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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 82

s’envoyer en l’air

Trash
Ma queue est sur son visage. Si j’avais le temps, je lui rebaisserais la bouche.
— Ça t’a plu ma belle ?— C’était incroyable, Jason.— Je sais. Je viens de rentrer mon numéro, envoie-moi un message dès que je sors, OK ?— Oui, mon amour.
Je l’embrasse et sors. Je fais un clin d’œil à la personne à l’accueil et file vers ma porte d’embarquement.
Deux minutes plus tard, Anya m’écrit, c’est bien :
— Merci, mon chéri, dis-moi quand tu reviens.
Je suis en business, donc j’attends tranquille, je rentrerai à la fin dans l’avion. J’en profite pour écrire à Élise :
— Ma belle, je ne vais pas tarder à m’envoyer en l’air, mais il me manque le principal, toi.— Oh mon chéri, profite bien à Los Angeles. Je pensais à toi. Je porte ton cadeau. — Montre.
Après quelques minutes, elle me répond avec une photo d’elle.
— Je ne vais pas prendre l’avion, j’arrive !— Arrête... Si seulement... — Oui...— Je t’aime, Jason.
— Moi aussi, ma belle.
Puis à Manon :
— Alors, ces essayages ?— Je pense que tu auras une photo à ton arrivée à LA, chanceux ;-)— Une seule ? — ... bisous beau gosse.
Tous les passagers lambda embarquent. Je repère quelques femmes mignonnes, mais surtout une, sublime. Blonde, grande, élancée, habillée d’une robe veste, boutonnée sur le devant, courte, moulante. Elle a des formes de fou. Elle porte des escarpins à talons aiguilles. Elle est jambes nues, elle a des jambes sublimes de ce que j’en voie. Je reçois un message d’Anya sur WhatsApp. Elle a créé un groupe avec Hélène, elle et moi. Elle me fait suivre son échange avec Hélène :
— Jason se fait attendre... Je ne vois passer que des petits blancs ah ah.— Impatiente ?— Vu la vidéo, oui... Plutôt très impatiente.
J’enchaîne :
— Ne t’en fais pas ma belle, je ne suis plus très loin de toi.— Mmmmmm je t’attends ;-)
Je me lève et embarque. Je prends le couloir qui mène à la business. Elle m’attend, je la vois. Elle est superbe, encore mieux qu’en photo, même si je trouve le code vestimentaire trop sage. Mais bon. Elle me sourit.
— Jason, enchanté. Bienvenu à bord. Je suis Hélène et serai entièrement à votre service durant tout le vol. — Enchanté Hélène. Merci.— Vous me suivez, je vous montre votre siège ?— Volontiers.
Elle a un cul bien rebondi, qui me fait tout de suite envie. Il n’y a quasiment personne en business. Deux mecs, la quarantaine, en voyage d’affaires, qui sont tout devant, côte à côte. Un autre gars, deux rangs derrière eux. Et de l’autre côté, je vois la blonde. Je souris. Elle va pour mettre son bagage dans compartiment supérieur. Je passe entre les allées rapidement, mais sans avoir l’air de courir.
— Puis-je vous aider ?
Elle se tourne, l’air sévère. Sans doute s’attend-elle à voir un vieux gars tenter sa chance. Elle est toute surprise de découvrir un dieu vivant. Je lui souris chaleureusement et elle finit par me rendre mon sourire.
— Oh, oui, volontiers, c’est gentil.
Je prends son bagage d’un bras et le place au-dessus d’elle en une seconde.
— Ah oui, plus facile pour vous, en effet.— Je suis là pour ça ! Jason, enchanté.— Magalie. Enchantée aussi.
On se regarde, les yeux dans les yeux, pendant deux ou trois longues secondes. Puis, je vois Hélène qui me cherche du regard et me voit. Elle sourit. Elle est devant mon siège qui est dans la rangée du milieu. Cela ne me convient pas. Je me penche vers Magalie.
— Magalie ? — Oui ?— Je peux vous confier un secret ? — Suis très mauvaise pour les garder, mais allez-y.— C’est la première fois que je prends l’avion et... enfin, je ne suis pas vraiment rassuré. — Ah ah, c’est normal.— Vous... Enfin... je suis un peu gêné de vous demander cela, mais... — Jason, je ne vais pas vous manger ah ah.— Oui, ah ah. Allez, je me lance. Cela vous dérangerait que je m’installe ici. Vous avez l’air d’avoir l’habitude de voler, vous. — Aucun problème pour moi.
Hélène s’est approchée. Je laisse Magalie expliquer la situation : cela renforce son sentiment de maîtrise de la situation et son idée que je suis gêné et vraiment pas rassuré. Hélène nous dit que tout le monde a embarqué, que j’étais le dernier et que donc, oui, je peux m’installer où je veux.
— Oui, désolé, j’ai mis du temps à me décider à monter à bord.— Ne vous inquiétez pas, Jason, je suis là. — C’est gentil.— Alors nous sommes tous les deux gentils, ah ah.
Elle dit cela naturellement, tout sourire. Hélène ajoute :
— Si cela ne dérange pas Madame, bien sûr.— Non, non. Pas du tout.
Je lui souris et m’installe. Elle est côté hublot, et moi côté couloir, cela me permet d’allonger mes jambes. Hélène nous propose à boire, Magalie prend du champagne.
— Allez, je vais me laisser tenter aussi alors. Cela ne peut pas me faire de mal. Ça va peut-être m’aider à me détendre.
Hélène nous laisse. Magalie pose sa main sur la mienne.
— Détendez-vous, tout va bien aller. Santé ?— Santé, Magalie, merci.
On trinque, je lui souris. Je mets toute la chaleur possible dans ce sourire. Elle baisse un peu les yeux.
Je réfléchis rapidement. Hélène, c’est dans la poche. Mais sa présence peut me handicaper vis-à-vis de Magalie. Sa présence et mon attitude. La robe de Magalie est courte et remonte vraiment haut quand elle est assise. Elle a l’air d’avoir une très belle poitrine. Elle a des yeux incroyables, verts.
— Alors, Jason ? Qu’est-ce qui vous fait aller à LA ?
Je lui raconte que ma mère vient de mourir, que son rêve était que je devienne mannequin (mensonge) et qu’un ami de mon père m’a proposé de venir, que sa femme tient une agence. Je n’avais même pas pensé au décès de ma mère. L’aubaine. Magalie fond. Je ne sais même pas si elle s’en rend compte, mais à un moment, on se tient la main, naturellement. Assez vite aussi, on se tutoie. Elle me raconte que, de son côté, elle vient de se séparer de son mec, qui l’a trompée. En fait, ils font une pause. Elle en profite pour aller rendre visite à un couple d’amis à Hawaï. Elle me plaît tellement que j’envisage un moment de l’accompagner. Mais Hélène vient nous voir pour nous ramener du champagne et je me dis que j’ai trop de femmes à baiser pour tout plaquer juste pour elle. Aussi jolie soit-elle. Magalie me dit qu’elle passe 36 heures à Los Angeles, qu’elle a prévu de voir une de ses copines et de dormir chez elle. Je souris. J’ai un autre plan pour elle.
Finalement, sa main toujours dans la mienne, elle me sourit :
— Tu vois Jason, on a décollé, et tu n’as rien capté !
Elle rit. C’est vrai. En même temps, j’adore l’avion eh eh. Je lui souris en retour.
— Merci pour ce petit tour de magie, Magalie. — Mais de rien. Je suis contente que mon voisin soit charmant, j’ai peur à chaque fois de tomber sur des lourds.— Ou des gros.— Ou des gros lourds. Ah ah.
On rigole. J’ai du mal à ne pas lorgner sur son décolleté et ses jambes. Elle le remarque, sourit en me voyant « gêné ». Je tente ma chance :
— Pardon, Magalie.— De ?— Eh bien... de... enfin, tu es très belle, vraiment et dans cette robe, c’est difficile de ne pas poser les yeux sur toi.
Sa main toujours dans la mienne. Le symbole des ceintures de sécurité s’éteint. Il se passe à peine 5 secondes qu’Hélène vient nous voir. Magalie allait me dire quelque chose. Mais l’arrivée de l’hôtesse l’interrompt.
— Excusez-moi, Monsieur ?— Oui ?— Je suis absolument confuse, mais j’aurais besoin de votre aide. Il me faut quelqu’un de grand et... Eh bien, vous êtes le plus grand ici. — Ah... Oui, oui, bien sûr.
Dans ma tête : putain, tu perds pas de temps, salope. Je me lève et la suis, non sans avoir regardé Magalie, l’air de dire : désolé, vraiment. Elle me sourit l’air de dire : ne t’en fais pas, le vol est long, reviens vite. Je suis donc Hélène, je résiste à l’envie de l’attraper par les hanches et de la prendre au milieu de la business class. On arrive là où il y a les stocks de bouffe et de boissons. L’autre hôtesse de la business est là. Elle fait un clin d’œil à Hélène et s’éclipse. Hélène se retourne, me sourit. Je m’approche d’elle et la plaque contre une des parois de rangements.
— Alors Hélène, pourquoi a-t-on besoin de ma taille ?
Elle me jette un regard et un sourire pleins de vice. Elle se tourne, se cambre et colle son cul contre moi.
— Mmmmm, d’abord, il faudrait m’aider à attraper un truc là-haut.— Un truc ?— Oui, un truc.
J’attrape le premier truc qui vient. Elle sent ma queue grossir et durcir contre ses fesses.
— Mmmmmm je suis rassurée, je pensais que tu n’aurais d’yeux que pour ta voisine.— Jalouse ?— Un peu.
Je pose mes mains sur ses hanches, elle se cambre puis remonte le long de son corps juste que sur ses seins. Je lui murmure à l’oreille :
— Anya suce divinement bien, tu crois pouvoir faire mieux ?
Elle tourne la tête, me sourit, on s’embrasse. Elle a une bouche délicieuse. Elle se tourne et s’accroupit devant moi. Elle sort ma queue et s’extasie.
— Ouvre la bouche.
Elle obéit et je me glisse en elle, je lui prends la bouche. Elle a remonté sa jupe et se caresse à travers son string pendant qu’elle me pompe. Je masse ses grosses mamelles, dommage que l’on ne puisse pas vraiment se déshabiller et en profiter, car ses seins ont l’air superbes. Je la relève et la retourne, j’écarte son string et la prends par derrière. Elle a mis son foulard en bouche, mais ne peut s’empêcher de couiner. J’accélère. Elle jouit une première fois alors que je touche le fond.
— Ahhhh putain, tu es tout au fond, Jason.
Je la retourne et la prends de face. On s’embrasse. Je la fais jouir de nouveau.
— Remplis-moi, Jason.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Elle jouit une troisième fois en même temps que moi. Je me déverse en elle. Ça coule de partout, ça déborde. Elle me remercie. Je lui fais nettoyer ma queue, puis passe aux toilettes.
Quand je retrouve Magalie, elle bouquine. Mon Dieu qu’elle est belle. Bon, c’est un peu merdique, je me suis absenté bien trop longtemps. Heureusement, elle ne soulève pas. Elle me sourit quand je me rassieds. Je lui ai apporté une coupe.
— Oh merci.
On trinque de nouveau.
— Jason ?— Magalie ?— J’ai un service à te demander.— Tout ce que tu veux.— J’aimerais rendre fou mon copain. Enfin, mon ex. Enfin, tu vois quoi. — Ah ah, bonne idée ! Qu’as-tu en tête ? — Je vais lui écrire à l’arrivée en lui disant que j’étais assise à côté d’un top model dans l’avion et qu’il n’a pas arrêté de me draguer.
Je la regarde, tout sourire.
— Un top model ? Vraiment ?— Fais pas le modeste, tu es beau et tu le sais, Jason.
Je joue les timides et baisse la tête en marmonnant un :
— Merci, Magalie. Et du coup, que puis-je faire pour t’aider ?— Je voudrais lui envoyer un selfie de nous deux.— OK.— Merci !
Elle prend son téléphone et on se rapproche l’un de l’autre. Elle prend une photo. On la regarde.
— Pas mal.
On fait vraiment un beau couple. Elle me devance :
— On dirait un couple de stars ah ah.— Satisfaite ? — Mmmmmm, ça te dérange si j’en prends une où tu me fais un bisou... sur la joue ?— Tu es sûre ?— Oui.
Je le fais et elle prend la photo. Sa peau est douce, elle sent bon. Elle me montre la photo.
— Tu en penses quoi ?
J’entre dans le jeu.
— Je trouve que tu devrais ouvrir un bouton de plus à ta robe.— Ah ah, coquin !— Je suis sérieux. Tu veux le rendre jaloux ou pas ?— ... OK !
Elle le fait. Mmmmm décolleté sublime. Je lui souris. Je la déshabille du regard. Elle le voit, ne me dit rien.
— Comment a-t-il pu te tromper, Magalie. Tu es une déesse.— Merci, Jason. C’est peut-être pour cela que l’on va si bien ensemble sur les photos.— Comment ça ?— Tu es beau comme un dieu !
Je me colle à elle et passe mon bras autour d’elle.
— Prends-en une comme ça.— Ah ah, oui, trop bien.
Elle prend des photos, elle est tout contre moi, mon bras autour d’elle. Je lui refais un bisou sur la joue. Sur la dernière photo, je place ma main sous son sein, comme si je le soupesais. Je la vois sourire, mais elle ne dit rien. Elle prend la photo. Je reste dans la même position, on regarde les photos.
— Oh, c’est mieux là.— Tu penses qu’il va dire quoi ?— Je ne sais pas. Je m’en fous.
Elle arrive sur la dernière.
— Ça va ? Tu es à l’aise là coquin ?— J’avoue être pas mal oui.
Elle me regarde puis baisse les yeux vers mon entrejambe.
— Tu es sûr de ne pas être trop à l’étroit, là ?— Comment ça ?
Elle me montre mon sexe du regard. Je réalise que ma queue raidie gonfle mon pantalon. Je lui souris.
— Désolé Magalie, mais là, j’avoue qu’il m’est bien difficile de rester stoïque.— Ne sois pas désolé, Jason. C’est agréable.— Ah oui ?— Oui...
On se regarde. Je prends sa main et la pose sur mon sexe. Elle écarquille les yeux, puis sourit, puis comme je fais aller et venir doucement sa main sur ma queue, elle se cambre et se mordille la lèvre. Nos visages sont collés l’un à l’autre, elle me parle doucement :
— C’est moi qui te mets dans cet état, Jason ?— Oh oui. — Mmmmmm.
Elle me sourit, je l’embrasse. Tendrement, notre baiser s’éternise. Elle a ma queue en main et moi, j’ai la main toujours sur ses seins. Elle gémit de plaisir. Le baiser est merveilleux.
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