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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 90

Giselle et Valentina, équipe de choc

Trash
Depuis qu’elle a vu Mia me sucer et qu’elle a scotché sur ma queue, Giselle est troublée. Elle me regarde différemment. Mia me laisse enfin de l’air, si bien que je flirte facilement avec Valentina. Kylie se détend au fil de l’après-midi. Je ne manque pas une occasion aussi de complimenter et de draguer légèrement Julia et Kendra, avec Mamie Christine qui elle, ne manque pas une occasion, de me flatter et d’en faire des tonnes sur mon physique de dieu. À un moment dans l’après-midi, je lance l’idée d’un petit match de volley dans la piscine. Les jeunes sont ok. Je propose que les deux sœurs se mettent avec leur frère et que je sois en face avec Giselle et Valentina. Junior fait la gueule, mais comme les quatre filles sont OK avec cette idée, c’est parti. On joue sous le regard des trois milfs dans leur transat et de leurs deux futurs cocus. Dès que je peux, je prends mes deux coéquipières dans mes bras. Je les embrasse sur la joue, leur passe la main dans le dos. Valentina est ravie. Giselle l’est aussi, mais gênée aussi et sur la retenue. Je ne m’en offusque pas, mais ne me gêne pas pour autant. Évidemment, nous gagnons. Les deux filles, spontanément, se jettent dans mes bras. Je les soulève, une de chaque côté. Je sors de la piscine, par les marches, portant les deux dans mes bras. En fait, j’ai une main sur chaque cul et les soulève comme ça. Elles sont tout contre moi. Mon corps est bandé à mort. Je me place devant les trois milfs.
-      Mesdames, l’équipe gagnante.
Elles nous applaudissent. Valentina et Giselle rient. Puis Giselle dit :
-      Jace, tu peux me reposer, j’ai le vertige de là-haut.-      Ah ah, OK, ma belle.
Je la laisse glisser lentement tout contre moi. Je sens ses seins parcourir mon corps. Je la bloque au moment où son visage est à la hauteur du mien. Je tiens toujours Valentina de l’autre côté. Je tourne la tête vers Giselle, lui souris.
-      Un petit bisou pour le capitaine de l’équipe ?
Elle regarde gênée, vers Junior.
-      Un petit bisou, rien de plus.
Elle me sourit et me fait un smack.
-      Pour l’instant ;-)-      Ah ah.
Je la pose par terre. Elle me sourit et rejoint finalement Junior. Valentina est toujours dans mes bras et je suis toujours devant les transats du public. Je la passe face à moi et empoigne ses fesses de mes deux mains, cette fois. Je la fais glisser, elle enroule ses jambes autour de moi, son visage à la hauteur du mien.

-      Un bisou pour le capitaine, ma belle ?-      Qui t’a nommé capitaine ?-      Moi.-      Ah… OK.
Elle sourit et colle ses lèvres sur ma bouche. Le baiser s’éternise et nos lèvres finissent par s’entrouvrir et laisser nos langues jouer l’une avec l’autre. On entend Julia qui, la première, applaudit et pousse un cri d’encouragement, rapidement rejointe par Kendra, Mamie Christine et d’autres. Je sens le corps de Valentina qui se cambre et se crispe dans mes bras. On se roule de grosses pelles, j’écarte ses fesses de mes mains. J’ai envie de la doigter là, je me retiens. Nos bouches finissent par se séparer. Elle me sourit :
-      Mmmmm merci, mon capitaine.-      De rien, ma belle.
 Le reste de l’après-midi se passe bien, je navigue entre Valentina et Mia, qui discutent à un moment toutes les deux. Quand elles reviennent, elles me font chacune un bisou sur la joue. J’ai envie de les baiser au milieu du jardin. Il se fait tard, Julia me parle de la journée du lendemain, du shooting, etc. Mamie Christine dit qu’elle a des trucs à apporter chez Kendra et Ben. Je me propose de les aider. Je veux passer la nuit avec Valentina, c’est parfait. On se décide, je conduis Christine chez eux. Mia est déçue. Julia me donne rendez-vous à son agence le lendemain matin. En partant, je roule une énorme pelle à Mia, tout en tenant Valentina par la taille. Personne ne dit rien. Je mets les deux trois cartons dans le coffre de Ben, rien de méchant, mais Christine en profite pour en remettre une couche sur mon physique et me comparer, cette fois à Ben. Kendra s’en amuse :
-      On a toujours besoin d’un homme fort à la maison, c’est vrai.
Je suis en voiture avec Christine, derrière celle de Ben. Christine se jette sur ma queue dès que j’ai mis le contact et me suce tout le long du court trajet. On arrive assez vite chez sa fille. Je transvase les cartons. À peine arrivés, Valentina propose de se baigner, puis de prendre un verre au bord de la piscine. On s’allonge tous les deux dans un transat, elle à moitié sur moi, bientôt rejoints par Kendra, Christine et Ben. On se roule de grosses pelles, j’ai les mains sur ses fesses, que je masse. On ne se gêne pas pour faire de gros bruits de bouches et elle gémit lorsqu’elle sent un doigt appuyer sur la ficelle de son string. Je lui mets aussi quelques petites fessées. Ben finit par dire qu’il a du travail et se réfugie dans son bureau. En entendant son père dire cela, Valentina percute :
-      Merde, j’ai un truc à finir pour la fac. J’ai oublié.-      Tu plaisantes ?-      Non, mon chéri. Désolée. Mais je n’en ai pas pour longtemps promis.
Elle m’embrasse et me laisse sur le transat, avec une gaule pas possible. Je tourne la tête vers Mamie Christine et Kendra. Je leur souris. Kendra se lève tout sourire, mais juste pour me chauffer. Elle dit qu’elle doit préparer le dîner et demande l’aide de Christine. Je me retrouve seul et vais dans le salon, j’en profite pour répondre à tous les messages de France, de Magalie aussi. Je suis en train de mâter une vidéo qu’Élise m’a envoyée, quand Kendra me rejoint au salon et s’assied à mes côtés dans le canapé. Je suis toujours en boxer de bain. Elle est en bikini et mules et à talons compensés.
-      Tu sais quelle est la différence entre ma fille et moi, Jason ?-      Tes énormes seins ?
Ses seins sont vraiment énormes, refaits, j’adore.
-      Oui, il y a ça aussi. L’autre différence est que je fais ce que je veux, quand je veux.-      Ah oui ?-      Oh oui.
Elle me roule une énorme pelle en posant une main sur mon boxer.
-      Et là, je veux sucer cette énorme queue.-      Je t’en prie.
Elle la sort du boxer, fait glisser mon maillot sur mes chevilles et commence à me pomper. Je me recule au fond du canapé, fais voler le maillot et m’installer confortablement avec ma bière. Elle suce très bien, je me relaxe. Valentina ne sait pas ce qu’elle perd.
-      Au fait, Ben en dit quoi de ça ?
Elle me regarde, sort ma queue de sa bouche et me sourit.
-      Demandons-lui ! Beeeeeennn !
Elle renfourne ma queue en bouche et quelques secondes plus tard, Ben apparaît dans le salon. Il ne tique même pas sur le fait que sa femme me suce.
-      Oui, mon amour ?-      J’ai laissé la cuisine en plan pour ce magnifique chibre ébène.-      Je te comprends. Tu veux que je prenne le relais.-      Tu es le meilleur !-      Je t’aime mon amour.
Elle me pompe et Ben s’éclipse, non sans avoir d’abord profité un peu du spectacle.  J’en profite pour regarder mon téléphone, sous le regard désapprobateur de Kendra. Sa fellation est excellente, je ne le nie pas, mais j’ai à faire. Junior a donc créé le groupe WhatsApp et ils écrivent des conneries. J’en profite pour récupérer le numéro de Giselle et lui écris direct :
-      Alors, ma belle, bien remise de tes émotions ?
Elle ne demande même pas de qui il s’agit, j’en conclus qu’elle a enregistré mon numéro, excellent.
-      Ouiiiiii. Trop drôle, je viens de demander à Junior (tiens, elle l’appelle comme ça, maintenant, excellent, bis) s’il s’était remis de la défaite ah ah.-      Ah ah, faut savoir que je ne perds jamais.-      J’imagine !-      Et il s’est remis du bisou ?-      Oui… Lui, oui…
Je ne réponds pas.  Alors que Kendra enchaîne les gorges profondes, Valentina et Christine reviennent au salon.
-      Maman !
Kendra trop absorbée par sa tâche met quelques longues secondes à réagir.
-      Maman, t’abuses là. -      Oh pardon ma chérie. Je croyais que tu travaillais ?-      Quoi ? J’ai fini. -      Ah super ! Mamie Christine t’a aidée ?-      Oui, mais ce n’est pas le sujet. T’abuses vraiment, là.
Mamie Christine s’est assise sur le canapé à ma droite. Kendra, à ma gauche, s’est tournée et invite sa fille à la rejoindre. Les trois femmes sont en bikini. Je suis nu, les bras écartés sur le dossier du canapé. Le sexe raide. Mamie Christine ne tarde pas à se coller contre moi, me roule des pelles, tandis que je sens sa main se saisir de ma hampe. Alors que nos langues jouent l’une avec l’autre, Mamie Christine me masturbe lentement, pendant que Valentina et sa mère argumentent. Je comprends que ce n’est pas la première fois que Kendra se laisse tenter par un copain de sa fille. Salope.
-      Ça ne va pas recommencer, Maman. C’est toujours pareil avec toi.-      Ma chérie, tu devais bien te douter que si j’ai craqué sur de jeunes étalons avant, j’allais craquer pour l’étalon ultime.-      Je pensais…
Ben, ayant entendu sa fille et sa femme s’engueuler, arrive dans le salon. La scène est surréaliste. Mamie Christine profite de la confusion pour descendre et me sucer.
-      Papa ! Maman était en train de sucer Jason.-      Je sais ma chérie. Mais que veux-tu, ta maman est comme ça.  -      Tu aurais pu dire quelque chose.-      Sans doute pas. -      Tu sais ma chérie, ton père veut simplement le bonheur des femmes qui sont sous toit. C’est tout.-      Pffff, je pensais au moins pouvoir profiter de Jason cette nuit. Pour moi toute seule je veux dire.
Mamie Christine me pompe, j’en profite pour intervenir.
-      Plutôt que de vous battre, les filles, vous devriez prendre exemple sur la plus sage ici présente.
Kendra et Valentina se tournent vers moi et voient Christine qui me pompe comme une salope.
-      Ne vous inquiétez pas, il y en a largement assez pour vous trois, les filles.
Mamie Christine lève la tête :
-      Je confirme !
Ma main se pose sur la nuque de Kendra pour la faire venir rejoindre sa mère. Valentina regarde et n’ose rien dire. Ben est debout au milieu du salon. Je sens la bouche de Kendra se refermer sur mon chibre, tandis que Christine commence à me lécher les couilles. Je regarde Valentina, lui souris, elle me rend le sourire.
-      Ben, tu as avancé avec le dîner ?-      Oui, Jason, c’est prêt.-      Parfait. Alors, tu vas te rendre utile. Ce serait dommage de ne pas avoir de souvenirs. -      Oh oui, tu as raison. Je vais chercher la caméra.
Il revient très vite et commence à filmer. J’attire Valentina contre moi et l’embrasse, alors que sa mère et sa grand-mère me pompent. Kendra a glissé à mes pieds et me gobent les couilles, Christine s’affaire sur mon sexe et Valentina finit par se coller contre moi et me roule des pelles. J’ai une main dans les cheveux de Christine, l’autre sur les fesses de Valentina. Je lui mets des fessées. Ben filme le tout. Je me demande si mon sexe a déjà été aussi gros.
-      Eh bien, voilà, tout le monde a trouvé sa place !
Je me lève, pendant que les trois se mettent nues. Christine passe sous moi pour aspirer mes couilles, en profite pour me lécher le cul, tandis que sa fille et sa petite-fille font glisser leurs lèvres sur ma bite. À un moment, je soulève Kendra et porte sa chatte à hauteur de mon visage, ses cuisses posées sur mes épaules, je lui offre un magnifique cuni. Elle jouit une première fois et Valentina prend sa place, laissant sa mère reprendre ma queue en bouche. Je fais jouir Valentina à son tour. Ma bite est prête. Les trois sont agenouillées devant moi et je passe d’une bouche à l’autre.
-      Ben, tu présentes tout le monde, s’il te plaît.
Il s’approche et fait des gros plans.
-      Voici Valentina, ma fille, Kendra, mon épouse et voici ma belle-mère, Christine. Elles sont toutes les trois en train de s’occuper de cette sublime queue ébène, celle de Jason.
Il s’éloigne et me laisse prendre Kendra, je m’assieds dans le canapé et elle vient s’empaler sur ma queue, face à moi. Je sens la langue et la bouche de Christine s’affairer sur mes couilles pendant que je suis dans sa fille. Valentina vient tout contre moi et m’embrasse. Je baise sa mère bien à fond, elle ne tarde pas à jouir et vider sa mouille sur moi. Je fais venir Valentina à sa place, elle s’empale lentement sur ma bite.
-      Prends-moi, daddy, prends-moi fort.
Le daddy a le don de m‘exciter, surtout lâché comme cela devant son père. Elle descend lentement tout le long de mon chibre. Je regarde Ben, bouche bée, incapable de ne pas regarder la chatte de sa fille en train de s’ouvrir en deux. Mes grosses paluches empoignent les fesses de Valentina. Elle a un cul d’enfer. Quand je suis bien en elle, je lui mets quelques petites fessées. Comme pour l’encourager. Elle va et vient lentement. Se colle à moi et m’embrasse. Je sens une langue sur mes couilles. Puis une deuxième qui vient sur la base de mon sexe, lécher la partie non immergée de l’iceberg. Un délice.
-      Gober mes couilles, mesdames, une chacune.
Christine et Kendra s’exécutent, elles gobent chacune une couille, alors que Valentina danse sur moi. Je me lève et la baise debout, et sa mère et sa grand-mère reprennent mes couilles en bouche. Encore plus divin. Je vois Ben qui ne peut s’empêcher de se toucher l’entre-jambes.
-      Le spectacle a l’air de te plaire ?!-      C’est… C’est magnifique !
Il filme toujours. Je passe la soirée à baiser ces trois furies. Pour le plaisir, je dis à Ben d’envoyer la vidéo où il présente ses trois femmes, à Isaiah. On verra bien s’il réagit ou non. Je les fais jouir chacune plusieurs fois. À un moment, allongé sur le lit de Kendra, les trois femmes qui me sucent et le cocu qui me tient ma bière, je regarde mon téléphone. Giselle m’a réécrit :
-      Tu passes une bonne soirée avec Mia ?
Eh, elle a mordu à l’hameçon. Je ne la lâcherai pas.
-      Une bonne soirée, oui. Excellente même. Mais pas avec Mia.
La réponse ne tarde pas. Excellent bis :
-      Oh ? Avec qui ?-      Valentina.-      Mais non ?!-      Mais si ;-)-      Profite bien alors…-      Je n’y manque pas. Au fait, c’est quoi le rouge à lèvres que tu portais cet après-midi ?
Elle me donne la marque et le modèle.
-      Pourquoi ?-      Parce que j’ai adoré le goût de tes lèvres. Je me disais que je l’offrirais bien à Mia. Ou à Valentina. Ou aux deux ah ah.-      Oui, je l’adore. Tu l’as aimé à ce point ?-      Oui. Tu ne dors pas ?-      Non…-      Junior, oui, j’imagine ;-)-      Oui ;-(-      Fais de beaux rêves ma belle, j’ai à faire.-      Mmmmm…. Chanceux. Bisous
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