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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 84

Mamie Christine

Trash
Magalie me suce à l’arrière de la voiture de Pierre, qui jette des coups d’œil dans le rétro dès qu’il peut. Je vois que j’ai un message d’Hélène qui me donne son hôtel et son numéro de chambre. Parfait. On roule plus vite que prévu et Magalie a tout juste le temps de me faire jouir dans sa bouche. On s’embrasse, elle remercie Pierre qui lui donne leur adresse. Je sors de la voiture avec elle, tandis que Pierre s’occupe des bagages. Avant de nous dire au revoir, je la soulève et la prends dans mes bras. Elle enroule ses jambes autour de ma taille en poussant un petit cri.
— Tu vas me manquer, Magalie.— On se voit ce soir mon chéri.
On s’embrasse juste devant Pierre qui regarde ses pieds. Je la repose, elle me dit au revoir, je lui mets une fessée. Elle se retourne, faussement fâchée, et me fait un grand sourire.
À l’arrière de la voiture, je dis à Hélène que je lui fais signe. Pierre m’explique qu’il n’y aura que sa mère à la maison et que lui a un rendez-vous important, qu’il ne restera pas et ne rentrera que ce soir. Tout comme sa femme et ses enfants. Ils ont prévu un barbecue de bienvenue. Cela me va. Il est encore tôt, je vais pouvoir profiter de la journée.
— Alors Pierrot, tu la trouves comment Magalie ?— Comment ça ?— Elle est belle, non ?— Magnifique. — C’est autre chose que Marie et Mélanie de l’autre jour, hein ?— Elle est encore plus belle, oui. C’est vrai.— Tu as raconté à ta femme le film porno que tu t’es maté l’autre jour, chez moi ?— Oui Jason. Je ne lui cache rien.
Je suis surpris, mais c’est pour le mieux. Je ne dis rien, me contente de sourire.
J’en profite pour regarder mes messages. Élise m’a fait des photos d’elle dans l’ensemble de lingerie, elle est sublime. J’avais presque oublié ses mamelles. Je la félicite, lui dis qu’elle me manque énormément. Puis je regarde les messages de Manon.
— Jason, l’ensemble est divin, je n’ai pas pu résister, en plus, je trouve qu’il me va à ravir ah ah ;-) j’espère que tu trouveras aussi...
Elle a joint une vidéo d’elle dans l’ensemble. Mmmmm divin en effet.

— Tu es absolument divine, Manon. Est-ce un autre de nos petits secrets du coup ?— Merci ;-) et oui... Je suppose...
J’hésite à lancer une perche. Je ne suis pas certain que Manon le prenne bien et que cela serve ma cause. Mais elle me relance :
— Et le pire est que je commence à y prendre goût...
Du coup, je me lance :
— Coquine... Tu pourras remercier la vendeuse, elle m’a vraiment bien conseillé. — La vendeuse ?— Oui. Kate. — Attends, tu es allé chez Kate ?!— Oui... Charmante... Et je veux que tu ailles la remercier. Elle le mérite.— D’accord, Jason.
Parfait. J’écris à Kate dans la foulée pour lui dire que Manon va venir la voir, qu’elle peut tout lui dire, en laissant simplement de côté l’autre ensemble de lingerie, acheté pour Élise.
— Bien mon Roi. Avec plaisir. Je t’aime.

Pierre m’explique que sa mère Christine habite la maison en face de la leur. Que leur fille aînée, Mia est à l’université, mais vit à moitié chez eux, tout comme la plus jeune Kylie, qui vient d’avoir 18 ans. Leur fils Pierre Junior (j’éclate de rire) vit aussi chez eux. IL a une copine que Julia et Pierre adorent, Giselle. Pierre m’explique aussi que sa sœur vit aussi, pas très loin, avec son mari et leur fille. Je me dis que le champ des possibles est très large. J’ai bien fait de venir. On finit par arriver chez lui. Magalie m’a écrit pour me dire qu’elle pense à moi, qu’elle a hâte de me retrouver, qu’elle va profiter de la journée avec sa copine. Je lui réponds que j’ai moi aussi hâte de la retrouver.
On arrive, Pierre porte ma valise. Il me montre la chambre où je vais dormir. La maison est immense, sur plusieurs étages, je mate les femmes sur les photos, je vais me régaler. Dehors, jardin superbe, piscine incroyable. Pierre me fait rapidement faire le tour et au moment de sortir dans le jardin, nous tombons sur Christine, sa maman. Je pensais tomber sur une vieille, j’hallucine totalement. Christine a une petite soixante, elle fait 1m70, mince, bien conservée, fausse blonde, yeux gris vert, et surtout une superbe poitrine refaite. Elle porte des mules à talons compensées et une minirobe moulante, courte et décolletée.
— Ah, super, tu es là. Christine, voici Jason. Jason, voici ma mère, Mamie Christine.
Je souris et remarque qu’elle aussi.
— Ahhhhhh, enchantée, Jason. Je comprends mieux maintenant l’impatience de Julia à te voir arriver.
Je la déshabille du regard, mais ne relève pas. Pierre regarde l’heure et nous dit qu’il doit partir au bureau. Je m’en fous. Christine lui dit de ne pas s’inquiéter, que je vais pouvoir l’aider. Elle a des choses lourdes à porter chez elle :
— Tu sais ce que tu n’as pas réussi à porter l’autre jour. Jason va pouvoir m’aider sans aucun souci. Il a l’air aussi costaud que grand et à mon avis, les choses que tu trouvais trop, trop grosses, seront toutes petites pour lui, ah ah.
Pierre baisse les yeux, ne dit rien et finit par nous laisser. Je propose à Christine de l’aider de suite, comme cela on sera débarrassé. Cela lui convient parfaitement. Je la suis, elle habite effectivement en face. Je me dis qu’il va falloir que je manœuvre habilement si je veux aussi me faire la grand-mère. Les mamies ont une place à part dans une famille. Il ne faudrait pas que je me la mette à dos. Elle habite une belle maison, jardin, pas de piscine, ce qui explique le fait qu’elle passe beaucoup de temps chez son fils, me dit-elle. Une fois chez elle, elle me montre trois trucs à descendre dans son garage. En deux minutes, l’affaire est réglée. Elle sourit et me propose une limonade. J’accepte. Assis dans le canapé, elle me l’apporte.
— Ah, j’avais raison, cela avait l’air tout petit dans tes bras, Jason.— Eh eh, oui, pas de problème Madame. Je suis là pour ça.
Mes hésitations et inquiétudes sont vite balayées. Christine s’assied à mes côtés.
— Tes bras sont impressionnants, Jason. Vraiment.
En disant cela, elle effleure mon bras gauche du bout des doigts.
— Ah oui ? C’est la partie la moins impressionnante pourtant.— Mmmmm, je ne peux juger que des bras, pour l’instant.
Je me lève et ôte mon t-shirt. Je la vois se mordiller la lèvre. Elle est assise dans le canapé. Je me mets juste devant elle, debout.
— Ah oui, en effet... Excuse-moi Jason, je suis troublée, je n’ai pas l’habitude de voir des corps aussi...— Puissants...— Voilà. Ce n’est pas chez nous que l’on voit cela.— Eh eh, je me doute, Mamie Christine.
Je bois ma limonade lentement. Je la regarde de haut.
— Et le bas est aussi impressionnant que le haut ? — Oui. Mais pourquoi ne pas profiter un peu du haut d’abord !
Elle me sourit et pose ses deux mains sur mes pecs et ses lèvres sur mes abdos. Elle m’embrasse, me lèche, gémit de plaisir. Je me penche vers elle et lui roule une grosse pelle.
— Jason avait soif, mais j’ai bien l’impression que Marie-Christine a faim.— Oh oui, très, très faim, Jason.— Eh bien, qu’attends-tu, ton repas est chaud Mamie. Vas-y, régale-toi.
Elle me déshabille en deux secondes, s’extasie sur ma queue et se jette dessus. Elle me suce comme une folle, elle est effectivement affamée. Je lui baise la bouche, la traite de salope, de bouche à bites, elle se touche de plus belle.
— Vas-y Mamie Christine, fais-moi jouir dans ta bouche.— Quoi ? Non, non, je veux que tu me baises !— Eh eh, t’en fais pas, je ne suis pas un de ses bande-mous dont tu as l’habitude, fais-moi confiance.
Elle me sourit et s’active jusqu’à me faire gicler dans sa bouche. Elle avale tant qu’elle peut, le reste finissant sur ses seins et sa robe. Elle nettoie un peu ma queue qui ne débande pas. Elle me sourit en se relevant, je lui retire sa robe, la soulève. Elle pousse un petit cri et enroule ses jambes autour de ma taille. Je guide ma queue en elle. Elle se cambre à fond et ferme les yeux. Je m’enfonce lentement en elle.
— Ah putain, ah putain... Tu es énorme, Jason. — Je t’ai dit de me faire confiance !
Je la baise debout de longues minutes, sans faiblir. Elle jouit une première fois. Puis je la soulève encore plus et porte sa chatte au niveau de mon visage. Je la lèche longuement, jusqu’à la faire jouir une seconde fois. Je ne lui laisse aucun répit et toujours debout, je la reprends en la faisant bien sauter sur ma queue. Après un nouvel orgasme, elle s’écroule dans mes bras.
— Je ne le crois pas, je suis en plein rêve. — Mamie est rassasiée ? — Pas tout à fait. L’appétit vient en mangeant.— Parfait. Pierre ne m’avait pas dit que sa maman aimant les étalons noirs.— Il ne le sait sans doute pas. D’ailleurs, je n’en ai connu qu’un avant toi.— Et ?— Il n’était pas comme toi.— Je me doute. — Je ne suis pas certaine que Pierre réalise ce qu’il a fait en te faisant venir.— Eh eh. Mais tu ne lui en veux pas.— Oh noooooonnnn.— Tu vas m’aider Mamie, d’accord ?— À quoi ?— Tu sais pourquoi je suis là ?— À part pour me baiser ?— Je suis en mission d’invasion. Il faut me voir comme un conquérant. J’envahis un territoire nouveau.— Tu m’as bien envahie en tout cas, je peux te le dire.— Et je ne vais pas m’arrêter à toi.— OK. — OK ? — Je t’aiderai, Jason. Mais à une condition ?— Laquelle ? — Que tu ne me délaisses pas.
Pour seule réponse, je lui ai roulé une énorme pelle et, toujours en elle, je l’ai portée jusqu’à sa chambre, mise à quatre pattes sur le lit et prise en levrette. Je la tenais par les cheveux, bien cambrée, lui ai mis quelques fessées. Puis petit à petit, l’ai plaquée de tout son long sur le lit et l’ai chevauchée jusqu’à la faire jouir deux fois de suite. J’étais tout au fond d’elle. Elle a hurlé. Puis je l’ai retournée et l’ai prise en missionnaire. Elle a joui une sixième fois quand je me suis déversé en elle, dans un râle puissant. Je m’allonge sur son lit et elle vient me sucer pour bien nettoyer ma queue. Nous allons ensuite prendre une douche, je me délecte de ses gros seins refaits, elle s’agenouille et me fait une branlette espagnole sous la douche. J’en profite aussi pour lui faire lécher mon cul et mes couilles, un bon tea-bag qu’elle apprécie. Je me vide sur ses seins, dans sa bouche, sur son visage.
— Là, Mamie est rassasiée mon chéri. — Tant mieux, tant mieux. En revanche, moi j’ai très faim.
Je l’ai embrassée et suis retourné chez Pierre pour me changer.
Il était à peine midi, allongé nu au bord de la piscine, j’ai écrit à Hélène, elle m’a proposé de venir déjeuner à son hôtel. J’ai dit oui, me suis habillé (pantalon en lin sable, t-shirt blanc col en V, près du corps, mocassins pieds nus, je me suis regardé dans le miroir. J’étais beau. J’ai pris un taxi. En chemin, j’ai appelé Élise. Rien à signaler : je lui manque, je lui dis qu’elle me manque, elle me montre ses seins, me dit qu’elle adore la lingerie, me dit qu’elle fera en sorte qu’Isaiah la touche le moins possible. Je reçois aussi un message de Kate :
— Mon chéri, Manon est passée, comme tu me l’avais dit. — Et ?— Avec ce que je lui ai dit, je pense qu’elle est à toi avant même que tu ne l’aies touchée.— Parfait, ma belle.
Puis 5 minutes plus tard, message de Manon :
— J’ai vu Kate, Jason.— Je sais. — Tu ne m’avais pas dit que tu l’avais... enfin, baisée...— Parce que je dois tout te dire maintenant ?— Non... Pardon...— Tu es toute pardonnée, Manon. Qu’as-tu appris de beau ?— ...— Notre petit secret, Manon.— Il paraît que tu es... encore plus... enfin, que tu es un merveilleux amant, voilà.— Encore plus quoi, Manon ? — Encore plus gros qu’Isaiah et meilleur amant que lui, voilà. Content ?— Ravi ! Pas toi ?— Moi ?— Oui, toi. Là, tu pensais avoir connu le plaisir avec Isaiah. Imagine que dans quelque temps, ce que tu as connu s’évanouira dans un flot de plaisirs insoupçonnés.— Mmmmm... Mais, tu n’es pas là, Jason.— L’attente ne rendra cela que plus puissant encore.— Jason ?— Manon ?— Je ne peux pas... Je ne peux pas tromper, Isaiah.
Je ne réponds rien. Elle est à point. Hélène m’écrit pour me dire qu’elle n’est pas tout à fait prête, que je peux la rejoindre dans sa chambre. Elle m’ouvre en string et soutien-gorge en dentelle bleue.
— Pas tout à fait prête, hein ?
Elle me sourit et attrape mon t-shirt pour me faire entrer. Plaquée contre moi, elle me roule une pelle.
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