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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 59

Chapitre cinquante-neuf – Sylvain a été vilain

Trash
— Tu crois ?— Oui, j’en suis sûr Elodie. Moi-même, là, je suis attiré par toi. Tu es magnifique, il faut dire.— Merci. C’est gentil. Isaiah ne m’a fait aucun compliment lui.— Quel nul !
Ils rient tous les deux. Elle fait du dangling avec une de ses jambes, il regarde et sourit. Il commence à lui caresser la cuissarde du bout des doigts.
— C’est vrai qu’elles sont superbes.— Et excitantes ?— Très !— Tu sais, tu n’as aucun souci à te faire, Charlotte est folle de toi, ça se voit, et ça se sent.— Ah oui ?— Oh oui, je suis une femme, tu peux me faire confiance... en plus, en disant cela, je ne fais pas franchement mes affaires.— Que veux-tu dire ?— Tu ne te doutes pas ?— Non, dis-moi, Elodie.— J’ai envie de ta langue, Sylvain, j’ai envie de la voir sur mes talons, remonter lentement le long de mes cuissardes...
Elle repose sa main sur la cuisse de Sylvain.
— Remonter encore entre mes cuisses, et se poser sur ma petite chatte trempée ; je rêve depuis tout à l’heure que tu me fasses jouir avec ta langue, car je sais que tu me feras jouir... TOI.— Ça pourrait être notre petit secret Elodie.— Ah oui ? — Oui. Demain je pourrais me libérer dans la journée... Et te rejoindre...
Elle se cambre pour lui :
— Mmmmm, j’adorerais. Mais tu pourrais ?— Bien sûr !
Elle se mord la lèvre.
— OK ! Tiens, prends mon numéro.
Il sort son portable, regarde autour de lui, pris quand même de panique, et le note rapidement. Il se lève. Elle le retient :
— C’est loin demain Sylvain.— Ah oui ?
Il sourit fièrement.
— Tu en as vraiment envie hein ?— Oh ouiiii... je pourrais avoir juste un petit avant-goût ?
Il regarde autour de lui, hésite. Elle agite la cuissarde sous son nez. Elle le regarde, suppliante :
— Pour que j’ai un petit souvenir auquel penser cette nuit. — Je commence par le bas ?— S’il te plaît oui.— OK, mais je fais vite alors.— Comme tu veux mon chéri.
Il regarde encore autour de lui puis s’agenouille devant elle. Il la regarde. Elle se mord la lèvre, cambrée. Elle lui sourit. Il est fier de lui :
— Tu mouilles pour moi là ? — Remonte lentement, tu finiras par le savoir !
Il sourit et se lance, commence à laper les cuissardes l’une après l’autre. Leur bout pointu d’abord.
— Mmmm tu les aimes, Sylvain ?
Je les adore Élodie.
— Tu es un homme, un vrai, comme je les aime.
Il lui sourit.
— Suce le talon mon homme !
Il la regarde, hésite un peu. Elle agite la cuissarde sous son nez, tendant le pied pour faire pointer le talon vers lui. Il avance la bouche, timidement, elle enfonce le talon entre ses lèvres.
— Suce-le, suce-le bien.
Il le fait. On entre avec Charlotte discrètement, on se glisse derrière lui. Je suis toujours derrière elle, collé à elle, je la doigte, j’ai remonté sa jupe sur ses hanches. Elodie se penche vers lui :
— Tu aimes ?— J’adore, Elodie.— C’est Maîtresse pour toi.— J’adore, Maîtresse Elodie.— Allez ! Suce !— Oui Maîtresse. — Et branle-toi en même temps.— Quoi ?— Sors ta queue et branle-toi pendant que tu suces mes talons.— A vos ordres, Maîtresse.
Il garde le talon en bouche et déboutonne son pantalon, sort son petit sexe et commence à se masturber. On le laisse faire quelques minutes. Puis Charlotte avance, j’avance avec elle, tout contre elle.
— Je ne te dérange pas ?!
Il sursaute et manque de se blesser avec la cuissarde d’Elodie qui sourit froidement. Charlotte est debout, juste au-dessus de lui, et moi derrière elle, j’ai une main sous sa jupe (et un doigt dans sa chatte) et de l’autre main, je la tiens par le cou. Je lui fais des bisous dans le cou, je lui mordille l’oreille.
— Oh mon Dieu, mais... non, ce n’est pas... — Quoi ? Pas ce que je crois ?— Attends ma belle, laisse-le s’expliquer ça va être marrant.
Dans un sursaut de confiance en lui, Sylvain tente de me rabaisser pour se sauver :
— De toute façon mon amour, je te préviens, tu vas être déçue par lui.— Ah oui ?— Oui, il en a une toute petite et il est précoce ah ah !!!— Oh, c’est vrai ?— Et ouais, alors, c’est qui l’homme ici hein, Isaiah ?
Je souris, Élodie se lève et vient m’embrasser.
— Ton larbin Benoit t’attend devant. Il va te ramener.— Oh, c’est vrai ? C’est adorable ça mon chéri, merci.— Merci à toi, ma belle, tu as été fantastique.— Ça vous a plu ?— Oh oui, beaucoup Élodie.— Je vous envoie l’enregistrement quand je suis dans la voiture. Bonne soirée Charlotte !— Mais comment ça ?
Élodie se tourne vers Sylvain :
— Ohhhh, oui pardon : tu ne pensais quand même pas que je t’appréciais réellement ?— Mais...— Je les préfère grands gros et puissant, et si possible, black !— Mais...
Élodie me roule une pelle :
— A bientôt, beau black.— A bientôt ma belle.
Elle s’en va, nous laissant Charlotte et moi et Sylvain à genoux, la queue à la main.
— Bon, qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire de toi ?!— Je... Charlotte...— Je ne te parlais pas !
Je lui fais tourner la tête et l’embrasse. Elle gémit.
— Mmmmm, trop bon.
On va s’asseoir dans le canapé. Charlotte croise les jambes et agite sa bottine sous le nez de son mari.
— Et bien ? Je croyais que tu les aimais tout autant ?— Euh... oui... oui...— Et qu’attends-tu alors ?— Je suis désolé Charlotte, je... je ne voulais pas...— Quoi ?
Nos téléphones sonnent. On a reçu l’enregistrement qu’Elodie a fait de la scène. Je souris. Je joue la piste audio. On se marre. Sylvain pleure. On se roule des pelles.
— Alors ?— Alors quoi ? Je te demande pardon, je te jure, je voulais pas.— Lèche mes bottines !— Oui... oui d’accord.— Allez, dépêche et arrête de parler, tu en as déjà bien assez dit !
Il se met à lécher les bottines. J’embrasse Charlotte, je lui reglisse un doigt. Elle se trémousse, gémit, si bien que Sylvain se prend des coups de bottines sur le visage régulièrement.
— Explique-moi quand même gros nul : dans quel monde pensais-tu qu’on te laissait au salon pour baiser une autre femme ?— Mais non... mais c’est elle qui m’a... elle m’a allumé et quasiment sauté dessus. — Oui je sais, on a entendu votre conversation ! Je devrais demander le divorce.— Oh non, pas ça, non, je t’en prie. — Attends : tu dragues la copine d’Isaiah, l’autre soir, là, tu ne t’excuses même pas, et encore mieux, tu recommences avec une autre de ses amies. Je te trouve au milieu du salon léchant ses chaussures et te masturbant !— Je t’en supplie mon amour, pardonne-moi, je ne le referai plus, plus jamais.— Ah ah, oui ça, c’est sûr, crois-moi !— Je t’en supplie Charlotte.— Tu me supplies de quoi ?— De me pardonner et de ne pas divorcer.— Mmmmmm OK, mais...— Mais ?— Mais tu vas signer un petit document.— Comment ça ?— Va prendre l’enveloppe qui est dans le tiroir sous la télé. Ah, et prends un stylo en passant.
Il ne comprend pas, mais finit par se lever et va chercher l’enveloppe. Il revient et se remet spontanément à nos pieds. Charlotte lui dit de l’ouvrir.
— C’est un contrat d’appartenance, c’est ton patron qui l’a préparé.— Pardon ? — Oui, ton patron. Il a été adorable, et très disponible, et de très bons conseils je dois dire, quand je lui en ai parlé. Il l’a rédigé lui-même. — Mais non, c’est pas possible.— Si Si. Il faut dire en plus que sa femme et lui apprécient beaucoup Isaiah. Ça a aidé !
Il a le document en main, n’ose pas le regarder, il tremble.
— Pas besoin de le lire, en substance, ça dit que tu m’appartiens, que tu dois m’obéir et faire tout ce que je désire quand je le désire.— Mais non, mais c’est pas pos...— Si si. Allez, tu as juste à parapher chaque page et à le signer à la dernière page.
Il reste prostré.
— Dépêche, plus tu attends, moins j’ai de chance de te pardonner !
Il la regarde, l’implore.
— Tu m’aimes ? — Oui bien sûr, à la folie.— Alors, signe, ce sera la plus belle preuve d’amour. — Et tu ne divorces pas ?— Non. Tu liras plus tard, mais il est mentionné qu’en revanche, à tout écart de ta part, là, je divorcerai, et je te prendrai tout !
Il se résigne et signe.
— Parfait, on apportera ça demain à ton patron ! Bon, il faut fêter ça. Tu nous sers le champagne mon chéri.
Il la regarde et comprend qu’il doit obéir. Il se lève et va chercher une bouteille et trois coupes.
— Ah ah, tu peux en ranger une !
Il le fait et nous sert deux coupes. On trinque. Puis on s’embrasse.
— Lèche mes semelles.
Il obéit. Je la fais basculer pour qu’elle vienne sur moi, à califourchon, mes mains sur ses fesses, on s’embrasse ; du coup, Sylvain s’est pris un coup et est tombé.
— Je ne t’ai pas dit d’arrêter !
Il reprend le travail de nettoyage des bottines. On se roule des pelles tendrement avec Charlotte :
— Mmmmmm j’aime trop être dans tes bras Isaiah.— Tu veux dire dans les bras d’un vrai homme ?— Ouiiiii.— Pfffff, il en a une toute petite et il est précoce, tu vas voir.
On éclate de rire. Charlotte quitte mes bras et s’assied à mes côtés :
— Bon, vu que tu n’as pas compris, on va être obligé de te montrer.
Il nous regarde ahuri. Je me lève, il est à mes pieds. Je dis à Charlotte de se mettre à genoux à côté de lui devant moi. Je leur dis de retirer mon pantalon. Ils le font tous les deux. Charlotte sourit, Sylvain a encore quelques grammes de confiance en lui :
— Elle m’a dit qu’il rembourrait ses caleçons !— Ah elle t’a dit ça ? Y a plus qu’à vérifier. Prenez chacun un bord et baissez-le lentement.
Ils le font.
— Voilà, lentement, profitez. C’est un moment rare.
Charlotte se marre. L’autre commence à prendre peur. Ils descendent centimètre par centimètre. Il est bouche bée.
— Ah, ça y est, le gland ?... Ah non, pas encore.
Ils descendent encore et quand ma queue jaillit, Charlotte éclate de rire et l’autre est pétrifié.— Alors, t’en dis quoi Ducon ?
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