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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 66

de famille

Trash
En route pour chez Anne-Sophie, je décide de répondre au message de Séverine, reçu plus tôt :
— Isaiah, je suis désolée pour ce matin. Je suis mariée et j’ai été un peu dépassée par la situation, je l’avoue. Je n’arrête pas de penser à vous depuis notre rendez-vous. Je viens de vous envoyer le modèle de contrat d’appartenance. Si vous voulez en discuter, ou discuter d’autre chose, je suis à votre disposition. Encore une fois, je suis désolée de ma réaction. J’espère que vous me pardonnerez. — Séverine, je n’ai absolument pas de temps à perdre, tu t’en doutes. Que veux-tu ?
Puis, j’écris à Kate :
— Kate, viens demain à 7 heures. Manon sera là.
J’écris à Manon :
— Demain, viens chez moi à 6 heures 30.— OK, mon amour. Je dors chez Élise, donc pas de souci. — Parfait, ma belle, passe une bonne soirée. Bisous à vous 2 les filles.
Réponse de Kate :
— Bien, mon chéri.
Réponse de Séverine :
— Toi, Isaiah. Je te veux toi.— Et qu’en dit ton mari ?— Pardon ? Mais il n’est pas au courant, évidemment.— Ce n’est pas bien de mentir à son mari, Séverine. Tu lui en parles et tu me dis. Bonne soirée.

Elle me faisait envie, mais je tentais ce coup de poker. Je ne voulais pas de nouveau avoir à me cacher puis jouer avec le cocu. Là, je voulais que les choses soient claires dès le début. En arrivant chez Anne-Sophie, je dis à Lucie de me retrouver à 14 heures chez moi le lendemain et de s’habiller en conséquence pour les rendez-vous des banques. Je l’embrasse, prends les fleurs et le vin. Je lui dis que le lendemain soir, j’ai aussi un dîner et qu’il faudra les mêmes attentions, mais avec du champagne à la place du vin. Elle sourit, m’embrasse à son tour. Je sonne chez Anne-Sophie. C’est Michel qui m’ouvre.
— Salut cocu.— Bonjour... Monsieur.
Je souris.
— Détends-toi larbin, tu peux m’appeler Isaiah ce soir. En revanche, continue à me vouvoyer, j’aime bien.— Bien Mo... Isaiah.
Il m’amène au salon. Anne-Sophie se lève immédiatement et c’est limite si elle ne me saute pas au cou. Elle est habillée en tailleur minijupe et j’ai bien l’impression qu’elle ne porte que de la lingerie en dessous. Je souris, lui tends les fleurs et je donne le vin à Michel.
— Oh merci beaucoup Isaiah, il ne fallait pas.— Mais si, mais si, tu es tellement... généreuse avec moi, c’est la moindre des choses. — Quel charmeur ! Viens, je te présente Lauren, notre fille.
Lauren se lève du canapé. Elle ressemble à sa mère, châtain elle aussi, les yeux verts, elle a hérité de la petite taille de son père, je dirais entre 1m60 et 1m65, assez fine et visiblement sportive et une belle paire de loches, j’apprendrai plus tard qu’elle fait du 95f. Elle porte une robe chemise blanche très courte et assez décolletée, sans soutien-gorge, ce qui me fascine sur la tenue de sa poitrine et une paire de bottes à talons aiguilles. Elle est bandante. On se fait la bise.
— Vous êtes aussi superbes l’une que l’autre, je fais pâle figure à côté, je ne savais pas que le thème de la soirée était top model.
Lauren sourit et rougit.
— Je t’en prie Isaiah, tu es superbe aussi.
Lauren regarde sa mère, un peu surprise de son attitude. Anne-Sophie enchaîne et dit à Michel de nous servir l’apéro. Je suis sur le canapé avec Lauren et Michel et Anne-Sophie prennent place dans les fauteuils. On discute, l’ambiance est légère, Michel me vouvoie alors que je tutoie tout le monde. À un moment, je sens Lauren tiquer, mais elle ne dit rien. On passe à table, Lauren finit par poser des questions sur ce que je fais là, comment je les ai connus, etc. Alors que Michel allait recommencer avec le bobard qu’il lui avait sorti par message, je dis la vérité :
— Je suis au lycée d’Anne-Sophie.— Pardon ?— Oui, c’est... ma proviseure... préférée.
Anne-Sophie sourit et se mord la lèvre.
— Excuse-moi, mais tu ne fais pas du tout lycéen.— Ah oui ? Pourquoi ?— Je ne sais pas, mais déjà ton...— Mon ?— Ton physique.
Tout sourire, je la regarde en souriant.
— Ben quoi, tu es... impressionnant, quoi.— Merci. C’est exactement ce que ton père a dit en me voyant la première fois.
Anne-Sophie rit.
— Oui, tel père, telle fille.— J’espérais plutôt telle mère, telle fille, moi.
Anne-Sophie se cambre sur sa chaise. J’aurais envie de la prendre là, sur la table. Je me retiens. Je me concentre sur Lauren.
— Je suis mature, rien de plus.— OK, bref.
Lauren est rouge, elle baisse les yeux, elle est adorable. Elle toussote et reprend :
— Et donc ? Ce n’est pas courant qu’un élève vienne dîner chez sa proviseure ? — Ah oui, ça, Anne-Sophie ?— Oui ma chérie, Isaiah est un excellent élève, il m’aide beaucoup à travailler sur comment améliorer la relation entre les élèves et les profs et l’administration. Il travaille d’ailleurs aussi avec Claire, qui est sa prof principale. — Ah OK. T’es pas tombée sur la pire.
Laurent dit cela naturellement et en riant.
— En effet, c’est une excellente prof principale. Elle s’occupe très bien de moi.
J’échappe au flot de questions et la conversation redevient plus naturelle. Dans la cuisine, Anne-Sophie se jette sur moi et me roule des pelles. Elle me fait bander. Cela va être plus compliqué que prévu, peut-être avec Lauren. Je dis à Anne-Sophie d’orienter la conversation sur les mecs, le copain de Lauren, etc. Elle me sourit et m’embrasse :
— Tout ce que tu veux mon amour.
On retourne à table.
— Comment va ton copain, Lauren ? Je ne me souviens plus de son nom ?— Maman !— Quoi ? C’est vrai, ça change souvent quand même.— Mais non. Il s’appelle Greg et on n’est plus ensemble.— Décidément !— Pardon ?— Non, rien, c’est juste que j’ai piqué la copine d’un Greg récemment.— Piqué ?— Oui, enfin elle l’a largué pour moi. — OK. — Et donc t’as quitté ton Greg toi aussi ? — Oui. — Ce qui explique que tu sois toute à moi ce soir.— Toute à toi ? — Seule ce soir, ici.— Oui, oui.
Je lui souris. Elle me sourit, l’air de dire « dans tes rêves ».
— Vous feriez un très beau couple. — Quoi ? Mais Maman...— Ce n’est pas vrai, Michel ?— Ah si, si, tout à fait.— Merci, merci. Je trouve aussi.
Je dis cela en regardant Lauren. Elle rougit. Long silence, brisé par Anne-Sophie :
— On passe au dessert ?
La soirée se poursuit, je sens que l’on flirte presque avec Lauren, mais finalement, la présence de ses parents est une gêne. Il se fait tard, tout le monde veut aller se coucher. Ils me proposent de dormir dans la chambre d’amis. N’ayant pas de voiture pour rentrer, j’accepte. Je me dis que je vais aller baiser Anne-Sophie pendant la nuit. Tout le monde va donc se coucher de son côté. J’attends à peine cinq minutes pour aller dans la chambre d’Anne-Sophie. Michel est au lit avec elle. Anne-Sophie et lui lisent. Je me plante devant lui.
— Tu es à ma place !— Oui, oui, pardon, Isaiah, mais...— C’est Maître pour toi !— Pardon Maître. Pardon. Mais vous n’allez pas faire ça là ?— Tu veux qu’on fasse ça au salon ?— Non, mais je veux dire, avec Lauren qui est là ?
Je souris.
— Tu es mignon. Allez, au pied.
Il me supplie du regard. Puis voit que je ne plaisante pas. Anne-Sophie se met à quatre pattes devant moi alors que son cocu sort du lit et vient à genoux à mes pieds. Elle me suce longuement, c’est très bon. Je la retourne, je ne change pas de position, je suis debout devant le lit et je la prends en levrette. Au début, elle fait en sorte de ne pas faire de bruit, mais au fur et à mesure de mes assauts, elle ne peut s’empêcher de hurler sa jouissance. Je la défonce littéralement, elle est secouée par trois orgasmes consécutifs. Je monte sur le lit, mes pieds de part et d’autre de ses jambes, toujours en elle, je la chevauche telle une femelle. Je finis par me vider en elle. Je fais tout lécher ensuite à Michel, pendant qu’Anne-Sophie me suce. Elle veut que je reste avec eux, mais je leur dis qu’il est préférable que je retourne dans la chambre d’amis. Michel est soulagé. Je roule des pelles à Anne-Sophie. Je les laisse.
Je n’ai pas sommeil, je retourne au salon, suis juste en boxer. Il est une heure du mat’, j’écris à Manon.
— Je pense à toi ma chérie. Bisous.— Moi aussi mon amour. Je t’aime.
J’ai un message de Séverine :
— Isaiah, j’ai discuté avec François. Cela dure depuis quatre heures, maintenant. Il a cru que je lui proposais un trio au début, il n’était pas contre. J’ai dû lui expliquer que non. Que j’aimerais avoir une aventure, sans lui. Il est sous le choc. Il y a deux minutes, il m’a dit : « mais comment verrais-tu cela ? Je veux dire, avec qui ? » Je lui ai montré une photo de toi et je lui ai dit que je voulais avec toi. Il est un peu chamboulé, je crois. Je pense à toi. — Qu’a-t-il dit sur moi ? — Il m’a demandé qui tu étais, comment je t’ai connu et pourquoi spécifiquement toi.— Que lui as-tu dit ?— La vérité.— Bien. — Il m’a demandé si j’avais des sentiments pour toi.— Et ?— Je lui ai dit que non, juste une attirance irrésistible.— Très bien, Séverine. J’attends donc la suite.— Bien, Isaiah. — Et vite, j’ai horreur d’attendre.
Message d’Anne-Lise aussi :
— Mon chéri, demain soir, 20 heures si cela te va. — Parfait ma belle. Habille-toi en conséquence !— Évidemment. Je pense que tu ne seras pas déçu !
J’entends du bruit, c’est Lauren qui arrive dans le salon. Suis là, en boxer blanc, assis comme un pacha, je tapote sur mon tel.
— Tu ne dors pas Isaiah ?
Je lève les yeux sur elle. Elle porte une petite nuisette courte, rose, adorable. Elle s’assied à côté de moi.
— Non, je n’arrive pas trop à dormir seul.— Ah ah, je suppose que cela ne t’arrive que rarement.— Tu supposes bien. Et toi ? Tu ne dors pas ?— Tu rigoles ? T’as pas entendu mes parents ?— Ah, oui, oui, j’ai bien entendu ta mère.— Je ne pensais pas que... enfin qu’ils faisaient...— Quoi ? Qu’ils baisent ?— Non, mais comme ça, je veux dire.
Je souris.
— Tu penses bien, Lauren.— Comment ça ?— Ils ne baisent pas comme ça. — Je ne comprends pas.— Je crois plutôt que tu ne veux pas comprendre.
Je la regarde, j’ai une main posée sous mon sexe, entre mes cuisses. Elle me regarde, je souris.
— Quoi ? Tu ne penses quand même pas que Michel fait crier ta mère autant ? — Arrête.— La vraie question est de savoir si tu as envie de crier autant qu’elle ?— Mais ça va pas. — Si très bien et toi ?— Pfffff, bon je vais me coucher. — Ça marche.
Elle me regarde, mais ne bouge pas.
— Tu veux que je t’accompagne ?— Quoi ? Mais non, non. Et puis je le crois pas tout ça.— Tout ça quoi ?— Ma mère ne coucherait pas avec un de ses élèves.— Tu l’as dit toi-même, je ne ressemble pas à un élève.
Elle se mordille la lèvre. Elle a vu que ma main bougeait lentement sur mon boxer, faisant grossir et durcir mon sexe. Elle ne peut s’empêcher de regarder vers là. Je passe ma main dans son dos. Elle frissonne.
— Tu veux la voir ?— ... Non... Non, et puis... C’est n’importe quoi.— Tu as raison Lauren. Tu devrais aller te recoucher.— Et toi ?— Je vais sans doute me caresser en pensant à toi.— Pfffff à moi ou à ma mère ?— Mmmmmm peut-être bien les deux, j’ai horreur de choisir.— Mais t’es pas bien toi.
Je laisse un silence s’installer. Je la caresse dans le dos, du bout des doigts, elle se cambre légèrement, ferme les yeux. De l’autre main, je continue à me caresser à travers le boxer qui est complètement déformé, mon gland et une bonne partie de mon sexe en sorte, à présent. Puis, comme sortie de son rêve, elle se lève brusquement.
— Non, non, non. Je vais me coucher. Ce n’est pas possible.
Elle me laisse dans le salon avec une gaule pas possible. Je soupire. Décidément, aujourd’hui, elles me contrarient toutes. Message de Séverine. Je souris. Sans doute une bonne nouvelle, enfin.
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