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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 55

Chapitre cinquante-cinq – babydoll

Trash
Je la pose carrément sur Bertrand. Il essaie de se dégager, mais comme je maintiens Claire sur lui, il ne peut pas. Elle rit, et sort ma queue et se l’enfourne en bouche.
— Ahhhhhh oui, vas-y, pompe ma belle. Suce ma grosse queue de black.— Mmmmmmm oui mon chéri, j’en ai trop envie. — Ah ah tu m’étonnes ! Moi aussi, regarde comme je bande, tu m’as trop excité tout à l’heure dans ta tenue de salope !— Mmmmm merci !
Je la décale pour que Greg puisse avoir une belle vue sur ma queue dans la bouche de sa femme. Elle me pompe comme une pro, se régale de mes couilles et de mon chibre. Je regarde Greg qui est bouche bée devant le spectacle :
— Alors, elle est grosse hein ?— Hein ? ... euh... oui. Oui.— Oui qui ?— Oui Isaiah.— Ah ah, c’est bien ! Je sais que tu baves d’envie sur ma queue depuis tout à l’heure.— Hein ? Mais non, non !— Ah ah, t’inquiète, je le dirai à personne. — Mais c’est pas vrai !— Moi je bave d’envie dessus en tout cas.— Ah ah ah, oui je sais ma petite salope.— Mmmmmmmmm.
Elle me suce comme jamais. Je prends son visage entre mes mains et lui baise la bouche à fond, des filets de bave coulent. Ensuite, je la laisse s’activer sur ma pine, et me masse ses grosses mamelles à peine couvertes par sa nuisette.
— Mmmmm j’adore ta nuisette ma belle.— C’est vrai ?
— Oh oui !— Mmmm, je l’ai achetée pour toi.— C’est vrai ?— Oui samedi !— Merci ma belle. — C’est normal mon amour.
On rit.
— Tu l’appelles mon amour ? Mais c’est moi ton amour, je suis ton mari Claire.— Toi tu es mon petit amour !
On rit encore, je me penche sur elle et l’embrasse. Je la fais basculer vers l’arrière, j’écarte son string et me glisse en elle. Elle est tellement trempée, je n’ai aucun problème et commence à la limer direct. Elle gémit, et jouit très très vite.
— Ahhhhh ça doit être un record là. Déjà un orgasme ?— Oh ouiiiiiii, mais suis trop excitée, je te l’ai dit.— Je vois ça ma belle. J’adore. — Et toi petit mari cocu ? Tu aimes ?— Nooooooon.— Il bande ! Je le sens sous moi ! Ce n’est pas bien gros mais tout dur, je dois dire.— Ah ah. Alors ? Tu aimes ou pas petit mari cocu ?— No... oui oui, Isaiah. Mais vous n’avez pas mis de capote ?— Pour quoi faire ? Ta femme adore que je la remplisse.— C’est vrai ça mon petit chéri. — Mais ce n’est pas la première fois ? — Wouahhh, tu comprends vite dis donc ! Mais t’en fais pas, on a toute la nuit, donc tout le temps pour tout bien t’expliquer et te raconter.— Toute la nuit ?— Oui mon petit chéri. Maintenant que je peux enfin en profiter, Isaiah va me baiser toute la nuit.— Tu sais quoi ma belle ? Je crois que cette nuit, je vais te faire l’amour toute la nuit.— Mmmmm arrête je pourrais jouir juste rien qu’en t’écoutant là.— Ah ah comme Michel !
Bertrand me regarde apeuré.
— Eh oui, il s’est joui dessus en me voyant pénétrer sa femme. Il ne se caressait pas.— Mais vous la baisez aussi ?— Ah ah, tu es vraiment amusant, petit mari cocu.
Je passe mes mains sous les cuisses de Claire et la soulève.
— Allez viens, ma belle, allons dans notre chambre.— Oui mon amour. Emmène-moi dans notre lit.
Elle m’embrasse.
— Tu m’apportes un autre whisky petit mari cocu !
Je la porte jusque dans la chambre. Je m’allonge dans le lit, nu, et Claire vient me sucer. Elle me fait une gorge profonde quand Betrand entre dans la chambre, mon verre à la main. Il me l’apporte.
— Merci petit mari cocu. Installe-toi, mets-toi à l’aise.
Il me regarde, et finit par prendre une chaise et s’asseoir près du lit.
— Ahhh c’est bien, tu as trouvé ta place !— Mmmmm mmmmmm, regarde mon petit chéri, regarde comme sa queue est belle.— Et regarde comme ta femme est belle avec ma queue dans sa bouche !
Elle dégage les seins de la nuisette et me branle entre ses mamelles.
— Ah ouiiii, putain j’adore ça, j’adore tes seins ma belle.
Elle me tète le gland tout en me branlant. Puis je la mets à 4 pattes face à son cocu. Je me mets derrière elle et m’enfile en elle en levrette. Je la défonce en levrette, lui mets des fessées, la tiens par les cheveux, elle jouit de nouveau. Ses mains sont posées sur les cuisses de Bertrand, elle serre à fond. Je la plaque sur le lit et la pilonne, la fais jouir encore, puis lui prends le cul. Apparemment, Bertrand n’a jamais eu le droit lui. Je lui remplis le cul. Elle hurle de jouissance. Je me retire, elle se tourne, s’allonge sur le dos, je viens au-dessus d’elle et lui baise la bouche comme si j’étais dans sa chatte. Puis je mets ma queue entre ses seins et lui baise la poitrine. Au moment de jouir, je me branle au-dessus de son visage, elle prend un ou deux jets en bouche, d’autres viennent s’écraser sur son visage et deux atteignent les cuisses de Bertrand. Il se recule brusquement et tombe par terre. On éclate de rire avec Claire.
— La puissance de ton sperme l’a fait valser en arrière mon amour.— Je ne contrôle pas ma force !
On s’allonge l’un à côté de l’autre, on s’embrasse, on se caresse. Après quelques minutes, je me reglisse en elle et lui refais l’amour. Elle jouit. On baise toute la nuit, non-stop. On ne fait pas attention du tout à Bertrand. Au matin, Claire dort, je vais prendre une douche et descends à la cuisine. Bertrand est là.
— Tu me fais un café !
Il le fait.
— Vous allez bien ?— Très bien. C’était bon de pouvoir en profiter, de ne pas avoir à se cacher ! Enfin on se cachait pas vraiment avant. Enfin, tu as compris quoi. En tout cas franchement, elle est trop bonne Claire.
Il ne dit rien.
— Faudra qu’on se refasse une soirée match avec Anne-Sophie et Michel aussi.
Je le plante là. Je repasse chez moi me changer. Une fois arrivé, j’envoie un message à Michel :
— Viens me chercher chez moi et qu’Anne-Sophie soit à l’arrière de la voiture. Préviens-moi quand vous êtes devant.— A vos ordres mon Roi.
Quelques minutes plus tard, ils sont là. Je descends. Je roule une grosse pelle à Anne-Sophie à l’arrière de la voiture.
— C’est gentil d’avoir pensé à moi ce matin mon chéri.— Je te devais bien ça pour hier soir.— Oh, mais tu ne me dois rien Isaiah. — Je sais ! J’avais envie de ta bouche !— Mmmm coquin.
Elle me suce alors que l’on va au lycée. Michel est obligé de se garer pour lui laisser le temps de me faire jouir et de tout avaler, avant que l’on arrive. Je lui dis aussi qu’elle me désigne tuteur pédagogique de Greg. Elle accepte et m’annonce qu’elle nous convoquera dans son bureau tous les 2. Parfait !
La journée se passe bien. Je dis à Carl de m’amener la voiture au lycée. On continue à bien s’entendre avec Manon. Le midi, on fait l’aller-retour chez moi pour faire l’amour. C’est toujours aussi bon. Je reçois un message de Claire :
— Coucou mon chéri, juste pour te remercier pour cette nuit divine. Et aussi te dire que Bertrand regrette de ne pas avoir été un meilleur hôte ! Il tient vraiment à se rattraper lol. Hâte de voir ça !— Ah ah, très bien ça ! Moi aussi, j’ai bien hâte de voir ça. J’ai adoré passer la nuit avec toi ma belle. On aura qu’à faire la prochaine soirée match chez vous !— Ça marche. Bisous mon amour.
Dans l’après-midi, je reçois un message d’Anne-Lise qui m’annonce qu’elle m’a trouvé une candidate : elle s’appelle Lucie.
— Parfait ! Dis-lui que je veux la voir demain à 15h. Chez moi.— OK. Je lui donne ton tel ? Et lui dis de t’écrire ?— Oui !— Bien mon chéri. — Tu lui as dit quoi ?— Quel genre d’homme tu es, comment on s’est connu, que tu cherches une assistante personnelle / soubrette, une femme entièrement dévouée.— Bien.— Elle est docile de nature !— Ah, très bien alors;-) tu la connais d’où ?— C’est une copine de lycée, qui est devenue escort, mais qui ne veut plus faire ça. — Parfait. Dis-lui de m’écrire alors.— Je l’ai fait;-) Bisous mon chéri.
A la fin des cours, on est convoqué avec Greg chez la proviseur qui lui annonce que dorénavant, je suis son tuteur au lycée. Il fait la gueule mais accepte. Ça n’engage pas à grand-chose, mais ça l’humilie un peu plus. Je lui dis que Manon est moi, on voudrait l’inviter à dîner, il est surpris mais semble ravi. Il se fait sans doute de fausses idées. Je lui propose samedi soir. Il accepte. Il doit être tout excité !
Je rentre chez moi. Je dors. Je me prends un bain, et me prépare pour aller dîner chez Catherine. Il est 20h quand je sonne chez elle. Elle m’ouvre, elle porte une mini-robe noire moulante, courte, asymétrique en haut, joliment décolletée et des escarpins à talons aiguilles. Elle est superbe. Surtout, elle se colle à moi et me roule une énorme pelle.
— J’en conclus que Nicolas n’est pas là.— Si si, au salon. Ils parlent avec ton père.— Ah entre cocus.— Ouiiiiiii. Et tu m’as manqué, tu te fais rare.— Suis bien occupé oui.— Je te l’ai déjà dit, on a besoin d’une présence masculine dans la maison.— Je suis là. — Entre.
Je la suis et lui mets une grosse main au cul. Elle apprécie. On va au salon, je salue les deux cocus. Nicolas est évidemment très mal à l’aise, il n’ose pas me regarder. Il doit encore avoir en tête les images de sa copine dans mes bras. Juliette nous rejoint. Elle porte un mini-short en jean et un chemisier, elle est très mignonne, presque sage... J’aime bien.
Le dîner se passe normalement, rien à signaler. Je profite de la moindre occasion pour rouler des pelles à Catherine, lui mettre des mains au cul. Juliette elle, m’évite. Elle et Nicolas vont finalement se coucher, on est au salon avec Catherine et Carl. Dès qu’ils quittent le salon, Catherine vient s’asseoir sur moi, à califourchon. Mes mains se posent sur son cul. Elle danse sur moi. On s’embrasse. Elle me suce longuement, puis m’entraîne dans sa chambre. Carl reste d’abord dans le salon, mais finit par nous rejoindre pour assister au spectacle. Je la baise longuement et la fais jouir trois fois. Moi je jouis une fois sur ses seins. Elle me nettoie la queue et je prends une douche vite fait. Je quitte la chambre. J’ai prévu de rentrer chez moi cette nuit. Je m’arrête dans la cuisine et me prends une bouteille d’eau. Je bois un coup. Juliette arrive dans la cuisine. Elle est en petite nuisette blanche courte.
— Mmmm charmante décidément.— Merci !— On t’a réveillée ?— Ah ah ! Oui ! Enfin plutôt empêché de m’endormir.— Désolé, tu aurais dû venir.— Non non.
Je me dirige au salon et me mets dans le canapé, elle s’assied à côté de moi, mais pas tout près.
— Tu es distante ce soir.— Oui...— ça se passe bien avec Nicolas ?— Oui oui. Très bien.— Super ! Il n’avait pas l’air ravi de me voir.— Tu parles. Il m’a même dit que j’aurais pu le prévenir que tu venais.— Il a pas tort. — Tu ne vas pas le défendre quand même. — T’as vu, j’ai été sage ce soir.— Tu veux une médaille.— Non, mais un bisou oui.— Nooooonnn, Isaiah. — Pourquoi pas ?— Il ne faut pas.— A cause de Nicolas ?— Oui...— J’ai très envie de toi Juliette.— Arrête...— C’est vrai. — J’en doute pas ! — C’est bien le sexe avec lui ?— ... C’est... différent.— Différent ? — Oui, différent.— Différent, genre sans orgasme ?— Arrête...— Tu penses à moi ?— Et toi ?— Moi, oui. Je te l’ai dit, là j’ai envie de toi. — Moi aussi Isaiah. — Approche.— Non...
Je lui prends la main.
— Tu me manques Juliette.— Menteur.
Je lui pose la main sur mon entrejambe.
— Vraiment ?— Arrête...
Mais elle laisse sa main. Ne cherche pas à la retirer.
— Approche Juliette.— Juste un bisou alors.— Oui. Un bisou.
Elle s’approche et se colle contre moi. Elle a toujours la main sur mon pantalon. Je lui murmure à l’oreille :
— Un bisou et une pipe. — Arrête Isaiah...
Elle dit ça et m’embrasse, tendrement.
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