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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 3

Chapitre trois – mon Roi

Trash
Ils ne sont pas restés longtemps dans le jacuzzi, Isabelle les a menés dans sa chambre. Je suis resté là. A genoux, abasourdi. Karim est revenu dans la grande salle.
— Mais qu’est-ce que tu fous, viens.— Je... je ne sais pas.— Mais si putain, tu vas voir Isa à poil et se faire baiser, c’est ton rêve non ?— Oui, enfin dans mon rêve, je la baisais.— Oui, ben ça, ça va rester un rêve mon vieux, alors viens profiter.
Et je l’ai suivi. Encore et toujours. Je suis arrivé dans la chambre, Karim a pris Isabelle par la main, l’a embrassée, puis lui a ôté le haut de son maillot. Delphine les regardait, puis s’est éclipsée. Je ne lui en ai jamais parlé, mais je pense que Karim avait tout prévu et lui avait dit de les laisser seul à un moment donné. Il l’a ensuite allongée sur le lit, a retiré le petit string qu’il m’a jeté à la figure en riant. Je l’ai gardé une bonne partie de la nuit tout contre moi. Instinctivement je me suis mis à genoux au bord du lit, Karim la léchait, la doigtait, il jouait avec son clito, elle a enchainé deux orgasmes et il n’avait pas encore glissé son pieu en elle. Je n’en revenais pas. J’en étais moi aussi à mon second orgasme de la soirée, celui-là n’avait pas tardé à arriver. Pendant qu’il la fouillait de sa langue, ses mains pelotaient les seins d’Isabelle, ses doigts jouaient avec les tétons durcis, il semblait l’aspirer littéralement, et elle mouillait bien. Il s’est à son tour allongé sur le dos, et Isabelle est venue à ses côtés et l’a sucé presque amoureusement, sa langue parcourait le chibre raide, elle l’embrassait, descendait pour aspirer les couilles lourdes et imposantes. Elle frottait cette queue contre son visage, ses mains semblaient si petites avec ce gourdin épais et si gros. Parfois il appuyait sur son crâne pour qu’elle l’enfonce le plus possible dans sa gorge.
Elle bavait dessus. Puis il lui a simplement dit :
— Je vais te baiser toute la nuit ma belle.
Et il l’a fait. Au moment de la faire venir s’empaler sur lui, Isabelle l’a regardé et lui a murmuré quelque chose. Karim a juste dit à voix haute :
— Tu peux aller dans une autre pièce s’il te plait.
Et j’ai obéis. Je ne m’expliquais pas trop ce que je ressentais : j’étais déçu, dégouté presque de rater la suite. Il l’a baisée longuement et fortement, je suis resté longtemps devant la porte de sa chambre et elle n’a pas vraiment retenu ses cris. J’ai fini par retourner au rez-de-chaussée et me suis endormi dans le canapé. Au réveil, vers 9h du mat, j’ai vu que j’avais des sms ; d’abord un de Delphine qui datait de plus tôt dans la nuit : « je suis rentrée avec la voiture, profite bien de TA soirée ». La conne avait repris la voiture des parents. Bref. Un autre sms, de Karim qu’il avait envoyé il y a 5 minutes à peine : « tu nous apporterais pas un petit café ma petite lopette ? Noir et sans sucre pour moi, avec sucre pour Isa ». Un autre sms est arrivé alors que je me remettais à peine du précédent : « Isa s’en veut un peu, elle veut se faire pardonner vis-à-vis de toi ».Je reprenais des couleurs, après tout qu’elle ait craqué pour Karim, c’était normal ; mais j’allais pouvoir lui montrer comme je la désire, comme je l’aime. Je me précipitais à la cuisine, faisais deux cafés (je ne pensais même pas à en faire un pour moi) et je montais à la chambre. Arrivé devant la porte, réflexe de politesse, je frappais. Il se passait de longues secondes avant que j’entendre la voix de Karim.
— C’est pour quoi ?— C’est moi. J’apporte vos cafés.— C’est qui toi ?
— Matthieu, Karim.— Ah oui, entre ma petite lopette.
Et je suis entré. Karim était allongé à moitié, la tête contre l’oreiller, Isabelle, allongée tout contre lui, la tête dans le creux de son épaule, la couette était au pied du lit, ils étaient nus, la petite main d’Isabelle allait et venait lentement sur le sexe encore plus énorme me semblait-il, même si quasiment au repos.
— Salut Mat, bien dormi ?— Euh... oui, oui, et vous ?— Mmmmm, pas beaucoup, mais tu t’en doutes.— Oui, j’imagine. Je vous ai apporté vos cafés.— Merci.
Isabelle avait dit ça sans même me regarder. J’ai refermé la porte et me suis approché, j’ai posé les cafés sur la table de nuit du côté de Karim.
— Isabelle se sent coupable pour cette nuit Mat, elle veut vraiment se faire pardonner.— Ah oui ? Enfin, il n’y a vraiment pas de quoi, ce n’est rien.— Pffffff, c’est exactement ce que je lui ai dit, que ce n’était pas grave, et qu’il ne fallait pas se formaliser pour toi, mais elle y tient.— Ah d’accord (je bandais, si j’osais, je dirais comme un âne, mais enfin, disons que je bandais dur, et je faisais mon maximum pour me retenir d’éjaculer trop vite).— Allez dis lui ma chérie.— Oui. Euh... Matthieu, hier soir, au moment de... disons de commencer à faire l’amour avec Karim je n’ai pas voulu que tu restes. Et, enfin, j’aimerais me rattraper, donc si tu veux, tu peux rester là.— Pardon ? (Karim souriait, et Isabelle n’avait absolument pas cessé de masturber sa queue, tout en me parlant, queue qui reprenait de la vigueur et grossissait et durcissait à vue d’œil).— Bon faut vraiment tout t’expliquer : on va remettre le couvert, et cette fois, Isabelle veut bien que tu restes pour regarder. Cool non ?— Hein ? Heuu, oui, enfin je croyais que...— Oui, bon, allez, tu te mets à genoux, tu regardes et tu te tais ok ?— Oui, ok.— Eh eh, parfait, tu vois je t’avais dit qu’il kifferait.— Et je dois t’avouer mon chéri que je suis toute excitée là. — Ah oui ? Montre moi ça.
Elle l’a sucé, encore plus goulument et amoureusement que la veille, parfois tendrement, et en alternance Karim la bifflait, lui disait d’avaler sa queue, lui baisait littéralement la bouche. Mon dieu, Isabelle était encore plus belle avec cette queue magnifique dans sa bouche ou dans sa main, je n’en revenais pas. Je ne me suis même pas rendu compte que je venais de jouir, et le vrai spectacle n’avait pas encore commencé. En la soulevant comme une plume, Karim l’a fait s’installer en 69 sur lui, il la léchait, elle le suçait, ils étaient beaux, presque en harmonie. Je venais de me vider une fois de plus dans le froc, et je bandais de nouveau comme le petit toutou que j’étais (devenu). Karim m’a parlé, je n’ai pas vraiment entendu au début. Il a du se répéter.
— T’as une capote Mat ?— Pardon ?— File moi une de tes capotes mec, je suis sûr que tu ne t’en es pas servie.— Hein ? euhh oui ok, oui. Tiens.
J’ai fouillé dans ma poche et en ai sorti une capote, je ne réalisais même pas le pourquoi de cette demande. Je la leur ai tendu, Isabelle l’a prise, sans un regard, elle a déchiré le paquet et a essayé d’enfiler le préservatif tout petit sur le chibre massif. La capote a explosé, et les deux ont ri. Là, je comprenais.
— Ah, oui merde, j’avais zappé la différence de taille. Désolé mec. Tu peux en prendre une dans mon jean.— Euh oui, bien sûr.— Parfait, et magne toi, j’ai trop envie de la baiser là.
J’ai obéi, j’ai trouvé des capotes dans son jean, j’en ai pris trois, je lui en ai tendu une. Isabelle l’a prise en me souriant cette fois.
— Merci Mat.
Elle l’a ouverte et enfilée sur la queue. Elle s’est ensuite positionnée au dessus de ce pieu dressé, face à son amant. Elle a mouillé sa main et s’est empalée, je pensais qu’elle irait lentement, mais la queue de Karim (après une nuit de ce traitement) rentrait en elle comme dans du beurre à présent. Elle est descendue loin sur sa queue, sa petite main massant les couilles de Karim, il l’a remplie et pourtant il restait plus que la taille d’une main hors de sa chatte. C’était superbe, Isabelle s’est cambrée au-dessus de lui et a commencé à le chevaucher, les grosses mains du mâle marocain lui mettaient quelques fessées, elle commençait à gémir, comme cette nuit, chacun de ses bruits était une preuve du plaisir qui l’envahissait de nouveau. Après quelques minutes à baiser son amant, Isabelle s’est couchée sur lui pour l’embrasser, et Karim s’est mis à limer cette chatte béante, il accélérait puis ralentissait, puis il se mit à donner de grands coups de rein et Isabelle ne se retenait plus, les gémissements sont devenus cris de jouissance, je voyais la mouille dégouliner sur le pieu arabe.
Encore de longues minutes avant qu’il ne la mette à 4 pattes, son visage heureux, en sueur, juste devant le mien, Isabelle, ne me quittait pas des yeux, alors que Karim commençait à la prendre en levrette. Il l’a tenait par les cheveux, l’obligeant à se cambrer au maximum, par réflexe elle a tendu le bras et sa main s’est posée sur mon visage. Elle se tenait à moi, j’étais aussi lamentable qu’elle était comblée. Karim la défonçait littéralement, j’entendais leurs corps claquer l’un contre l’autre, et les cris d’Isabelle, et les râles de Karim. J’ai senti sa main se crisper sur mon visage, ses ongles presque s’enfoncer en moi, elle jouissait, Karim accélérait et ses assauts étaient de plus en plus puissants, et Isabelle jouissait, je voyais son visage à travers ses doigts, le visage d’une femme en jouissance, en pleine plénitude.
— Vas y baise moi mon chéri, encore. Encore.
Elle a fini par s’écrouler sur le lit de tout son long. Je n’avais jamais vu ça. Elle n’arrêtait pas de dire qu’elle en voulait encore, qu’il la baisait tellement bien, qu’elle était toute à lui. Elle était allongée, lui toujours en elle, et la main d’Isabelle toujours sur mon visage. Karim lui a fait étendre les jambes, serrées, puis il s’est détendu lui aussi, tout au-dessus d’elle, et sa queue toujours en elle, il a recommencé à la limer ainsi. La main d’Isabelle m’a plaqué le visage sur le lit, je subissais les assauts de son amant autant qu’elle ou presque. Je sentais toute la puissance de cet étalon arabe en action. Il donnait de grands coups de bite, ses cuisses claquaient contre les fesses d’Isabelle, qui ne cessait de crier, de jurer, d’exprimer son bonheur. Elle a joui une nouvelle fois, Karim toujours en elle s’est écroulé sur elle, elle a tourné le visage pour l’embrasser, juste sous mes yeux. Ils sont restés de longues minutes comme ça, ou bien le temps me semblait juste tellement long, puis Karim s’est redressé et assis sur le lit, appuyé sur ses coudes, Isabelle a retiré la capote et l’a sucé, longuement.
J’avais sous le nez, la croupe d’Isabelle, à quatre pattes en train de pomper « son chéri » comme elle n’arrêtait pas de dire. J’ai regardé Karim et qui m’a souri et qui m’a fait signe du visage de m’approcher d’Isabelle et de la lécher. Je ne voulais pas, je ne pouvais pas. Il a insisté du regard et j’ai cédé. Bien sûr je le voulais, mais je n’osais pas. J’ai fini par approcher ma langue et j’ai commencé à lécher, timidement d’abord, puis sous les gémissements de ma belle, qui étaient comme autant d’encouragement j’ai continué, je me suis appliqué.
— Vas-y ma petite lopette, lèche la bien pendant qu’elle me suce. — Oui Karim.
Elle était délicieuse, toute mouillée, je la goutais, et j’en revenais pas, quel pied. Les râles de Karim s’intensifièrent et je sentais Isabelle se contracter. Je me suis redressé et suis venu sur le côté du lit, je ne voulais pas manquer ça. Elle le branlait activement dans sa petite bouche, il s’est raidi et a joui. Il la tenait par les cheveux, ne l’obligeant pas à le garder en bouche parce que j’avais le sentiment qu’elle le voulait, mais la maintenant bien pour qu’elle avale tout. Ce qu’elle fit. Sans jamais le quitter des yeux. Elle s’est ensuite appliquée à bien nettoyer cette queue encore énorme, luisante, magnifique. Karim était écroulé sur le lit. Et moi je bavais.
— C’est pas possible la quantité que t’as encore sorti là ?— Et oui ma belle, qu’est-ce que tu veux, je produis en grande quantité.— Tant mieux, parce qu’en plus il est très bon ton sperme.
Les minutes sont passées, les deux allongés l’un contre l’autre à s’embrasser se câliner. Puis Karim m’a dit d’appeler mes parents pour qu’ils viennent nous chercher. Je l’ai fait, j’étais gêné, mais ma mère a semblé d’humeur très serviable. Isabelle lui a proposé de prendre une douche, il a dit qu’il aimerait garder l’odeur de cette nuit encore peu. Ils se sont encore embrassés au moment de la quitter, elle m’a fait la bise, sa bouche était collante.
— Merci Isabelle.— Pour ?— La soirée, et tout, et puis pour m’avoir laissé te... enfin...— Me lécher ?— Euh oui voilà.— De rien Matthieu. Tu fais ça très bien. Comme quoi tu vois, chacun ses qualités.
Ma mère nous attendait dans la voiture. J’étais dans un mélange d’excitation, de honte, d’incompréhension. Je ne savais pas s’il fallait que l’on parle de tout ça avec Karim. Je savais que j’étais sa petite lopette comme il le disait sans retenue à présent, son larbin. Il était mon Roi. Je le savais. Je comprenais petit à petit que cela ne me dérangeait pas. Au contraire. Et j’étais content aussi d’avoir léché Isabelle. Je n’avais jamais fait ça. J’avais aimé. En plus elle avait apparemment apprécié. Tout n’était pas perdu. En tout cas Karim, lui, ne semblait pas se poser de questions. Il s’était installé à l’avant. Je pris place à l’arrière, sans rien dire évidemment.
— Bonjour Anne-Sophie, c’est cool d’être venue nous chercher.— Mais non c’est normal les garçons. — Ton mari aurait pu t’épargner ça quand même, enfin. Tu es meilleure conductrice que lui de toutes façons. — Ah ah, oui c’est sûr. Il n’est pas très assuré. Bon et cette soirée alors ?— Un régal. On va tout te raconter.— Oui, enfin, c’était très bien, t’as peut-être pas envie de connaître les détails Maman. — Pourquoi ? Je risquerais d’être choquée ?— Ah ah, qui sait... Mais je pense que tu en as vu d’autres ...
Ma mère n’a même pas relevé, mais Karim venait de la tutoyer. Je n’osais rien dire, je regardais Karim qui reluquait ma mère. Il faut dire qu’elle portait un décolleté plongeant sur ses gros seins, et une mini jupe et je ne voyais pas bien mais j’avais l’impression de distinguer le haut de bas. Elle a juste répondu évasive :
— Qui sait...
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