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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 89

Brooke et barbecue

Trash
-      Ça va Julia ? Tu ne t’ennuies pas ?-      Du tout.-      Tant mieux. -      Pierrot, si tu allais lécher ta femme. Je pense que cela lui ferait plaisir.-      Ah oui ? … Je veux dire, Julia, tu veux ?-      Mmmmm pourquoi pas ?
Elle écarte ses cuisses et son bas de bikini. Pierrot va la lécher. Je fais jouir Christine trois fois avant de me déverser sur ses seins et son visage. Quand je suis sous la douche, Mia rentre, ainsi que Kylie. Mamie Christine est partie pour rejoindre des copines à elle. Je lui envoie un message :
-      Tes copines sont aussi chaudes que toi ?-      Ah ah, peut-être pas autant, mais…-      Lâche le loup dans la bergerie de mamies.-      Mmmmm… Tu es infatigable !
En sortant de la chambre, je croise Pierre.
-      Alors, qu’as-tu préféré jusqu’à maintenant ?-      Pardon ?-      Eh bien, tu m’as vu avec deux filles, tu m’as vu me faire sucer à l’arrière de ta voiture, tu n’as pas vu mais compris qu’une de tes filles me suçait dans la voiture et tu m’as vu baiser ta maman. Tu as préféré quoi dans tout ça ? -      Euh…-      Allez, dis-le, je connais la réponse.-      Tout à l’heure, quand tu étais avec…-      Avec…-      Avec Mamie Christine. -      Eh eh, tu as aimé me voir baiser ta maman ?
-      Oui… Oui, beaucoup !-      C’est bien…. Allez, fais pas cette tête, Pierrot, ce n’est que le début.
La soirée se passe normalement, Kylie fait la gueule, Mia est collée à moi, on se roule des pelles dès que l’on peut. Et surtout, on baise toute la nuit. Je la fais hurler et jouir. Elle me dit de la baiser comme j’ai baisé Magalie. Je ne me fais pas prier. Elle a un cul d’enfer que je prends sans trop de difficulté. Elle me fait jouir plusieurs fois cette nuit-là. C’est une furie. À un moment, elle est dans la salle de bain. J’écris à Pierre :
-      Si tu veux compléter ta collection de souvenirs, ta fille est en chaleur.
Je me lève et ouvre la porte de la chambre. Mia revient et se love contre moi. Je la fais me sucer. J’aperçois une ombre se dessiner dans l’embrasure de la porte. Je me mets à baiser la bouche de Mia comme un fou, puis la prends à quatre pattes en levrette. Elle est face à la porte, mais je ne pense pas qu’elle réalise que son père la mâte. Ou bien peut-être que si. Je m’en fiche. Je la fais jouir encore et encore. Au petit matin, elle s’endort, épuisée, en me disant qu’elle m’aime. Je prends une douche et me prépare. Cette fois, pas question de ne pas sauter sur Brooke. Je m’étire un peu, puis pars courir. Il est encore tôt, j’en profite. Elle ne me rejoint que plus tard. Ses seins sont tellement énormes que je les vois arriver de loin. Elle est contente de me voir. On discute en courant.
-      Je me suis toujours demandé comment les filles avec une forte poitrine faisaient pour courir.-      Comment ça ?-      Eh bien, toi par exemple, ça ne te gêne pas ? -      Ils sont bien maintenus.
Je m’arrête de courir, elle s’arrête aussi.
-      Oui, mais regarde. Saute sur place.
Elle sourit et le fait, comme si elle faisait de la corde à sauter. Ses seins ballottent à merveille, c’est un spectacle magnifique. Je souris.
-      Tu vois, ils sont bien maintenus. -      Mmmm oui je vois. Magnifiques. -      Merci. C’est ma botte secrète ah ah.-      Pas si secrète que ça, ce matin.
Sa brassière n’en cache pas grand-chose, je dois dire.
-      Mais c’est parce que je sors ma botte secrète quand je veux quelque chose.
Je lui souris. Ne dis rien.
-      Et toi, Jace, c’est quoi ta botte secrète.-      Disons que j’ai plutôt une grosse batte et qu’elle n’est pas vraiment secrète.-      Ah oui ?
À son tour de sourire.
-      Et ça ne te gêne pas pour courir ? -      Le plus souvent non, mais ce matin par exemple, j’étais obligé d’arrêter.-      Pourquoi ça.-      Elle devenait trop encombrante.-      Oh…. À cause de quoi ?-      À cause d’une magnifique gazelle qui court non loin de moi.-      Elle s’échappe ? -      Peut-être essaie-t-elle, mais une gazelle aussi sexy n’échappe jamais au prédateur que je suis. -      Mmmmm mais si ta batte t’empêche de courir, comment vas-tu faire pour l’attraper ? -      Comme ça.
Je m’approche d’elle, ma main glisse dans son dos et l’attire vers moi. Je lui roule une énorme pelle, tandis que ma main empoigne son cul. Il n’y a encore personne dans le parc. Mon autre main vient malaxer ses obus.
-      Mmmm, tu as un corps de rêve Brooke.
Elle a ses deux mains posées sur mon torse.
-      Je te retourne le compliment. Ma botte secrète te plaît ?-      Beaucoup. -      Je dois dire que ta batte a l’air bien grosse et dure. Je peux la voir ?-      Je t’en prie.
Ses mains glissent vers mon short et en font sortir mon pieu. Elle le regarde avec envie, puis me sourit, se mordillant la lèvre.
-      Mmmmm ça donne faim. -      Alors, nourris-toi ma belle, qu’attends-tu ?
Elle descend et s’accroupit pour commencer une belle fellation. J’ai les bras remontés, mains derrière la tête, tous les muscles bandés. Elle me suce très bien, s’attarde longuement sur mes couilles. J’ai envie de lui baiser les seins. Elle refuse de le faire là. On rentre chez elle. À peine la porte fermée, on se retrouve nus tous les deux. Assis dans son canapé, elle à genoux entre mes jambes, je profite de cette pipe matinale bienfaitrice.
-      Je veux tes seins, Brooke.
Elle laisse couler un filet de bave entre ses mamelles, puis encore de la bave sur ma queue et la glisse entre ses seins. Elle me branle entre, c’est divin.
-      Ahhhhhh ouiii, vas-y ma belle, branle-moi entre tes mamelles.
Je me lève et lui baise les seins. Puis je la fais s’asseoir sur le canapé et la lèche, jusqu’à la faire jouir deux fois. Elle m’entraîne dans sa chambre, je la prends en levrette puis à la cuillère. Son corps est fait pour le sexe. Je pourrais rester en elle des heures. Elle jouit de nouveau quand elle est empalée sur moi, face à moi. Je finis par lui jouir sur les seins et le visage. Elle me suce sous la douche et cette fois-ci, avale tout. On se prend un café sur sa terrasse. Elle est sympa. Je lui explique mes plans pour la famille de Pierre et me dit que si j’ai besoin d’aide. Je le garde en tête. Après tout, une bombe comme elle peut toujours m’être utile.
-      En tout cas, ma belle, on va se revoir.-      Ah oui ? Donc, ça t’a plu ?-      Oui. -      Moi aussi. Beaucoup. -      Je sais.
 Je repars et file sous la douche. Mia dort encore. Je la réveille avec un cuni dont elle se souviendra longtemps. Elle jouit encore plus fort que cette nuit et se déverse sur mon visage.
-      Merci, mon amour. Tu es en forme, dis-moi.-      Oui, en grande forme. La journée s’annonce belle.
On descend à la cuisine, Pierre et Julia s’activent pour le barbecue. On se roule des grosses pelles avec Mia. Kylie arrive aussi. Elle a l’air moins énervée. Tant mieux. Les gens énervés m’énervent.
-      On n’a pas fait trop de bruit cette nuit ? Désolé, mais Mia était déchaînée !-      Arrête, t’abuses, Jace.
Elle m’embrasse en disant cela. Plus tard, Mamie Christine arrive. Je me lève, m’avance vers elle, lui plaque une main au cul, l’attire contre moi et lui roule une énorme pelle. Pierre ne dit rien, Julia continue comme si de rien n’était, Mia sourit. Kylie, elle, ne sourit pas du tout :
-      Mais, Mamie Christine ? Mais, qu’est-ce que vous foutez ?
On continue à s’embrasser.
-      Maman ? Papa ?
Julia répond :
-      Tu sais ma chérie, Mamie Christine fait bien ce qu’elle veut, à son âge. -      Non, mais c’est une blague ?! Papa !!!!-      Ta mère te le dit, Mia, il n’y a rien à faire. -      Hier au moins, tu t’es rendu utile !
Pierre baisse les yeux. Kylie ne lâche pas.
-      Mais… Mia ? Vous êtes pas ensemble ? Mamie, Mia est avec Jason !-      Partager, c’est aimer, Kylie.
Mia a répondu ça en se levant. Elle vient se coller à moi de l’autre côté et m’embrasse à son tour. J’ai une main sur chaque cul.
-      Pierrot, tu me fais un café. Venez les filles, je vais le prendre sur la terrasse mon café.
Je malaxe leur cul.
-      Mmmm, ça doit être de famille ces bons petits culs.-      Au moins une génération sur deux !
J’entraîne les deux sur la terrasse. On s’assied sur une banquette, moi entre elles. Pendant que Pierre me fait puis m’apporte mon café, Kylie discute avec sa mère, qui tente de la calmer. Moi je roule des pelles aux deux. Je laisse Pierre planté devant moi, mon café à la main, pendant que j’embrasse sa mère et l’une de ses fille. Assez vite, les deux ne résistent pas à la tentation, sortent mon sexe et me branlent lentement à deux mains. J’en profite pour boire mon café et libérer Pierre. J’ai les deux langues sur mon gland quand Pierre revient :
-      Pierre et Giselle sont devant la maison.-      C’est très bien, ça.-      S’il te plaît, Jason…-      Allez, c’est bien parce que c’est toi, Pierrot. Les filles, désolé, on remballe.
Je range mon sexe et les embrasse.
-      Ce n’est que partie remise, ne vous inquiétez pas.
Alors que je finis mon café au bord de la piscine, Mia à mes côtés, Junior arrive, avec Giselle à son bras. Kylie les suit. Giselle est une superbe blonde, 1m75, plus grande que Junior, d’autant plus que perchée sur des mules à talons compensés. Elle porte une robe courte, légère, bien décolletée sur une poitrine qui a l’air très belle. De grands yeux bleus et un large sourire. Je me lève.
-      Giselle, voici Jason, dont je t’ai parlé.-      Ah oui, tu as parlé de moi ?-      Oui et je dois dire qu’il n’avait pas menti. -      Ah oui ? Il t’a dit que j’étais noir.-      Ah ah, oui, c’est ça.-      Il ne m’avait rien dit sur toi, je comprends mieux pourquoi…
Giselle me sourit, Junior baisse la tête.
-      Tu nous as manqué hier soir, Junior, tu aurais eu un encore plus beau spectacle que la dernière fois.
Il se décompose. Giselle le regarde :
-      Comment ça ?
Il bafouille. Je le sauve :
-      Eh eh, non, t’inquiètes, Giselle, un truc de mecs ! Tu bois quoi ? -      Oh, un mojito.-      Et toi, Mia ?-      Pareil.-      Eh bien qu’attends-tu, Junior, trois mojitos !
Il y va, on s’installe avec Giselle et Mia au bord de la piscine. Kylie accompagne son frère. Elle refait la gueule. On discute, on fait connaissance. Les mojitos arrivent, sans Kylie, on trinque. Mia ne peut s’empêcher de se coller à moi et de m’embrasser. Je laisse faire.
-      Mais, Pierre m’a dit que tu avais une copine ?-      Oh mais dis donc, il t’en a dit des choses.-      J’avoue, j’étais curieuse. Donc ?-      Oui. Et ?-      … Non… Rien…
Je rends la conversation plus légère. Giselle est bandante.  Je commence à avoir la dalle, heureusement, la sœur de Pierre arrive enfin avec son mari et leur fille, Valentina. Pierre me présente à sa sœur, Kendra une belle grande brune, énormes seins refaits et son mari, Ben, puis à Valentina, leur fille, brune, de grands yeux, un cul pas possible et des seins qu’elle met en valeur, puisqu’elle ne porte qu’un haut de bikini rouge. Elle doit faire du 90c. Je mets immédiatement de côté Giselle et me décide à me concentrer sur Valentina. Et sa mère. On mange, on picole, on discute. Deux groupes d’âge se sont formés naturellement. Innocemment, je dis :
-      Junior, tu devrais faire un groupe WhatsApp avec tout le monde, ce serait sympa.-      Oh oui, ce serait top.
Valentina et Mia sont enchantées, Giselle aussi. Je souris. Moyen simple de récupérer les numéros. Comme je ne le quitte pas des yeux, Junior le fait de suite. Parfait. À un moment je prends Mia à part :
-      Faut que tu me laisses de l’espace, Mia. Si tu restes collée à moi comme ça, ça va faire fuir Valentina. -      Ok, beau gosse. Mais je ne veux pas que tu m’oublies. -      Ma belle, ça ne dépend que de toi.
En disant cela, j’appuie très légèrement sur ses épaules. Elle descend, sort ma queue de mon maillot et commence à me sucer.
-      Mmmmm oui, voilà, là, je ne vais pas t’oublier salope.-      Salaud !
Elle me suce du mieux qu’elle peut pour me faire jouir rapidement, que l’on puisse retourner avec les autres. Alors que je suis debout, bras pliés derrière la tête, tous muscles bandés et la queue dans la bouche de Mia, Giselle arrive.
-      Oh pardon, je… Je ne savais pas que…-      Ne t’excuse pas, Giselle, tout va bien.
Elle reste scotchée, autant devant le spectacle que ma queue. Puis finit par partir, en lâchant un « je vous laisse ». Elle ne peut s’empêcher de tourner la tête vers moi en partant. Je la regarde, lui souris. Elle baisse les yeux.Je finis par jouir dans la bouche de Mia, qui avale tout ce qu’elle peut. Elle se relève. Je lui mets une fessée :
-      Allez, va te nettoyer et rejoins-moi.-      Oui, mon chéri.
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