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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 5

Chapitre cinq – rebelote, changement de vie et petit fiancé

Trash
Il me souriait. Je n’en revenais pas. Il me semblait encore plus massif que la dernière fois. Moi j’avais pris un peu d’embonpoint, ce qui me rendait, à mon sens, encore plus ridicule à ses côtés.
— Et ben alors Mat, t’as vu un fantôme ?— Euh... non... non, salut Karim.
Ma mère est arrivée dans son dos, s’est collée contre lui et l’a serrée contre elle.
— Coucou mon lapin, et bien entre voyons.
Je ne savais que dire. Cela faisait un mois que je ne les avais pas vus, mais j’avais parlé avec eux au téléphone, et ils n’avaient fait aucune mention de Karim. Il vivait chez eux depuis 15 jours à mi-temps en gros. Les parents de Karim étaient pleins aux as, enfin son père. Il lui avait acheté un appartement dans Paris. Ses parents s’étaient séparés, et son père avait trouvé une nouvelle fiancée, devenue sa seconde femme, que Karim, évidemment, baisait. Il me disait ça très naturellement. Dans le salon, avant de passer à table, la scène était irréelle. Benoit et mon père s’activaient pour dresser la table, servir à boire etc... Et Karim profitait de ses deux femelles, Delphine et Anne-Sophie. A la fin du repas, non sans s’être fait sucé par les deux femmes, Karim m’a dit de le ramener en voiture. J’ai obtempéré, naturellement. En fait, la situation n’avait pas changé, et cinq ans ou presque sans se voir, je me sentais encore et toujours sous son joug. Dans la voiture, je ressentais un mélange d’angoisse, de gêne, de peur, d’excitation et de soumission. J’avais volontairement coupé les ponts avec lui, complètement dépassé parce qu’il m’avait fait vivre. Il brisa le silence.
— Il paraît que ça se passe bien dans ton taff ? Très bien même.— Oui, oui, je n’ai pas à me plaindre.— Parfait. Tu vas me faire rentrer dans ta boite. — Pardon ?— Tu as oublié ma petite lopette ? J’ai horreur de quoi ?— D’attendre et de te répéter.— C’est bien, tu vois quand tu veux.— Mais ça va être compliqué.— Non, je pense que ça va être très simple. Je m’ennuie un peu, et dans ce genre de boite, je suis sûr que je vais m’éclater.— C’est beaucoup de boulot tu sais.— Eh eh, oui oui, on verra ça.
J’ai réussi à le faire entrer dans mon entreprise. Commentaire de la responsable des ressources humaines « son profil nous plait beaucoup ». Putain, à tous les coups il la baisait. J’ai du l’intégrer dans la même équipe que moi. Nous avions trois clients. L’équipe était composée d’un associé, d’une manager, de moi, d’un assistant, de Karim et nous devions recruter un autre junior. Deux jours à peine après ses débuts, Karim m’a montré une nouvelle arrivante dans l’open space. Une brune, grande, mince. Il m’a dit que c’était elle qu’il voulait pour compléter l’équipe. J’ai fait en sorte que. Deux des clients étaient à Paris, le troisième était à Londres, on y passait cinq mois de l’année. On est partis à Londres une semaine après, avec Marc l’assistant, Charlotte la nouvelle recrue et Aurélie, la manager. Karim était charmant, bossait bien, prenait gentiment le dessus sur Marc et sur moi évidemment. On avait appris que Charlotte avait un copain, ils étaient fiancés, Karim ne se gênait aucunement pour poser des questions à tout le monde.

Il « embêtait » gentiment Marc à propos de son épouse, lui demandait de lui montrer des photos etc..., il faisait pareil avec Charlotte, et n’hésitait pas non plus avec Aurélie. Elle était mariée aussi, avait eu un enfant, heureuse en couple, elle était mignonne, sans plus, mais prenait soin d’elle. Genre femme bcbg, un peu coincée du cul. Karim m’avait dit un soir :
— Elle m’excite trop. Je veux me la faire, et vite.
Il m’avait expliqué que la présence de deux cibles féminines pouvait compliquer les choses, mais que s’il s’y prenait bien, cela pouvait jouer en sa faveur. Son travail de sape semblait en tout cas payer : il me semblait remarquer des regards, des gestes, et d’Aurélie et de Charlotte, Karim était vraiment charmeur avec elles, et aussi ne manquait pas une occasion de se moquer de leur conjoint respectif. Un soir, après le diner, Karim a proposé de prendre un verre. Aurélie et Marc ont décliné, moi, sans trop savoir pourquoi je me sentais obligé de rester, et Charlotte a accepté aussi. On est allé dans un bar. Au bout de 5 minutes, Karim m’a envoyé un message disant juste « dégage, laisse moi seul avec elle ». J’ai obéi. Charlotte ne s’en est pas ému plus que ça. Karim m’a raconté qu’elle s’était confiée à lui sur ses doutes, ses craintes, et que lui n’avait rien fait pour la rassurer. Au contraire, tout en restant subtile, il n’avait fait que confirmer, que le fait d’être loin n’était pas facile, que le mariage était flippant, que son mari, qui était le seul homme qu’elle avait connu, n’était peut-être pas l’homme idéal sur tous les plans.
Karim avait le don de savoir faire tourner les conversations, sans en avoir l’air, autour du sexe. Et il avait encore réussi. Il manipulait l’esprit des femmes, il leur mettait en tête une idée implacable : quelle que soit la fille, sa situation sentimentale, ses tabous et ses fantasmes, elle n’avait pas encore connu le plaisir, parce qu’elle n’avait pas encore couché avec lui. Charlotte n’avait pas échappé à la règle. Ce soir-là il avait semé ses graines. Le lendemain matin, il m’avait montré un échange de sms entre elle et lui après être rentrés du bar :
— Merci Karim.— De rien ma belle. Et n’oublie pas : les hommes ne sont beaux qu’au travers de leurs femmes, alors que vous, vous êtes belles par vous même.— Leurs femmes ?— Mmmm, oui, on ne peut pas dire que je sois l’homme d’une seule femme.— Vantard !— Fais de beaux rêves.— Toi aussi.
Puis au milieu de la nuit :
— Karim ? Tu dors ?— Non, je me caresse.
(Je n’en revenais pas qu’il réponde un truc pareil, mais c’était vraiment une de ses forces, il assumait tout, tout ce qu’il faisait ou disait, il le pensait, et il l’affirmait haut et fort).
— Lol, tu rigoles ?— Non. — ...— Et toi tu ne dors pas ma belle ?— Non, je pense à ce que tu m’as dit.— J’ai dit beaucoup de choses...— Sur mon mec.— Ah... Ton mec... On pourrait lui trouver un petit nom non ?— Comment ça ?— Je ne sais pas, qu’est-ce qui le caractérise ?— Il est très gentil.— Ok... c’est un début. Il est petit non ?— Pas très grand non. Mais pas tout petit non plus.— Et pas très grand de partout je pense ?— Pfff... t’es con. Et puis il n’est pas petit de là non plus.— Comment tu le sais ? T’en as vu d’autres ?— Oui, évidemment.— En vrai ?— ... — Dis le.— Non... — On va l’appeler « le gentil petit fiancé ». Alors tu repensais à quoi ?— Je ne sais pas Karim.— Tu pensais à moi ?— ...— Moi je pensais à toi !— Menteur.— Tu veux voir ?— Quoi ?— Ce que ça donne quand je pense à toi... (et il joint une photo de son sexe raide, énorme, puissant, tellement grand et large).— Mais non !!!!!!! Impossible.— De quoi ?— C’est pas toi !— Viens vérifier par toi-même ma belle.— Non...— Tu as peur ? C’est sûr que ça doit te changer du gentil petit fiancé.— Arrête...— Ok. Bonne nuit ma belle.— ?— Tu as de quoi faire de beaux rêves maintenant. On se voit demain.— Bonne nuit alors, Karim.
Et il n’a pas répondu. Les jours suivants, Karim a un peu ignoré Charlotte et s’est concentré sur Aurélie. Charlotte ne comprenait pas, et le cherchait, du regard, de la parole, elle tentait d’attirer son attention, je le voyais bien. Karim aussi le savait, il s’en amusait.
— Encore quelques jours de ce traitement et tu verras elle viendra me supplier de venir la baiser dans sa chambre.— Tu crois ?— Je connais ce regard. C’est celui qu’elles ont toutes quand elles me veulent. Celui qu’avaient ta mère et ta sœur par exemple.— Très drôle.
En attendant, il s’était donc attaqué à Aurélie. C’était sans doute plus compliqué. A part le boulot elle n’était pas tellement du genre à partager quoi que soit, même si Karim lui forçait un peu la main. Petit à petit, elle restait un peu plus tard le soir avec nous, elle avait même accepté de prendre un verre un jour. Charlotte était elle rentrée à l’hôtel, elle en voulait à Karim. Marc lui rentrait vite, il haïssait Karim. Je le comprenais, je le plaignais, j’imaginais qu’une fois de retour, Karim trouverait un moyen de rencontrer sa femme. Le soir au bar avec Aurélie, Karim proposa d’aller danser. Il savait qu’Aurélie adorait ça, elle nous en avait parlé. Elle hésita.
— Allez, tu le sais tu nous l’as dit toi-même, danser aide à décompresser, à relâcher un peu la pression. — Oui, tu as raison, allez ok.
On est allé dans un club de salsa. Je ne l’avais jamais vraiment vu à l’œuvre, mais Karim se vantait souvent d’être un excellent danseur. Evidemment. Moi, j’étais aussi ridicule sur la piste de danse que dans la vie en général. A peine arrivés, Karim m’a dit d’aller au bar nous prendre des verres, et lui entrainait Aurélie sur la piste de danse, en la tenant par la main. Elle ne protesta pas. Ils dansaient. Je les regardais, assis à une table avec leur verre qui les attendaient. Karim dansait effectivement comme un dieu, et Aurélie dansait elle aussi super bien. C’était très sensuel, il me semblait que Karim faisait tout pour être de plus en plus proche de sa proie. Ils sont venus à la table, se tenant par la main.
— Wouahhh génial, ça me change de mon mari.— Tu n’es pas la première à me le dire ah ah.— Je parlais de danse, Karim.— Moi aussi, Aurélie, de quoi d’autre ?— No comment !— Tu peux parler devant Mat, tu sais, il a l’habitude.— Vous vous connaissez vraiment bien hein ?— On peut dire ça oui. — Comment ça ?— Tu lui dis ou je lui dis, Mat ?— Karim, non.— Ok, je lui dis.— Je t’en prie non.— Bref. Donc ton mari danse mal ?— Il n’aime pas.— Donc il danse mal ?! Pourquoi ne pas simplement dire les choses.— Ok, il danse mal. Horriblement mal même.— On y retourne, je suis chaud là.— Pardon ?— Ce n’était qu’un échauffement non ? On va leur montrer de quoi on est capable ok ?— Allez ok. Mais tu te tiens ok ?— Un vrai gentleman, demande à Mat, il te le dira.
Elle a souri, sans même me regarder. En s’éloignant, Karim lui a repris la main, elle s’est penchée vers lui pour lui parler, et il lui a répondu, ils ont rigolé, et Aurélie a fait une tête pleine de surprise. Plus tard Karim m’a avoué qu’il lui avait dit s’être tapé ma mère et ma sœur. Elle l’avait cru à moitié. Cette deuxième session était plus torride encore, les mains de Karim se faisaient plus baladeuses et plus pressantes aussi, et Aurélie se laissait faire, se cambrait, se collait à lui, passe même à un moment ses mains autour du cou du taureau marocain. Cela a duré de longues minutes, quand ils sont revenus à la table, ils étaient serrés l’un contre l’autre. Aurélie est allée aux toilettes et Karim m’a dit de payer et de rentrer. J’ai obéi. Ils ont encore dansé, Karim lui a dit que j’étais fatigué et que j’avais voulu rentrer. Il m’a dit qu’Aurélie avait fait une moue amusée, elle ne le croyait sans doute pas, mais s’en fichait finalement, elle était dans ses filets. Ils étaient rentrés à l’hôtel, et arrivés devant la chambre d’Aurélie, elle lui avait sauté dessus et l’avait fait rentré dans sa chambre.
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