— Ben non, ça ne se fait pas. Allez...
Il se lève finalement. Dès qu’il nous tourne le dos je roule une énorme pelle à Anne-Sophie.
— Putain, arrêtez, je suis déjà trempée là.
Je la regarde en souriant :
— Et moi je bande comme un âne en vous voyant les filles, vous êtes superbes.— Merci mon chéri.
Les deux reviennent. Michel me tend ma bière, je ne dis rien. Bertrand donne la sienne à Claire qui le regarde :
— Oh je t’ai dit une bière ? Pardon en fait, je vais reprendre un verre de blanc.— Tu plaisantes ?— Non non.
La première mi-temps se passe normalement, le match est bien, je sens Claire et Anne-Sophie me regarder, me désirer. À la mi-temps Michel va pour débarrasser un peu et resservir les verres. Mais Anne-Sophie se lève pour aller dans la cuisine :
— Ne bouge pas mon petit chéri, tu as déjà tout fait.
Puis elle me regarde :
— Isaiah, tu me donnes un petit coup de main ?— Bien sûr oui.
Je me lève et me colle à elle, à ses côtés, on va vers la cuisine. Je lui mets une grosse main au cul, que je laisse longtemps. Pour être sûr que les trois derrières nous auraient vus. Elle tourne la tête vers moi et me sourit.On va dans la cuisine, elle me roule une énorme pelle. Puis je retourne à l’entrée du salon, mais là où on ne me voit pas. Bertrand parle à Michel :
— Non mais attends, t’as pas vu ?!— Quoi ?— Il lui a mis une main au cul là. — Ah, euh, non, non j’ai pas vu.— Non mais tu peux pas laisser faire ça.— Mais ils font ça... euh... c’est pour rire.— Quoi ? Non mais attend, si ça se trouve il la force.— Non non je te dis, c’est bon.— Tu vas rien dire ?— Non, non. On passe une bonne soirée, pas de vague, je veux pas contrarier Anne-Sophie.— Pffff, mais faut lui dire un truc là !
Claire intervient :
— Ah parce que toi tu lui dirais quelque chose ?— Quoi ? Si c’était à toi qu’il mettait une main au cul ?— Oui !— Ben oui, évidemment que je dirais quelque chose.— Ah ah, j’aimerais bien voir ça.— De quoi ? — De toi qui lui tient tête !— Quoi ? Il me fait pas peur hein.— Mais oui mon petit chéri, j’en suis sûr ah ah.
Je souris, il y a un petit silence, puis Claire en remet une couche :
— Cela dit, une bonne main au cul c’est agréable parfois !— Quoi ? Je croyais que tu n’aimais pas.— C’est comme tout, quand c’est bien fait... — Tu veux dire quoi là ?— Moi ? Rien ! Juste que quand c’est bien fait, c’est bon. — Mouais bon. Je vais me reprendre une bière moi. Vous voulez quelque chose ?— Non mon petit chéri.
Il se lève. Je retourne dans la cuisine. J’ai juste le temps de rouler une grosse pelle à Anne-Sophie qui glousse. Il arrive.
— Ah Bernard, tiens, tu tombes à pic.
Je lui donne un plateau avec des trucs apéro dessus.
— Tu peux ramener ça au salon. — Il ne dit rien, me regarde, complètement ahuri. — Il y a un problème ?— Euh... non non...— Tu as un problème avec moi ?— Non, non pas du tout. — Ah, tant mieux. Tant mieux. Comme on s’entend vraiment très bien ta femme et moi, ce serait dommage que tu ne m’apprécies pas.— Non... non... mais pas de soucis, Isaiah.— Pas de soucis quoi ?— Je... je t’apprécie Isaiah. — Ah parfait. Je sais que je peux être... impressionnant, voire intimidant. Mais je suis aussi gentil tu sais. Demande à Michel, il te le dira. — Non, mais, oui, oui ça se voit.— Oh, tu trouves ? Mais c’est adorable ça.
Je lui souris, il tient le plateau à deux mains, il est devant moi, il ne bouge pas. Je laisse un long silence.
— En tout cas quand on débarque comme ça dans une nouvelle ville comme moi, c’est vraiment agréable d’être si bien accueilli. Claire s’occupe vraiment très bien de moi. En français.
Je lui souris. Anne-Sophie passe devant nous, tout sourire elle aussi va au salon.
— Et, entre nous, je suis un peu d’accord avec toi.— Sur quoi ?— Sur leur tenue là. C’est un peu trop non ?— Hein ? Euh... je... je ne sais pas.— Mais si tu sais ! Tu lui as dit.— Oui... oui c’est vrai.— En plus sachant qu’il y a un jeune mâle comme moi présent...— Elle... elle ne savait pas que tu serais là. — Ah au fait, un truc tout con Bernard, mais je préfère que tu me vouvoies.— Mais, tu me...— Oui, mais c’est mon truc ça. OK ?— Euh... oui oui OK. — Ah c’est cool, je préfère.
Je lui mets une petite tape amicale sur l’épaule.
— T’es vraiment sympa Bernard.
Je regarde mon tel et sans qu’il le voit, je lance l’application dictaphone.
— En tout cas je sais pas toi, mais moi, elles me font bander les deux.— Hein ? Quoi ? — Ben, Claire et Anne-Sophie, elles te font pas bander toi ?— Non, mais attends, tu...— Tttttttttttt, qu’est-ce que je t’ai dit ?— Pardon, vous,... mais ça va trop loin là...— Pourquoi ? Elles ne t’excitent pas toi ?— Mais... enfin, je... enfin...— Oui ?— Si, oui. — Si oui quoi ?— Elles... elles m’excitent oui.— Anne-Sophie là, avec sa mini robe, t’as vu on lui voit les bas. — Oui oui j’ai vu.— J’adore ça moi. Pas toi ?— Si si. — C’est des bas qu’elle a Claire là ?— Euh... oui oui.— Putain, trop bien. Tu l’as baisée avant de venir ?— Non, mais ça... ça ne te... ne vous regarde pas voyons.— Ah, donc non ! Elle t’a même pas sucé dans la voiture ?— Hein ??? Mais non !— J’adore ça moi qu’on me suce au volant, pas toi ?— Je... je ne sais pas.— Et franchement Anne-Sophie, elle te fait pas bander ?— Mais je... je ne sai pas... enfin...— Tu sais pas si tu bandes ? T’es impuissant ou quoi ?— Mais non pas du tout !— Et ben alors ?— Oui... oui !— Oui quoi ?— Elle me fait bander !— Anne-Sophie ?— Oui !— Oui moi aussi. Mais j’avoue que Claire, avec ses gros seins, putain !!! Elle envoie !
Il ne dit rien. Je lui remets une tape sur l’épaule.
— Allez j’arrête de t’embêter Bernard. On y retourne ?— Euh, oui oui. — Ah, je t’arrête. Claire insiste beaucoup en cours sur le fait qu’on ne dise pas juste oui, ou non.— Ah ? Oui c’est vrai, elle a raison.— Donc ?
Il baisse les yeux.
— Oui Isaiah ?— Parfait ! Au fait, c’est Bernard ou Bertrand toi ?— Euh... Bertrand.
Je ne dis rien, je le regarde.
— Ça va ? Tu as l’air stressé ?— Euh... non, non ça va oui. — Putain, moi je suis raide là, regarde la gaule que je me tape.
Je sers ma queue à travers mon pantalon pour lui montrer.
— Oh mon Dieu !— Eh oui ! Je peux pas y retourner comme ça si ?— Ah ben là non, ça va être grillé.— Par qui ?— Par tout le monde, c’est énorme. — Tu trouves ?— Euh, oui... oui.— Oui quoi ? — Oui elle a l’air énorme.— Ma queue ?— Oui.— Oui qui ?— Oui Isaiah. — Allez viens, ça va reprendre.— Mais...
Il dit le « mais » en regardant vers mon entrejambe.
— T’inquiète. Elles en ont vu d’autres non ?— ...— Ah ah, je te charrie. Je sais bien que non !
On retourne au salon. Je coupe le dictaphone. Un grand sourire aux lèvres. Je me vautre dans le canapé, cette fois, quasiment collé à Anne-Sophie.— Ahhhh je ne sais pas vous, mais moi suis en grande forme aujourd’hui.
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