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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 18

Chapitre dix-huit – ma valentine

Trash
Je tendais l’oreille, j’entendais les bruits de fellation de Valentine. Elle gémissait en le suçant. Puis Karim s’est tourné et mis sur le dos. Il m’a vu mais n’a rien dit. Je suis resté pétrifié. Valentine s’est du coup retrouvée entre ses cuisses, à quatre pattes, sous la couette, je la voyais soulever la couette en allant et venant sur sa queue. Karim prenait ses aises dans le lit. Il a commencé à gémir de plus en plus fort. Jusqu’à carrément dire à voix haute :
— Oh oui, suce-moi bien.
Valentine a arrêté et je l’ai entendue répondre à voix basse :
— Arrête, tu vas réveiller Mat.
Lui à voix haute :
— Je m’en fous.— Pas moi Karim.— Mais si toi aussi. Allez reprends moi en bouche.
Elle l’a fait et le pompait à fond quand il a fait voler la couette par terre. Elle a mis quelques secondes à réaliser la scène : elle à quatre pattes entre les cuisses de Karim, son sexe en bouche, une main sur ses couilles, lui allongé, adossé à la tête de lit, et moi à genoux sur le bord du lit, mon caleçon à peine tendu par mon érection. Elle m’a regardé, elle avait toujours la bite de mon cocufieur préféré en bouche. Elle a voulu parler, mais Karim l’a maintenue.
— T’inquiète pas c’est bon. Dis lui Mat.— Euh... oui... oui ma chérie, vas-y. C’est bon.
Et en disant ça, je me suis joui dessus. Karim l’a vu et a éclaté de rire.
— Putain tu t’es encore fait dessus ! Mais c’est pas vrai, tu changeras jamais.
Valentine prit cela comme le signal qu’elle pouvait se lâcher. Elle l’a sucé comme jamais je ne l’avais vue sucer. Comme une pro. Elle bavait sur sa queue, crachait dessus, lui gobait et aspirait les couilles tout en le masturbant, elle enchainait les gorges profondes, elle se mettait même des coups de queue sur le visage, se frottait le visage sur ce chibre immense. Puis elle est remontée sur lui, l’a embrassé langoureusement, et est redescendue, a glissé sa queue entre ses mamelles. Elle l’a branlé entre ses seins et lapait le gland à chaque fois qu’il remontait.Karim m’a demandé d’aller chercher son portable. Je l’ai fait. Il m’a fait filmer. Quand il a joui il s’est déversé dans sa bouche et Valentine a tout avalé, comme une pro. Et elle avait l’air d’aimer. Elle s’est léché les lèvres puis est venue m’embrasser sur la bouche et m’a dit :

— Merci mon chéri d’avoir laissé faire.— Pas de problème. Bon on se couche.
Karim a éclaté de rire.
— Oui oui, va te coucher si tu veux Mat.
Il a pris Valentine l’a faite valser, elle s’est retrouvée sur le dos, et il a commencé à la lécher après avoir ôté le string, qu’il m’a lancé au visage. Il était trempé, je l’ai porté à mon visage pour bien le respirer, le sentir. Un délice. Il l’a léchée comme un dieu et comme d’habitude, je me suis surpris à le voir faire jouir autant une femme juste avec sa langue et sa bouche. Premier orgasme. Ensuite ses doigts se sont mis en action et là Valentine est entrée dans un état second. Elle se cambrait et mouillait comme une folle. Elle a joui rapidement une seconde fois. Il l’a faite venir en 69 sur lui pour le faire rebander, une fois son sexe raide, Karim m’a dit d’aller lui chercher des capotes. Je l’ai fait, il en a mis une, et Valentine s’est empalée dessus face à lui. Je filmais tout.
— Filme bien le cocu. Je vais bien la baiser ta copine.
Valentine ne faisait pas du tout attention à nous, elle allait et venait sur lui, dansait sur sa queue. Il la tenait par la taille et s’est mis ensuite à la pilonner, très vite et très fort, elle a hurlé de bonheur au troisième orgasme. Ensuite elle s’est cambrée à fond au-dessus de lui tout en tournant sur sa queue raide. Ses gros seins étaient magnifiques, il les malaxait bien. Puis restant en elle il s’est levé et l’a baisée debout, faite sauter sur son pieu, elle prenait son pied. J’admirais la puissance toujours bluffante de son corps. Karim l’a ensuite mise à quatre pattes sur le lit face à moi. Valentine me regardait, absente, complètement subjuguée. J’ai vu son visage s’éclairer lorsqu’il l’a pénétrée de nouveau. Elle s’est cambrée, il a pris ses cheveux et lui a mis deux ou trois fessées, et a commencé à la baiser en levrette. Il la pilonnait littéralement, tous ses muscles bandés, j’entendais son corps claquer contre les fesses de Valentine qui elle avait plongé sa tête dans les draps. J’étais face à elle, je bandais. Puis Valentine s’est redressée et cambrée, ses énormes seins ballotaient sous elle. Karim m’a regardé :
— Glisse-toi sous elle cocu.
Je l’ai fait, je me suis glissé sous elle, le visage vers sa chatte. Valentine a posé ses coudes sur moi, je sentais les assauts du cocufieur arabe, il alternait entre grands coups de rein rapide et des mouvements plus lents, Valentine mouillait énormément. Je voyais le piston aller et venir en elle et les grosses couilles de mon Roi.
— Lèche-la pendant que je la baise.
Je l’ai fait, j’ai léché son clito, ses lèvres. Avec les mouvements de Karim ma langue effleurait ses couilles ou sa queue de temps en temps. D’un coup il a plaqué Valentine sur moi et a continué à la baiser comme ça. Elle était tout contre moi, et j’ai joui très vite. Encore une fois sans me toucher. Valentine n’a pas tardé à me suivre en jouissant à son tour une nouvelle fois. J’ai reçu de la mouille sous le visage. Karim est resté en elle et a continué à la limer. Puis il s’est retiré, Valentine s’est allongée sur le dos, sur moi. Et il l’a prise ainsi. Elle a joui après quelques minutes de ce traitement. Karim s’est retiré, a ôté la capote, et il s’est avancé au-dessus de Valentine qui l’a branlé encore entre ses seins. Il a joui sur ses mamelles dans un râle puissant.Après une douche on s’est couchés, Karim s’est de nouveau mis entre Valentine et moi. Je me suis endormi. J’ai été réveillé par les gémissements et les mouvements dans le lit. Quand je me suis redressé, j’ai vu Karim baiser Valentine en cuillère. Tout en restant en elle il s’est tourné et l’a fait basculer sur lui, de dos, Valentine a poussé un petit cri de surprise ; dans le mouvement il m’a repoussé de ses pieds, je suis tombé du lit. Ils ont éclaté de rire. Je me suis relevé et accoudé au lit, Valentine allait et venait sur lui, les mains de Karim pétrissaient les seins. Je bloquais sur la queue de Karim qui écartait les lèvres de mon amour, ses couilles qui battaient contre elle. Karim l’a remarqué.
— Allez viens voir de plus près lopette.
Je me suis mis à quatre pattes entre les jambes de Karim, et sans qu’il me le demande, j’ai léché Valentine de nouveau. Elle mouillait encore plus, je me régalais. Elle a joui de nouveau. Karim l’a pistonné encore un peu avant de sortir sa queue. Ils restaient dans la même position, d’une main Valentine a pris sa queue, enlevé la capote, et de l’autre main elle a maintenu mon visage contre elle. Elle a branlé Karim qui a joui sur elle et sur mon visage. J’ai reçu de grosses giclées de sperme. Quand elle eut le sentiment d’avoir bien vidé son amant, elle s’est allongée sur lui toujours de dos, il massait délicatement ses seins et elle a tourné le visage et ils se sont embrassés.
— Lèche-la bien cocu. Allez, nettoie.
Je l’ai fait, son sperme séchait sur mon visage et collait. Je ne disais rien évidemment. Ils se sont rendormis l’un contre l’autre, et moi de l’autre côté de Karim. Au réveil, elle l’a sucé et une nouvelle fois tout avalé. On s’est levés, préparés, on a pris le petit déjeuner, Karim était nu dans la cuisine, moi habillé prêt pour le travail, Valentine en petite nuisette, il l’a rebaisée dans la cuisine, debout de dos, puis sur la table, enfin elle est venue s’empalée sur lui, assis sur une chaise. Il a fini par jouir sur ses seins et m’a fait tout lécher.Il est parti. On est allé chacun au travail. Valentine et moi n’en avons pas parlé. Valentine m’a juste envoyé un SMS dans la journée :
— Désolé mon chéri pour cette nuit, je ne sais pas, je n’ai pas pu résister. Je t’aime, ça m’a fait du bien j’avoue, mais ce n’était qu’une fois, promis. Je t’aime. Mettons ça derrière nous si tu veux et n’en parlons plus.
J’ai répondu : « Je t’aime aussi mon amour, je suis content que tu aies passé un bon moment. N’en parlons plus ».Et nous n’en avons plus parlé. Karim ne m’a pas trop donné de nouvelles par la suite, il était très occupé, et était surtout le plus clair de son temps à l’étranger. Il profitait de la vie comme il disait. La vie reprit son cours. Quelques mois plus tard, je l’ai demandée en mariage. J’étais heureux avec elle et je l’aimais. C’était réciproque, elle dit oui. C’était parfait.Le vendredi suivant, il y eut une soirée à son lycée, les conjoints et conjoints étaient conviés. Valentine me parlait souvent de ses collègues, femmes et hommes. J’étais content de les rencontrer finalement. Elle me les présentait au fil de la soirée, je mettais les visages sur les noms que j’avais entendus dans ses histoires et les anecdotes qu’elle me racontait souvent. Alors qu’on discutait au buffet avec Valentine et Karine une collègue, un grand et très très beau garçon est arrivé derrière Valentine, l’a prise par la taille :
— Hey, salut !
Valentine a sursauté et vite tourné la tête et sourit.
— Salut Théo, je ne t’avais pas vu.
Je regardais le Théo en question : grand, il avait l’air très très bien bâti, musclé sans être bodybuildé, il était épais et avait l’air sec. Il était brun, les yeux verts, un très beau visage. Vraiment. Un peu gravure de mode.
— Ah, Mat, je te présente Théo. Théo est prof de sport au lycée. Mat est mon copain.— Salut Mat.— Euh, ton fiancé.
Valentine a ri.
— Ah ouiiiii, je suis bête, c’est tellement récent, je ne suis pas encore habituée.
Il m’a serré la main, une sacrée poigne. On a discuté tous les quatre, Théo était très sympa, il était sportif accompli, et en fait son métier de prof de sport était juste alimentaire. Il était adepte de sports extrêmes en tout genre. Je sentais qu’il devait avoir du succès. A chaque fois qu’une femme ou un homme venait nous voir, on sentait le respect et l’admiration que les gens semblaient avoir pour lui. A un moment Karine m’a dit de la suivre qu’elle voulait me présenter son mari qui bossait dans le même secteur que moi. J’hésitais à laisser Valentine seule avec Théo, mais Valentine m’a fait signe d’y aller. Je les laissais donc là. Pendant une bonne demi-heure, je discutais avec Karine et son mari, les deux étaient très sympas. Je finis par rejoindre Valentine qui était dans un coin avec Théo, ils discutaient. Quand je me suis approché d’eux, j’ai vu Théo se tourner. Arrivé devant eux, Théo se tenait juste derrière elle. Il lui mettait une main aux fesses.
— Mais vous faites quoi là ?— Ah coucou toi. Tu avais disparu. — Euh non, mais vous faites quoi ?— Ah, rien rien mon chéri. Je demandais juste à Théo s’il pensait que le sport que je fais était efficace.— Euh, et c’est peut-être bon là pour juger non ?
Théo me regardait et laissait sa main encore un peu sur le cul de Valentine qui riait. Il l’a finalement retirée.
— Alors ?— Mmmmm oui c’est pas mal, c’est ferme. Bravo. — Merciiiiiiii
Valentine souriait, elle était contente.
— On fête ça ?! Tu vas nous chercher à boire Mat ?— Tu veux quoi ?— Une coupe, et toi Théo ?— Pareil.— Alors deux coupes.
Je ne sais pas pourquoi mais je suis allé leur chercher deux coupes et je n’ai même pas pensé à en prendre une pour moi. Je leur ai rapporté les coupes, j’aurais juré que Théo était encore plus proche d’elle dans son dos, et que même ils s’embrassaient quand je quittais le buffet. Je leur ai donné leur coupe.
— Merci mon chéri.— Merci Mat, sympa.
La soirée s’est poursuivie et finie. Valentine n’a pas quitté Théo. Au moment de partir sur le parking, il m’a serré la main encore plus fort, j’ai eu mal. Il souriait. Puis ils se sont fait la bise, j’aurais juré que leurs lèvres se touchaient. Il lui a mis une petite fessée quand elle s’est retournée en disant :
— Et continue à bosser, tu vois, ça paie, t’as un cul d’enfer !— Ah ah, merci !
On est rentrés.
— Il se passe quoi avec Théo ?— Hein ? Mais rien, qu’est-ce que tu racontes ?!— Non, rien, je trouve juste qu’il est très tactile avec toi.— Pfffff, n’importe quoi. Allez on rentre. Tout roule mon petit fiancé chéri. T’en fais pas.
On s’est couché. Le lendemain, alors qu’elle était rivée à son portable, elle me dit qu’elle avait promis d’apporter des cookies au travail le lundi et m’a donc demandé d’en faire. Il fallait que j’en fasse 100, autant dire que ça allait me prendre une bonne partie du weekend. Je l’ai fait. Je tenais à lui faire plaisir. Je regardais du sport à la télé, et elle était sur le second canapé en petite nuisette et string quand elle me dit :
— Bébé, y a Théo qui va passer là. On doit préparer un truc pour le boulot.— Un truc ? Mais il est prof de sport !— Dis pas ça comme ça, c’est pas sympa. Et puis tu sais c’est un truc entre deux matières, avec la réforme, on doit faire des travaux pratiques multi matières.— Et t’as choisi avec le sport ?— Oui, le sport et la physique ça colle bien.— Oui c’est vrai.
C’était vrai.
— On va se mettre dans ton bureau. Tu peux en profiter pour faire les cookies. Comme ça tu nous dérangeras pas.
Elle ne me laissait pas vraiment le choix.
— Bon je vais me changer.
En effet, ça me rassurait qu’elle le dise spontanément et qu’elle ne reste pas en nuisette pour l’accueillir. Elle est allée se changer et quand elle est revenue au salon, elle portait un déguisement d’hôtesse de l’air sexy. Je ne comprenais pas.
— Tu me trouves comment ?— C’est une blague, c’est quoi cette tenue ?— Je l’ai acheté exprès, on fait un TP qui parle d’avion, je me suis dit que ce serait marrant.— Mais tu peux pas être habillée comme ça. — Tu préfères que je remette la nuisette ?— Hein ? Non, évidemment, mais quand même.— Ben quoi, c’est sexy, c’est tout, t’as l’habitude non ? Et tu te plains pas d’habitude. — Oui enfin là c’est pas pour moi.— Non, c’est pour le boulot. T’inquiètes que pour le boulot.
On a sonné à la porte. Elle a souri.
— Ah c’est lui.
Putain, déjà, il n’avait pas perdu de temps. Elle est donc allée lui ouvrir comme ça : bottes noires à talons aiguilles de 10 centimètres, minirobe moulante en haut et décolleté ouvert laissant voir l’intérieur de ses seins, le bas était court et laissait entrevoir le haut de ses bas quand elle bougeait. Elle avait un petit chapeau d’hôtesse de l’air et des gants aussi. Juste avant de quitter le salon, pour aller lui ouvrir, elle a juste dit :
— Oublie pas les cookies mon chéri.
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