Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 3 Commentaires

Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 7

Chapitre sept – ma copine, mon roi et moi et moi et moi

Trash
Je vivais à Genève depuis plus d’un an maintenant. J’avais assez vite rencontré Stéphanie. Je suis tombé amoureux d’elle immédiatement, dès la première rencontre à un diner entre amis. J’ai aimé sa beauté déjà, son sens de l’humour et nous partagions beaucoup de choses. Je gagnais très bien ma vie à présent et pouvais prétendre à un train de vie luxueux. J’adorais cela. Elle aussi. Cela m’a aidé. Bons restaurants, voyages, shopping, sorties culturelles, rien n’était trop beau pour elle, et cela m’a effectivement grandement aidé à la séduire. Ce n’était bien sûr pas mon physique qui avait fait la différence. Mais bien que toujours timide et plutôt docile, j’avais gagné quelque peu en assurance. En tout cas je connaissais mes faiblesses, mais aussi mes quelques atouts et en avais joué pleinement. Avec succès. Nous étions ensemble depuis plus de six mois et tout marchait bien. Stéphanie est vraiment une jolie jeune femme. 25a, châtain clair, les yeux verts, 1m71, 58kg un petit 90b de tour de poitrine, un cul bien rebondi, sportive, élégante, toujours bien habillée, travaillant en marketing dans le luxe. Elle attire les regards, ce qui me rend fier, évidemment. Elle ne porte que des talons assez hauts ce qui fait qu’elle est toujours bien plus grande que moi. Mais, ça ne la gêne pas, elle me le dit souvent. J’avais 26 ans à présent. Dans notre couple, je lui suis dévoué bien sûr, trop conscient de la chance inespérée que j’ai d’être en couple avec un canon pareil. Donc je la gâte, je suis à l’écoute de ses désirs, de ses attentes. Elle n’est pas nympho du tout, elle aime le sexe, mais reste classique, elle adore quand je la lèche notamment. Elle me suce volontiers, mais cela dure très peu de temps, et idem pour les rapports, missionnaire, je jouis toujours très rapidement. Elle est tellement belle, cela n’arrange rien. En plus elle est à chaque fois très sensuelle et douce et cela m’excite beaucoup.Elle n’a jamais vraiment fait de remarques sur la taille de mon sexe, donc je laisse le sujet de côté.Une ou deux fois il m’est arrivé de la voir se faire draguer. Cela arrive sans doute bien souvent. Je l’encourage à m’en parler, mais elle reste assez pudique sur le sujet. Ces deux fois-là, j’ai ressenti cette excitation troublante m’envahir subitement. Cela s’est ponctué à chaque fois par la même chose : elle refusant les avances et signifiant qu’elle était en couple, et moi rêvant la nuit même de la voir s’offrir au dragueur du jour, et je finissais par me jouir dessus dans la nuit.
Quand j’ai reçu le sms de Karim, j’ai tremblé. C’est comme si le monde s’écroulait sous mes pieds. Puis je me suis repris, après tout, il voulait juste diner, rien de mal à ça, et puis il ne savait rien de ma vie actuelle, je pouvais donc aller diner avec lui sans crainte, je ne dirai rien de Stéphanie. Je ne serai qu’un célibataire, noyé dans le boulot, et cette fois pas question de lui ouvrir les portes de ma vie. Ni personnelle, ni professionnelle.Je me suis quand même surpris à trembler lorsque j’ai répondu à son sms, sans rien dire à Stéphanie : « salut Karim, oui bien sûr, pas de problème, dis moi quand cela t’arrange ». Sa réponse est venue le lendemain : « ok cool on n’a qu’à dire jeudi soir, je te redis ». Ma réponse : « parfait, à jeudi ».Le mercredi dans la journée, Karim m’a écrit :
— Alors Mat, hâte de revoir ton Roi ?— Euh oui, oui bien sûr, c’est sympa.— Sympa ? Je t’ai connu plus enthousiaste !— Non non, c’est vraiment très cool que tu viennes.— Tu as peur ?— Non, non, aucune raison d’avoir peur.— Exactement ! Au fait, t’as le bonjour de toute ta famille...— Comment ça ?
Et là plus de réponse. Le salaud. Que voulait-il dire ? Pffff je savais qu’il baisait Delphine de temps en temps, et ma mère aussi, mais Karim ne disait jamais rien par hasard, tout avait un sens et un but avec lui. Le mercredi soir, je n’ai toujours rien dit à Stéphanie pour le diner du lendemain, je lui dirai au dernier moment que j’ai un imprévu pro. Je ne sais pas pourquoi mais c’est ce qui me semble être le mieux. Comme ça je ne lui parle pas de Karim, comme ça elle ne sera pas curieuse et ne saura rien de lui. Elle est à moi !Nous prenons un verre dans notre salon. Mon tel sonne, c’est Karim. Je ne décroche pas. Je dis à Stéphanie que c’est une vieille connaissance. Je reste évasif. On sonne à la porte. Stéphanie se lève et va ouvrir.
— Bonsoir ?— Mmmmm Mmmm, j’ai du me tromper d’adresse.
J’ai reconnu sa voix immédiatement, je me lève et me rue vers l’entrée.
— Qui cherchez vous ?— Matthieu.— Ah non non, c’est bien ici.
Quand j’arrive à la porte, Karim ne lève pas les yeux sur moi, il déshabille Stéphanie du regard. Je réalise alors qu’il n’y a pas grand chose à imaginer : elle porte un mini short de surfeuse, et un petit top à bretelles court, et... et c’est tout. Elle a son verre de vin à la main, elle fixe Karim qui sourit.
— Ah Mat ! Et bien non, effectivement je ne me suis pas trompé.— Karim ?! — Karim ? Stéphanie, enchantée.
Il lui a pris la main doucement presque du bout des doigts.
— Le plaisir est pour moi Stéphanie. Je sais qu’on ne devait se voir que demain, mais suis arrivé un jour plus tôt, et je me suis rappelé que tu adores les surprises Mat.
Tu parles il m’avait écrit plus tôt dans la journée, il savait très bien qu’il serait là ce soir. L’enfoiré.
— Demain ?— Hein ? Euh... Ah oui oui, j’avais oublié de t’en parler, Karim passait à Genève, on devait diner ensemble demain.— Ah, ok. Et tu aimes les surprises toi ? C’est nouveau ça ?— Ah ah sacré Matthieu, quel petit cachotier, va. Il ne m’avait pas dit qu’il avait une copine aussi ravissante.
Tu parles de nouveau, je suis sûr qu’il savait pour Stéphanie. Comment ? Ma mère ou ma sœur à tous les coups.
— Merci. Bon, allez entre, parce que là ça devient ridicule sur le pas de cette porte.
Il est passé devant Stéphanie, ne la quittant pas des yeux, puis m’a serré la main tout sourire, mais sa poignée rude m’a fait comprendre qu’il n’était pas content. On s’est installé au salon, Stéphanie lui a proposé un verre de vin qu’il n’a évidemment pas refusé. J’ai réalisé alors qu’il avait sa valise avec lui.
— Tu es là pour le boulot ?— Oui. J’avais un shooting cet après-midi. — Karim est photographe.— Ah excellent. — Et tu repars ce soir ou demain ?— Non, je repas lundi. C’est top non ?— Lundi ?— Oui, je voulais profiter un peu. D’ailleurs, je me disais, mais franchement, ce n’est pas une question d’argent, Mat, tu le sais, je peux prendre un hôtel, mais ce serait sympa qu’on en profite un peu ça fait longtemps. Je peux rester chez vous ? — Hein ? Jusqu’à lundi ?— Oui si ça vous va. Mais vous ne vous gênez pas, vraiment.— Mais non, évidemment que tu peux rester. Ça me donnera l’occasion de faire connaissance avec un pote de Matthieu, je n’en connais aucun, je commençais à me dire qu’il me cachait quelque chose.— Ah ah, mais non.— Excellent, merci Stéphanie. C’est adorable.— Mais non, c’est normal.
La soirée s’est passée, disons normalement. Karim était gentil, sympa, curieux il posait plein de questions. Je sentais qu’il matait Stéphanie (son cul par exemple dès qu’elle se levait) mais rien de plus. J’ai fait à manger, je les entendais discuter au salon et rire. Karim nous a raconté que dans l’avion il était assis à côté d’une fille, Julie, qu’il avait draguée. Elle lui avait proposé de prendre un verre jeudi soir. Il nous demande conseil pour un bar sympa. Stéphanie qui connaît parfaitement la ville et adore sortir, lui donne le choix entre deux ou trois adresses, lui montre sur internet. Il la remercie et la félicite de ses conseils.
— Du coup Mat, j’ai dit oui pour demain soir, comme je savais qu’on se verrait ce soir, ça ne te gêne pas ?— Non non pas de problème.— En plus elle est vraiment canon, j’aurais eu du mal à résister, ah ah...— Ah, tu es du genre dragueur ?— Non non (j’ai failli m’étouffer en l’entendant dire ça) J’ai du mal à résister à une jolie femme c’est tout (il a dit cela en ne la quittant pas des yeux).
Hormis cela il n’avait rien de prévu et espérait bien passer du temps avec nous. Stéphanie aussi posait plein de questions sur lui, et nous. Karim répondait simplement, il disait la vérité, éludant simplement Isabelle et ses rapports avec ma mère et ma sœur. Heureusement. J’avais peur, mais plus la soirée avançait, plus je me disais qu’il était venu plein de bonnes intentions ; je me détendais donc petit à petit. Puis la conversation dérive sur mes parents. Karim me dit qu’il les voit régulièrement. Stéphanie s’en étonne. Karim lui dit qu’il donne des cours de sport à ma mère. Ma mère s’est récemment séparée de mon père pour un autre homme qu’il définit comme « alpha ». Stéphanie ne comprend pas.
— Disons qu’il y a deux sortes d’hommes : les dominants et les plus dociles. Le père de Mat est plutôt du genre docile, effacé. Tu ne m’en veux pas Mat de dire cela... Bref, son nouveau mec est plutôt du genre dominant. Déjà physiquement c’est plus dans mon genre que dans le tien, Mat. Tu connais le père de Mat, Stéphanie ?— Non du tout.— C’est la copie conforme.
Je n’en revenais pas. Je savais que ma mère avait un nouveau gars dans sa vie mais elle ne me l’avait jamais présenté. J’apprenais aussi cette histoire de cours de sport. Je ne savais pas quoi en penser. La soirée s’est poursuivie sans rien de nouveau. On est finalement allés se coucher, Karim a commencé à se balader en boxer pour aller se laver les dents, et Stéphanie l’a aidé à faire le lit dans la chambre d’amis. Il me semblait qu’elle ne pouvait se retenir de l’admirer. Il était toujours aussi beau et impressionnant. Je lui ai juste dit qu’il pourrait faire attention :
— Tu pourrais t’habiller Karim quand même.— Oh c’est bon Mat, je suis en boxer là. Comme à la piscine.— Mais oui Mat, et puis j’en ai vu d’autres tu sais.
Stéphanie ne m’avait jamais appelé Mat. Comme un électrochoc, j’ai pensé à Charlotte qui surnommait son fiancé « son gentil petit fiancé » suite à une suggestion de Karim.
— En parlant de maillot, ça me donne une idée : ce weekend on devrait emmener Karim aux bains de Lavey.— Les sources d’eau chaude près de Montreux ?— Oui, je suis sûre que ça te plairait, c’est magnifique et très sympa.— Super idée, ça me dit bien. Ta copine est pleine de bonnes idées Mat. — Eh eh, merci Karim. Bon je vais me coucher. Bonne nuit les garçons.— Moi aussi, bonne nuit Karim.— Bonne nuit les amoureux. Et Mat, si tu t’offusques pour le boxer, fais attention cette nuit, j’ai l’habitude de dormir nu.
Stéphanie a ri, moi non. Karim a ri. On s’est couchés.Au lit Stéphanie m’a juste dit :
— Pourquoi tu ne m’as pas dit qu’il venait ?— Je ne le savais pas.— Vous deviez diner ensemble demain, tu le savais ça.— J’ai oublié c’est tout.— Tu ne me parles jamais de tes potes ou de ta famille. En tout cas je suis contente qu’il soit venu, sinon je ne l’aurais pas vu. Et je n’en aurais pas appris autant sur toi.— Oui j’ai vu, tu avais l’air contente surtout quand il était en boxer tout à l’heure !— Pfff... ne sois pas ridicule mon chéri. Je suis contente d’en savoir plus sur l’homme que j’aime.— C’est juste que je préfère ma vie maintenant.— Ah oui ? Et pourquoi ça ?
Stéphanie s’est collée à moi, m’a embrassé, sa main est venue chercher mon sexe ; à peine m’avait elle effleuré, que je m’étais mis à bander, comme à chaque fois.
— Que préfères-tu dans ta vie de maintenant ?— Toi !— Mmmmmm
On s’est embrassés amoureusement, je la caressais, elle aussi, elle me masturbait, et je suis venu assez vite, sa main couverte de mon sperme, elle n’a rien dit, l’a essuyé avec des mouchoirs et m’a dit :
— Lèche moi mon amour, j’ai trop envie.
Je l’ai léchée comme jamais, elle mouillait vraiment beaucoup ; je ne sais pas pourquoi j’ai assez vite imaginé que Karim glissait sa queue dans sa bouche pendant que je la léchais. Je me suis mis à rebander aussi sec et j’ai joui de nouveau sur moi, j’ai tout fait pour que Stéphanie ne se rende compte de rien. J’avais l’impression qu’elle aussi était ailleurs. Elle a joui après de longues minutes d’un cuni intense. Plus tard dans la nuit, Karim m’a fait suivre un échange de sms avec la « Julie », comme à la grande époque. Elle avait l’air chaude comme la braise. Je me réjouissais, car je me disais que s’il se concentrait sur Julie, il ne chercherait pas à séduire Stéphanie. J’étais heureux.
Diffuse en direct !
Regarder son live