Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 30 J'aime
  • 0 Commentaire

Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 76

Maelyss

Trash
L’année se poursuit dans la même lignée. Manon tient son rôle de favorite à cœur et me permet de rencontrer pas mal de filles. Elle m’en présente, en rabat certaines pour moi. Un soir, nous sommes dans un bar, tous les deux. Une fille est seule à une table. Brune, des lunettes, un nez légèrement en trompette, une belle bouche, yeux bleus, cheveux longs, une grosse poitrine. Elle porte une minirobe à carreaux écossais et des bottes à talons. Elle me fait envie dès que je la vois. Manon le voit. Elle me sourit et m’embrasse. Elle va voir la fille, Maelyss. Je les vois se parler, elles me regardent, Maelyss d’abord timidement, puis avec un peu plus d’insistance. Je lui souris, elle rougit un peu, baisse les yeux. Puis les deux reviennent à ma table. Manon m’embrasse et me présente à Maelyss. Nous sommes assis autour d’une petite table ronde, si bien que je suis entre les deux, aussi proche de l’une que de l’autre. Maelyss a des seins encore plus gros que ce que je pensais.
Ils ont l’air superbes. On discute légèrement. Elle est sympa, drôle, doit retrouver des copines à elle, mais est largement en avance. Je flirte gentiment avec elle. Je fais signe à Manon de nous laisser un petit peu. Elle va recommander au bar et ensuite va se refaire une beauté. J’en profite pour accélérer un peu.
— Tu es très, très sexy Maelyss.
Elle rougit, baisse les yeux, se passe la main dans les cheveux.
— Merci, Isaiah.— Et moi ?— Toi ? Ah ah, euh... Tu es... Très beau.— Tu trouves ?— Oui. C’est quoi votre deal à tous les 2 ?— Manon t’a dit, non ?— Oui...— Nous sommes ensemble.— OK. Mais tu vas voir ailleurs...— Oui. Manon est au courant de tout. — Elle m’a dit, oui.— Et tu trouves cela... ?— Je ne sais pas. Disons que cela m’a surprise. — Tu es curieuse ? — Ben un peu, j’avoue. Après, si t’étais un tromblon, je serai juste choquée, je pense. Mais là, bon...— Là, quoi, Maelyss ?— Ben, t’es beau comme un dieu.

Elle rit, légèrement.
— J’ai envie de toi, Maelyss.— Ah oui ? Carrément ?
Je glisse ma main dans son dos.
— Oh oui.— Manon m’a dit que tu es comme un dieu de partout...— Et ? — Suis curieuse de nature...— Ah ah, très jolie qualité, ça.— Je trouve aussi.
Elle se détend. Je la frôle du bout des doigts dans le dos, elle se cambre, penche la tête en me regardant.
— Tu me fais confiance ?— Ça dépend.
Je pose ma main sur la sienne.
— Là ?— Mmmmmm, oui.
Je prends sa main et viens la poser sur mon entrejambe. Elle tourne la tête, gênée. Mais ne peut s’empêcher de sentir mon sexe.
— Ah oui ? Quand même.— Oui, quand même.— Mais Manon ?— C’est elle qui est venue te voir, non ?— C’est vrai.
Manon revient.
— Alors, elle est sympa, non ?— Très.— Et mon homme, il te plaît ma belle ?— Oui.
Manon m’embrasse.
— Mmmmm, si tu savais, il embrasse trop bien. — Oui ?— Ohhhh oui.
Manon sourit, je regarde Maelyss, qui a les yeux baissés. Je la caresse dans le dos. Elle n’ose pas. Manon le sent.
— Cela vous dit d’aller prendre l’air.— Et mes copines ?
Je prends les choses en main, je me lève et lui dis :
— Tu leur écris, tu leur dis que tu as croisé un vieil ami. Que tu dînes avec lui.— Je dîne avec lui ? — On ne mangera peut-être pas beaucoup, ah ah.
Je mets ma veste, je suis derrière elle, elle me sent contre elle. Elle joue avec son portable, hésite. Je pose ma main sur la sienne.
— Maelyss, tu leur écriras en route, viens.
Je lui pose son manteau sur les épaules, Manon s’est levée, elle lui tend la main. Maelyss hésite et finit par lui prendre la main. On sort du bar, je me glisse entre les deux. J’embrasse Manon qui est à mon bras, pendant que Maelyss écrit à sa copine.
— Voilà, c’est fait.
Je lui souris.
— Ça va, Maelyss ? — Oui... Oui. — Un peu stressée ?— Un peu. — Pourquoi ?— Je n’ai jamais fait ça.— L’amour ? — Ah ah, non, suivre un inconnu, un couple, tout ça.
Je m’arrête, je tiens Manon par la taille, tout contre moi, je l’embrasse tout en glissant mon bras derrière Maelyss. Nos bouches se séparent, je regarde Maelyss.
— Embrasse-moi, ma belle.
Elle regarde Manon qui lui sourit. Maelyss pose ses lèvres sur les miennes, on s’embrasse, ma langue ouvre sa bouche et cherche la sienne, on se roule une énorme pelle. Assez vite, ma main descend sur ses fesses. Elle se cambre. Nos lèvres finissent par se séparer. Elle sourit.
— Ah oui... OK... Je...— On va à la maison ?
Manon lui demande cela en souriant. Maelyss fait oui de la tête. Je roule des pelles aux deux, sur le chemin. On finit par arriver. Maelyss et Manon dans le canapé, je leur sers du champagne. Je les laisse seules, je dis à Maelyss de décider sans se gêner si elle préfère que Manon soit présente ou non. Quand je reviens, Manon se lève et m’embrasse. Elle me sourit et fait une bise à Maelyss.
— Profite, OK.— Oui... Suis désolée, Manon. — Mais non, t’inquiète.
Je m’assieds sur le canapé, tout près de Maelyss.
— Désolée, pour la première fois, je préfère être... seule...— Un, arrête d’être désolée. Et deux, première fois ? Tu penses déjà à la suite ? — J’ai comme le sentiment qu’il doit être difficile de se contenter d’une fois.
Je l’embrasse, la caresse, lui ôte sa robe, elle porte un collant que je déchire littéralement.
— Les collants, c’est la dernière fois, OK ? C’est bas ou rien.— Oui..., oui, mon chéri.
Elle a un corps sublime, des seins magnifiques que je masse et lèche, je fais durcir ses tétons de mes lèvres. Elle se tortille et miaule. Je la retourne et la mets à quatre pattes sur le canapé, je caresse ses fesses et commence à la lécher. Elle se cambre pour ma bouche, je masse ses mamelles sous elle et ne tarde pas à la faire jouir. Elle s’allonge sur le dos et je reprends mon cunni, elle danse sur ma langue et je la fais jouir une nouvelle fois. Sa mouille est délicieuse, je m’en délecte.
Je me redresse enfin, debout devant elle, assise sur le canapé, elle caresse mon torse et m’ôte ceinture, pantalon puis boxer. Elle a ma queue juste au-dessus d’elle. Elle me sourit et sans les mains, la prend en bouche. Elle commence à me sucer, lentement, elle a une bouche merveilleuse, elle joue bien avec sa langue et me regarde dès qu’elle peut, j’adore. Elle me sent grossir et durcir sous l’effet de ce qu’elle me fait et répète plusieurs fois : mais c’est pas possible.
Je la tiens par les cheveux et commence à lui baiser lentement la bouche, elle bave bien sur mon sexe raide. Elle embrasse mon gland et me dit :
— Tea-bag moi, Isaiah, je t’en prie.
Je prends ma queue à pleine main, me mets au-dessus de son visage et lui offre mes couilles, qu’elle lèche, puis prends à pleine bouche. Elle les aspire, je sens sa langue qui roule des pelles à mes couilles. Je me branle et pousse des râles de plaisir.
— C’est trop bon, ma belle, t’arrête pas.
Puis je lui reprends la bouche. Elle bave entre ses seins et glisse mon sexe entre. Elle m’offre une magnifique branlette espagnole, tétant mon gland et ma queue à chaque remontée. C’est tellement bon que je jouis entre ses seins. Mes giclées de sperme lui aspergent le visage. Elle en avale. Me dit que ma semence est divine. Nous baisons une partie de la nuit au salon, puis dans une des chambres d’amis. Elle se lâche totalement, ne retient plus ses cris de plaisir, de jouissance. Elle me supplie de la baiser encore et encore. On s’endort au petit matin, ma queue toujours en elle.
Je suis réveillé par l’odeur de café. J’ouvre les yeux. Manon est à l’entrée de la chambre avec une tasse de café. Maelyss, elle, me suce. Manon me sourit :
— Je vois qu’elle a vite compris comment t’amadouer, mon amour.— Eh eh, en effet. Approche ma belle.
Manon m’embrasse et me tend mon café. Je me redresse et m’assieds dans le lit. Manon rejoint Maelyss et elles me sucent à deux bouches. Je ne tarde pas à jouir, elles sont sublimes. Elles se partagent mon foutre, qu’elles avalent. Manon est divine. Je l’aime. Je le sais.
Diffuse en direct !
Regarder son live