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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 16

Chapitre seize – cocu oui mais pas soumis

Trash
Ça recommençait. Je bloquais sur son SMS. Laconique, factuel. Mon zizi s’est raidi dans mon slip. Je lui ai demandé par SMS si je pouvais l’appeler.
— Là ? Non j’ai la bouche pleine.— Vous êtes à table ? — Toujours aussi stupide mon petit cocu.
Elle n’est rentrée que le lendemain avant midi. Elle était habillée en pute, s’est allongée sur le lit et m’a juste dit :
— Viens me lécher bébé, j’ai un cadeau pour toi.— Oh pour moi ? Merci mon amour.— Oui, j’allais partir de chez Sam et j’ai pensé à toi, donc je lui ai dit de me baiser une dernière fois et de me remplir, et j’ai tout gardé pour toi.
Je la regardais, pétrifié. Elle a souri.
— Allez, au travail mon petit cocu.
J’ai remonté sa minijupe et ôté son string qui était trempé et je me suis mis au boulot. J’ai tout bien nettoyé avec ma langue, mangé ce qu’il restait de semence en elle. Elle m’appuyait le visage entre ses cuisses pour m’en couvrir de ce doux mélange de mouille et de sperme. Je lui ai ensuite fait couler un bain et préparer un repas. Elle était radieuse. Dans son bain elle m’a dit :
— Ce soir, Sam vient à la maison ; mets du champagne au frais et va acheter des fraises et des petites choses à grignoter. On a une surprise pour toi.
J’ai demandé de quoi il s’agissait, elle a souri :
— Tu verras mon chéri.
Dans l’après-midi elle m’a dit d’envoyer depuis mon portable un SMS à Sam pour le remercier de bien la baiser.

— De rien larbin ! Dis à Stéphanie de se faire belle pour moi ce soir.— Bien Monsieur.
J’ai fait tout ce qu’ils m’avaient dit de faire, quand Sam a sonné, je suis allé ouvrir, il m’a regardé en souriant ; il est entré et s’est dirigé vers le salon, il n’était pourtant jamais venu mais semblait connaître parfaitement les lieux. Stéphanie l’attendait en porte-jarretelles, bas, string et soutien-gorge noir et déshabillé en soie noire, court. Sur le canapé. Elle s’est levée, ils se sont embrassés, je leur ai servi du champagne.
— La surprise ?— Plus tard mon chéri, j’ai trop envie de toi.
Je me suis naturellement agenouillé au pied du canapé, sans qu’ils ne me disent rien. Je me souviens d’un grand flou m’envahir puis sortir de ma torpeur d’un coup : Ses yeux méprisants et joyeux se posent sur moi, pathétique et nu, à ses pieds divins. Le talon d’un de ses escarpins claque au sol, l’autre s’enfonce dans mon abdomen, et subit les va-et-vient de son corps sur le chibre tendu de son amant. Elle s’empale un peu plus à chaque fois ; je redresse la tête pour admirer un peu mieux encore le spectacle divin de son corps de reine en extase. Je sens les pieds nus de son amant, Sam, qui viennent se poser sur moi à leur tour, me faisant subir et ressentir, un peu plus encore ses assauts virils. M’humiliant encore un peu plus. Je tourne la tête vers lui, il me sourit, il est en sueur, les mains posées sur les fesses de Stéphanie, qui lui tourne le dos, penchée et cambrée, tous ses muscles bandés, ses muscles imposants, son cou de taureau, ses trapèzes, ses biceps et ses épaules saillantes, ses cuisses et ses mollets gonflés, et son sexe, long et large, soigneusement épilé, lisse et brillant de mouille et de son jus. Le salaud prend son pied autant à limer ma fiancée qu’à me cocufier.
Ses lourdes couilles battent contre l’intimité de Stéphanie. Il s’est vidé les couilles il n’y a pas dix minutes, pourtant elles semblent encore et toujours pleines. Pleines de ce foutre épais donc il a rempli la bouche de l’amour de ma vie. Elle en a avalé une bonne partie, le reste m’est tombé sur le visage. Et est en train de sécher. Lentement. J’ai interdiction d’y toucher.
— J’ai soif.
La voix de Sam est grave et pleine, virile elle aussi, toute puissante.
— Mmmm, moi aussi.
La voix de Stéphanie est douce quand elle s’adresse à son amant.
— Mon chéri, il y a encore du champagne au frais non ?
La voix de Stéphanie est douce quand elle s’adresse à moi mais se teinte de fermeté. D’impérialité.
— Oui Princesse, bien sûr, comme vous me l’avez demandé.— Et bien qu’attends-tu ? Allez ! Tu n’as pas entendu ? On a soif !— Oui Ma Reine.
Je me lève, Stéphanie se tourne et roule une longue et langoureuse pelle à Sam. Je les entends amplifier volontairement les bruits de succion, je mets la bouteille de champagne, du Deutz cuvée spéciale, dans le seau à champagne et prends deux flutes. Je reviens au salon et pose le tout sur la table basse. J’ouvre la bouteille. Et sers deux flutes que je leur tends. Ils trinquent et boivent et s’embrassent, comme deux amoureux.
— Monsieur voudrait-il une petite pipe au champagne ? Stéphanie dit cela en riant.
Sam rit, mais son rire se change en un sourire carnassier, une de ses mains se glisse dans la chevelure châtain clair et finement bouclée de Stéphanie, et l’attire vers sa bite bandée.
— Avec plaisir ma belle. Ton cocu va te servir de tabouret, tu seras mieux installée.
Je sais ce que j’ai à faire : sans broncher, j’avance à quatre pattes jusqu’à me retrouver devant les pieds de Sam, j’aplatis au mieux le dos. Stéphanie ne tarde pas à venir s’asseoir sur moi. Je l’entends le sucer, elle verse du champagne sur le sexe raide de Sam qui s’est avachi sur le canapé. Il vide sa flute. Son téléphone sonne. Il répond.
— Oui ? Non, ce soir ce n’est pas possible je suis en train de m’occuper de la copine d’un petit cocu…. Quoi ? Oui, oui… Tu l’as déjà vue, c’est celle que tu trouvais bandante du cul l’autre jour… Oui à la soirée, c’est ça… Eh eh oui tu m’étonnes que tu t’en souviens… Non son cocu n’était pas là non… Là oui il regarde et prend des notes (j’entends Stéphanie rire)…
La suite est floue, Sam a posé son pied nu sur mon visage et me pousse fortement en appuyant sur mon oreille, il dit aussi à Stéphanie de le pomper à fond et elle obéit et lui dit qu’elle aime sucer sa grosse queue d’étalon. Ils rient tous les deux. Je sais qu’il a raccroché car il a fait se lever Stéphanie et l’a fait s’allonger sur le dos, sur mon dos. Je sentais ses assauts puissants, et parfois même ses couilles qui battaient contre moi. S’en sont suivies de longues minutes de baise intense, ils alternaient les positions, variaient les plaisirs. Sam m’a ordonné de m’allonger sur le dos par terre. Stéphanie s’est positionnée debout sur moi. Elle ne portait plus que des bas autofixants et ses escarpins Louboutin, dont les talons s’enfonçaient dans mon abdomen. Sam l’a pénétrée par-derrière, debout, je recevais sur le corps un mélange de leurs deux liquides de plaisir. J’étais aux premières loges d’un incroyable spectacle. Pour finir, j’ai dû m’allonger encore une fois sur le dos mais sur le lit dans la chambre cette fois, Stéphanie est venue au-dessus de moi en soixante-neuf et Sam l’a baisée en levrette.
Stéphanie me demandait de lui lécher le clito pendant qu’il baisait en alternance sa chatte et son cul. Parfois, elle me disait de lécher ses couilles. J’obéissais. Bien sûr. Je voyais tout en détails. Sa queue était vraiment grosse et raide, je l’avais sous le nez, elle était remarquablement dure, et depuis si longtemps. Il ne portait pas de capote, il n’en portait plus depuis quelque temps maintenant. Stéphanie enchainait les orgasmes et à chaque fois je me recevais des flots de cyprine sur le visage. J’ai senti les cuisses de Sam se tendre, son corps entier se raidissait. Il poussait des râles animaux de plus en plus rauques et forts. Stéphanie l’implorait de jouir en elle, de la remplir. Il ne se fit pas prier, il finit par des coups de rein qui me semblaient être d’une rare violence, il la remplissait à coup sûr, la semence allant frapper tout au fond d’elle, il resta en elle, sa verge maintenant sa vigueur exceptionnelle. Quand il se retira, finalement, de grosses larmes de foutre et de cyprine mélangés sortirent et glissèrent jusque sur mon visage de cocu.
La bite pendante et massive de Sam vint s’écraser sur mon visage aussi. Stéphanie s’écroula littéralement sur moi. Je n’avais pas réalisé mais je m’étais juté dessus deux fois de suite, sans même me toucher. C’est Stéphanie qui le fit remarquer à Sam. Ils rirent beaucoup, avant de s’enlacer et de s’embrasser fougueusement sur moi. Sam demanda à Stéphanie de lui nettoyer la queue, elle le fit presque avec amour. De mon côté j’avais pour mission de nettoyer sa chatte et son cul. Je le fis avec amour. Ensuite Stéphanie m’a demandé de leur faire couler un bain. On a la chance d’avoir une salle de bain immense (cela dit notre appartement est immense), avec une baignoire très grande, ronde, avec jacuzzi. J’ai fait couler le bain des amants, amener une bouteille de champagne neuve et leurs deux coupes, que j’ai posées au bord du jacuzzi. Je les entendais remettre le couvert pendant ce temps. Je me suis présenté à l’entrée de la chambre. Sam la léchait, Stéphanie se tortillait comme jamais, se cambrant à fond sous l’action conjuguée de la langue et des doigts de Sam.
Le salaud la faisait jouir aussi rien qu’avec sa langue. Je me surpris à rebander aussi sec.
— Votre bain est prêt Déesse.— Parfait… On arrive… Attends-nous là-bas…— Bien Votre Altesse.
Je faisais demi-tour.J’ai quitté la chambre qui puait la baise et je les ai attendus à quatre pattes aux pieds de la baignoire. Le temps me parait une éternité avant qu’ils finissent par arriver, main dans la main, nus, pas un regard pour moi. Stéphanie entre en premier et Sam rentre à son tour dans le jacuzzi, je reste scotché devant la taille de sa verge, en demi-érection, qui est encore plus impressionnante, avec une forte impression de lourdeur, de masse. Sam le remarque et sourit.
— Elle te fait envie ma queue le cocu ?
Je ne sais quoi répondre. Je marmonne un petit oui.
— Pardon ? Je n’ai pas entendu ?— Oui. Oui Monsieur ; elle est magnifique et impressionnante.— Elle te fait mouiller ?— Oui Monsieur.
Les deux se marrent. J’ai honte, mais suis tellement excité. Dans le jacuzzi, ils s’embrassent, se caressent, la queue de Sam sort de l’eau, je devine la main de mon amour qui branle ce mat, dans l’eau, délicatement, doucement. Sa main parait si petite, autour de ce chibre épais, elle n’en fait de loin pas le tour. Je me sens dans un état second, comme hypnotisé. J’ai mis de la musique en fond, je ne l’entends pas. Ce sont les cris de Stéphanie qui me sortent de cette torpeur, je ne sais combien de temps s’est écoulé, je la vois aller et venir sur lui, elle lui tourne le dos de nouveau, Sam est assis sur le bord de la baignoire, je vois distinctement son pieu aller et venir en elle, l’élargir comme jamais ; enfin depuis Karim. Il me semble que Stéphanie danse sur cette queue, elle lui caresse les couilles d’une main. Après de longues minutes de saillies vaginales, Stéphanie se met à quatre pattes par terre juste à côté de moi, et Sam vient lui prendre le cul.
— Je vais te remplir ton cul de chienne.— Oui, vas-y il est à toi !— Oui ma petite pute.
Il lui tient les cheveux rassemblés en queue de cheval, Stéphanie se cambre à fond pour son étalon. Elle hurle. Cette position met en valeur toute la puissance de son amant. Il finit par jouir dans son cul comme promis. Puis Stéphanie vient s’asseoir sur mon visage et me fait tout nettoyer de nouveau, pendant qu’elle suce Sam.Ils ont pris une douche dans la cabine de douche à côté, je les ai séchés, ils m’ont laissé là et sont allés à la chambre. Ils ont baisé toute la nuit, j’avais pour ordre de dormir devant la porte de chambre. Heure de service du petit déjeuner au lit : 9h. À 9h tapante ce dimanche matin, je frappe à la porte. Aucune réponse. Je décide d’entrer doucement dans la chambre : l’odeur de baise, de transpiration, de semence même est encore plus forte que la veille. Stéphanie est en train de sucer langoureusement son amant qui est allongé sur le lit, adossé à la tête de lit. Il lève la tête. Sourit. Je suis planté debout, le plateau de leur petit déjeuner dans les bras, je suis nu avec juste un tablier noir, comme demandé. Elle n’a pas un regard, pas un mot pour moi. Elle suce et s’applique.
— Reste pas planté là. Apporte-nous le petit dej.
J’obéis et amène le plateau que je pose sur le lit à côté d’eux.
— Ouvre la fenêtre, je pense qu’on a besoin d’aérer là, non ?— Oui Monsieur.
J’obéis. Sam boit son café, Stéphanie accélère, j’entends les bruits de succion s’intensifier.
— Tu veux ton café noir ou au lait ma belle ?— Au lait bébé.— Très bien.
Sam se redresse se met à genoux, Stéphanie le pompe de plus belle, puis alors qu’elle sent que Sam va jouir elle le branle au-dessus de la tasse de café. Ils ont baisé depuis hier soir je ne sais combien de fois et pourtant son éjaculation est encore très importante et la semence encore épaisse et abondante. Il se vide dans la tasse. Ils s’embrassent et s’installent côte à côte dans le lit. Sam mange. Stéphanie boit son café « au lait », sans me quitter des yeux. J’ai du mal à réaliser que l’on en est arrivé là. Stéphanie me regarde et me sourit. Elle a l’air si heureuse dans ses bras. Je lui rends son sourire.
— Ça va mon chéri ?— Oui mon amour et toi ?
Elle éclate de rire.
— Je ne parlais pas à toi. Mais ça va très bien merci.
Et elle roule une énorme pelle à Sam.
— Et maintenant, ta surprise !
Je bandais dur. Sam a souri. Et la voix de Stéphanie a résonné, elle était sure d’elle, calme, posée.
— Je te quitte Mat, et je vais m’installer chez Sam. On s’aime.
Mon monde s’écroule. Et je m’écroule, à genoux. Je ne dis rien. Je ne saurais de toute façon pas quoi dire. Elle m’explique qu’elle ne peut plus vivre avec moi. Qu’elle aime Sam et qu’elle ne veut pas d’une lopette soumise dans ses pattes. Elle finit par me dire que cette nuit était pour me faire plaisir, pour qu’on se quitte et que j’ai un bon souvenir d’elle. Sam se masturbe lentement tout en la doigtant pendant qu’elle me parle.Elle m’explique qu’ils ont prévu le déménagement pour le weekend suivant, qu’il faudra donc que pendant la semaine je fasse ses cartons et ses bagages, qu’elle sera essentiellement dès ce soir chez Sam. Je suis détruit, et je bande.
— Il y aura deux potes de Sam pour le déménagement, mais il faudra que tu les aides.
J’ai joui. Ils m’ont regardé. Je ne me branlais pas. Mais c’en était trop.Stéphanie s’est penchée et a repris le sexe de Sam en bouche.
— Ah apparemment t’as le droit à un dernier souvenir pour la route Mat. Profite.
Et Sam l’a rebaisée toute la matinée.
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