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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 61

Chapitre soixante-et-un – la fécondation, ça se mérite

Trash
Je la regarde, m’approche, me déshabille lentement et m’allonge à côté d’elle. Je l’embrasse langoureusement. Elle porte une nuisette rouge en dentelle et soie, avec des volants, ouverte sur le devant, un micro string fendu assorti, des bas rouges autofixants, et des Louboutin.
— Tu es magnifique ma chérie.— Mmmmmm tes lèvres m’ont manqué Isaiah.
Je la caresse. Benoit est à genoux aux pieds du lit. Je m’allonge à côté de Marina.
— Eh bien, c’est l’heure des cadeaux non ? — Ouiiiiiiiiiiiii.
Benoit se lève et revient avec deux paquets. Marina me sourit :
— Le tien d’abord mon chéri.
Benoit me tend le paquet que j’ouvre rapidement. C’est une Rolex Daytona magnifique. Il me la passe au poignet.
— Mmmm excellent choix petit cocu. On a enfin trouvé quelque chose où tu es bon !— Elle vous plaît mon Roi ?— Pas autant que ton épouse, mais oui, elle me plaît beaucoup. — Vous le méritez.— Je sais !
Marina ouvre ses paquets : il y a une parure Cartier, mais aussi une cage de chasteté à clef pour Benoit, dont la clef est en or sertie, accrochée à une petite chaîne de cheville. Marina lui demande de lui mettre à la cheville. On s’embrasse pendant qu’il le fait, bien obéissant. Puis il lèche les escarpins de son épouse.
— Je me sens toute féconde pour toi, Isaiah.
— A ce propos, je ne vais pas te féconder aujourd’hui, Marina.
Benoit relève la tête. Il est aussi surpris que déçu. Marina, elle, semble dépitée :
— Mais pourquoi mon amour ? Je t’ai contrarié ?— Non non, pas du tout, rassure-toi ma belle.
Je la caresse, l’embrasse. La rassure.
— Tu as envie d’un enfant de moi Marina ?— Ouiiiii, bien sûr mon amour. Je t’aime, je veux porter ton enfant. Et qu’on l’élève avec mon petit cocu. — C’est parfait ça.— Mais alors ?— Alors, tu t’en doutes, ça se mérite.
Elle me regarde, vraiment déçue.
— Tu le comprends non ?— Oui... oui bien sûr mon amour. Mais... je... je suis déçue, j’en ai vraiment envie.— Et ça arrivera ma belle, crois-moi.— C’est vrai ?— Mais bien sûr, j’en ai très envie moi aussi.— Ohhh merci Isaiah.— Embrasse-moi ma belle.
Elle le fait, m’embrasse tendrement.
— Je te demande pardon, mon amour.— De ?— D’avoir douté. Je comprends que ta semence se mérite, je le sais. Et je ferai tout pour le mériter.— Et bien voilà, c’est parfait ça !— Je suis prête à tout pour toi mon amour, je veux que tu le saches, et mon petit cocu lui aussi est prêt à tout pour que tu m’enfantes.— Je sais. Et j’apprécie. Lèche ma femme, le cocu. Prépare-la-moi.— A vos ordres mon Roi.— Et toi, ma femelle, suce ton mâle.— Mmmmm oui mon amour.
Elle se glisse vers moi et commence une longue fellation amoureuse. Elle arrête juste pour me regarder tendrement :
— Je t’aime Isaiah, et j’aime trop ta queue.— Mmmmm je sais ma belle.
Elle me suce à fond et me fait jouir dans sa bouche. Elle avale presque tout, le reste finissant sur sa poitrine ; elle fait lécher au cocu. Elle me regarde en souriant :
— Elle est tellement divine cette semence, elle est féconde je le sens, je comprends qu’elle se mérite.
Puis on baise toute la matinée, je la fais jouir à de nombreuses reprises. Je jouis une fois sur son cul et une autre sur son visage. Je les laisse en fin de matinée. Marina et Benoit me remercient. Marina me confie qu’elle est aussi contente de ne pas tomber enceinte tout de suite, que comme ça, elle pourra profiter plus de son étalon.
Avant de démarrer, j’envoie un message à Lucie :
— Je suis à la maison dans 20 minutes environ. J’ai envie de manger indien à midi. Butter chicken idéalement.— Bien mon Prince.
Je la trouve debout, la table est mise pour moi, le butter chicken bien chaud m’attend. Lucie est à tomber. J’ai vraiment envie d’elle, mais résiste. Je veux la faire attendre encore.
— Mmmmm tu es une perle Lucie. Je vais me régaler.
Je m’assieds, elle me sert.
— Votre matinée s’est bien passée Isaiah ?— À merveille oui.— J’en suis ravie. — Assieds-toi. Prends mon téléphone, cherche Solène et envoie-lui un message.— Bien Monsieur.
Je lui dicte et elle me lit les réponses :
— Tu travailles cet après-midi ?— Je commence à 16h...— Et ton nul de mec ?— Il bosse avant;-)— Parfait ça. Je passe chez toi vers 14h. — Mmmm cooool. A tout à l’heure, mon chéri.
Ensuite, je lui dis d’écrire à Kate :
— Demain après-midi, viens chez moi vers 15h.— D’accord Maître.
Elle pose le téléphone.
— Lucie, tu vas me conduire chez Solène, tu m’attendras dans la voiture. Ensuite, quand j’aurais fini, on ira faire un peu de shopping tous les deux.— Oh, merci Monsieur. — Ce soir, des amies viennent à la maison, je veux évidemment que tout soit nickel.— Bien sûr, mon Prince.— Et je te laisserai après le shopping, tu feras quelques courses pour un apéro dînatoire.— D’accord Isaiah. — Parfait. Prépare-moi une tenue pour cet après-midi, pendant que je finis ce délicieux butter chicken.— Vous aimez ?— J’adore !
Je finis le repas. Elle revient. Me demande si je veux un café. J’accepte et lui dis de me le servir au salon. Je vais dans le canapé. Charlotte m’écrit :
— Après ton départ, Jean et Sylvain m’ont appelé : Jean se demandait si nous comptions organiser une petite fête pour célébrer notre « union » !— Mmmm, mais ce n’est pas une mauvaise idée du tout ça. Réfléchis-y et on en reparle !— Ça marche. Bisous mon chéri.
Lucie revient avec mon café, sur un petit plateau, avec des chocolats aussi.
— Mmmm, mais le service s’améliore de jour en jour !— Je progresse à votre contact Isaiah, c’est tout.— Viens sur mes genoux Lucie.
Elle vient s’asseoir sur moi, j’ai une main dans le bas de son dos, je bois mon café puis elle pose la tasse, et je pose l’autre main sur ses cuisses.
— Pour le shopping tout à l’heure, tu as une ou des envies particulières ?— Je peux ?— Si je te demande !— J’adore les chaussures.— Une marque en particulier ?— Plusieurs, mais Louboutin évidemment.— On commencera pas ça alors, et ensuite, lingerie !— Oh wouaahhh merci Isaiah, mais ce n’est pas nécessaire.— Si, et c’est normal.
Elle me sourit, elle a envie de m’embrasser, je le sens. Je la caresse du bout des doigts, dans le dos et les cuisses.
— Tu es bien là Lucie ?— Mmmmm vraiment très très bien Isaiah. — Tu as pensé à moi cette nuit ?— Oui Monsieur.— Tu t’es touchée pour moi ?— Oui... j’avoue Isaiah.— C’est normal. Mais la prochaine fois, je veux que tu m’écrives quand tu le fais.— Bien Monsieur. Pardon pour hier soir alors. — Ce n’est rien. Tu pensais à quoi en particulier ?— A votre bouche, vos mains, votre corps et...— Et ?— Votre sexe...— Tu as envie de moi ?— Énormément oui.
Je pose ma main sur son menton et tourne son visage vers moi. Je l’embrasse tendrement. Elle gémit, se cambre sur moi. J’ai ma queue juste sous ses fesses. On se fait des bisous. Nos lèvres ne se séparent jamais vraiment. Elle a un bras autour de mon cou. Elle murmure :
— Mon Prince...— Oui ?— Je suis toute à vous.— Oui je sais.
Je me lève et on va dans la chambre et elle me déshabille et me rhabille. On prend l’Audi, je suis à l’arrière. Elle me dépose chez Solène. Avant de la laisser :
— Tu sais quoi, tu peux aller faire les courses pour ce soir, et reviens me chercher ici après, Lucie. On gagnera du temps.— Bien Monsieur. — Et voici le numéro de ma copine, Manon. Écris-lui, dis-lui qu’elle vienne à la maison à 18h, avant les autres. Vous pourrez faire connaissance comme ça, c’est important. — Je le fais immédiatement, Mon Roi.
Je sonne chez Solène, elle m’accueille en petit bikini rouge.
— Mmmm, quel accueil ma belle !— Je me suis dit que ça ferait comme si on se voyait à la piscine.— Ah ah très bon choix. Tourne-toi.
Elle tourne sur elle-même. Lentement.
— Mmmm, magnifique. Ton petit cul m’a vraiment manqué.
Je dis ça en lui mettant une bonne main au cul. Elle me prend par la main et m’emmène dans la chambre. On s’embrasse.
— Trop envie de toi Isaiah.— Je suis là ma belle.
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