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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 83

Magalie

Trash
Nos bouches s’ouvrent, nos langues se cherchent, s’enroulent l’une autour de l’autre. J’ai lâché sa main et à présent, elle me caresse d’elle-même. Elle me fait grossir et durcir dans mon pantalon. Nos bouches se séparent. On se sourit.
— Ça, c’est fait.— Le meilleur baiser de ma vie, Magalie.
Elle se mordille les lèvres.
— Moi aussi, Jason.
Elle me masse toujours le sexe.
— Ça s’arrête de grossir à un moment ?— Ah ah, avec toi, franchement, je ne suis pas certain.— Mmmmm.— J’ai une idée.— Quoi ?— Non, tu vas me prendre pour un fou.— On vient de se rouler une pelle de 10 minutes, alors que l’on ne se connaît pas, donc ça va, t’inquiète...— OK. Si tu veux rendre jaloux ton mec, ce n’est pas une photo de nos visages que tu devrais lui envoyer.— Mais non...— Pourquoi pas ?— Ici ?— Oui ! Personne ne nous voit. Et puis on s’en fout, c’est pour la bonne cause.— C’est vrai. Mais tu veux faire comment ? — Je ne sais pas. Attends, je réfléchis.

Je l’embrasse, de nouveau cela dure de longues minutes.
— Tu as bien réfléchi ?— Oui.
On rit. Je la regarde. Je commence à défaire ma ceinture. Elle pose sa main sur les miennes :
— Attends.— Oui ?— Je peux ?— Je t’en prie, ma belle. Je suis tout à toi.— Mmmmm, c’est bon à savoir.
On se sourit. Elle se penche et déboutonne ma ceinture, puis mon pantalon. Je bouge un peu pour l’aider. Elle me caresse à travers mon boxer blanc.
— Mmmmmm, elle a l’air énorme.— C’est de ta faute.— Mais bien sûr. — C’est vrai. D’habitude, elle fait moitié moins.— Ah ah. OK. Je peux ?— Je t’ai dit, je suis tout à toi.
Elle me sourit et sort mon sexe du boxer, a un léger mouvement de recul. J’ai la main dans son dos, je la caresse légèrement.
— Mon Dieu.
Elle se mordille de nouveau la lèvre inférieure et prend mon sexe en main. Elle prend son téléphone et me le tend :
— Prends une photo.— Tu es sûre ?— Oh oui, bébé.— Attends, faisons ça bien, tant qu’à faire.
Je soulève un peu le bassin, pour qu’elle puisse bien dégager mon sexe entier et mes couilles. Elle gémit de plaisir et d’envie. Je prends une photo de sa main qui a l’air toute petite autour de ma queue. Je lui montre.
— Pas mal. Mais on peut faire mieux, je pense.— Ah oui ?
Elle se penche encore et approche son visage de mon sexe. Je filme carrément. Elle sourit, sort sa langue, ouvre la bouche, tout ça avec ma queue en main, juste sous son visage. Tout en filmant, je commence à onduler lentement du bassin, si bien que mon sexe se branle dans la main de Magalie. Elle se redresse, garde ma queue en main et vient m’embrasser. Nos langues jouent l’une avec l’autre, tandis qu’elle commence à me masturber, elle. Je filme d’une main, l’autre main se glissant le long de son dos, jusque sur son cul. Je remonte sa robe et lui caresse les fesses. Elle se cambre et gémit.
— J’ai envie de ta bouche, Magalie.
Elle se penche et comme à me sucer. Je coupe la vidéo. Je me recule dans mon siège et ferme les yeux. Elle me suce comme dans un rêve, sa bouche fait des merveilles. Je ne suis pas sûr d’avoir déjà bandé autant. Ma main se glisse entre ses fesses, puis je la caresse à travers son string bien humide.
— T’arrête pas ma chérie.— Tu aimes ?— C’est divin.
Elle me suce de plus belle. Je gémis de plaisir. Ma queue et mes couilles sont à elle. Je la sens onduler du bassin sur mes doigts. Elle aussi prend du plaisir. Après de longues minutes, je commence à lui baiser la bouche, elle bave comme une folle sur mon pieu.
— J’ai envie de toi, Magalie.— Moi aussi, Jason. Mais ici ?— Tu vois l’état dans lequel tu me mets ? Je n’attends pas d’être sorti de cet avion.
Elle sourit, mais hésite.
— Il n’y a personne, t’inquiète.— Et les hôtesses ?— Ne t’en fais pas pour elle.
Je lui roule une magnifique pelle et la fais venir à califourchon sur moi. Je remonte la robe sur ses hanches, écarte le string et place mon gland entre ses lèvres. On s’embrasse, alors que je m’enfonce lentement en elle. Mes mains empoignent ses fesses, elle descend lentement, centimètre après centimètre, nos bouches collées l’une à l’autre, son regard rivé au mien. Puis elle se cambre, se mordille la lèvre, ferme les yeux, ouvre grand la bouche, retient l’expression sonore de son plaisir comme elle peut. Nous faisons l’amour dans cette position, je la défonce lentement, je vais là où personne n’est jamais allé. Elle jouit deux fois de suite quand je me fige tout au fond d’elle. Elle m’embrasse, me sourit. J’ai envie de la déshabiller et de la baiser dans toutes les positions du monde. Je me contente de la faire se tourner, toujours sur moi, son dos plaqué contre mon torse. Elle tourne la tête et me donne sa langue.
J’ai une main sur son clito pendant que ma queue déchire sa chatte et une main dans sa robe, sur ses seins. Elle jouit de nouveau. Je vois Hélène, au bout du couloir qui nous mate. Elle me sourit. Je lui fais un clin d’œil. Je crois que Magalie la voit aussi, elle ne dit rien. Elle jouit et se laisse fondre sur moi. Nous nous embrassons, langoureusement. Après de longues minutes passées à profiter de son extase, puis à tenter de reprendre ses esprits, elle me regarde, m’embrasse, me sourit :
— Merci, Jason.— Je n’ai rien fait ma belle.— Ah ah, oui, OK.— C’est toi qui me rends fou. — Mmmmm...
Je l’embrasse. Elle se redresse et se tourne, glisse entre mes cuisses, s’agenouille. Ma queue en main, elle me regarde :
— À mon tour de te faire jouir, mon chéri.
Elle me prend en bouche. Je ferme les yeux. C’est le bonheur infini. Ses lèvres vont et viennent sur ma bite, sa langue ne cesse de bouger, elle n’oublie aucun centimètre. Je n’ai jamais joui aussi vite avec une fellation. Elle a avalé tout ce qu’elle a pu. Je l’ai relevée, l’ai prise dans mes bras et l’ai embrassée. J’aurais pu rester comme ça toute la vie. Cette fille est une bombe.
— Tu me plais Magalie.
Elle me sourit.
— Alors, je suce mieux que l’hôtesse ou pas ?— Quoi ?— Je ne suis pas conne, Jason. L’hôtesse, ton truc de la première fois que tu prends l’avion, je sais tout. Je m’en fiche, cela m’amuse. Si tu ne me plaisais pas, je ne serais pas rentrée dans le jeu.
Je lui souris et l’embrasse. Elle est restée dans mes bras.
— 1000 fois mieux !— Mmmmm. Je vais me refaire une beauté, beau gosse.
Elle m’embrasse, se lève et va aux toilettes. Je me rhabille. Quand elle revient, elle s’arrête pour discuter avec Hélène, je souris, me lève et vais aux toilettes à mon tour.
Plus tard, elle tapote sur son téléphone.
— Tu fais quoi ?— Je prépare le message que je vais envoyer à mon ex ;-)— Attends, je vais t’aider.
Elle me regarde surprise, je lui souris, et me glisse à ses pieds, entre ses jambes, qu’elle écarte. Elle soulève le bassin pour me permettre de remonter sa robe, elle est cul nul, j’écarte son string et commence un long cunni. Elle pose vite son portable pour se laisser complètement aller sur ma langue.
— Ohhhhh ouiiiii, lèche-moi mon chéri. Mmmmmm, encore.
Je prends le temps de la découvrir, de l’exciter, de la stimuler, de lui donner autant de plaisir que je peux. Elle jouit deux fois. Elle mouille beaucoup, je me régale, elle est délicieuse. Je remonte tout le long d’elle et l’embrasse.
— Merci mon chéri. C’était en quel honneur ?— En l’honneur de tu me plais ma belle.

Nous avons encore une heure de vol à peu près, quand Magalie m’embrasse, me dit de venir m’asseoir à sa place, côté hublot, puis se glisse à son tour entre mes cuisses. Elle me sourit, d’un air vraiment coquin.
— C’est pour t’aider à déstresser avant l’atterrissage. — Ah ah, bonne idée, ma belle.
Elle sort mon sexe, le branle lentement contre son visage, l’embrasse, lèche mes couilles. Puis, je la vois, se mordillant la lèvre, appuyer sur le bouton d’appel de l’hôtesse. Je souris de plus belle et bande de plus belle. Hélène arrive bien vite et s’assied directement à côté de moi.
— Comment puis-je vous être utile ?
Magalie lui prend la main et la pose sur ma queue. Hélène me masturbe pendant que Magalie me gobe les couilles. Je me mets à l’aise dans le fauteuil et ferme les yeux. Je sens la bouche d’Hélène sur la mienne. On se roule de grosses pelles. Puis elle descend et glisse sa bouche tout autour de mon sexe raide, Magalie gardant mes couilles dans la sienne. Hélène me pompe, je gémis de plus en plus fort. La langue de Magalie fait des miracles sur mes couilles. Comme l’atterrissage approche, je sens Magalie poser une main à la base de mes couilles, elle les lèche toujours, Hélène place une main sur ma queue, juste au-dessus de celle de Magalie. Le reste de ma queue est dans sa bouche. Elles me branlent toutes les deux dans la bouche de l’hôtesse, parfaitement synchrones. Je finis par jouir dans la bouche d’Hélène, qui avale ce qu’elle peut. Magalie vient l’aider et prend le reste dans sa bouche. Elles avalent toutes les deux, puis me nettoient le sexe à deux bouches. C’est parfait.
— Merci les filles. Exactement ce qu’il me fallait. En revanche, vraiment frustrant de ne pas pouvoir profiter de vos corps de déesses, là. Va falloir rattraper ça !
Elles me sourient et s’embrassent sur mon gland. J’apprécie.
Nous finissons par atterrir. J’écris direct à Pierre :
— Tu trouverais pas ça marrant de m’attendre avec une pancarte « Monsieur Jason » !— Euh... Oui, oui, j’imagine, je vais essayer de faire cela, oui.— Ne me déçois pas !

Hélène nous salue en sortant, j’ai envie de lui rouler une grosse pelle, je me retiens. On est main dans la main avec Magalie. Je la convaincs que Pierre peut tout à fait la déposer chez sa copine. Elle me remercie. En attendant nos bagages, elle écrit à son mec / ex et lui envoie photos et vidéos. Pendant ce temps, je regarde mes messages. Je vois qu’Élise et Manon m’ont écrit, j’ai bon espoir d’avoir des photos, je garde ça pour plus tard. Kate m’a écrit :
— Bon voyage mon chéri. Ta petite salope Kate.
Séverine et François me souhaitent aussi bon voyage, tout comme Anne-Sophie et Michel. Me vient alors une idée, teintée de regret, en relisant me notes :
— Dommage que je n’aie pas eu le temps de rencontrer votre fille, Lauren. Je l’aurais bien engrossée, elle aussi.
Quelques secondes plus tard :
— Elle rêve d’aller aux US, cela pourrait être l’occasion, Maître.— Michel a raison mon chéri, elle en rêve. Pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups. ;-)— Parfait ! Arrangez-moi cela !— À vos ordres Maître.
Nous récupérons finalement nos bagages, passons la douane et sortons main dans la main. Je souris en voyant direct Pierre, qui s’est mis bien devant. Il tient un carton format A4, sur lequel il a écrit « Monsieur Jason ». J’entraîne Magalie et me plante devant lui :
— Magalie, notre chauffeur !— Bonjour Jason. Magalie, bonjour, enchanté. Pierre.— Enchantée. Merci beaucoup de me conduire, Pierre.— Je ne savais pas que tu serais accompagné, Jason.— Moi non plus. On dépose Magalie chez une de ses amies, ensuite on va chez toi, OK ?— Euh, oui, oui, OK. — Magalie viendra dormir deux nuits chez toi aussi. Elle me rejoindra ce soir.— Bien, oui. Parfait. — Oui, parfait.
Il prend la valise de Magalie et on le suit vers sa voiture. Je mets une grosse main au cul de Magalie, qui sursaute, sourit et m’embrasse.
— T’es pas possible !— Non.
On rit. Pierre ne dit rien quand on s’installe à l’arrière, pendant qu’il charge les bagages dans le coffre. On se roule des pelles. On se met en route. Je n’ai toujours pas vu ses seins comme il faut. Elle fait du 95d, ils me font envie. Je lui déboutonne deux boutons de sa robe, elle jette un coup d’œil vers Pierre, qui est concentré sur la route, du coup, elle ne dit rien.
— Tu as un corps de déesse, Magalie, je veux le voir, j’ai trop hâte.— Je te retourne le compliment, Jason.— Il t’a répondu l’autre nul ?— Je ne sais pas. Je m’en fous.
Je l’embrasse, puis me recule sur mon siège et sors mon sexe.
— Suce-moi ma chérie.— Pas ici.— Pourquoi pas ? Oh, pour Pierre. T’en fais pas ma belle, il a l’habitude de me regarder.
Elle ne cherche même pas à comprendre, et se laisse guider par ma main sur sa nuque, vers ma queue.
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