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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 12

Chapitre douze – en (vraiment bonne) route

Trash
On est arrivé aux bains, ils étaient partis devant pendant que je garais la voiture. Dans la file d’attente ils discutaient tous les deux, moi j’étais derrière. Ils m’ont fait passer devant au moment d’arriver en caisse. J’ai payé les entrées, Stéphanie est allée côté femmes. Côté hommes, beaucoup de cabines fermées, Karim me dit qu’il y en avait une libre, une cabine familiale. On est entrés. J’étais un peu gêné, même s’il m’avait déjà vu nu, et moi aussi, mais cela faisait longtemps, et j’avais peur de re-rentrer dans ce rapport de force, évidemment très à mon désavantage. J’avais à peine fermé la porte que Karim était déjà à poil. Je ne pus m’empêcher de rester bouche bée devant lui. Il était encore plus beau et plus impressionnant (sur tous les plans) que dans mes souvenirs). Il me regarda en souriant.
— T’as pas changé toi, toujours cette petite lopette hein ? Allez t’inquiète, profite du spectacle je dirai rien.
Je ne répondis même pas, j’essayais de me concentrer pour me calmer, car je sentais mon zizi durcir dangereusement, sans même savoir pourquoi.
— Magne toi, j’ai envie d’aller dans l’eau moi.
Je commençais à me déshabiller, luttant contre l’excitation, je me tournais un peu. Je finis par être nu, devant lui. Il éclata de rire.
— Putain mais tu bandes là ? — Non, non.— Hey, je te connais, là tu bandes. Sinon, elle serait encore plus petite. En tout cas t’as pas changé à ce niveau là non plus. Putain mec, comme t’as fait pour te chopper une bombe comme Stéphanie ? Sérieux ?— On s’entend bien.— Ouais j’imagine, parce que j’avais presque oublier à quel point t’étais ridicule. Bon allez, file mon maillot.
J’ouvris le sac et en sortais le contenu : une seule serviette (j’en avais pourtant mis deux dans le sac, j’en étais sûr) et deux slips de bain (j’avais pourtant mis un short maillot de bain pour moi, j’en étais tout aussi certain). Je vidais un peu frénétiquement le sac, le retournais, commençant à paniquer. Karim sourit.
— Bon, moi je prends la serviette.— Putain mais j’en avais mis deux. Et puis je ne trouve pas mon maillot. — Mais si Mat, il est là.
Il me tendit un slip de bain qui semblait tout petit.
— Tu plaisantes ou quoi ? C’est pas mon maillot, j’ai mis un maillot à moi dans le sac, merde il est où ? Allez rends le moi, c’est pas drôle !— Tu crois que je l’ai planqué où ton maillot ? Entre mes couilles ? Et puis il est là je te dis (m’a-t-il dit en tendant le slip).— Mais arrête, en plus c’est un truc pour enfant, et je ne sais même pas d’où il sort.— C’est mon cadeau pour te remercier de ton hospitalité.— Quoi ? — Je te l’offre, c’est sympa de m’héberger ces quelques jours, je l’ai acheté exprès pour toi l’autre jour pendant que Stéphanie achetait ses trucs. Regarde c’est le même que le mien !— Mais c’est un modèle pour enfant !— Ca va, crane pas, il va très bien t’aller.— Et en plus tu dis que tu me l’offres, mais tu l’as payé comment ?— Ah oui, avec ta cb, ah ah. Bon, allez fais pas la gueule, de toute façon, t’as pas le choix, enfile le.
Je n’ai même pas pensé qu’ils vendaient des maillots à l’accueil. Le slip choisi par Karim était petit, mais à peine trop petit pour moi. J’avais honte. Il a ri.
— Et ben tu vois. J’ai bien fait. En plus les modèles pour enfant étaient un peu moins cher que pour adultes, donc tu vois, te plains pas c’est tout bénef pour toi puisque c’est toi qui as payé !
Je n’ai rien dit, j’étais rouge de honte. Qu’allait dire Stéphanie en voyant cela. J’allais vite être fixé. On est sortis, j’avais l’air plus ridicule que jamais. Stéphanie était à la sortie des vestiaires, elle tournait le dos. Elle avait un cul d’enfer. Elle portait un micro bikini string (elle n’en portait que très très rarement et plutôt dans des endroits vraiment discrets, ce qui n’était pas le cas ici), noué sur les côtés et un petit haut triangle noué derrière le cou. Le bikini était rose, et n’aidait pas franchement à passer inaperçue. En nous avançant vers elle, je vis plusieurs mecs la mater ouvertement. Karim n’en manquait pas une miette. Elle s’est retournée. Elle nous a vu. D’abord Karim, et elle a eu du mal à détourner le regard de lui, elle souriait timidement presque, puis elle a tourné la tête vers moi. Son visage a d’abord marqué une expression de surprise, puis d’incompréhension et elle n’a pu retenir un petit rire quand on est arrivé prés d’elle.
— Euhhh, vous êtes... très beaux les garçons.
Elle nous a regardés l’un après l’autre, de la tête aux pieds. Elle en a rajouté une couche :
— On dirait un père et son fils.— Oui, enfin un père et son fils qui ne partagerait pas le même patrimoine génétique.
Ils ont ri tous les deux. Karim et elles sont allés vers le premier bassin d’eau chaude. J’ai suivi.
— Et du coup ça fait quoi de toi dans ce tableau ?— La nouvelle belle-mère ah ah.— Ou la copine du fiston qui rencontre sa belle famille.
Ils ont ri. Ils ont avancé dans le bassin. Il y avait du monde mais ce n’était pas bondé. Karim a maté un groupe de cinq filles qui passaient, et manifestement elles l’avaient maté aussi. Stéphanie l’a charrié là-dessus.
— Et ben, quel succès Monsieur.— Mmmm vu ce que je viens de voir passer, va falloir aller là où c’est plus profond, sinon, ça risque vite d’être indécent. Au niveau de mon maillot !— Vu ce que tu viens de voir passer ??? Sympa pour moi.
Ils sont donc allés là où l’eau était plus profonde. Elle arrivait au milieu du torse de Karim, moi j’en avais jusqu’au menton. Stéphanie quasiment aussi. Stéphanie a dit :
— Je peux m’appuyer sur toi, je veux pas que mes cheveux soient déjà trempés.— Bien sûr ma belle, viens par là.
Et Karim, d’une main, l’a soulevée et portée contre lui, elle avait ses jambes autour de lui. J’étais derrière elle, je me suis retrouvé quasiment avec ses fesses sur mon visage. De là où on était, on avait une vue magnifique sur les montagnes. Stéphanie s’extasiait.
— On a vue incroyable de là.— Oui, vraiment incroyable, a dit amusé Karim la tête presque dans les seins de Stéphanie.
Je voyais ses immenses mains qui glissaient sur les fesses de Stéphanie. Celle-ci se cambrait sur lui. Puis Karim a commencé à marcher vers la partie avec un courant. C’était une spirale assez grande dans laquelle il suffisait de se laisser porter. Stéphanie a poussé un petit cri lorsqu’ils ont atteint l’entrée de la spirale. J’essayais de rester avec eux, mais mes petites jambes ne me permettaient pas de suivre les grands pas de Karim. Je l’ai juste entendu dire :
— Cramponne toi à moi ma belle.
Ils se sont laissés porter par le courant et moi aussi. J’étais secoué de droite et de gauche, retourné, je n’arrivais pas à me tenir droit dans le courant. Je vis Karim disparaître avec Stéphanie dans ses bras. J’ai fini la spirale, en ayant bu la tasse deux ou trois fois, des gens m’étaient passés devant, dessus, m’avaient bousculé. Quand je suis arrivé au bout, j’ai cherché du regard Stéphanie et Karim et je ne les ai pas trouvés. J’ai commencé à chercher à travers les différents bassins. J’ai du tourner pendant dix ou quinze minutes, avant de les trouver, allongés l’un à côté de l’autre, ou plutôt devrais je dire, Stéphanie contre Karim, voire à moitié sur lui. C’était une partie des bains avec des emplacements en forme de transat, où effectivement l’on pouvait s’allonger, être à moitié dans l’eau, et on pouvait profiter de la vue incroyable. Les emplacements étaient largement grand pour une personne mais pouvaient accueillir deux personnes en se serrant un peu. Ils étaient tous occupés, donc je me suis approché du leur et me suis mis littéralement à leurs pieds.
— Je vous cherchais, vous êtes là depuis longtemps ?— Depuis la spirale. T’en as mis du temps !— Tu t’es perdu dans les vagues Mat ?!— Je n’ai pas vu de signe « interdit aux enfants » pourtant !
Ils ont ri de nouveau. Stéphanie, allongée de tout son long, légèrement sur le côté avait un bras et sa main sur le torse de Karim, allongé lui tel un pacha, juste la tête adossée au petit rebord. Elle a à ce moment là, glissé sa jambe aussi sur Karim. J’avais vu sur sa chatte et son cul, que son string ne dissimulait évidemment pas. Karim a bougé un peu et ses pieds se sont retrouvés sur mon visage. Je n’ai pas osé bouger sur le coup. Stéphanie a relevé la tête :
— Tiens ça me donne une idée, Mat, tu veux pas me masser les pieds.
Je l’ai fait. J’ai osé leur poser une question :
— Vous voulez faire quoi maintenant ?
Karim a répondu :
— Pourquoi on est bien là !
J’ai senti le corps de Stéphanie s’étendre de tout son long, ses pieds ont appuyé fort dans mes mains. Elle s’étirait, comme au réveil :
— Mmmmmm oui trop bien. On va rester là un peu. C’est parfait.
Et elle s’est ré-allongée à moitié sur Karim. Moi j’ai repris le massage de ses pieds. Je ne sais combien de temps s’est passé. C’est Karim qui m’a sorti de mes rêveries :
— Oh, là je crois qu’il faut que je retourne dans l’eau.— Ah oui ? (elle l’a regardé, puis descendu de son visage vers ses jambes et elle a ri) Ah oui effectivement. Karim, il y a des enfants quand même. — Oui tu as raison.
Et d’un coup il est descendu dans l’eau en me bousculant carrément. J’ai bu la tasse. Quand je suis ressorti de l’eau, il a dit :
— Ah, Mat, je t’avais pas vu !
Stéphanie s’est laissée glisser le long du « transat » :
— Vous m’aidez à descendre Monsieur ?— Mais bien sûr ma belle.
Et elle est arrivée directement dans les bras de Karim qui de nouveau l’a plaquée contre lui, les jambes de Stéphanie se sont enroulées autour du puissant corps, il a tourné sur lui même, ce qui a arraché un petit cri à mon amour. En tournant, Stéphanie, sans faire exprès m’a mis ses pieds sur le visage, ce qui m’a fait trébuché, j’ai bu la tasse de nouveau, et en sortant de l’eau, j’ai bien cru voir leur bouche se séparer. J’ai pris mon courage à deux mains :
— Hey, déconnez pas merde, arrêtez ça !
Stéphanie innocente :
— De quoi ? — Vous venez de vous embrassez là, ça va pas !— Mais tu rêves toi, on s’est pas embrassés !
Je les regardais, Karim ne disait rien, mais il s’est mis à faire sautiller Stéphanie sur lui, ses mains toujours posées sur ses fesses.
— Attends, j’ai pas une bonne prise là.
Alors qu’elle le « chevauchait », elle riait en poussant des petits cris.
— Bon, vous voulez pas arrêter là.— Mais tu saoules là, on fait rien.— Je vous ai vus !— Bon, écoute, puisque tu veux absolument avoir vu quelque chose, voilà.
Stéphanie s’est cambrée au maximum et a roulé une énorme pelle à Karim. J’ai vu les mains de Karim se crisper sur ses fesses. Tout le corps de Stéphanie s’est raidi. J’ai eu l’impression que cela durait des heures. Puis Stéphanie, s’est reculée. Et sans me regarder, elle avait plongée ses yeux dans ceux de Karim qui souriait :
— Là, tu nous as vus nous embrasser, on peut passer à autre chose maintenant.
J’étais pétrifié, je fixais les doigts de Karim qui flirtaient dangereusement avec les trous de Stéphanie. Puis elle a rompu le silence :
— On va manger, j’ai faim. Pas vous ?— La dalle !— Et toi mon chéri ?— Hein ? Euh oui oui ok. Comme vous voulez.
Elle s’est séparée de Karim et est venue devant moi et m’a fait un smack.
— Allez fais pas la gueule, c’était juste un bisous, ok, et puis tu l’as cherché avoue.— Oui, pardon, vraiment, je ne sais pas ce qui m’a pris.— Allez c’est pas grave. On y va les garçons ?— Deux minutes, si je sors de l’eau là, il va y avoir une émeute !— Une émeute, rien que ça !— A toi de me dire ?!
Karim s’est avancé vers nous, là où l’eau était moins profonde, on a vu apparaître le bas de son corps et son maillot de bain complètement étiré et déformé par sa queue qui grossissait.
— Oh mince ! Ok ok reste dans l’eau ça vaut mieux.— Je t’avais prévenue !
Stéphanie m’a regardé et a vu que moi aussi je bandais.
— Oh mais toi aussi mon chéri ?! Bon de ton côté, on est plus tranquille niveau émeute. Mais bon, c’est flatteur, c’est moi qui vous fait cet effet là les garçons ? Ou bien t’as encore vu passer quelques filles Karim ?— Non non, là c’est toi ma belle.
Stéphanie n’a rien dit mais a souri. Puis elle nous a pris tous les deux par la main et on est allé vers les vestiaires. Elle est allée côté femmes pour se changer et on est retourné Karim et moi dans une cabine familiale, à deux. A peine la porte fermée :
— Ote moi mon maillot Mat.
Je l’ai fait : penché vers lui, j’ai baissé son slip de bain, son sexe a jailli et a manqué de peu de me toucher au visage. Je me suis mis à genoux devant lui pour l’enlever complètement, à ce moment là j’avais sa queue juste au dessus de mon visage ; j’ai vu Karim prendre une photo et l’envoyer.
— Tu fais quoi Karim ?— T’occupes et sèche moi.
En l’essuyant j’ai vu qu’il avait envoyé la photo à Stéphanie avec le commentaire : « apparemment il aime aussi quand c’est encore plus gros » en référence à la photo que Stéphanie lui avait envoyée la veille avec le gode. On s’est finalement retrouvés à l’entrée, et on a diné à mi chemin entre les bains et Genève. Un endroit très romantique et beau, avec une terrasse qui surplombe le lac. Le diner s’est bien passé, rien à signaler. A la fin alors que l’on allait partir, Karim a dit :
— File ton portable Mat, je vais vous prendre en photo.
J’étais étonné de l’attention et ne me suis pas fait prier. On a pris des photos. Puis Stéphanie a dit :
— Tu m’en prends une avec Karim mon chéri ?
J’ai obéi, elle m’a donné son tel. Et j’ai pris une photo. Autant avec moi, elle était restée distante, autant là elle s’était collée à Karim. Un des serveurs, très gentil, a proposé de nous prendre en photo tous les 3. On a évidemment dit oui. Karim a fait en sorte que je sois obligé de me mettre à côté de lui, il se retrouvait donc entre moi et Stéphanie, toujours plus collée à lui. Et comme s’il avait été de mèche, alors que ce n’était pas du tout le cas, le serveur a dit en s’adressant à Stéphanie et Karim :
— Vous faites un très joli couple !— Ce n’est pas la première fois, je vais finir par croire que c’est vrai ah ah.
Je ne comprenais ce que voulait dire Stéphanie, mais déjà Karim rebondissait :
— Avec cet angle on ne voit pas bien les montagnes derrière, il faudrait qu’on soit plus bas.— Oui c’est vrai.— Mat, tu veux pas t’agenouiller, si on s’assied sur toi, on sera pile à la bonne hauteur.— Mais ça va pas ?— Allez, sois pas vache, j’ai envie d’un chouette souvenir c’est tout, contrairement à toi, moi je peux pas venir ici tous les weekends.— C’est vrai t’es pas sympa mon chérie.
Et... je l’ai fait. J’ai vu le serveur gêné, mais qui souriait quand même. Je me suis agenouillé.
— Il faut que tu aies le dos bien plat Mat, qu’on soit bien installé.— Oui oui ben je fais au mieux.— Heyy, tu vas pas t’énerver en plus !
C’est Stéphanie qui avait dit ça ; j’en revenais pas. Ils se sont assis sur moi, j’ai failli céder sous le poids, mais tenu bon. Le serveur a pris les photos, je pouvais le voir lui qui avait du mal à ne pas rire, mais je ne voyais pas Stéphanie ni Karim : je les sentais bouger sur moi, et je suis sûr qu’à un moment ils se sont embrassés. Je n’ai rien dit cette fois, j’avais trop peur de me faire engueuler. Il n’aurait plus manqué que ça. Déjà que des gens depuis l’intérieur du restaurant nous regardaient.Ils ont remercié le serveur, et on est partis. Dans la voiture, Karim m’a dit qu’il voulait conduire, Stéphanie s’est installée devant et moi à l’arrière. En arrivant à Genève j’étais crevé.
— On rentre ?— T’es malade ! On va aller danser là, je suis là qu’un weekend et tu veux qu’on aille se coucher. Allez Mat, on va en boite.
On est arrivés devant la boite, Karim s’est garé en double file devant. Il est sorti de la voiture, je ne comprenais pas. Il est allé ouvrir la portière de Stéphanie. Je suis sorti à mon tour, il m’a jeté les clefs, que j’ai attrapées comme je pouvais.
— TU vas la garer, nous on y va comme ça on danse un peu. Comme toi t’aimes pas, on fait comme hier ? Tu nous trouves une table et une bouteille.
Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’ils étaient déjà en train de partir, Stéphanie à son bras. J’ai juste entendu Karim dire :
— Ce soir je suis tout à toi sur la psite.
Et je l’ai vu mettre une main au cul de Stéphanie. Enfin j’ai cru voir ça. Je suis allé me garer et après moult négociations avec le videur j’ai pu entrer.
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