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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 68

de fiancée…

Trash
C’est Anne-Lise qui m’ouvre. Un large sourire éclaire son visage quand elle me voit. Elle est à tomber. Elle porte une minirobe Balmain très courte, tellement courte qu’elle s’apparente plus à une veste blazer un peu longue, fermée par un double boutonnage et du coup terriblement décolletée sur sa magnifique poitrine, des bas que l’on devine facilement, vu la longueur de la robe et des bottes sublimes à talons aiguilles de 14 centimètres. Je la déshabille du regard, elle apprécie.
Elle se jette à mon cou, bras autour de mon cou et me roule une pelle. Je pose les fleurs et le champagne et lui plaque immédiatement une énorme main au cul. Elle gémit et se cambre.
— On t’attendait. Suis trop contente que tu sois là, mon chéri.— Mmmm dois-je en conclure que j’ai carte blanche ce soir ?
Elle fait une petite moue faussement hésitante et en même temps provocatrice.
— On verra bien.— Salope.— Je te plais ?— Tu veux vraiment m’entraîner sur ce terrain-là ?!— Oups, non. Suis-moi mon chéri.
Elle prend les fleurs, moi je champagne, je la suis. Je comprends qu’elle ne risquait pas grand-chose, le salon est loin. En chemin, elle me prend le bras, je lui mets une belle main au cul :
— Tu as remarqué comme ton cul va parfaitement bien entre mes mains ?
Elle me sourit :
— Pourquoi crois-tu que je t’ai invité beau gosse ?
Je lui mets une fessée. On arrive au salon. Elle me présente. Il y a là son fiancé, donc, Thierry, un mec lambda, 1m75, je pense, en tout cas, Anne-Lise est plus grande qu’elle avec ses talons vertigineux. Je le salue, en lui serrant la main, fort. Très fort. Il grimace. Je lui tends le champagne qu’il prend et rattrape à deux mains, en évitant de justesse de le faire tomber. Je souris.
Ensuite, des jumelles, Caroline et Julie, deux brunes, des grands yeux, vraies jumelles, belle bouche, assez grandes et fines et beaux seins de ce que je peux voir. J’apprendrai plus tard qu’Anne-Lise avait parlé de moi aux deux, en leur disant qu’il fallait absolument qu’elles me rencontrent, qu’elles allaient m’adorer. Caroline était en couple depuis peu, avec un mec que tout le monde détestait. Julie était célibataire. Elles étaient fringuées BCBG sexy. Je réalisais qu’elles étaient exactement dans le même style qu’Anne-Lise. Elles portaient toutes les deux des talons, et si les deux avaient une tenue sexy, Julie n’avait pas hésité à porter un décolleté incroyable sur sa poitrine plus que généreuse. J’apprécie.
Je fais la bise aux deux, en commençant par Caroline, à chaque fois en passe ma main dans leur dos pour les tenir contre moi. Julie n’hésite pas à commenter :
— Ouhhhh, c’est agréable un corps aussi puissant.— Je dois avouer qu’un corps aussi sexy que le tien est agréable à tenir.— Mmmm flatteur en plus !— Et toi, Caroline ?— Moi ?— Tu as trouvé cela agréable ? — No comment.
Elle dit cela en souriant presque timidement. Elles me plaisent. Anne-Lise me présente ensuite le couple, Marie et Cédric. Je fais la bise à Marie, de la même manière qu’aux jumelles, mais sans commenter, puis je serre la main de Cédric.
— Tiens, c’est amusant, j’ai cocufié un Cédric, pas plus tard qu’hier.
Anne-Lise manque de s’étouffer. Cédric me regarde, surpris.
— Comment ça ? — Eh bien, j’ai couché avec une fille hier, dont le mec s’appelle Cédric.
Anne-Lise change assez vite de sujet et nous fait nous installer au salon. Je me retrouve entre les jumelles dans un canapé, Marie et Cédric sont dans un autre canapé, Anne-Lise et Thierry chacun dans un fauteuil. J’apprends donc que Marie et Caroline sont les témoins de mariage d’Anne-Lise et Julie et Cédric, ceux de Thierry.
— Et moi alors ?
Je dis cela en souriant. Julie et Caroline sourient, Anne-Lise aussi, mais essaie de le cacher. Thierry, lui, ne rigole pas du tout. Encore une fois, Anne-Lise réoriente rapidement la conversation.
Je passe un bon moment, l’ambiance est détendue, je monopolise la conversation, suis charmant avec les femmes, je coupe la parole à Thierry dès que je peux, je me mets en avant sans trop de difficultés. On parle de mon appartement. Anne-Lise dit qu’elle ne me remerciera jamais assez pour cette vente, qui a fait d’elle une star à son bureau.
— Ne t’en fais pas ma belle, tu m’as déjà largement remercié.
Thierry s’étonne :
— Comment cela ?
Je souris :
— Rien. Anne-Lise m’a remercié.
Caroline et Julie s’intéressent à mon appart. Je leur montre des photos et même des vidéos, pendant que les deux couples discutent. Elles sont impressionnées.
— Ça a l’air trop beau.— Vous devriez venir le voir, les photos ne lui rendent pas justice.
En disant cela, je balaie la galerie de photos, sachant pertinemment ce qu’il y a ensuite : une photo de Manon, ma queue à la main. Les deux poussent un petit cri de surprise.
— Oups, pardon.
Je rebalaie dans l’autre sens, vers les photos de l’appart.
— Et là aussi, la photo ne rendait pas justice ?
C’est Julie qui dit cela, amusée.
— Mmmm, en effet, pas totalement.— Intéressant ;-)— Ah oui ?— Oui.
Caroline se racle la gorge :
— Je reprendrai bien du champagne, moi.
Et sa sœur :
— Oh oui, moi aussi. Isaiah ?— Volontiers, j’ai horreur de ne pas accompagner deux jolies filles.— Ah oui, les deux, carrément ?— Bien sûr, pourquoi choisir ?
Julie rit et Caroline aussi, finalement.
— En plus, vous serez mes premières jumelles.— Comment ça ?— Eh bien, j’ai déjà fait un truc à trois avec deux copines, avec une mère et sa fille, avec deux sœurs aussi, mais jamais avec des jumelles !— Oh la la, non, mais toi !— Et en plus, tu es bien sûr de toi !
Anne-Lise intervient :
— Ah c’est sûr, Isaiah l’est ! Mais méfiez-vous les filles, il sait être très convaincant !
Thierry fait la gueule. Je souris et ne le lâche pas :
— Thierry, champagne ?— Oui, mon chéri, les filles ont soif !
Thierry bougonne, mais ressert tout le monde. On reprend une conversation plus anodine. Julie flirte carrément avec moi.
À un moment, je suis à la cuisine, Caroline me rejoint.
— Isaiah ?— Caroline ?— Ne joue pas avec ma sœur, OK ?— Pardon ?— Je sais que tu es un dragueur.— C’est plutôt elle qui me drague, non ?— Bref.— En plus, je n’ai pas l’intention de jouer avec Julie, j’ai l’intention de jouer avec Julie et toi.— Je suis en couple.
Je souris.
— Quoi ? C’est vrai ! — Je n’en doute pas.
Je la laisse et retourne au salon. Julie reprend le flirt là où elle l’avait laissé. J’apprécie. Elle est très, très sexy.
Anne-Lise nous invite finalement à passer à table. Je lui demande où se trouve la salle de bain. Elle me prend par le bras et me dit qu’elle va me montrer, ce sera plus simple. Je lui remets une main au cul en chemin. Dans la salle de bain, Anne-Lise me roule une énorme pelle.
— Ça va mon chéri ? Tu ne t’ennuies pas trop.— Pas du tout. Tes copines m’excitent, tu sais.— Je sais ! Et moi ?— Toi aussi. Mais tu n’as pas l’air... comment dire... très disponible pour moi.— Ah bon ?— Oui ! Et cela ne me plaît pas !— Je vais tâcher de me rattraper alors.— Tu es sûre de toi ?— Oui, Isaiah. J’en ai envie.— Très bien.
Je l’embrasse fougueusement.
— Oups, pardon.
C’est Caroline qui est à l’entrée de la salle de bain. Anne-Lise, au lieu de paniquer, lui sourit. Elle dépose un bisou sur mes lèvres et sort de la salle de bain, après avoir lancé :
— Je te laisse ma belle. Profite !
Caroline entre dans la salle de bain. Elle est très sexy aussi, minijupe moulante, top moulant, collants (dommage) et talons.
— Désolée, je ne...— Ne t’inquiète pas ma belle. — Mais vous... tu...— Oui. — OK.— Caroline.— Oui ? — Viens m’embrasser.— Pardon ?
Elle me regarde, baisse les yeux, rougit. Ne sait que faire. Je passe ma main sous son menton et lui fais relever le visage.
— Je ne peux pas, Isaiah.
Je passe devant elle, la frôle et vais pour quitter la salle de bain. Sa main me retient par le bras. Je me retourne, suis face à elle, à à peine quelques centimètres d’elle. Elle me regarde.
— Anne-Lise m’a prévenu.— De ?— De toi...
Je passe ma main dans son dos, elle frissonne, la plaque contre moi et lui roule une pelle. Thierry arrive. Il vient nous chercher, j’ai une main sur le cul de Caroline, ma langue joue avec la sienne et elle a ses bras autour de mon cou.
— Excusez-moi... On passe à table.
Caroline est gênée, mais toujours dans mes bras.
— Oui, oui, on arrive.
Il nous laisse, Caroline va pour le suivre, je la retiens à mon tour.
— Caroline.— Oui ?— Ce baiser ne veut absolument pas dire que je te choisis toi, plutôt que ta sœur. Nous sommes d’accord.
Elle baisse les yeux.
— Oui, oui. — Allez, viens.
Je l’entraîne vers le salon, ma main posée sur son cul quand nous rejoignons les autres.
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