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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 87

Kylie ou Mia, Mia ou Kylie…

Trash
— Ça va les filles ? — Oui, oui, on profite.— Je vois ça.— Bon, tu viens, Jace !
Kylie me prend par la main et veut m’attirer dans l’eau. Mais je retiens et du coup c’est elle qui se retrouve attirée vers moi. D’un bras, je la sors de l’eau. Elle pousse un cri et se retrouve debout devant moi, les pieds de part et d’autre de mes jambes. Junior a eu peur et s’est poussé. Mia éclate de rire. Kylie n’en revient pas.
— Mon Dieu, il s’est passé quoi là ?
J’ai le visage contre son ventre mouillé. J’y dépose un bisou innocent et me lève, la soulève et la porte. Elle pousse un nouveau cri et instinctivement, enroule ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille. Mes mains sont posées sous ses fesses.
— Alors, on voulait me faire tomber à l’eau, ma belle ?— Oui...— Il suffit de demander.
Je saute dans la piscine avec elle. Nouveau cri. Dans l’eau, nous restons quelques secondes dans les bras l’un de l’autre. Kylie me regarde. J’ai envie de l’embrasser. Elle en a envie, mais est réticente :
— Magalie est bien repartie ? — Oh la la, tu sais comment tuer l’ambiance, toi.
Elle boude et quitte mes bras. Julia se lève et dit à ses trois enfants :
— Les enfants, vous n’oubliez pas que vous devez faire les courses pour demain.— Oh Mamam !
C’est Kylie qui râle. Je vois Mia qui me regarde en souriant, je lui souris en retour. Elle se lève :
— On peut y aller avec Jason. Comme ça, il me fera essayer sa Porsche.— Là, tu rêves, mais OK, allons-y. Tu me laisses juste le temps de me changer.
Je vais pour sortir de l’eau. La main de Kylie attrape la mienne et me retient.
— Tu ne restes pas un peu ?
Je me tourne et me colle à elle.
— Deux choses Kylie, il y a deux minutes à peine, j’allais t’embrasser. Tu as voulu jouer la petite peste, tant pis. Mais, cela arrivera tôt ou tard, tu le sais. Je te conseille de ne pas rater la seconde occasion !
Je m’éloigne et sors de la piscine. Je passe devant Mia.
— Je t’attends dehors beau gosse.— J’arrive ma belle.

Je vais dans ma chambre, me sèche. Je suis nu, je sors mes vêtements, quand Christine rentre. Elle se colle à moi et m’embrasse, sa main se saisissant de ma queue.
— Mmmmm elle est plus grosse à chaque fois que je te vois, l’étalon.— Mia m’attend là.— Eh bien, elle attendra un peu plus longtemps.
Elle me fait son sourire le plus pervers, embrasse mon corps en descendant et s’assied au bord du lit pour me sucer.
— Mmmm Jason, ta queue est une œuvre d’art.
Elle dit cela avec une main qui me branle et une autre qui me masse les couilles. Je m’enfonce dans sa bouche et commence à la lui baiser.
— Vas-y Mamie Christine, pompe bien, pompe ton mâle.
Elle me suce comme une salope, j’adore. Je suis debout devant elle, les bras relevés derrière la tête, je profite. Elle finit par me faire jouir dans sa bouche et avale ce qu’elle peut. Elle se relève et va pour sortir de la chambre. Je me retourne et lui mets une fessée.On voit Julia qui est à l’entrée de la chambre. Christine fait comme si de rien n’était :
— Ah Julia. Tu aurais dû nous dire, tu voulais quelque chose ?— Je ne voulais pas vous déranger.
Elle me mate avec envie.
— Mia t’attend Jason.— Oui, j’arrive.— Oublie pas de t’habiller.
Je vais à la salle de bain me rincer. J’entends Pierre qui leur dit :
— Ça va ?— Oui, oui, mon chéri, ne t’en fais pas. Je crois que Mamie Christine avait un petit creux, c’est tout.— Comment ça ?— T’inquiète.

Je me douche vite fait et m’habille. Je me dis que si elles s’entendent bien, Mia et Kylie risquent quand même de se sentir un peu rivales. Il va falloir jongler avec cela, plus la mère et la mamie au milieu. Et je ne parle même pas de Giselle. J’aimerais quand même me maquer avec l’une d’elles. En faire mon officielle. Cela simplifierait les choses. Il faut que je choisisse bien. Je rejoins Mia qui est assise contre la Porsche. J’ai mis un pantalon en lin et un t-shirt moulant col en V, elle ne s’est pas changée, elle porte juste des mules à talons aiguilles en plus. Je la déshabille du regard. Elle me sourit et en fait de même. SA minijupe en jean est vraiment très courte.
— Mmmm la fille qui va parfaitement avec la voiture !— Merci !
Je me mets juste devant elle, glisse mon bras autour d’elle, main posée en haut de ses fesses, je la fais pivoter contre moi et lui ouvre la portière côté passager.
— Ohhhh quel gentleman. Merci.— De rien, ma belle.
Je suis au volant, elle m’indique où aller pour les courses.
— T’inquiète pour les courses, ma belle. On va envoyer Junior les faire.— Ah ah, sérieux ?— Oui !— T’abuses.— Mais non.— Et nous ?— Nous ? On va aller se promener au bord de l’eau, non ?— Oh si !— Eh ben voilà.
Je lui dis de prendre mon tel et d’appeler Junior. Elle fait son numéro et met le haut-parleur.
— Allo ?— Junior ? Jason. — Ah, oui... ça va ? — Oui. On a oublié la liste avec Mia, faut que t’ailles faire les courses.— Je peux vous l’envoyer par message.— Non, non. Va faire les courses. C’est plus simple. — D’acc...
Je raccroche le téléphone qui est dans les mains de Mia. Elle me regarde et me sourit :
— Ah oui, t’es comme ça, toi ?— Que quand j’ai l’occasion d’aller me promener au bord de la mer avec une jolie fille.— Oh flatteur. — Flattée ?— Un peu...
Elle m’indique où aller pour la mer. Elle a toujours mon téléphone en main.
— Tiens, tu peux me dire si j’ai des messages.— Ah, euh, oui, OK. T’as un code ? — Eh eh, non, je n’ai rien à cacher.— Ah OK.
Du coin de l’œil, je la vois tapoter sur le téléphone.
— Tu as des appels manqués.— OK.— Et des... ah oui, t’as des tonnes de messages, Jason. Tu regardes ton téléphone parfois ?— Pas quand je suis au milieu de jolies filles.— Ah ah.— Dis-moi si Magalie m’a écrit.— Euh... Magalie... Oui.— Tu peux me les lire ?— Tu es sûre ?— Oui. — OK. Alors elle te dit « je viens d’embarquer mon amour ; tu me manques déjà. J’ai encore sur et en moi, la sensation de ta bouche, de tes mains, de ton énorm... »— De mon quoi ?— Oui, bon, tu lui manques, quoi.— Ah ah OK.
Silence. Elle pose le téléphone dans le vide-poche entre nous deux.
— Choquée ?— Il m’en faut plus. Et puis, vu l’autre soir, j’ai bien compris que Magalie n’était pas farouche. — Pourtant, tu n’as pas vu grand-chose. — J’ai préféré vous laisser tranquille.— Dommage. Ton frère est resté, lui.— Quoi ????— Oui. Il a profité du spectacle.— Mais non ?!— Mais si. — Et il a...— Participé ? Non ! En plus, je veux pas être méchant, mais je doute que Magalie aurait accepté. Lui et moi, on ne joue pas vraiment dans la même cour.— Ah ah, pas faux.— En revanche, si tu étais restée, toi...— Eh bien ?— Oh, on t’aurait fait te joindre à nous.— Je n’aurais peut-être pas accepté... Et puis, je pensais que tu préférais Kylie.— Kylie ma plaît, oui. — Voilà.— Mais toi aussi, tu me plais ma belle. Et j’ai horreur de choisir.— Prétentieux.— Pourquoi ?— Tu penses pouvoir assumer avec les deux ?
On arrive à la plage. On se promène. Je fais rapidement le compte dans ma tête : Kylie, Mia, Julia, Christine, Kendra, Valentina et Giselle. Cela fait sept.
— Si tu veux tout savoir, je pense assumer avec sept femmes.— Sept ? C’est spécifique. — Très.— Pourquoi sept ?— À toi de deviner.

On discute de tout et de rien, de mes parents, de ma venue aux US. Elle me dit que Mamie Christine et elle ont parlé de moi. Et rapidement, on revient sur du sexe.
— Et donc, Kylie ?— J’adore sa poitrine !— Je me doute.— Et j’adore ton cul.— Merci... Je suppose.— Je peux te poser une question indiscrète ?— Au point où on en est, Jace, je pense que tu peux.— Il paraît que les Américaines sucent facilement, c’est vrai ?— Ah ah... Certaines, oui.— Et toi ?— Ah oui, direct ! Cela m’arrive.— C’est genre en gros, une pipe, ce n’est rien.— Oui, un peu de ça. — C’est parfait !— Pourquoi ?— Parce que je ne me suis jamais fait sucer au volant... (mensonge, mais ça passe)— Ah ah... Et tu crois que ça va arriver ? — Le trajet de retour est suffisamment long pour te laisser une chance de me faire jouir, ma belle.— Oh, carrément ? Mon p’tit père, tu tiendras pas cinq minutes, crois-moi.— Tu utilises le futur... Parfait.
Elle me file un coup sur l’épaule en riant. Je retiens sa main et la garde dans la mienne, tout le reste de la promenade.
— Et donc, Kylie ou moi ?— Tu me laisserais coucher avec Kylie si j’étais avec toi ?— Oh la la, je ne sais pas, moi.— Tu coucherais avec moi si j’étais avec Kylie ?— Si elle acceptait... Oui. — Alors, toi. — Vraiment ?— On ne met pas Julia dans l’équation ?— Il te les faut toutes ou quoi ?!— Sept, je t’ai dit. Sept, ma belle.
Elle comprend et me sourit, me prend la main et me ramène à la voiture.
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