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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 79

planter des graines

Trash
— Jason ? — Oui. Oh... Ma... Manon, c’est ça ?— Mais oui. Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Elle me regarde. Elle est sublime, vraiment.
— Je voulais faire une surprise à Isaiah. — Ah mince.
Et ça repart, comme sa copine, et bla bla bla... Elle me propose d’appeler Isaiah, je la convaincs de ne pas le faire. Elle m’invite à prendre un café, je refuse, j’ai à faire. Elle est déçue. Je lui dis que j’ai vu Élise et que je veux faire une surprise à Isaiah, donc qu’il ne faut rien dire de ma venue. Je lui dis que je lui écrirai si cela ne la dérange pas, pour organiser tout. Elle me dit qu’il ne faut pas que j’hésite et me donne son numéro (que j’ai déjà). Je lui dis qu’il vaudrait mieux ne pas dire à Élise que l’on s’est croisés. Manon s’en étonne.
— J’ai vraiment envie qu’Isaiah ne se doute de rien. Si j’ai bien compris, vous êtes très proches toutes les deux. Si vous commencez à en discuter, ça va se savoir, je le sais.
Je lui dis ça gentiment, en souriant chaleureusement.
— Hi hi, tu as raison. Allez, c’est notre secret. — Oui, Manon. Merci. Tu es adorable.— Oh non, c’est toi. Isaiah sera ravi.
On se quitte en se faisant la bise. Ma main est au-dessus de son cul. J’ai envie de l’empoigner, mais n’en fais rien. Je résiste à la tentation. Quand elle rentre dans l’immeuble, j’écris direct à Élise :
— Ma chérie, je viens de tomber sur Manon. Je ne lui ai rien dit. Fais-en autant. C’est mieux. Je t’aime.— Tu as raison mon chéri. Notre secret. Je t’aime. Hâte que tu reviennes.— Moi aussi.


Je me pose dans un café, écoute l’enregistrement d’Élise, prends des notes. Je décide de continuer ma campagne d’invasion. J’apprends qu’Isaiah était furieux un jour, parce que sa nouvelle avocate s’était refusée à lui et avait mis plusieurs jours à céder. Je souris. Je décide d’aller la voir. Tous les passages sur le lycée me font halluciner. Je veux rencontrer la proviseure aussi. Élise, l’avocate, la proviseure... Je sème des graines qui seront autant de fruits à récolter à mon retour, qui m’aideront à conquérir le reste du royaume. J’envoie plusieurs messages, en commençant par Élise :
— Tu me manques.
Cela ne mange pas de pain et il ne faut pas que je la lâche. Je veux la rendre accroc. Même si je pense qu’elle l’est déjà, il ne faut jamais se croire à l’abri. Autre leçon de ma mère.Puis j’écris à Pierre :
— Décale mon vol. J’ai besoin d’un jour de plus. — D’accord Jason. Pas de problème. Ça va ? Nous t’attendons.— Parfait ! Oui, ça va très bien. Rassure tout le monde, j’arrive.
Quel nase ! Réponse d’Élise :
— Toi aussi mon amour. C’est fou.
Suivi de plein de smileys avec des cœurs de partout. Je souris. La serveuse me demande si je reveux du café. Je lui dis que oui. Elle me sourit. Elle est mignonne. Mais je reste focus. Je suis en mission. Je poursuis mes écoutes. Un passage m’intéresse : Kate, la vendeuse de lingerie. Je me dis que cela peut être une proie facile. Je l’ajoute à mon planning et élabore un plan d’attaque : d’abord l’avocate, dès cet après-midi. C’est peut-être celle qui va me prendre le plus de temps. Ensuite Kate, si j’ai le temps dans la foulée. Demain matin, m’assurer qu’Isaiah ne va pas au lycée et aller voir la proviseure. Je suis assez content de moi. La serveuse me mate. Je suis en mission, je suis en mission. Oui, bon, une petite pipe ne peut pas me faire de mal. Il n’y a pas grand monde. Son collègue est là, ils ont l’air de bien s’entendre. J’ai même l’impression qu’ils parlent de moi. Je finis d’entrer tous les numéros que j’ai récupérés dans mon répertoire.
Sur chaque contact, j’écris tout ce que je sais. Je bénis Élise. En plus d’être une vraie salope au lit, elle est bavarde. Exactement ce qu’il me fallait. J’ai fini ce que j’avais à faire. Je fais signe à la serveuse, qui arrive. Non sans avoir échangé un regard complice avec son collègue.
— Je peux vous apporter quelque chose, Monsieur ?— Jason, je vous en prie.— Jason.— Non, non. Je viens d’arriver dans la région et j’ai un très gros problème.— Oh, j’en suis désolée.— Ne le soyez pas, il me semble que vous êtes exactement le genre de personne pour m’aider à le résoudre.— Ah ? Vraiment ?— Oui.— Quel est votre problème, Jason ?— Il est tellement gros, je ne peux décemment pas vous le montrer ici. — Mmmmm... Il faudrait s’isoler.— Voilà.— Eh bien, allez vers les toilettes là-bas, dans deux minutes, je verrai ce que je peux faire.— Vous êtes adorable... — Estelle.— Estelle. Très joli prénom.— Merci.
Elle s’éloigne, échange deux mots avec le collègue qui me regarde et lui sourit. Elle s’éclipse. Deux minutes après, je la rejoins aux toilettes. Elle me roule une pelle directe et nous enferme dans la cabine « handicapés ». On s’embrasse.
— Alors ce problème ?— Ah oui. Assieds-toi.
Elle obéit et je sors ma queue.
— Ah oui, en effet. C’est un très gros problème.— Oui.— Je pense pouvoir le résoudre.— Eh bien qu’attends-tu ?
Elle m’a sucé, comme une pro. J’ai fini par jouir après un bon quart d’heure de branlette et fellation. Elle m’a supplié de la baiser, une fois avoir bien avalé tout mon foutre. Mais j’avais à faire. J’ai payé mes cafés et suis parti. Direction le cabinet d’avocat de Séverine.
Alors que j’attends dans la salle d’attente, puisque je n’ai pas de rendez-vous, je reçois un message de Manon :
— Ravie de t’avoir vu, Jason. Tu es bien le frère d’Isaiah. — Le plaisir est pour moi Manon, je comprends pourquoi il t’a demandé en mariage.— ;-)— ;-)
J’aurais dû l’emballer direct. Non, m’en tenir à mon plan, qui est excellent. Rester concentré sur l’objectif, chaque chose en son temps. Je m’approche de l’assistante :
— Je comprends que sans rendez-vous, ce n’est pas facile. Pourriez-vous dire à Séverine que je suis le frère d’Isaiah ?— Le frère d’Isaiah ? Isaiah qui ?— Elle comprendra et voudra très certainement me recevoir.
Je lui fais un large sourire.
— Bien.
Je me rassieds, elle appelle. À peine a-t-elle raccroché qu’elle me dit de la suivre.
— Séverine va vous recevoir de suite.— Parfait.
Elle frappe à la porte d’un bureau. On nous dit d’entrer. Elle m’ouvre la porte, je passe et la referme derrière moi. Séverine lève la tête et reste bouche bée.
— Bonjour, Séverine.— Bon... Bonjour.— Jason, enchanté.
Je vais m’asseoir sans qu’elle ne m’y invite. Elle reste scotchée sur moi. Il ne s’emmerde pas, elle est très sexy. Dans le genre bourgeoise salope.
— Ça va Séverine ? On dirait que vous avez vu un fantôme ?— Euh... Non, non... Enfin, oui, ça va.— Tant mieux, tant mieux.— C’est juste que...— Oui ?— C’est troublant, enfin, vous êtes bien le frère d’Isaiah, pas de doute. — Ah oui ? Il paraît que je suis plus grand et large que lui. — Il ne m’a pas dit qu’il avait un frère.— Est-ce le genre de choses dont on discute avec son avocate ?— Hein ? Euh...— Je plaisante, Séverine.
Elle sourit, puis reprend un peu d’assurance.
— Comment puis-je vous aider, Jason ?— C’est très simple Séverine. Deux choses, tu as résisté à Isaiah la première fois que tu l’as rencontré. Cela m’étonne, mais qu’à moitié. Deuxièmement, il ne t’a jamais baisée dans ton bureau. On va remédier à ces deux choses-là aujourd’hui. D’une pierre, deux coups.
Elle me regarde, paniquée, ne sachant que dire ou que faire.
— Co... Comment ça ?
Je souris. Je me lève et fais le tour de son bureau. Je lui tends une main. Elle ne bouge pas.
— Lève-toi.
Elle se lève et prend ma main. Je la déshabille du regard.
— Mmmmm, très appétissante.— Me... Merci.
Je lève le bras et la fais tourner sur elle-même. Elle porte un tailleur minijupe, des bas, des bottines à talons aiguille, un chemisier décolleté, un ensemble soutien-gorge et string. Quand elle me tourne le dos, je plaque ma main sur son cul. Elle frissonne, se cambre, mais ne dit rien.
— Oui, très, très appétissant tout ça.— Merci. — De rien, ma belle.— Que... Que vous a dit Isaiah ?— Rien. — Mais co...— Il ne m’a rien dit, mais je sais tout. Je suis comme cela. Considère-moi comme omnipotent. — D’ac...— Et surtout, Isaiah ne doit rien savoir. Tant que je ne le dis pas, il ne doit rien savoir.— Rien savoir de quoi ?
Elle est face à moi. Je lui souris.
— De tout !
Je l’entraîne vers le canapé. Je m’assieds. Elle reste debout.
— Je n’en reviens pas qu’il ne t’ait jamais baisée ici. Quel nul ! Il n’ose sans doute pas.— Non, c’est moi qui ne veu...— Oui, c’est ce que je dis. Quel nul !
Elle me regarde.
— Eh bien ? Qu’attends-tu ?
Elle hésite puis va fermer la porte à clef. Elle s’approche de moi et se baisse pour s’agenouiller.
— Tttttt, déshabille-toi.
Elle se relève et le fait, se retrouve en lingerie et talons.
— Tourne un peu.
Elle le fait. C’est un avion de chasse. Puis elle vient à mes pieds, baisser mon fûte et mon boxer sur mes chevilles.
— Mais non ?!— Mais si, ma belle. Tu vois, je n’ai pas menti : plus grand et plus large.— Oui, en effet.
Elle est en lingerie, à genoux entre mes cuisses, ma grosse queue sous le nez.
— Alors, tu vois, ce n’est pas compliqué. Isaiah est un nul. Moi, j’ai envie de te baiser ici, dans ton bureau, je le fais.— Oui, Jason.— Tu comprends la différence ?— Oui.— Alors, suce-moi, salope. Et applique-toi s’il te plaît.— À vos ordres, Maître.
Je souris. Elle me suce divinement bien. S’attarde bien sûr mes couilles. Je me lève d’un coup et lui baise la bouche à fond.
— Je vais te défoncer.— Ouiiiiii, s’il te plaît, Jason, défonce-moi.— Que dirait ton cocu s’il te voyait ?
Elle réalise que je sais vraiment tout.
— Je t’ai dit, je sais tout !— Il... Il te remercierait.— J’espère bien.
Je la soulève, passe mes mains sous elle, écarte son string et m’enfile en elle. Elle étouffe un cri en enfouissant sa tête dans mon cou. Je la fais sauter sur ma queue au beau milieu de son bureau. Elle jouit.
— Ah ah, dommage qu’Isaiah ne voit pas ça.— Ouiiiiiiiiii.
Ensuite, je la plaque penchée en avant sur son bureau et la prends debout par-derrière. Je lui mets des fessées, elle jouit. Puis je la retourne, la fais s’asseoir sur le bureau, j’écarte ses jambes et la pénètre. Je la lime à fond. Elle jouit et crie de plaisir. Elle en redemande.
— Appelle ton cocu. — Quoi ?— Appelle ton cocu, salope.
Elle me regarde, hésite à peine deux secondes et prend le téléphone fixe. Elle compose le numéro tant bien que mal. Je la baise comme un fou, elle me fait bander. Je mets le haut-parleur.Elle miaule de plaisir.
— Allo ?— Chéri ? — Séverine ?— Oui. — Ça va mon amour ?— Oui, oui...
Elle jouit. Je monte d’un coup sur le bureau et me mets au-dessus de son visage, je lui enfourne ma queue dans la bouche.
— Séverine a la bouche pleine cocu, elle voulait juste te dire que sa journée se passe bien.— Isaiah ? — Non cocu, encore pire ! Ou encore mieux, dépendant du point de vue... Ah attends, ton épouse veut parler.
Je sors ma queue de sa bouche.
— T’en penses quoi salope ?— Encoooooore mieuuuuuuuxxxxxx.
Je jouis sur son visage. Je me déverse. J’en mets de partout.
— Oh putain, cocu, faudrait que tu viennes tout nettoyer là. Y en a partout.— Euh oui, d’accord.— Viens vite, ça déborde.— À vos ordres.
Je raccroche. Séverine se marre.
— T’es encore pire que...— Ne dis pas son prénom. Tu es à moi maintenant.— Oui, mon Roi. — Roi Jason.— Oui, mon Roi Jason.— Parfait. Allez, nettoie ma queue.
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