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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 56

Chapitre cinquante-six – café noir

Trash
Sa main posée sur mon pantalon masse lentement mon sexe. Nos langues s’entremêlent. Je pose ma main sur sa cuisse.
— On a dit juste un bisou Isaiah.— On a dit juste un bisou et une pipe Juliette. — Tu as dit ça.— Oui;-) et tu en meurs d’envie.— Ouiii, mais on ne peut pas.
Je l’embrasse encore plus fougueusement, ma main presse sa cuisse. Je lui souris :
— Tu gardes ta main sur ma queue ma belle.— Oui...— Tu pourrais juste la sortir s’il te plaît ? Je commence à être à l’étroit.
Elle me regarde en souriant.
— Juste la sortir Juliette.
Elle rit. Elle secoue la tête désespérée et sort ma queue. La prend du bout des doigts. Je l’embrasse. Je mets ma main sur la sienne et la fais aller et venir sur ma queue. Elle se cambre et se colle à moi, on n’arrête pas de s’embrasser. Elle gémit.
— Suce-moi Juliette.
Elle me regarde en souriant :
— Juste ça alors.
— Oui ma belle. Applique-toi, je jouirais peut-être rapidement.— T’es con.
Elle se penche et me prend dans sa bouche. Elle s’applique, mais surtout elle en profite. Elle caresse ma queue, l’embrasse, la lèche, la suce, la frotte sur son visage. J’ai une main posée sur son cul que je malaxe.
— Ça t’avait manqué ma belle ?— Oui Isaiah.
Après de longues minutes de ce traitement, mes mains caressant son cul, ses seins, je commence à la caresser à travers le string. Elle veut protester mais je le maintiens sur ma bite.
— Tu as perdu la main Juliette.— Hey !!! C’est pas vrai.— A force de sucer des petites bites, ce n’est pas étonnant !— Arrête. Et puis ce n’est pas possible, je ne le suce pas.— Quoi ???— Je lui refuse.— C’est vrai ?— Oui. — Tu lui dis quoi ?— Que je n’aime pas.— Ah ah ah, excellent. Ahhh putain j’ai trop envie de toi Juliette.
En disant cela, je la soulève et la fais venir sur moi. Elle pousse un petit cri. Elle est au-dessus de moi à califourchon, j’ai mes mains sur ses fesses. Je l’embrasse. J’ai la queue entre ses fesses, le pantalon à la taille, ouvert.
— On ne peut pas faire ça, Isaiah.
Je commence à la faire danser au-dessus de moi, contre ma queue. Elle gémit.
— Mais si, on peut. Et on va.— T’es pas possible.— Fallait pas me dire que tu le suçais pas, tu sais bien que ce genre de choses m’excite comme un fou.
Elle me sourit.
— Je sais oui.
Elle m’embrasse. Je me lève d’un coup. Elle dans mes bras, elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi. Je commence à avancer.
— On va chez toi ?
Je lui souris :
— C’est trop loin. Et puis, on n’a jamais baisé dans ta chambre, si ? — Arrête, non non, on peut pas faire ça.— Pourquoi ?— Y a Nicolas.— Il a rien dit la dernière fois, qu’est-ce que tu crois qu’il va faire ?
Elle ne dit rien, elle se colle encore plus à moi, m’embrasse. Elle me dit tout bas :
— Isaiah...— Juliette...
Je continue à avancer, on est dans l’escalier.
— Retourne au salon Isaiah.— Vois le bon côté : si on reste au salon, et qu’il nous surprend, c’est vraiment genre tu le fais dans son dos ; alors que là, dans ta chambre, au moins tu ne lui caches pas.
Elle me regarde et sourit.
— T’es vraiment pas croyable.
Je lui rends son sourire :
— Et toi, t’es vraiment incroyablement désirable.
Elle m’embrasse.
— Demande-moi de te baiser dans ta chambre Juliette.— Baise-moi Isaiah, baise-moi dans mon lit.
Je l’emmène dans la chambre. J’ouvre la porte, ne la referme même pas.
— Je vois rien, faut que tu me guides.— Chhhuuuut.
Je prends mon portable et l’allume. Je m’en sers de lampe de poche. Je vois le lit, j’avance. Je devine Nicolas qui dort d’un côté. Je me dirige vers ce côté-là.
— Abuse pas quand même.
On s’embrasse, et lui accorde ça, je vais du côté vide. Je m’assieds puis m’installe, adossé à la tête de lit. Elle me reprend dans sa bouche.
— Mmmmmm tu suces vraiment bien.— Je croyais que j’avais perdu la main.— C’était pour te piquer au vif.— Ça a marché !— Tant mieux. — Mmmmm j’aime trop ta queue Isaiah. — Tu la veux ?— Ouiiiiiii !— Je la fais venir sur moi, je l’embrasse, lui retire sa nuisette, j’écarte son string et me glisse en elle.— Mmmmmmmmmm.
Mes mains sur ses fesses la soulèvent et la font redescendre. Puis je la plaque contre moi, on s’embrasse et je la lime très vite. Elle jouit puissamment. Nicolas se tourne et se met en position fœtale, nous tournant le dos. Il est réveillé, il sait, mais ne dit rien. Je me retire et la fais se mettre à 4 pattes, je viens derrière elle et la prends en levrette. Nicolas tourne la tête et nous voit, puis referme les yeux. Juliette le voit et ne se retient plus. Elle commence à crier alors que je pilonne sa chatte. Elle jouit encore une fois et moi aussi, je me déverse en elle. Je râle comme un fauve et elle crie de plaisir. Je reste en elle et la prends encore quelques minutes en levrette. Puis elle s’allonge sur le dos et je viens en elle en missionnaire. Là, on reste dans cette position de très longues minutes, j’alterne les mouvements rapides et plus lents. Je me bloque tout au fond d’elle et la fais jouir encore une fois. On s’embrasse, on se caresse, moi toujours en elle.
Puis je m’allonge sur le dos et elle me suce longuement, passionnément.
— J’aime trop quand tu me suces Juliette.
Je dis ça bien fort. Et pose ma main sur le crâne de Nicolas. Il sursaute. Je veux être sûr qu’il entend bien.
— Oui, pompe, pompe cette belle grosse queue.
Elle me suce divinement bien, gémit de plaisir et de gourmandise.
— J’aime trop te sucer Isaiah. — Pardon ? J’ai pas entendu ?
Elle parle plus fort :
— J’aime trop sucer ta grosse queue Isaiah.— Moi, je ne sais pas ce que je préfère entre te remplir la chatte ou la bouche.
Elle me pompe et finit par me faire jouir, en avale une bonne partie. Le reste vient sur ses seins. Elle vient s’allonger à moitié sur moi.
— Tu veux prendre une douche ?— Non, on est bien là, non ?— Oh ouiiiiii.
Je l’embrasse.
— Mmmmm va pas falloir me bercer.
J’ai à peine dit cela qu’elle m’embrasse. On s’endort à côté de Nicolas. Je suis réveillé par la bouche de Juliette sur ma queue, sa main sur mes couilles. J’ouvre les yeux. Elle me sourit :
— Bonjour mon chéri.
Je lui passe la main dans les cheveux :
— Mmmmm la pipe au réveil, ce que je préfère.— Je m’en suis souvenue.— Mmmmmm, c’est encore meilleur que cette nuit.— J’ai retrouvé le rythme.
Elle me sourit. Je m’étire, et abats un bras sur Nicolas qui est dans la même position que la veille. Il sursaute et se retourne. Je maintiens la tête de Juliette sur ma queue.
— Salut mon vieux, bien dormi ?
Il regarde Juliette et ma queue. Puis moi. Il n’ose rien dire et rien faire.
— Non ?— Euh... si, oui oui.— Ahhh, tant mieux.
Je baise la bouche de Juliette qui bave à mort et fait des gros bruits de succion.
— Tu trouves pas qu’elle est magnifique quand elle me suce ?— Je... je ne sais pas.— Mais si tu sais !
Je l’attrape par la nuque et l’attire tout près du visage de Juliette :
— Alors ?— Oui, elle est très très belle.
Juliette sort ma queue de sa bouche, finalement, et regarde Nicolas :
— Bonjour mon chéri.
Elle le smacke. Il semble un peu dégoûté.
— Quoi ? T’aimes pas le goût de ses lèvres, là ?— Si si...— Et bien alors ? Embrasse-la mieux que ça !
Il colle ses lèvres aux siennes. Puis la regarde, ma queue dans la main et le gland juste sous sa bouche.
— Désolée mon chéri mais je suis tombée sur Isaiah cette nuit et... et j’ai pas pu résisté. — T’inquiète pas ma belle, je suis sûr que le petit Nicolas comprend.
Juliette étouffe un rire. Il baisse les yeux.
— Oui oui, pas de problème, je comprends. — Tu vois !— Oh, merci mon chéri, tu es le meilleur.— Euh ?— Après toi bien sûr, Isaiah.— Eh eh, je préfère ça.— Euh, je... je vous laisse... je vais prendre une douche.— Mais non, mais non, tu ne nous déranges pas voyons. Et puis Juliette a presque fini là.— Ouiiiiii.
Elle me suce à fond, Nicolas reste dans la même position. Je jouis dans sa bouche et comme la veille, elle en avale les premiers jets, les suivants venant s’écraser sur son visage. Au moment de jouir, je pousse un râle puissant et empoigne l’épaule de Nicolas que je pétris au moment où le sperme jaillit.
— Ahhhhhhh ouiiii, putain, c’est trop bon. — Mmmmmm ça t’a plu mon chéri ?
Comme un con il répond :
— Euh, oui... oui.— Ah ah, je crois qu’elle s’adressait à moi ! — Lol, oui, oups.— Ah ah, oui, ça m’a plu ma belle. Putain, tu sais pas ce que tu perds, elle suce comme une reine.
Juliette sourit et nettoie ma queue dans sa bouche. Je me nettoie ensuite vite fait et on descend tous les trois dans la cuisine, je suis juste en boxer, Nicolas est habillé, et Juliette a juste remis sa petite nuisette. Même pas le string. Carl est là, habillé, Catherine est en nuisette aussi.On se dit bonjour. Juliette est tout contre moi, j’ai une main sur ses fesses. Catherine me regarde en souriant :
— Surprise de me voir encore là ?— Ah ah, pas vraiment. Vu le bruit cette nuit, je me suis doutée.
Je m’approche d’elle avec Juliette toujours contre moi, et je roule une grosse pelle à la mère. Je souris en voyant le visage apeuré de Nicolas. Je roule ensuite une pelle à Juliette. J’ai la mère et la fille tout contre moi. Carl ne fait même plus attention, et Nicolas est prostré.
— Ah, on dirait que le petit Nicolas a vu un fantôme.
Il baisse les yeux.
— Carl va t’expliquer, mais je prends mon café noir !
On rit, j’entraîne les deux au salon, de part et d’autre de moi, une main sur chaque cul. Je me pose dans le canapé et elles me sucent toutes les deux. Alors que ma queue passe d’une bouche à l’autre, Nicolas entre timidement dans le salon, mon café à la main. Je le regarde en souriant.
— Approche, n’aie pas peur !
Il me tend mon café. Je le prends. Les deux bouches s’activent sur ma queue. Je regarde Nicolas et lui fais un clin d’œil.
— T’irais pas me chercher mon portable.
Il me regarde puis se tourne et va à la chambre. Je soulève Catherine et la fais venir s’empaler sur ma queue. Je roule des pelles à Juliette en même temps que sa mère me chevauche. Nicolas revient avec mon téléphone. Il me le tend. Je ne le prends pas. Je me lève toujours avec ma queue dans Catherine. Je la pose sur le canapé et la prends en missionnaire. Puis je prends Juliette en levrette. Tout en roulant des pelles à Catherine. Elles jouissent toutes les deux, avant de me reprendre en bouche. Je prends alors le portable des mains de Nicolas.
— Merci mec !
J’envoie un message à Anne-Sophie :
— Pas en cours aujourd’hui ma belle. — Bien noté mon chéri.
Ah, et va dire à Manon qu’elle n’a pas cours ce matin non plus et qu’elle me rejoigne chez moi.
— OK !
Je pose le portable et jouis sur les visages de Catherine et Juliette. Nicolas est resté tout du long. Alors que les deux lapent ma queue, je lui souris :
— Eh bien, ça a eu l’air de te plaire non ?
Il baisse les yeux :— Oui... oui.
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