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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 6

Chapitre six – mon roi et ses femmes

Trash
Aurélie l’avait sucé, longuement, elle n’avait cessé de lui répéter qu’il avait la plus grosse queue qu’elle n’avait jamais vue. Rien ne faisait plus bander Karim que les compliments sur son physique. Il l’avait léchée. L’avait faite jouir. Il lui avait dit d’appeler son mari pendant le cuni, elle avait refusé. Karim m’avait dit le lendemain qu’elle accepterait la prochaine fois. Quand je voyais comment elle le regardait, je n’en doutais pas vraiment. Il l’avait ensuite baisée toute la nuit, sans capote, ils n’en avaient pas. Enfin Karim en avait, mais lui avait dit que non. Il adorait remplir une femme, alors mariée, encore plus. En souriant, il m’avait dit : « dommage que tu n’aies pas été là, tu aurais pu la nettoyer ». Elle avait joui à six reprises dans la nuit, lui avait joui une fois dans sa bouche, une fois sur ses seins, et la troisième fois elle avait accepté qu’il jouisse en elle. Quand il l’avait remplie, elle avait hurlé et lui avait dit qu’elle se sentait enfin comblée. Elle avait mis deux heures à se remettre du dernier orgasme.

Le lendemain matin, Karim se comportait comme lui-même, ne jouait plus au charmeur gentil. Il envoyait carrément balader Marc, lui a même dit, alors que les deux femmes n’étaient pas là, qu’il devrait lui laisser baiser sa femme, que ça ferait du bien à leur couple, moi je m’écrasais, Karim m’impressionnait de plus en plus, je m’écrasais de plus en plus devant lui. J’étais à sa botte. Aurélie minaudait avec lui. Elle aussi semblait également complètement hypnotisée, à certains moments je me disais qu’elle allait lui sauter dessus devant nous. Charlotte elle, fulminait. Le soir suivant, Karim au milieu du repas a envoyé un sms à Charlotte lui disant : « Aurélie, elle a voulu vérifié de ses propres yeux ». Puis a envoyé un sms à Aurélie : « dis que tu es fatiguée que tu veux rentrer ». Elle l’a fait. Karim s’est levé et a juste dit : « je te ramène ». Ils sont partis tous les 2, je l’ai vu mettre une main au cul à Aurélie en sortant ; Marc tournait le dos et n’a rien vu, mais Charlotte a vu et a failli s’étouffer. Karim l’a encore baisée toute la nuit. Et a réussi à la faire appeler son mari en plein cuni. Elle a du lutter pour ne pas craquer, ne pas crier de plaisir alors qu’il la faisait jouir de sa langue. Il a aussi réussi à la filmer et la prendre en photo en train de le sucer, puis en train de se faire baiser. Il me les a montrées : elle se comportait en vrai chienne, affamée de sa queue. C’était encore magnifique, je n’en revenais pas. Le jour suivant même cinéma. Marc n’en pouvait plus mais n’osait rien dire, il avait peur de Karim. Comme tous les sous-hommes qu’il croisait. Charlotte faisait la gueule. Aurélie resplendissait.
Le soir, Marc a diné dans sa chambre. Karim, Aurélie, Charlotte et moi sommes allés au restaurant tous les 4. Karim m’a raconté qu’il avait doigtée Aurélie à l’arrière de la voiture sur le chemin du restaurant. Charlotte boudait un peu, j’essayais de la distraire. Au restaurant on a parlé de tout et de rien et Karim, je ne sais comment a réussi à mettre le sujet du sexe sur la table.
— Moi je ne pourrais pas m’en passer plus d’une journée.— C’est parce que t’es un mec, a répondu Charlotte.— Demande à Mat, lui il y arrive très bien.— Moi je suis assez d’accord avec Karim, c’est quand même important a dit, malicieuse, Aurélie.— Ah bon ? Je n’aurais pas cru.— Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis Matthieu.
Puis Aurélie est sortie pour répondre à un appel de son mari. Karim en a profité.
— Ca va Charlotte ?— Ca t’intéresse ?— Oui, beaucoup. Tu en doutes ?— Je pensais qu’Aurélie t’intéressait plus.— Jalouse ?— N’importe quoi. — Mat, tu nous laisses s’il te plait ?
— Euh... oui, oui, ok.
Karim et Charlotte m’ont ignoré, je quittais la table. Karim l’a regardée dans les yeux. Il lui a fait signe de venir s’asseoir avec lui sur la banquette.
— Viens.— Pourquoi ?— Parce que je te le demande.— Non.— Viens Charlotte (il a intensifié son regard, ne la quittait pas yeux, il était calme et intense à la fois).
Elle s’est levée après quelques secondes. Et l’a rejoint sur la banquette. Elle s’est assise, un peu distante, il s’est tourné vers elle, le bras étendu sur le dossier, sa main presque sur l’épaule de Charlotte.
— Pourquoi doutes-tu du fait que tu m’intéresses ? Je te l’ai dit Charlotte, je te désire.— N’importe quoi. — Je te l’ai dit l’autre nuit.— Et depuis tu désires Aurélie.— Non, je désirais Aurélie déjà avant. J’attends juste que tu sois prête.— Prête à quoi ?— A t’offrir à moi.— Je suis fiancée.— Et ?— Et je suis fidèle.— Ok, mais ne rejette pas la faute sur moi. C’est toi qui ne veux pas. Donc arrête de bouder parce que je me tourne vers une autre.— Ok.— Bon, tant mieux.
Le reste du diner s’est passé de manière détendue. Charlotte était plus joyeuse, Aurélie buvait beaucoup, Karim jubilait. On est rentrés à l’hôtel. Dans l’ascenseur, Aurélie était collée à Karim, Charlotte, elle, ne le quittait pas des yeux, et Karim la regardait de ses yeux de chasseur, affamé, qui sent la proie, pas loin. On s’est séparés et Karim n’a même pas fait semblant, il est rentré dans la chambre d’Aurélie, en lui mettant une belle petite fessée pour l’encourager. J’ai reçu un appel vidéo pendant qu’elle le suçait, c’était un spectacle encore une fois incroyable, une vraie furie qui s’excite sur cette verge raide, elle lui aspirait les couilles, et le sexe reposait sur son visage et le cachait complètement. Karim m’a raconté le lendemain, qu’il avait aussi écrit à Charlotte :
— Bander en pensant à une femme, tout en se faisant sucer par une autre a quelque chose de très excitant.— Elle suce bien j’espère. — Très bien. Mais je suis sûr que tu peux faire mieux.— Ah oui ?— Tu as une bouche parfaite pour ça.— Merci... je suppose.— Viens.— Non...— Tu veux que je vienne dans ta chambre ?— Non...— Tu me dis oui, je plante Aurélie là et viens pour toi.— ...
Puis Karim a baisé Aurélie, elle a joui encore plus fort que les fois précédentes. Je ne sais pas si c’est vrai, mais elle aurait même lâché un « je t’aime » quand Karim s’est vidé en elle. Elle l’a supplié de rester toute la nuit, mais vers 1h du matin, alors qu’Aurélie le suçait langoureusement pour nettoyer ce chibre divin, il a reçu un sms de Charlotte :
— Alors, elle est bonne ?— A toi de me dire ? (et il lui a joint une des vidéos)
....
— J’ai du mal à juger sa performance...— Pourquoi ? La qualité est pourtant excellente ;-)— Pas la qualité ;-) Disons que je me concentre plutôt sur l’étalon que sur la jument.— Et ?— ... ;-)
Karim a pris ça comme une porte ouverte. Il a pris une douche rapide et a dit à Aurélie qu’il avait à faire. Rien d’autre. Aurélie était déçue, mais de toutes façons, complètement à la merci du mâle. Karim s’est habillé, lui a roulé une énorme pelle puis a quitté la chambre. Il a traversé le couloir et a frappé à ma porte. Plusieurs fois, jusqu’à ce que je me réveille et vienne lui ouvrir.
— Putain, t’es long à la détente, sers moi un whisky.
Il s’est avachi dans le canapé dans ma chambre, je lui ai servi un whisky.
— Ca va Karim ?— Ouais ouais, je viens de baiser Aurélie et là je vais aller voir Charlotte ?— C’est vrai ?— Oui. File moi ton tel.— Pourquoi ?— Pardon ???— Pardon mon Prince, voici.
Il l’a pris, en me fusillant du regard et a commencé à tapoter.
— Charlotte, désolé de t’écrire à cette heure, je suis en train de revoir ton travail, c’est très bien. Il faudra juste qu’on éclaire quelques points avec le client demain. Bonne nuit et désolé encore pour l’heure.
Puis il a pris son portable :
— En tout cas, elle est inépuisable...
Son portable a sonné avant le mien. Karim a souri.
— Et toi ?
Puis il a lu le mien :
— Oh, super, merci Matthieu. Pas de problème pour demain. Bonne nuit à toi aussi. Et pas de souci pour l’heure, j’étais au téléphone avec mon petit fiancé.
Karim a souri, encore plus froidement, m’a regardé et a juste dit :
— Elle est a point.
Il a repris mon tel :
— Ton petit fiancé ??? — Euh, oui pardon, mon fiancé quoi. Enfin bref, à demain.— Mon ex m’appelait comme ça...— Ton ex ?— Oui, elle parlait de moi aux autres en disant « mon petit fiancé ».— Et ?— Et... j’étais son petit fiancé... cocu...
Puis plus rien sur mon tel, mais celui de Karim a sonné.
— Occupé alors ?
Il n’a rien répondu, a fini le whisky, a jeté mon portable sur le lit. Et est sorti, sans rien dire. Il était impérial. J’ai pris mon portable, et ai lu l’échange, tout était faux bien sûr. Karim la manipulait et allait la faire sienne. J’en étais aussi convaincu que lui. Karim s’est rendu vers la chambre de Charlotte, il a frappé. Deux coups secs, forts, mais nets. Il s’est apparemment passé une à deux minutes, elle a regardé par le judas, a hésité longuement, parce que Karim n’était pas dans le champ de vision, mais il avait vu le rayon de lumière et retoquait, de la même manière. Charlotte a ouvert, Karim s’est glissé devant l’entrebâillement de la porte.
— Suis occupé oui.
Charlotte a souri timidement.
— Tu ne devrais pas être là, Karim.— Moi je pense que je suis exactement où je dois être.
Il s’est approché encore, Charlotte a un peu reculé, et par la même, a ouvert un peu plus la porte dans son mouvement, Karim n’a pas laissé passer l’aubaine. Il a refermé la porte derrière lui.
— Tu dors en jean toi ?— Tu m’as prise de court. Je ne savais pas qui c’était.— Tu ne m’attendais pas ?— Tu étais avec Aurélie...— Je suis avec toi là. — Oui...
Il la déshabillée du regard, de son regard chaud, séducteur, charmeur, elle a fondu. D’une voix posée, ferme, ne laissant place à aucune hésitation, aucun doute :
— Je vais prendre un risque, Charlotte. Je vais ressortir, te laisser deux ou trois minutes et refrapper. Tu m’ouvriras cette fois en attendant ma visite.
Elle n’a rien dit, Karim est ressorti en lâchant juste, sans même se retourner : « ne me déçois pas ». Devant la porte de chambre refermée, il a volontairement laissé passer plus de temps puis a frappé, juste une fois. Nette. La porte s’est ouverte, quasiment immédiatement.Il a souri en voyant Charlotte : elle avait enfilé un ensemble en dentelle noire string et soutien-gorge assortis, une paire de bas auto-fixants noirs et des escarpins noirs. Karim a poussé la porte en grand, restant sur le pas de la porte, Charlotte a eu un mouvement de recul, ayant peur qu’on ne la voie ainsi. Karim est entre lentement, a refermé la porte derrière lui.
— C’est bien mieux.— Pas déçu ?— Aucunement.
Elle a souri.
— Mais tu dois toujours te faire pardonner.— De ?— De m’avoir fait attendre. J’ai horreur d’attendre. — Je suis prête.— A quoi ?— A m’offrir à toi.— Ca je le sais.
Il s’est encore approché d’elle. Elle respirait de plus en plus difficilement, son corps tendu.
— Que veux tu que je te dise Karim, que je suis prête à tout ?— Oui. — Je... Je suis prête à tout.... Karim.
Il a souri, l’a attirée vers lui.
— Je sais ma belle.
Il l’a embrassé, leurs langues se sont unies, et les mains de Karim ont fini par empoigner ses fesses, il l’a soulevée comme une plume, elle a resserré ses jambes autour de la taille de son futur amant, il a avancé ainsi vers le lit et l’a déposée. Elle a lâché un petit cri.
— Suce moi.— Oui...
Elle a repoussé un petit cri en déboutonnant son jean et en baissant le boxer, quand elle a découvert ce membre impressionnant. Un mélange de bonheur, d’envie et d’un peu de crainte dans les yeux, le sourire, puis sur tout le visage et le corps. Elle l’a sucé comme une furie, avant de lui avouer qu’elle ne le faisait pas trop à « son gentil petit fiancé ». Alors Karim a juste dit :
— Alors tu vas me pomper à fond et tout avaler.— Oui mon chéri.
Il a fini par jouir abondamment dans sa magnifique bouche, puis Karim l’a léché longuement, a pris soin de lui donner énormément de plaisir avec sa langue et ses doigts. Charlotte s’est effondrée à son deuxième orgasme consécutif. Elle n’arrêtait pas de parler de son fiancé qui ne lui donnait aucun plaisir, et du fait qu’elle voulait cette queue en elle.
— Tu ovules en ce moment ?— Non. — Dommage. — Mais tu mets une capote quand même ?— Je n’en ai pas. Tu en as ?— Non... Oh non...— Tu vas adorer ma belle.
Et il ne l’a pas laissée réagir, et l’a pénétrée. Elle était très très serrée sur sa queue, mais mouillait tellement qu’il l’a pénétrée finalement assez aisément. Elle hurlait de bonheur, jusqu’à l’implorer de venir en elle, de la remplir de son foutre. Il lui mettait des fessées, la tenait par les cheveux, la belle devenait une vraie chienne. Qui en redemandait. Après trois autres orgasmes, Charlotte s’est endormie dans ses bras. Au matin, il lui a dit de le sucer. Le téléphone de Charlotte a sonné. Karim n’a même pas pris la peine de demander, et alors qu’elle avait son sexe en bouche, il l’a maintenue ainsi, et a décroché.
— Allo ? ... Ah oui, oui c’est Karim, enchanté, désolé on est au petit déjeuner là et Charlotte a la bouche pleine là... Oui... ok non je lui dis. Allez salut.
Son fiancé aurait voulu lui parler quand même, Karim lui a raccroché au nez. La mission s’est poursuivie : Karim baisait les deux et avait finalement réussi à les faire venir les deux en même temps dans sa chambre. Un trio d’enfer m’avait il dit. En ajoutant ensuite :
— Ca me fait penser que je ne le fais pas assez souvent avec ta mère et ta sœur, Mat.
Marc avait démissionné en cours de mission et avait coupé les ponts avec tout le monde, il flippait trop que Karim trouve sa femme. Dans le cabinet, Karim se faisait une solide réputation : il faisait peur aux hommes et suscitait le désir chez tout le monde. Moi je me suis vu offrir un boulot à Genève que j’ai accepté. J’ai appris qu’Aurélie avait quitté son mari. Charlotte elle est tombée enceinte à deux semaines de son mariage. Karim a fini par quitter le cabinet, il n’avait pas besoin de travailler de toutes façons et avait baisé toutes celles qu’il voulait dans l’entreprise. Il a décidé de voyager un peu. A son retour de voyage j’ai appris qu’il devenait photographe freelance. Comme son oncle. Je l’imaginais au milieu des mannequins.De mon côté ma nouvelle vie à Genève se passait au mieux. Le boulot était super, je bossais beaucoup, mais par l’intermédiaire d’amis communs, j’avais rencontré une fille extra : Stéphanie. J’avais vaincu ma timidité par amour, et avait réussi à la séduire. Nous partagions un goût pour les belles et bonnes choses, les voyages, le même sens de l’humour. Elle était adorable. Et nous nous entendions très bien. Elle ne savait rien de mon passé. Et n’avait aucune raison d’en apprendre quoi que ce soit. Au lit, ce n’était pas terrible évidemment, mais je compensait en la léchant beaucoup « et très bien » comme elle le disait. J’étais heureux. Un weekend j’ai reçu un sms de Karim : « je suis à Genève la semaine prochaine pour le boulot, on dine ensemble Mat, ça fait une éternité ».
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