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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 77

mariage, message, Jason

Trash
C’est suite à la soirée avec Maelyss que j’ai décidé de la demander en mariage. Cela m’a pris un peu de temps à organiser, mais avec l’aide de Lucie, j’y suis arrivé. J’avais trouvé une bague magnifique pour elle. J’avais tout prévu, sur un bateau, en présence d’Élise et Sophie. Nous avions passé la journée en mer, fait l’amour tous les quatre. Puis les deux filles avaient dit qu’elles préparaient l’apéro et à l’avant du bateau, enlacé avec Manon, une coupe de champagne à la main, je me suis lancé :
— Je t’aime, Manon.— Moi aussi, Isaiah.— Je veux t’épouser. — Ouiiiiiiiiiiiiii.
C’était simple, direct, évident. On s’est embrassés. Je lui ai passé la bague au doigt, elle adorait, elle pleurait de joie. Élise et Sophie ont pleuré de joie dans ses bras.
C’était une journée qui me faisait du bien. J’avais accusé le coup quand et Marina, et Stéphanie et Jessica m’avaient annoncé qu’elles n’étaient pas enceintes. J’étais sûr de mon coup pourtant. Cela m’a presque fait douter de moi. Fiancée, Manon m’a offert une superbe fellation, alors qu’Élise et Sophie me couvraient de caresses et de bisous.
— Les filles, vous allez me mener à l’hôtel.— Ohhhh merci mon Roi. — Merci mon chéri.— Ce sera magnifique.— En revanche, vous comprendrez que pour la nuit de noces, je serai tout à Manon.— Bien sûr. — C’est évident.

Le temps passe et ma vie est un rêve. Un jour, je reçois un message d’un numéro que je ne connais pas. Message assez long. C’est mon demi-frère, Jason. Ma mère m’en avait parlé dans quelques lettres que j’avais laissées sans réponse. Il m’annonce que notre mère est morte et me donne la date de l’enterrement. Il me dit qu’il faut que je l’appelle. Je lui réponds qu’il peut m’appeler. Il ne le fait pas. Nous sommes à l’appart avec Manon, Élise et Sophie. Manon me voit soucieux.
— Ça va, mon amour ? — Oui, oui. Juste ce message, là.
Je lui explique.
— Tu devrais l’appeler, non ?
Mais Isaiah n’aime pas appeler. Les gens l’appellent. Lui écrivent. C’est comme cela. Et cela ne doit pas changer avec ce Jason. Mais Manon insiste. Élise et Sophie s’y mettent aussi.
* * *
Je souris quand je reçois le message d’Isaiah :
— Tu peux m’appeler.
Il rêve. Pour qui se prend-il ?
Mais commençons par le commencement. Je m’appelle Jason, mais on m’appelle Jace. Me voilà orphelin. Mon père est mort il y a quelques années déjà et ma mère vient de nous quitter. Cela dit chez elle, c’est une habitude, dans sa vie elle a quitté de nombreux hommes. J’ai mis du temps à comprendre pourquoi elle n’avait pas quitté mon père. Mais quand j’ai réalisé qu’elle le faisait cocu ouvertement et largement, je me suis dit qu’elle n’avait aucune raison de le quitter. Après tout, cet imbécile acceptait tout et n’osait rien dire. Elle avait la belle vie. Je savais qu’elle avait eu un enfant, d’un autre homme, avant moi. Un an avant de m’avoir à peu près, elle avait eu Isaiah et avait quitté son père dans la foulée. Abandonnant son fils. Elle n’en parlait jamais ou presque. Elle préférait se faire draguer et baiser par des hommes mieux montés que mon père. Plus virils aussi. Elle était restée en contact épisodique avec Isaiah, je crois. Je suppose que j’ai de la chance, elle ne m’a pas abandonné, moi.
Elle m’a façonné à son image, désirant faire de moi un homme puissant, un alpha. C’est son héritage. À part cela, elle et mon père ne m’ont pas laissé grand-chose, si ce n’est de quoi vivre comme un roi, jusqu’à ma mort et même après. Vous me direz, c’est déjà bien. Et je compte bien en profiter.
Majeur depuis peu, je suis black, 1m98, 115 kilos de muscles, et des yeux bleus qui vous transpercent. Je ne vais pas mentir, je suis beau comme un dieu. Ce n’est pas moi qui le dis, mais je le dis aussi. Très sportif, je suis un dragueur né, un prédateur. Ma mère m’a appris ce qu’aiment les femmes, ce qu’elles attendent, espèrent, ce dont elles rêvent.
Nous vivons en banlieue parisienne, banlieue bourgeoise, dans une grande et belle maison, que je m’empresse de vendre. Et donc, l’enterrement s’est plutôt bien passé. Étant très populaire, il y avait plein de monde venu pour moi, ah ah. C’est un oncle éloigné et sa femme qui se sont occupés de tout. J’avais autre chose à faire. Notamment me faire réconforter par Mélanie et Marie. Deux copines dont je suis le mâle. Elles ont insisté pour venir habillées comme deux petites salopes et être là pour moi. C’est touchant, je ne peux pas dire non. Quand nous sommes rentrés chez moi, il y avait un vin d’honneur prévu, tout bien organisé. Les gens viennent me saluer et assez vite, Marie et Mélanie me disent de les suivre dans ma chambre, à l’étage. J’ai horreur de refuser l’invitation de femmes aussi jolies. Je les suis. Alors qu’elles me tiennent chacune par une main, un petit homme se met sur notre chemin.
— Jason ? — Lui-même.— Je peux vous parler quelques minutes ?— Oui. Montez à l’étage dans 5 minutes. La chambre au fond du couloir.
Marie et Mélanie me sourient.
— Allez, les filles, on y va.

Cinq minutes plus tard, j’ai laissé la porte de la chambre ouverte et je suis allongé sur mon lit, nu, les deux bouches de ces petites salopes lustrant mon pieu. Ah oui, j’ai un énorme sexe. Bien dur, magnifique et très, très bon, paraît-il. J’adorais me faire sucer par elles. Cela fait presque six mois que je les baise, elles ont donc l’habitude de prendre ma queue. Elles se débrouillent toutes les deux remarquablement bien. Je suis bien décidé à en faire venir une sur ma bouche et l’autre sur mon pieu, quand je remarque dans le couloir, une silhouette. Elle semble petite, je crois d’abord à une femme, mais il s’agit en fait bien du petit homme de tout à l’heure. J’intensifie exprès mes gémissements et constate avec plaisir que la silhouette s’approche de la porte. Je souris. Je l’ai reconnu, il s’agit de l’ancien associé de mon père, un homme petit, timide, un peu comme mon père d’ailleurs, mais dans mon souvenir très gentil. De mémoire, il s’appelle Pierre.
Je le vois pencher la tête et regarder clairement vers le lit. Je lui fais un signe de tête et un clin d’œil, l’air de dire « le spectacle te plaît ? »
Je prends la tête de Marie dans mes mains et lui baise la bouche sauvagement en disant à Mélanie de me lécher les couilles. Je sens Pierre subjugué et décide de le bousculer un peu :
— Entre, je t’en prie, ne sois pas timide.
Comme il n’entre pas, j’insiste :
— Ne t’en fais pas, elles ont l’habitude. L’autre fois, le père de Mélanie n’a pu s’empêcher de nous mater.
Mélanie sourit, elle sait que c’est vrai. Pierre toussote et entre.
— Assieds-toi, profite.
Il obéit et s’installe dans une chaise. Je vais finalement venir Marie sur ma bouche et commence à la lécher comme un fou. J’adore sa petite chatte, épilée entièrement, magnifiquement juteuse, un vrai délice. Mes mains pétrissent ses fesses pendant que ma langue fouille sa chatte trempée. Mélanie en profite pour venir s’empaler sur ma queue. Elle qui était si serrée il y a quelques mois encore, se l’enfonce très facilement jusqu’au fond d’elle. Elle va et vient sur ma queue et me baise littéralement pendant que sa copine me baise la bouche. Marie subit un premier orgasme et sa mouille couvre mon visage. Sa mouille est délicieuse, je m’en abreuve. Mes mains prennent le cul de Mélanie et la font aller et venir sur moi. Rapidement, elle jouit à son tour. Les deux femelles s’embrassent avant de s’écrouler sur moi. Je les fais se mettre toutes les deux à quatre pattes sur le lit et viens prendre en levrette Marie, pendant que je doigte Mélanie. Pierre n’en perd pas une miette.
Je les défonce l’une après l’autre, en alternant chatte et cul pour les deux. À un moment, je devine Pierre qui se tortille sur la chaise, sur le côté. Il porte un costume clair, il a l’air tout contrit. Je me tourne vers lui et le vois se pencher légèrement en avant. J’en suis sûr, le con est en train de se jouir dessus. Il ne s’est même pas touché, mais il se fait dessus. J’adore. Je lui souris. Il est tout gêné, tout honteux. Je ne dis rien et alors que Marie jouit sous mes assauts répétés, je me retire d’elle, monte debout sur le lit, devant mes deux femelles et me branle au-dessus de leur visage. Elles adorent prendre mon sperme en bouche, mais vu les circonstances, je préfère leur jouir sur le visage. Je m’exécute, déversant mon abondant sperme, bien épais, sur ces deux ravissantes jeunes femmes qui me supplient de les abreuver. Une fois vidé, je laisse ma queue pendante aller d’une bouche à l’autre, pour qu’elles me la nettoient.
Elles me remercient en s’embrassant sur mon gland. Je leur mets à chacune une petite fessée, leur signifiant la fin du spectacle. Elles savent où est la salle de bain, elles me laissent avec Pierre qui baisse les yeux quand elles passent.
Je m’assieds sur le lit, adossé au mur, les bras derrière la tête, la queue encore luisante qui n’a toujours pas perdu de sa vigueur. Pierre me regarde timidement. Il n’ose pas.
— Je t’écoute.
Il se racle la gorge.
— Jason, je... je ne sais pas si tu te souviens de moi, je... je suis l’ancien associé de ton père.— Je sais.
En réalité, je ne me souvenais pas de lui, jusqu’à deux ou trois jours de cela. Quand il m’a fallu mettre en ordre quelques affaires. Je rangeais des choses dans le bureau de mon père et je finis par tomber sur des photos de vacances. On y voyait mes parents avec Pierre donc, sa femme et leurs enfants. Si je me souvenais de Pierre, c’est surtout parce que je n’étais pas près d’oublier sa femme et ses deux filles. Il avait aussi un fils, qui lui ressemblait étrangement. Les deux filles semblaient plutôt avoir hérité de leur mère, ce qui était une bonne chose. Trois bombes. Je me demande bien comment un mec comme lui a pu se lever une bombe pareille, mais cela dit, je me félicite que ses deux filles aient hérité de leur mère.
— Et donc ?— Oui... Euh... Voilà, tes parents m’ont beaucoup aidé à l’époque, et nous ont beaucoup aidés. Je leur ai toujours promis que je leur revaudrai cela. Je voulais te proposer de venir à Los Angeles avec moi. Mon épouse, Julia... C’est elle qui a eu l’idée. Elle dirige une agence de mannequinat, qu’elle a créée avec sa meilleure amie, il y a cinq ans. C’était un petit caprice de sa part, mais il s’avère que cela fonctionne plus que bien.— OK. Et en quoi cela me concerne ?— Elle a vu des photos de toi et a suggéré l’idée que tu viennes. Elle pourrait te faire faire des essais.— Des essais ?— En tant que mannequin.— Ah... Parce que je suis beau.— Euh... Oui... Oui, voilà.— Eh eh, il ne faut pas avoir peur de dire les choses, Pierrot. — Oui, en effet. Oui. Et donc, Julia a même pensé, et je suis d’accord, ce serait pratique, que tu pourrais vivre chez nous. On te paie le billet d’avion, bien sûr.— Bien sûr.
Je lui souris froidement. Il baisse les yeux. Je n’en reviens pas. Il m’offre sur un plateau la vie de rêve. Mannequin à LA, entouré de belles femmes et c’est sa femme qui le lui a suggéré ; elle veut que je vive chez eux. Je ne réalise même pas que je bande comme un âne. Pierre, lui, le remarque. Ils m’offrent le billet. Amusant. Je peux me le payer, mais puisqu’ils insistent.
— C’est d’accord.— Vraiment ? — Vraiment.— Oh, c’est super. Julia va être ravie. — Oui. — Je lui avais dit que ce n’était pas sûr que tu acceptes, que je ne savais pas. — Ne t’en fais pas, tu as très bien fait, je lui dirai qu’elle peut être fière de toi.
Il n’arrive pas à décrocher le regard de ma queue.
— En revanche, je ne viendrai que dans quelques jours. J’ai des choses à régler ici avant.— Oui, oui, bien sûr. Je repars demain. Tu n’auras qu’à m’écrire pour me dire quand tu veux que je te prenne le billet.— Envoie-moi un SMS dès que tu quittes cette pièce. Comme ça, j’ai ton numéro, Pierrot. — Bien, Jason. C’est parfait. — Oui, parfait.
Je le regarde. Sans rien dire. Il finit par se lever et va pour sortir de la chambre.
— Ah, Pierrot !— Oui ? — T’aurais pas une photo de famille là ? Je préférerais, mes parents m’ont toujours dit de ne pas parler aux inconnus.
Je dis cela avec un grand sourire.
— Ah ah, oui, ils ont raison. Ah ah. Tiens regarde.
Il s’approche du lit, sort son téléphone et me montre un album « famille ». Je prends le tél. directement. J’ai ma queue à la main et son tél. dans l’autre. Première photo, on les voit tous les cinq, les parents, les deux filles et le fils. Je fais défiler. La mère est une blonde incendiaire, milf avec d’énormes loches. Leur fils est la copie conforme du père. Les deux filles sont blondes aussi, l’une a semble-t-il hérité de la poitrine de sa mère, et l’autre moins. Mais les deux sont super mignonnes. Je m’arrête sur une photo des deux filles en bikini au bord de leur piscine. Elles sont bandantes.
— Très joli tout ça, c’est chez toi ?— Oui. — Parfait. J’y serai très bien.— Je pense, oui.
Je lui rends son tél.
— Allez, file. — Oui, je t’écris, Jason.— Voilà.
Il sort de la chambre et je reçois son SMS dans la foulée. Parfait. Je lui dis direct de me prendre un billet pour dans trois jours. Il le fait. Il ne se passe pas 10 minutes avant que je ne reçoive la confirmation de mon billet pour LA. Je suis aux anges. Je baise Mélanie et Marie toute la journée pour fêter ça.Je file à la douche pour réfléchir. J’ai deux jours pour aller tâter le terrain du royaume d’Isaiah. Ma mère m’a toujours dit qu’il était important de bien repérer, observer sa proie. Je l’ai écoutée. Une semaine avant, j’avais écrit à Isaiah, sans trop savoir pourquoi. Mais bref, c’est mon demi-frère, alors pourquoi pas après tout.
Mon téléphone sonne. Je regarde. Je souris. C’est Isaiah. Eh eh. Je ne réponds pas. Je laisse passer cinq minutes. Il rappelle. Je laisse sonner et finis par décrocher en visio.
— Oui ?— C’est Isaiah.— Oui. — Je t’appelle, voilà.
Il est pas mal, on se ressemble, mais je suis plus beau. À côté de lui, une sublime brune. Sexy.
— Je te présente Manon, ma fiancée.— Ta fiancée ? — Ouiiiiii.
C’est elle qui a répondu. Derrière, je vois passer deux autres filles.
— Et les deux au fond ? — Des copines. — Ah ah, OK oui. Bon, t’as vu pour l’enterrement ?— Oui. Je ne viendrai pas.
Putain, le con. Il m’explique que notre mère l’a abandonné, bla bla bla. Je l’écoute à moitié. Sa mère meurt, il vient à l’enterrement, point. Bref, on ne va pas en parler mille ans. J’embraye sur son mariage. Je lui dis que je veux venir. Manon se réjouit, elle lui dit :
— Ce serait chouette que tu aies un peu plus de famille.
Isaiah est coincé. Il accepte. Je souris. Les deux autres filles viennent dire bonjour. Elles sont canon. Je lui dis que je vais venir les voir dans quelque temps. Il n’a pas l’air emballé, au contraire de sa fiancée. Il me file son adresse. On raccroche. Je décide alors que l’attitude d’Isaiah à propos de notre mère est inacceptable. Je décide que sa fiancée est bandante, ses copines aussi. Je décide d’aller dans le sud. Isaiah a l’air d’avoir la belle vie. Il ne le sait pas encore, mais il vient de goûter à son enfer.
Quand Pierre me parle de LA, je réfléchis vite. Je vais à LA. J’envoie un message à Isaiah :
— Je pars à LA finalement. Je rentrerai pour ton mariage, t’en fais pas. — OK. Dommage. — Manon est pas trop déçue ? — Hein ? Si, un peu. Mais ça ira. Si tu viens au mariage, c’est OK.— Oh, je vais venir !— Super.
Quel nase. J’ai deux jours devant moi. Je file dans le sud. Puis LA. C’est parfait. Je suis parfait.
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