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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 2

Chapitre deux – Isabelle, la soirée, et les évidences révélées

Trash
Karim me conseille de ne pas apporter de cadeau d’anniversaire comme pour l’ignorer et créer le désir chez Isabelle, moi, je l’écoute, évidemmentLes 15 jours suivants, qui nous séparaient de la soirée d’Isabelle, Karim a carrément vécu chez nous, ses parents étant soi-disant absents. Ces deux semaines m’ont vu littéralement devenir son larbin, et parallèlement il me conseillait pour Isabelle. Il me disait quand lui faire passer des mots, que dire, que faire, quand me taire. J’étais persuadé que ça marchait, que j’étais sur la bonne voie. A la maison, il était comme chez lui ; je n’ai rien remarqué quant à ma sœur ou ma mère, mon père lui, comme moi, ne disait rien. On n’osait pas. On est fait du même bois, ou bien plutôt du même coton. Karim débarquait le matin en boxer dans la cuisine, parfois encore avec une gaule matinale, je sentais les regards des deux femmes sur lui. Il était fier. Je le voyais bien. Quant à Isabelle, en gros il m’avait conseillé de ne rien tenter de concret, juste de la complimenté, de lui faire comprendre que je ne pensais qu’à elle. C’est donc ce que j’ai fait. Je lui envoyais des petits mots en classe, je la complimentais sur ces tenues, je proposais de lui rendre service. Tous les soirs ou presque Karim me filmait en train de me branler sur des photos d’Isabelle, il me faisait répéter, comme si je la baisais ; il me disait que cet entrainement me rendrait plus performant le jour j, car j’en avais vraiment besoin. Il prenait vidéos et photos de tout, ça ne me choquait pas. Je lui ai demandé une fois pourquoi, il m’a dit que c’était comme pour les sportifs, que l’usage de la vidéo était très important ! Pour progresser... Je ne voyais pas beaucoup de progrès, je jouissais toujours aussi vite. Mais je faisais confiance à Karim, qui pendant ce temps là se tapait toujours notre prof de français, et aussi l’ex de Grégory, un mec de notre classe. Il avait même trouvé le moyen de les ramener, une fois chacune, chez nous, pour les baiser, me demandant de rester sagement dans une autre pièce. Je les ai entendu hurler l’une et l’autre. Je n’en revenais pas. Les femmes étaient accrocs à lui. Les deux fois, une fois fini, il m’a carrément demandé de lui faire couler un bain, de l’essuyer en sortie de bain, puis de le masser.
Il s’est allongé sur mon lit, nu, et je l’ai massé. Son corps dégageait une telle puissance, je me sentais évidemment de plus en plus en son pouvoir. Et le jour J est arrivé bien vite. Isabelle nous recevait le samedi soir dans la villa de ses parents en banlieue parisienne. Ses parents étaient absents pour le weekend, c’était sa grande sœur qui servirait de chaperon, enfin officiellement, car elle en avait surtout profité pour faire venir son mec et ils passeraient le weekend dans sa chambre ou presque, j’en étais convaincu. Il était prévu qu’on dorme là-bas Karim et moi, et sans doute quelques autres. J’étais stressé ; Karim m’avait dit que je ne devais pas boire, pour être en pleine possession de mes moyens. J’écoutais et obéissais. On était prêts. On partait. Dans l’entrée ma mère nous attendait. Elle m’a fait une bise en me disant que j’étais très beau, puis elle s’est collée contre Karim pour lui faire aussi une bise, très proche de la bouche, en lui disant qu’il était lui aussi très beau évidemment.
J’étais choqué et subjugué par la scène, Karim avait sa main sur le haut des fesses de ma mère, il me souriait, ce même sourire froid du prédateur, qu’il arborait depuis septembre.
On partait donc, et ma sœur est arrivée.
— Attendez moi j’arrive. — Pardon ? (j’avais lâché ça comme un cri du cœur)— Marine m’a appelé, elle veut que je vienne pour l’aider à garder un œil sur vous les p’tits jeunes.
Marine... la sœur d’Isabelle, ben voyons. J’allais protester, Karim a coupé court.
— Allez on file. J’ai hâte d’y être.
On est dans l’ascenseur : Delphine, Karim et moi. Je fulmine intérieurement mais n’ose rien dire. Un des effets de la présence de Karim chez nous ces derniers temps est que ma sœur me traite de plus en plus comme de la merde, et je n’ose plus trop lui dire quoi que ce soit. Je lève la tête, sortant de ma torpeur : pour retomber dans une autre torpeur, bien plus plombante : Delphine est collée à Karim, ils se roulent de grosses pelles, il l’a à moitié soulevée du sol, en la tenant par les fesses. Je remarque alors qu’elle est vraiment fringuée comme une pute.
— Putain, mais vous faites quoi là ?— Ca se voit non ? On ne va pas t’expliquer ?!— Sois gentil avec ton petit frère ma belle, il a pas l’habitude. On va devoir lui expliquer : là je roule des pelles à ta sœur.

J’en reviens pas.
— Vous faites chier, on avait dit que ce soir était ma soirée. — Oh mais t’en fais pas, on peut dire que ça va être ta soirée, crois moi.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Rien ! Allez appuie sur le bouton, on va pas descendre tout seul là.
Et là, comme une évidence, je la boucle et obéis. J’appuie sur le bouton pour descendre au parking. Ils s’embrassent tout du long. On arrive au sous-sol, je dois leur tenir la porte de l’ascenseur, puis ils attendent devant la voiture de mes parents, ils s’embrassent, je dois leur ouvrir, ils montent les deux à l’arrière, je n’en reviens pas. Je n’ose rien dire et vais me mettre au volant. Je règle les rétroviseurs, je vois la langue de Delphine jouer avec celle de Karim. Je bande.
— Règle bien les rétros ma petite lopette, ce serait con que tu rates le spectacle !
Je ne réponds rien, je suis aussi excité que tétanisé. Il est 18h, on en a pour une heure de route, je ne sais pas si je dois être impatient ou bien espérer que le temps s’arrête. De toutes façons, durant ce trajet, je suis comme hors du temps : assez vite, Delphine s’est mise à sucer Karim, il l’encourageait, la traitait de salope, de chienne, lui disant qu’elle suce bien, et elle ne cessant de dire qu’elle en voulait encore et encore, qu’elle ne pouvait plus se passer de cette queue de taureau. Dès que je pouvais je regardais dans le rétroviseur, et à chaque fois je remarquais que Karim me regardait, souriant. Je pense qu’il a deviné qu’à un moment je me suis joui dessus, sans même me toucher. La honte, j’allais arrivé tout dégueulasse à la soirée. Karim lui a quasiment mis une heure de fellation pour jouir et remplir la bouche de ma sœur. Qui a tout avalé comme elle a pu. Une fois arrivés, je me suis garé. Delphine est sortie de la voiture et Karim lui a dit de nous attendre deux minutes et m’a dit de venir à l’arrière avec lui.
— Tiens, nettoie ma queue ; je veux pas arriver tout crade moi...
Il savait... je me suis exécuté, j’ai pris les lingettes qu’il avait apportées et j’ai nettoyé sa queue gluante et massive. Pendant ce temps il m’a dit :
— Bon, tu t’es fait dessus ?— Oui. — C’est bien— Ah bon ? Mais je suis tout dégueu là.— T’iras te nettoyer aux toilettes, mais au moins là t’as joui, tu seras peut-être un peu moins précoce comme ça, tu vois ?— Oui, ok, j’y avais pas pensé.— Ben non évidemment. Allez fais pas la gueule ; tu pourrais me remercier.— De quoi ? De t’être fait sucer par ma sœur ?— Je pensais de t’avoir aider à jouir pour être plus endurant avec Isabelle, mais tiens c’est une bonne idée, remercie moi de m’être fait sucer par ta sœur.— Pardon ?— Tu m’as entendu, j’attends.— Merci.— Mieux que ça.— Merci Karim de t’être fait sucer par ma sœur.— Mais de rien ma petite lopette.
Et il est sorti et m’a laissé là avec deux lingettes pleines de bave et foutre. Ils étaient déjà dans la maison quand je suis arrivé, Delphine au bras de Karim, collée à lui d’un côté, il faisait la bise à Isabelle, qui elle aussi semblait se coller à lui, au moment où j’entrais. Elle était magnifique, une petite robe noire, décolleté juste ce qu’il faut devant, dos nu derrière, donc pas de soutien gorge, et des escarpins à talons rouges, elle resplendissait. J’ai bafouillé un bonsoir en m’approchant d’elle, elle m’a fait la bise, je ne savais pas si elle était amicale ou froide, j’étais paniqué. J’ai marmonné pour lui demander où était la salle de bain, elle me l’a indiquée. Ma sœur m’a suivi. Une fois seuls dans la salle de bain :
— Vous déconnez putain, et pourquoi t’es venue sérieux ?— Tu devrais plutôt te réjouir, on va t’aider pour Isabelle.— On ?— Oui, Karim et moi.— Toi, tu vas m’aider ? Je ne vois pas comment.— Tu verras bien, fais nous confiance.
Elle s’est rincée la bouche, et est partie. J’ai repris confiance.La soirée s’est passée, Karim m’a évité, ou bien simplement il profitait de la soirée. J’ai réussi à danser une fois avec Isabelle, mais bien vite, Karim est arrivé et m’a remplacé. Il a juste eu le temps de me dire à l’oreille : fais moi confiance mon petit. Je me suis incliné, mais n’ai rien manqué de leur danse. Ils se frottaient l’un à l’autre, je n’ai même pas pu m’empêcher de penser qu’ils faisaient un beau couple. Je constatais amèrement que je n’étais pas le seul à le penser, tout le monde les regardait. Les admirait. Vers une heure du matin, les gens commençaient à partir, je ne sais plus comment on s’est retrouvé dans une grande salle au sous sol, avec un billard et un jacuzzi. Il y avait Isabelle, sa sœur Marine et son mec, Delphine et Karim, et moi. Les trois filles picolaient et discutaient, les trois mecs on a fait un billard, Karim a gagné évidemment. Puis c’est Marine et son mec qui ont lancé l’idée du jacuzzi. Je n’étais pas pour mais n’est rien dit, les autres étaient déjà dedans ou presque. Marine est allée mettre un maillot, son mec aussi, ils sont revenus et ont inauguré le jacuzzi. Karim s’est mis en boxer sans hésiter et ma sœur en sous-vêtement, un ensemble string soutien-gorge en dentelle qui ne cachait vraiment pas grand-chose. Isabelle et moi discutions, mais Isabelle ne quittait pas Karim du regard. Puis elle a dit : bon je vais mettre mon maillot, soyez sage, je reviens. Marine a dit à son mec qu’elle voulait qu’ils aillent dans sa chambre, il ne s’est pas fait prier, laissant Karim et Delphine seuls dans le jacuzzi, Delphine sur lui l’embrassait.
— Qu’est-ce que t’attends, déshabille toi, c’est l’occasion.— De quoi ?— Putain mais t’es nul, Isa va revenir en maillot, viens dans le jacuzzi.
Je lui ai fait confiance, je me suis mis en slip. Les deux me regardaient en souriant. Puis ils s’embrassèrent encore. Puis j’ai vu Delphine descendre le long du torse de Karim, elle le couvrait de bisous et de caresses. Il la tenait par la queue de cheval. Sa voix grave m’a sorti de mes rêveries.
— Tu peux me masser les épaules s’il te plait Mat. Je suis tendu là.— Oh oui, très très tendu apparemment.
C’est Delphine qui a dit ça alors qu’elle ôtait le boxer de Karim.
— Vous allez pas faire ça là maintenant ? Isabelle va revenir.— Justement, t’en fais pas, ça va la mettre dans l’ambiance. Fais nous confiance. Allez masse moi s’il te plait, avant qu’elle revienne.
Et j’ai obéi. Et ma sœur le suçait. Il était notre Roi : le frère derrière lui qui massait ses épaules et la sœur à genoux dans le jacuzzi qui le suçait goulument. Et Isabelle est entrée. Elle portait un micro bikini rouge, noué sur les côtés pour ce qui ressemblait à un string et le haut était en forme de triangle. Elle était à tomber. Elle s’est scotchée à l’entrée de la pièce, mais pas vraiment sur moi, elle ne quittait pas Karim des yeux.
— Tu t’embêtes pas toi.— Qu’est-ce que tu veux, c’est le cadre qui s’y prête tu ne trouves pas.— C’est vrai. Vous auriez pu m’attendre quand même.— Mais Matthieu t’a attendu.— Ah oui ? (je n’arrive pas à déterminer si elle a un air de dépit ou de dégout, mais je n’ai pas l’impression qu’elle a un air d’envie).— Oh oui ; allez, qu’est-ce que t’attends, montre lui Mat, comme tu l’attends.
Et j’ai senti la main de Karim saisir mon bras et me tirer de derrière lui avec force, il a failli m’envoyer valser, je me suis retenu au bord du jacuzzi. J’étais en slip souillé devant elle.
— Ah oui, en effet, c’est impressionnant (elle n’a même pas pu se retenir de rire en disant ça).— Attends t’as encore rien vu. Enlève ton slip Mat.
Je regardais Karim, qui souriait. Delphine ne s’était même pas arrêtée de le pomper, elle venait même de glisser sa queue entre ses seins. Isabelle ne me regardait absolument pas. Karim m’a encouragé du regard. J’ai baissé mon slip. Les trois se sont mis à me regarder puis ont tous éclatés de rire en même temps. Je me sentais honteux, mais sincèrement, je faisais encore confiance à Karim et pensais que cela faisait partie de son plan. Enfin, cela faisait effectivement partie de son plan, mais ce n’est pas ce genre de plan que j’avais en tête. Et la voix d’Isabelle a asséné le coup de grâce.
— Elle est encore plus ridicule que sur les vidéos que tu m’as montrées !
Cet enfoiré de Karim avait passé les 15 derniers jours à raconter à Isabelle comme je me branlais pour elle, à lui montrer les vidéos de mes « séances d’entrainement », et à lui dire qu’il lui fallait un vrai mâle et pas une petite lopette comme moi. Elle s’est avancée vers moi, m’a embrassé sur la joue, lentement, je me suis à bander comme je pouvais.
— Tu m’excuses Mat, mais je préfère le grand bain au petit bain pour les petits garçons.
Et elle est entrée dans le jacuzzi et à rouler une pelle langoureuse à Karim, alors même que Delphine le pompait encore et encore. Cette pelle elle devait me la rouler à moi. J’étais dépité. J’allais sortir de la pièce. Je tremblais. Je m’éloignais d’eux quand j’ai entendu Karim, d’une voix qui ne laissait aucune place ni au doute ni à la désobéissance :
— Tu fais quoi là ? Reste, et viens me masser, je suis toujours tendu et je ne crois pas t’avoir dit d’arrêter.
Et je ne sais pas toujours pas pourquoi, mais je me suis arrêté, retourné et j’ai fait demi-tour vers eux, vers lui. Et j’ai repris le massage des épaules de mon Roi, tandis que ma sœur et que la fille de mes rêves le suçaient en alternance.
— C’est bien ma petite lopette. Tu vois, je t’avais dit que ce serait ta soirée.
La suite très bientôt, si vous le voulez...
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