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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 73

un peu de sport, c’est bon pour la santé

Trash
Les filles veulent rester la nuit, mais je leur dis que, vu ce que j’ai prévu demain soir, il serait plus raisonnable qu’elles rentrent pour être en forme. Elles prennent Greg et partent, non sans m’avoir remercié et embrassé. Je vais sous la douche, Manon est au lit. Lucie range et nettoie. Je rejoins Manon. On s’embrasse.
— Tu es heureux, mon amour ?— Oui. Et toi ?— Très heureuse. Tu étais sublime ce soir, Isaiah.— Merci ma belle.
Nous passons une bonne partie de la nuit à faire l’amour et à jouir. Lucie est là, nous fait couler un bain, nous sert. Elle est parfaite. Elle nous apporte le petit-déjeuner au lit. Je la fais me sucer pendant que l’on petit-déjeune Manon et moi. Pendant sa fellation, je discute avec Manon, tout en organisant la soirée du jour. Je crée un groupe WhatsApp avec Anne-Sophie, Lauren, Claire, Stéphanie, Jessica, Manon et Lucie ; j’ajoute Michel, Bertrand et Greg. Au dernier moment me vient l’idée d’inviter Carl et Catherine. Je l’intitule : convocation conseil de classe. Je comptais organiser cela chez moi, mais je change d’avis :
— Mesdames, vous êtes par la présente, convoquées au conseil de classe de Ma classe. Celui-ci aura lieu ce soir, dimanche, à partir de 20 heures, dans la salle du conseil au lycée. Anne-Sophie, merci de faire le nécessaire. Lucie, merci de tout bien organiser. Stéphanie, merci d’amener Fabrice également. Soyez à l’heure et habillez-vous en conséquence. À ce soir. Isaiah, Le Chef de classe.
Manon lit mon message et me sourit.
— Je t’aime, Isaiah.— Moi aussi, ma belle.
Elle file à la douche, elle doit retrouver ses parents.
Lucie me finit dans sa bouche. Il est à peine 7 heures et demie, j’ai toute la journée devant moi, cela ne m’arrive pas souvent. J’en suis ravi. Je décide d’aller courir. Après tout, un peu de sport, ça ne fait pas de mal. Lucie m’aide à me préparer. Je porte une paire de baskets et des chaussettes, un short court et fluide, un slip de sport en dessous et un t-shirt mettant en valeur mon torse puissant. Elle me dit que je suis beau comme un dieu. Je l’embrasse, mes mains sur son cul. J’ai envie de la baiser. Elle a envie que je la baise. Mais je me retiens et vais courir. Alors que je cours depuis quelques kilomètres me vient une idée. Je décide d’aller chez Solène et son mec. J’y arrive assez vite. J’écris à Caroline et Julie :
— On se voit aujourd’hui, les filles ?— Oh ouiiiii.
C’est Caroline qui répond.

— Parfait. Midi, chez moi. Voici l’adresse. — Parfait !
Je réfléchis et change d’avis.
— Non, midi chez Anne-Lise. On se retrouve en bas de chez elle. — Ah ah, OK bb.

Je sonne. Il est un peu après 8 heures. On met du temps à venir m’ouvrir. C’est Cédric qui m’ouvre. Il me regarde et ne comprend pas. Il me reconnaît, mais pas vraiment. Je souris.
— Salut ! Isaiah, on s’est vu à la piscine l’autre jour.— Hein ? Ah... Oui, oui, OK.
Il hésite. Je lui rafraîchis la mémoire.
— Dans les cabines, je baisais une salope pendant que tu écoutais avec un autre mec, Sylvain. Tu te souviens.
Il se retourne, comme pour vérifier que l’on ne m’entend pas.
— Euh, oui, oui. Oui, bien sûr, mais...— Mais ? — Comment ?
En ayant assez d’attendre, je passe devant lui, le pousse un peu et entre. Solène est dans le salon. Elle panique en me voyant.
— Salut ma belle.— Isaiah ? Mais...— Je courais et je me suis dit que ce serait sympa d’aller courir ensemble.
Cédric est derrière moi.
— Mais vous vous connaissez ?
Solène panique. Je la sauve.
— De la piscine oui. Solène m’a conseillé l’autre fois. Elle a été d’une aide précieuse sur mes performances.— Ah bon. Et comment tu connais notre ad...— Bon, allez les amoureux, vous vous habillez et on va courir.
Solène se prend au jeu.
— OK.
Cédric est perdu.
— Mais...
Je ne le laisse pas continuer.
— Mais rien du tout, allez !
Solène passe devant moi, me sourit, puis passe à côté de son mec :
— Mais oui, allez Cédric, viens. Ça va nous faire du bien. Il fait super beau en plus.
Je m’installe dans le canapé. Solène disparaît dans sa chambre. Cédric est planté là.
— Tu me fais un café avant d’aller te changer.
Il ne comprend pas, mais va me faire un café, me l’apporte, je ne le remercie pas et va se changer. Je les entends parler dans la chambre, il tente de comprendre, mais elle répond à côté, disant que c’est une super idée. Je regarde mon tél. en buvant mon café. J’ai plein de messages sur le groupe du conseil de classe. Je vois surtout que Stéphanie a ajouté Fabrice, parfait. Je lui écris à elle seule :
— Parfait ma belle, pour Fabrice.— Merci mon chéri. Il est rentré dans la nuit. Je l’ai mis devant le fait accompli. J’ai regretté d’avoir pris une douche avant de te quitter, il n’a pas pu te goûter en moi. — Salope.— Merci, mon amour.
Je bande, ce qui, dans ma tenue, ne passe pas vraiment inaperçu. Solène est revenue, elle portait une minijupe de tennis, courte évasée, des baskets et des sockets et une brassière de sport. Sublime. Je lui ai souri, me suis levé, elle a de suite vu mon érection et a failli éclater de rire. Je me suis approché d’elle, vraiment près. Cédric est arrivé. Il portait un legging et un t-shirt, des baskets. Je lui ai tendu ma tasse qu’il a posée à la cuisine.
— Bon, on y va !— Ouiiiiiii.— Mais, tu ne vas pas courir comme ça ?— Pourquoi pas ?— C’est...— Allez, Cédric, dépêche, il y aura plus de monde si on traîne.

On est sortis, on a commencé à un rythme lent. Je me suis mis direct entre les deux. On parle avec Solène, qui m’explique que Cédric ne court jamais. Qu’il n’est pas très endurant. Je m’étonne qu’il travaille à la piscine du coup. Elle dit que c’est elle qui lui a eu le job, qu’il bosse comme administratif et qu’il n’est en bassin que pour dépanner en ce moment.
— Ah, OK, ça explique.
Rapidement, nous prenons, elle et moi, quelques mètres d’avance et cette avance ne cesse d’augmenter. On l’entend vaguement nous demander de l’attendre. Non seulement nous ne répondons pas, mais Solène prend l’initiative d’accélérer, au fur et à mesure. Si bien que quand je me suis retourné, on ne le voyait plus. Solène m’a alors indiqué un parc pas loin, que nous avons rejoint très, très rapidement. On s’est embrassés. J’ai passé mes mains sous sa jupe, empoigné ses fesses, glissé un doigt sur son string. Rapidement humide.
— T’abuses quand même. Tu me fous dans la merde.— Mais non, ma belle, au contraire. Fais-moi confiance. Ça va te libérer.— Comment ça ?— Suce-moi.
Elle m’a souri. Elle ne pouvait pas résister et m’a sucé, divinement bien.
— J’aime trop ta queue, Isaiah.— Je sais ma belle.
Elle s’est activée sur ma queue et a fini par me faire jouir dans sa bouche. Elle a tout bien nettoyé ensuite. On s’est promené un peu et on est tranquillement rentrés chez eux. Cédric nous attendait en bas. Furax.
— Putain, mais vous étiez où ? Je vous ai couru après, moi.— Pas assez vite apparemment.— Oui, oui, super. C’est quoi ce bordel, Solène.
J’interviens.
— Tu peux parler autrement, s’il te plaît.— Pardon ?— Tu as très bien entendu. Tu étais plus poli quand tu m’écoutais baiser une « salope » dans les cabines l’autre jour. — Quoi ?
Solène joue les fausses choquées :
— C’est quoi cette histoire ?— Il ne t’a pas raconté ?— Non.
Cédric proteste :
— Non, mais c’est rien.
Il n’a pas réalisé que je mettais une énorme main au cul de Solène.
— Il bavait devant la cabine dans laquelle on était ma belle. Quand je suis sorti, il m’a dit que la salope avait dû prendre cher.— Non, mais...— Oui ? Cédric ? La salope ?— Non, mais...— La salope, Cédric, c’était moi !— Quoiiiiii ????
J’avais un large sourire. J’ai roulé une énorme pelle à Solène puis l’ai entraînée chez elle. On a refermé la porte de l’immeuble derrière nous. C’était elle qui avait les clefs. On a baisé comme des fous. Il sonnait à l’interphone comme un fou. À un moment, je suis allé répondre :
— Oui ? C’est pour quoi ? — Ouvre-moi.— Je n’ai pas entendu le mot magique.— Quoi ? ... S’il te plaît.

J’ai ouvert et ouvert aussi leur porte d’appartement. Je me suis vautré dans le canapé et ai fait venir Solène sur moi. Elle s’est empalée à fond sur ma queue, en me tournant le dos, donc face à l’entrée. Il est arrivé et a refermé la porte derrière lui. Il est resté scotché devant le spectacle en sons et lumières de sa copine hurlant de plaisir, empalée sur un chibre divin. Elle se caressait le clito pendant que je la prenais et lui caressais les seins. Il a protesté, comme on l’ignorait, il s’est tu. Je me suis levé en restant dans sa copine pour la faire sauter sur ma queue, son dos contre mon torse. Elle a joui fort. Je tapotais son clito et sa mouille éclaboussait partout. Je l’ai ensuite prise par terre en levrette, puis en missionnaire sur la table. Elle a joui trois fois. Je me suis assis de nouveau dans le canapé, elle s’est mise à genoux à mes côtés et m’a pris en bouche. Je caressais son cul, la doigtais, elle gémissait tout en me pompant.
— Tiens, tu me fais un café.
Il l’a fait et me l’a apporté quasiment au moment où je jouissais dans la bouche de sa copine. Je me suis levé et ai gardé les deux dernières giclées pour le café. J’ai tendu la tasse à Solène.
— Tu le prends au lait, non ?
Elle m’a souri.
— Plus maintenant mon chéri. Je le prends tout noir à présent. — Ah. Tant pis. Tu nous en refais, Cédric.
Il l’a fait tandis que Solène me nettoyait la queue de sa bouche divine. On s’est embrassés. On a pris notre café, lovés dans les bras l’un de l’autre, nus sur le canapé. Cédric était à la chambre.
— Tu vois ma belle, tout va bien.— Oui, merci mon chéri.

Nous sommes allés prendre une douche tous les deux. Je l’ai léchée et l’ai fait jouir. Cédric était toujours à la chambre, prostré. J’ai porté Solène jusque dans leur lit. Elle m’a sucé et on a baisé de nouveau. En missionnaire, puis elle est venue sur moi, de face. Puis en levrette. Elle a joui deux fois encore. Je l’ai prise de nouveau en missionnaire. Cédric assis sur le bord du lit avait la tête de sa copine sur sa jambe. Elle m’a supplié de jouir en elle. Je l’ai remplie. Elle m’a remercié. Elle, allongée à moitié sur son mec, je suis sorti de sa chatte et me suis mis à califourchon au-dessus d’elle, ma queue sur son visage. Il avait ma queue sous le nez quasiment. Elle m’a pris en bouche.
— Et toi ? Tu ne me remercies pas ?— Hein ?— T’as déjà vu ta copine aussi heureuse ?— Non... Non.— Eh bien ?— Merci.— Merci qui ? Merci de quoi ?— Merci... Monsieur... De rendre heureuse ma copine.— Eh eh, de rien mon petit cocu, je suis là pour ça.
Une fois ma queue bien propre, je me suis levé, j’ai embrassé Solène.
— Allez, salut les amoureux. Bon dimanche. — À bientôt, mon chéri.— Compte sur moi, ma belle.
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