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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 64

Enfantage et enfantillages

Trash
Benoit me déshabille sous les yeux de Marina, amusée.
— Je vous en supplie maître, enfantez Marina, la femme de ma vie. Faites-lui un magnifique enfant, je vous implore, je me mets à genoux devant vous, ce serait un tel honneur.
Il est à genoux, je suis nu. Marina s’est glissée contre moi, on s’embrasse. Je commence par la lécher longuement, elle jouit deux fois. Puis, elle me suce, comme une reine. S’en suit une saillie de trois heures non-stop, au cours de laquelle ma queue ne quitte pas sa chatte, elle jouit à maintes reprises, et pour ma part, je me déverse trois fois en elle, abondamment. Elle est aux anges, et toute chose au moment où finalement, je retire mon sexe, centimètre par centimètre de son ventre. Ma queue est brillante de mouille et de foutre. Je lui mets en bouche alors qu’elle dit à son cocu de venir la lécher. Il obéit non sans m’avoir remercié pour ce « moment magique ».
— Je me sens tellement bien là, mon chéri.— C’est normal, mes petits taureaux sont à l’œuvre en toi ma belle.— Mmmm oui, mon amour. Merci.
Elle m’embrasse.
— Si c’est un garçon, nous avons décidé de l’appeler Isaiah.
Elle me sourit. Benoit est à nos pieds, littéralement.
— Mon petit cocu chéri, embrasse les pieds de ton cocufieur.
Il obéit. Je roule des pelles à son épouse. Je bande de nouveau. Je dis à Marina de me sucer. Elle le fait. Elle le fait tellement bien que je me sens prêt à jouir assez vite. Je me mets entre ses cuisses et la pénètre et me déverse une nouvelle fois en elle. Elle jouit en même temps que moi et hurle son bonheur.
— Ouiiiiiii, encore des petits taureaux noirs, venez me féconder. Je t’aime mon chéri.— Je sais ma belle.
Je les quitte après avoir pris une douche. Lucie m’attend. On repasse chez moi, je prends mon sac de sport. On va à la piscine. Je lui dis de m’attendre. Je me change et arrive au bassin. Je balaie du regard, repère Solène qui parle avec son mec. Je souris. Et je vois surtout Sylvain au bord de l’eau. Je me marre et le rejoins.
— Salut mon petit cocu.
Il sursaute. Il panique en me voyant.
— Eh bien, on ne salue plus son Maître ?— Euh, si, si bien sûr, bonjour Isaiah. Je lui souris.— Ma salope n’est pas là ? — Pardon ? Euh... Non, non, elle bosse.— Parfait, tu vas pouvoir m’aider alors.— Euh, mais je vais devoir y aller là.— Non. Tu vas m’aider. Tu vois la bombe là-bas avec l’autre nul ?
Je dis à Sylvain d’aller discuter avec le mec de Solène. Je sais qu’elle m’a vu entrer dans la piscine. Je sens son regard qui se pose souvent sur moi. Je m’éloigne de Sylvain et vais vers les vestiaires. Je n’ai pas à attendre deux minutes que Solène me rejoigne. Elle se colle à moi, elle fait la moue.
— Cédric est là, Isaiah, t‘abuses.— Qui ça ?— Ah ah. Mon mec.— Ah c’est lui ?! Tu m’étonnes que tu préfères être dans mes bras.— T’es con.— Embrasse-moi.— Pas ici. — Alors, trouve-nous une cabine ma belle. Et pas une petite, tu prends une familiale, que j’ai la place.
Je m’éloigne d’elle en lui faisant un clin d’œil, elle me sourit, se retourne, je mate son cul de rêve. Je retourne au bassin, Sylvain m’attend sagement.
— OK, larbin, tu vas aller parler à son gars et ensuite, tu trouves un prétexte pour l’emmener au vestiaire, au niveau des cabines familiales. Dans disons 10 minutes. T’as compris ?— Oui, oui Monsieur.
Je vais pour rejoindre Solène, mais me ravise.
— Au fait...— Oui Monsieur ?— Tu demanderas mon numéro à Charlotte et tu m’écriras pour me dire quand tu aimerais que je vienne la baiser.— Euh... D’accord, oui. Oui, Monsieur.— C’est bien ; allez, file, cocu.
Il s’éloigne, penaud. Je bande. Je retourne aux cabines, Solène m’attend devant l’une des cabines familiales, j’entre et l’attire contre moi. Je ferme la porte dans son dos et lui roule une grosse pelle. Elle miaule dans mes bras.
— Je t’ai manqué ma belle ?— Terriblement bébé. — Eh bien, qu’attends-tu pour me le montrer !
Elle me regarde en souriant, ses mains posées sur mon torse puissant. Elle descend lentement, me couvrant de bisous et de caresses jusqu’à s’accroupir devant mon sexe raide. Elle le sort, embrasse ma queue, tendrement.
— Mmmmm miam.— Tu m’as manqué aussi ma belle.— Menteur.— Attends, regarde l’état dans lequel je suis. — C’est moi ?— Oh oui.
Elle commence à me sucer langoureusement, bave sur ma pine. Je la tiens par les cheveux réunis en queue-de-cheval.
— J’ai l’impression qu’à chaque fois que je te vois, tu es encore plus sexy.— Mmmm merci mon chéri.
Elle me pompe de plus en plus fougueusement, quand elle enchaîne des gorges profondes jusqu’à en pleurer, je laisse échapper des râles puissants. Elle me jette un regard réprobateur, mais je la maintiens bouche béante sur ma queue. Elle ne peut rien dire, elle sait qu’on ne parle pas la bouche pleine.Je la fais se relever, la retourne, elle se penche en avant, mains posées sur la porte de la cabine, je m’enfile en elle en levrette, debout. Elle couine.
— Ah putain, et moi à chaque fois que je te vois, j’ai l’impression que tu es encore plus gros et dur.— Eh eh. C’est de ta faute ma belle, tu me mets dans tous mes états.
Elle se cambre et je commence à la pistonner. Je suis sûr que Sylvain a ramené Cédric à présent. On entend des voix, Solène porte une main à sa bouche pour s’empêcher de gémir. Je la prends, lui retire de la bouche et la plaque de nouveau contre la porte. J’accélère, je la défonce, elle laisse échapper deux cris. On entend des voix masculines de l’autre côté. Ils rient. Et je devine le Cédric :
— Putain, y en a une qui se fait plaisir.— Ce n’est pas interdit ?— Tu rigoles ? Je m’envoie ma meuf régulièrement, moi.
De ma main, je tourne le visage de Solène vers moi et l’interroge du regard : elle me fait non de la tête et ses yeux me font comprendre qu’il raconte de la merde. Il m’énerve, je redouble d’intensité dans la saillie de sa copine. Puis je la retourne, la soulève et la fais s’empaler sur mon chibre divin. Ses jambes et ses bras s’enroulent autour de moi, mes paluches empoignent son cul et je la fais sauter sur ma queue. A un moment, je glisse deux doigts dans son cul, elle laisse échapper son plaisir :
— Ahhhhhhhh putain, c’est trop bon.
Puis m’embrasse pour s’empêcher d’en dire plus, espérant sans doute que son cocu n’ait pas reconnu sa voix. Je me dis qu’il n’a jamais dû l’entendre jouir comme cela, donc pas d’inquiétude. Je la retourne à nouveau, la soulève et la fais s’empaler sur ma queue. Mes mains sur ses fesses, je la plaque contre la porte et la pilonne. Elle crie encore, jouit et je sens sa mouille couler à flots. Elle m’embrasse. Je reste en elle et continue à la baiser ainsi jusqu’à venir en elle. Je la remplis, elle jouit de nouveau, collée contre moi. Je me retire d’elle, la fais s’agenouiller et lui mets les dernières giclées dans la bouche. Elle avale puis remets ma queue dans sa petite bouche. Je m’étire tandis qu’elle lèche mon membre de tout son long.
— Ahhhhhh, t’es tellement bonne ma belle.
Elle se redresse, se colle à moi et m’embrasse.
— Merci mon amour.— De rien ma belle. Je suis là pour ça. Il faut bien que quelqu’un te fasse jouir.
Elle sourit. Je lui mets une petite fessée. Elle se rhabille et me murmure à l’oreille :
— Il faut que tu sortes avant, Isaiah.— Oui, t’en fais pas ma belle. Je sors et te fais signe, OK ?— OK mon chéri.
Je sors. Je vois Sylvain et Cédric discuter en matant la cabine. Je leur souris. Je m’approche d’eux et dis assez bas :
— Ça va ? Ça vous a plu ?
Sylvain baisse les yeux et ne dit rien. Cédric me sourit.
— Qu’est-ce que tu lui as mis, dis donc.— Eh eh, oui, une vraie furie. Apparemment, son mec la nourrit pas assez.— Ah ah excellent. — Oui. Elle est tellement bonne. Une vraie salope au bout de ma queue. Super serrée et qui mouille à mort.— La chance.— Oui. Elle voulait pas me laisser, elle en voulait encore.— Putain, la salope. — Oui, bon, faut que vous y alliez, les mecs.
Sylvain s’éloigne, je sens que Cédric a envie de la voir. Je le regarde durement, il suit Sylvain. Je vais ouvrir la porte et fais sortir vite fait Solène. On s’embrasse. Je pars. Je rejoins Lucie. On se met en route pour la maison. Je réalise que le timing va être serré. J’écris à Claire et Bertrand :
— Viens chez moi ma belle, plutôt.— Oh, d’accord mon chéri.— Voici l’adresse. N’oublie pas d’amener ton cocu et un maillot de bain, le plus sexy que tu aies.— Mmmmmm j’ai hâte.
Puis je regarde Lucie.
— Lucie, je te néglige trop, demain, je vais me rattraper. — Oh merci mon Roi, mais ce n’est pas la peine, vraiment.
Je me prépare pour aller chez Claire, et ensuite j’ai le dîner chez Anne-Sophie et Michel, qui me confirment que leur fille Lauren sera là. Lucie m’aide à m’habiller après m’avoir fait prendre une douche et massé avec un lait corporel. Elle fait cela vraiment bien. Je bande entre ses mains. Je suis nu debout et elle est magnifique, à genoux devant moi, elle masse délicatement mon sexe et mes testicules de lait hydratant. Je lui souris, elle me rend le sourire.— J’ai envie de ta bouche Lucie.
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