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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 71

histoires de familles

Trash
On arrive chez lui. Je le laisse m’ouvrir la portière. On entre chez lui, Anne-Sophie est au salon. Quand elle me voit, elle se jette à mon cou et me roule une énorme pelle.
— Mmmm quelle délicieuse surprise mon chéri.
Je lui mets une petite fessée.
— Je ne suis pas là pour toi ma petite salope, mais pour ta fille.
Elle est à la fois déçue et contente.
— Mmmm bien, bel étalon. Lauren est dans sa chambre.
Je m’installe au salon, m’assieds dans le canapé, je sors mon téléphone.
— Larbin, un café, salope, une petite pipe.
Anne-Sophie rit et vient se mettre à genoux sur le canapé, à mes côtés. Elle sort à ma queue et commence à me sucer. J’écris à Lauren :
— Lauren, une des choses que je préfère est qu’une femme s’habille pour moi.— Ah oui ? OK...— Habille-toi pour moi !— Maintenant ?— Pourquoi pas ?— OK, Isaiah. Tu me donnes cinq minutes ?— Oui. Envoie-moi une photo quand tu es prête.
— Bien mon chéri.
Anne-Sophie me suce à fond et son mari m’apporte mon café, que je déguste, ma queue dans la bouche de sa femme. Je lui dis de s’asseoir en face de moi, dans le fauteuil. Finalement, Lauren m’écrit :
— Comme cela, mon Roi ?
J’ouvre la photo. Elle porte un ensemble bleu minijupe très, très courte et un top assorti crop top qui arrive juste en dessous des tétons et qui est en fait un gilet noué par une simple lanière au milieu des seins. Donc, on voit le bas de ses mamelles et avec son tour de poitrine, 95f, c’est spectaculaire. On voit qu’elle porte des sandales à talons aiguilles de 10 centimètres, je pense. Je gémis de plaisir, alors qu’Anne-Sophie me suce. Je lui montre la photo.
— Ta fille te plaît ?— Ouhhhh, elle est sexy.
Lauren me réécrit :
— Tu es déçu ? Tu me fais languir, là...
Je souris et fais signe à Michel d’approcher.
— Regarde, elle se fait belle pour son mâle.— Oh la la, mais c’est pas possible. — Quoi ? Tu n’aimes pas ? — Si, si... mais...
Nouveau message de Lauren :
— S’il te plaît, mon chéri, dis-moi. Ça ne te plaît pas ?
Je souris à Michel en lui montrant le message :
— Regarde, elle est telle une femelle impatiente de s’offrir à son mâle pour la saillie.
Anne-Sophie a encore ma queue en bouche. Je me retire et me lève. Je l’embrasse.
— Merci ma belle.— De rien mon chéri. Désolée de ne pas t’avoir fait jouir.— Ne t’en fais pas, j’ai le sentiment que ta fille va s’en charger.
Anne-Sophie me sourit :
— Profite mon amour.— Compte sur moi. Maintenant, allez dans votre chambre.
Ils obéissent. Je me rhabille et réponds à Lauren :
— Tu es superbe Laure, très, très sexy. C’est pour moi ?— Oui, mon chéri. Je suis contente que cela te plaise.— Cela me plaît beaucoup. Descends au salon, maintenant.— Quoi ? Non, je ne peux pas, mes parents sont là. Pas dans cette tenue.— Tu peux et tu vas.
Ils se passent deux minutes.
— D’accord, Isaiah. Mais pourquoi ?— Parce qu’il y a un paquet pour toi.— Un cadeau ?— Oui.— Oh, mais il ne fallait pas. — Descends !
J’attends. Il se passe deux trois minutes et elle finit par apparaître. Dans cette tenue, hyper-bandante. Je me lève.
— Mais non ?— Et si, ma belle.— C’est toi mon cadeau ?
Je lui souris.
— Approche ma belle.
Elle avance vers moi. Je la plaque contre moi et lui roule une énorme pelle.
— Mais, mes parents ?— Ne t’en fais pas pour eux. Je les ai envoyés dans leur chambre.— Ah ah, OK. — Ton cadeau te plaît ? — Oh ouiiii, Isaiah.
Je la fais tourner sur elle-même en la tenant par la main.
— Mmmmmm, magnifique.
Je lui mets une petite fessée puis la reprends dans mes bras. Je l’embrasse, la caresse, puis m’assieds dans le canapé, au même endroit que quelques minutes auparavant. Je lui dis de venir me sucer, à genoux, là où était sa mère, juste avant elle. Elle profite de ce moment en caressant ma queue, l’embrasse, joue avec sa langue dessus. Elle embrasse mes couilles, se caresse le visage avec mon sexe. J’ai la main sur son cul que je caresse, alternant avec des petites fessées. Elle finit par prendre ma queue en bouche. Elle suce très bien, comme sa mère. Je passe ma main sous la minijupe, et commence à la caresser à travers un micro-string. Elle se cambre et gémit. Je prends ma queue dans mon autre main et lui fais me lécher les couilles. Elle les embrasse, les lèche, les gobe, l’une après l’autre.
— Mmmmm, continue ma belle.— Ça te plaît, mon chéri ?— Beaucoup. C’est de famille, apparemment.
Elle me sourit et me reprend en bouche. Puis je la fais venir sur moi à califourchon, lui roule des pelles. Mes mains parcourent son corps, je lui ôte son top et passe un long moment à embrasser ses sublimes obus, les lécher, les caresser. Puis je retire sa jupe et son string. Je la lèche sur le canapé et la fais jouir deux fois. Elle n’en revient pas. Me dit qu’aucun mec ne l’a jamais fait jouir en la léchant. Au premier orgasme, elle s’est retenue, au deuxième en revanche, elle a hurlé de plaisir.
Je l’ai soulevée et prise dans mes bras, ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille, je me suis glissé en elle, doucement. Je la baisais debout au milieu du salon, la faisais aller et venir sur mon chibre tout puissant. Elle me roulait de grosses pelles et a joui assez vite. Sa mouille coulait le long de ma queue, sur mes couilles. Je ne l’ai pas reposée, j’ai traversé la maison jusqu’à sa chambre, la limant toujours. J’allais entrer quand me vint une idée. Je m’arrête, me tourne et vais vers la chambre de ses parents.
— Arrête, tu fais quoi ?— Fais-moi confiance ma belle.
J’ouvre la porte en grand, sans frapper, et dis juste :
— Vous pouvez retourner au salon.
Puis je retourne vers la chambre de Lauren, toujours en elle, me couche sur le lit. Je n’ai pas fermé la porte. Je la prends en missionnaire. J’entends juste Anne-Sophie et Michel passer, s’arrêter, sans doute jeter un coup d’œil. Je défonce leur fille. Elle jouit, me supplie de la baiser encore et encore. Puis je la prends en levrette, elle a une cambrure magnifique, j’en profite, une fesse dans chaque main, je la martèle, elle hurle, se cambre. Elle jouit et je me déverse en elle. Elle s’écroule sur le lit, me remercie. Mais je suis loin d’en avoir fini avec elle.
Alors qu’elle est pleine de ma semence, je la fais glisser sur le dos, les fesses au bord du lit, je soulève ses jambes et me glisse en elle de nouveau. Ma queue est encore bien dure, je suis en elle depuis une minute à peine que je la fais jouir une nouvelle fois. Elle est prise de tremblement. Je passe mes mains sous ses cuisses et la soulève, toujours en elle. Elle est de nouveau empalée sur ma queue, moi debout. Cette fois, je la tiens et vais et viens en elle de plus en plus vite, elle jouit de nouveau. M’éclabousse d’un mélange de mouille et de foutre. Je la soulève, la fais tourner en la portant et remets ma queue en elle, mais cette fois elle me tournant le dos. Je la baise debout encore et encore, elle est dans un état second, je ne suis même pas certain qu’elle réalise que nous sortons de sa chambre et que nous descendons au salon, mon pieu pilonnant sa chatte. Anne-Sophie et Michel sont au salon. Je me plante en plein milieu du salon.
Lauren jouit et je me vide une nouvelle fois en elle. Je la tiens contre moi alors que ma queue sort de sa chatte, faisant couler le mélange. Anne-Sophie se lève et s’agenouille à mes pieds, sous sa fille, elle prend mon sexe en bouche. Excellente initiative. Lauren est blottie dans mes bras. Elle finit par ouvrir les yeux, m’embrasse.
— Merci. Merci, Isaiah.
J’ai ma queue dans la bouche de sa mère. Je repose Lauren au sol. Elle rejoint sa mère en se glissant derrière moi et en passant sous moi, entre mes cuisses. Elle prend mes couilles en bouche. La mère et la fille me pompent et me lèchent. Au moment de jouir, je me décale, les fais se mettre à genoux, côte à côte face à moi. Je me branle au-dessus d’elle et jouis sur leurs deux visages. Je pousse un râle énorme. Je laisse, repose ma queue sur elles.
— Ahhhhh putain, merci les filles. Woooouuuhhhhouuuu.— Merci à toi, mon Prince.
Je suis moi aussi en pleine extase. Je les relève toutes les deux, elles s’essuient le visage, je leur roule une pelle, l’une après l’autre. Je me tourne vers Michel.
— Tu as l’air frustré de ne pas en avoir vu plus, mais ne t’en fais pas. On rattrapera ça vite.
Je mets des fessées aux deux. Je dis à Michel de me ramener chez moi.
J’arrive à la maison, Lucie a tout organisé. Et elle est habillée en soubrette, magnifique. Je lui mets une grosse main au cul en arrivant et lui roule une énorme pelle.
— Bonjour mon Roi.— Salut ma belle.
Je lui dis que je vais me doucher. Elle m’accompagne. Après la douche, elle me masse avec un lait corporel. Cela me fait du bien. Je la vois lorgner sur ma queue. Mais elle se retient. J’ai tellement envie de la baiser. Je me retiens aussi.
À 19 heures 30 précises, Manon arrive avec Greg. Il hallucine en voyant Lucie, mais ne dit rien. Ils se sont retrouvés avant et, comme convenu, Manon lui a laissé entendre qu’elle allait rompre ce soir avec moi et que Greg lui manquait. Donc, quand je leur ouvre, il est fier comme un coq. Comme convenu aussi, Manon me dit bonjour et me dépose juste un petit bisou au bord des lèvres, non sans avoir posé ses deux mains à plat sur mon torse, signal pour me dire que tout est OK. Elle porte une minijupe très, très courte et très moulante, des bas, un top dos nu magnifique et des bottes à talons aiguilles. Elle est sublime. Je romps le silence.
— Tu es magnifique mon amour.— Merci Isaiah.— Salut Greg. Entrez.— Ouais, salut.
Il sourit. Je lui broie la main. On s’installe sur la terrasse. Lucie nous sert à boire. Je suis sur la banquette avec Manon, Greg sur un fauteuil. On discute tous les trois et je vois Greg faire des signes à Manon, qui se tourne vers moi.
— Isaiah, je voulais te parler d’un truc. — Oui, mon amour ?— Nous avons pas mal discuté avec Greg, cet après-midi et...
Elle hésite. Greg l’encourage.
— Vas-y Manon, ne t’inquiète pas, je suis là.
Elle lui sourit gentiment.
— Oui, tu as raison. Allez, je me lance. — Tu peux tout me dire mon amour.— Oui. Donc, nous avons réalisé que...
Nouvelle hésitation et nouvel encouragement de Greg.
— Que Greg ne... Enfin, il ne m’a jamais vu te sucer.— Quoi ???? Mais non, ce n’est pas ça.— Pas ça quoi ?
Je dis cela en le regardant sévèrement.
— Mais enfin, ce n’est pas ce que l’on a dit, Manon. — Quoi ? Tu pensais qu’elle allait me quitter ?— Mais oui, c’est ce que...— C’est vrai que finalement, tu ne nous as vus que nous embrasser chez Élise. Vraiment, Greg, je te dois des excuses. Mais on va rattraper ça.
Je roule une énorme pelle à Manon :
— Suce-moi, ma chérie.— Tout de suite, mon amour.
Elle s’agenouille à mes côtés et sort ma queue. Greg hallucine de nouveau.
— Vous allez pas faire ça là ?!— Pourquoi pas ?
Manon a déjà ma queue en bouche. Je suis comme un pacha, un verre à la main. Greg se tortille sur son siège, je pense qu’il est assez rapidement excité par la scène.
— Elle te suçait toi ? — Quoi ?— Manon, elle te suçait quand vous étiez ensemble ?— Rarement.— Putain, je peux te dire que c’est une déesse de la pipe.
Elle relève la tête :
— Oh, merci mon amour.
Greg se lève.
— Bon, je me tire.— Non !
Il reste pétrifié devant nous.
— Tu restes là et tu obéis sagement, sinon, lundi, tout le lycée verra une vidéo de toi en train de me servir à boire pendant que ta sœur me suce.— Oh non, non, non.— Oh si ! Ou bien celle où tu me remercies de si bien baiser ton ex et ta sœur !— Merde.— Tiens, maintenant que tu es debout, tu veux pas te rendre utile ? — Comment ?— Viens lui tenir les cheveux.— Mais ça va pas ?— Qu’est-ce que je t’ai dit sur ta manière parler ?!— Pardon, bien, OK.
Il se lève et réunit les cheveux de Manon dans sa main en queue-de-cheval.
— Ah, merci, Greg, c’est sympa.— Oui, merci, Greg, si j’avais su que tu étais aussi obéissant, je t’aurai invité avant.
Il est tellement hypnotisé par la scène qu’il ne réalise pas que je le filme.
— Tu aimes tenir les cheveux de ton ex pendant qu’elle me suce ?— Euh... oui. Oui. — Oui qui ?— Oui, Isaiah. — Tu peux m’appeler Monsieur.— Bien Monsieur.
Je souris et commence à baiser la bouche de Manon qui bave comme une folle sur ma queue. Manon se redresse à un moment et dit :
— Greg, tu veux pas être un petit amour et lécher mes bottes.— Quoi ? Mais ça va pas. Hors de question.— Greg, s’il te plaît, j’en ai toujours eu envie.— Mais non.
Je prends la parole :
— Quand Manon te demande quelque chose, imagine-toi que c’est moi qui te le demande !
Il baisse la tête.
— Bon, OK, mais juste cette fois.— Oui, oui. On est entre nous là.
Manon me sourit et m’embrasse, puis reprend ma queue en bouche. Greg s’agenouille et commence à lécher les bottes de Manon, les talons aiguilles et les bottes en elles-mêmes. Je filme tout. C’est superbe.
— Tout va bien, mon chéri ?
Greg répond mécaniquement :
— Oui, oui.
Greg ne réalise pas que c’est sa mère qui a parlé et qu’elle et sa sœur se tiennent debout à l’entrée de la terrasse.
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