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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 20

Chapitre vingt – se rendre à l’évidence

Trash
Elle portait une minirobe ultra moulante et courte, des bas autofixants, des bottines à talons aiguilles de 12cm. La robe n’était pas décolletée mais tellement moulante qu’on voyait ses obus bien ressortir. La seule chose à laquelle je pensais pendant le repas était de savoir si elle l’avait juste sucé ou bien s’il l’avait baisée. Elle tapotait sur son portable pendant que l’on mangeait.— Tu as pu faire ce que tu devais faire ce matin ?— Oh oui, j’ai tout bien fait (elle a répondu sans même me regarder, elle souriait en écrivant sur son tel)— Tout ? Super. Tu devais être contente alors. — Ravie oui. Je bandais de nouveau comme un petit chien tout excité. J’ai débarrassé, lui disant qu’elle devait être fatiguée avec son boulot. Elle s’est éclipsée dans la chambre sans rien dire. J’ai rangé. Je suis allé dans mon bureau, je ne savais comment faire. Je ressentais fortement l’envie de me jeter à ses pieds et de lui dire que c’était parfait, qu’elle pouvait et devait même me tromper, me cocufier. Que j’aimais ça. J’avais peur. Je repensais à Stéphanie, à Isabelle, puis j’ai repensé à Valentine et Karim, dans notre lit, le bonheur sur son visage. Je me suis alors souvenu d’une scène que j’avais un peu enfouie dans ma mémoire. Le jour de son départ, juste avant de me laisser dans le salon puant le sexe, Stéphanie m’avait laissé un petit cadeau : le gode que Karim lui avait offert. Elle m’avait juste dit dans un dernier sourire que cela me serait sans doute encore plus utile à moi qu’à elle. Je l’avais planqué à la cave au début de ma relation avec Valentine. Je suis allé le chercher. Je suis revenu discrètement avec, l’ai nettoyé. J’étais au bureau, avec le gode de 21x6cm dans un tiroir. Dans un des messages que Valentine avait envoyé à sa copine, elle avait mis une photo de ce qui apparemment était le sexe de Théo, il devait être plus gros que le gode selon mon expérience. J’ai cherché du papier cadeau, et ai fait un paquet avec le gode. Je réfléchissais à la manière de procéder et de mettre Valentine devant le fait accompli. J’ai frappé à la porte de la chambre. Après de longues secondes elle m’a dit d’entrer. Elle était adossée sur le lit, elle écrivait sur son tel. J’ai posé le cadeau sur une commode, elle n’y a pas fait attention, elle n’a pas fait attention à moi. Je me suis assis sur le lit devant elle. J’ai posé une main sur sa jambe.— Tu es belle mon amour.Silence.— J’ai envie de te lécher ma chérie.Elle a levé les yeux sur moi. — Mmmm encore ? Mais tu es affamée en ce moment mon chéri... Ok, pourquoi pas.Elle a écarté les cuisses et s’est replongée dans son portable. Je me suis glissé entre ses cuisses, elle ne portait aucun string ou culotte. J’ai commencé à la lécher, elle était déjà humide. Elle ne faisait absolument pas attention à moi. Je l’ai léchée de longues minutes. Parfois elle se cambrait ou se contractait, et il me semblait que c’était du à des messages qu’elle recevait. Je me suis levé pour attraper le cadeau.— Hey, je ne t’ai pas dit d’arrêter !Je me suis tourné vers elle avec le paquet à la main, elle n’avait pas levé les yeux de son portable. Je me suis remis entre ses jambes.— J’ai un petit cadeau pour toi mon amour.Elle a levé la tête. — Ohhhhh, c’est pour moi ?— Oui bien sûr ma chérie.Elle me l’a pris des mains et l’a ouvert en déchirant le papier. Elle a pris le gode. Un sourire s’est dessiné sur son visage.— Mmmm, merci mon chéri. C’est en quel honneur ?— Rien de particulier, si ce n’est le fait que je sais bien que je ne te satisfais pas à ce niveau là.— C’est vrai.Elle a commencé à jouer un peu avec, avec sa bouche, ses lèvres, elle me regardait.— Continue à me lécher.J’ai obéi.
— Tu l’as choisi comment ?— Pardon ?— Quels critères ?— Euh, disons la taille évidemment.— Evidemment. Tu aurais pu prendre plus gros tu sais.— Ah oui ? Ca me semblait déjà pas mal. — Pas mal, oui, c’est le mot. Il faut dire que ton échelle de valeur n’est pas très élevée on va dire.— C’est vrai oui. Je l’ai léché, et elle léchait le gode. Elle le tenait d’une main, de l’autre elle écrivait sur son tel.— Tu es divine mon amour.— Mmmmm merci mon chéri. Tu aimes me voir avec le gode dans la bouche ?— Oui, beaucoup. — Il est bon.— Il te plait ?— Oui. Enfin je t’ai dit, plus gros aurait été encore mieux. Et puis je préfère le vrai au plastic, mais oui il est bon. — Tu veux bien le sucer pendant que je te lèche.Elle n’a pas répondu mais l’a glissé dans sa bouche et le suçait en me fixant du regard. Elle suçait divinement bien. Elle l’a même tapoté sur sa langue. — Ca te plait ?— Oui, beaucoup Valentine.— Ca te rappelle des bons souvenirs ?— (un peu inquiet) Comment ça ?— Je sais qu’on avait dit qu’on en parlerait plus, mais ça te rappelle la nuit où Karim était là non ?— Oui... oui mon amour.— Tu veux que je le glisse dans ma chatte et que tu me lèches en même temps ? — Mmmmm oui j’aimerais ma chérie. Elle s’est levée, a retiré sa robe et le soutien gorge, elle était en bas et bottines, elle m’a dit de me mettre nu aussi. Je bandais. Elle a souri, elle a repris sa place sur le lit, a bien léché le gode puis l’a glissé en elle, il est entré sans problème.— Je ne pensais pas qu’il rentrerait aussi facilement mon amour.— Lèche.Je l’ai léchée alors qu’elle faisait aller et venir le gode en elle. Elle gémissait mais ne semblait pas comblée. J’ai osé :— Moi aussi, je crois que je préfère une vraie que le plastic. Elle m’a regardé :— C’est vrai ?— Oui. — Karim avait raison alors, tu es une vraie petite lopette.Elle me regardait, en souriant, mais sévèrement. Je bandais.— Oui mon amour. — Dis le.— Je... je suis une petite lopette.— Pathétique.J’avais envie de pleurer, tout autant que me branler.— Je suis désolé mon amour.— De quoi au juste ?— D’être une telle lopette et puis...— Et puis quoi ?— J’ai... j’ai... enfin je savais que tu avais oublié ton téléphone ce matin et...— Et ?J’étais honteux, je baissais les yeux.— Et quoi lopette ? Elle durcissait le ton. J’ai craqué.— Et j’ai vu les sms, je sais tout, pour Théo et toi. Elle m’a mis une gifle directement. Elle avait le gode encore en elle. — Ca c’est pour avoir fouillé dans mon portable.— Je te demande pardon.— Ah ben si tu me demandes pardon, tout va bien alors.Elle a posé le regard sur mon sexe raidit.— En tout cas, ça a l’air de te plaire !— Oui...— Qu’est-ce que tu sais alors ?— Que vous baisez ensemble. — Et c’est ça qui te plait ?— Oui... entre autre.— Entre autre ? Quoi d’autre alors ?J’étais mort de honte.— Si tu veux avoir la moindre chance que je te pardonne, t’as plutôt intérêt à cracher le morceau et vite. Elle me trompait, et pourtant c’est moi qui me faisais engueulé et devais m’excuser; et je trouvais cela normal. J’avais trahi sa confiance en fouillant dans son tel. — J’attends, mais ma patience a des limites.— Le fait que vous baisiez ensemble, ça m’excite.— Oui ça tu l’as déjà dit !— Et...Elle a retiré le gode, me l’a lancé à la figure et s’est levée en me repoussant— Bon allez, ça suffit, j’en ai marre de toi. Je me suis jeté à ses pieds. Elle était debout, impériale et moi à genoux, les bras enroulés autour de ses chevilles. — Tu fais quoi là ?— Pardonne moi Valentine, j’implore ton pardon.— Tu implores, carrément ?— Oui.— Oui qui ? — Oui... mon amour.— Non, les « mon amour », ça ne suffit plus.— Oui Princesse adorée.— Ah ah, c’est mieux. Mais j’attends toujours.A ses pieds, je me suis lancé :— Le fait que vous l’ayez fait ici, en ma présence, que vous vous foutiez de moi, que vous vous moquiez de moi aussi, et puis...— Et puis ?— J’adore le fait qu’il ait...— Qu’il ait ? — Un gros sexe.Et je me suis joui dessus en disant cela, à ses pieds, nu, accroché à ses bottines. Elle l’a vu, me regardait de haut, dans tous les sens du terme. — Et ben dis donc, en effet, ça a l’air de te plaire.— Oui Déesse.— Et donc ? Que veux tu ?— Te dire que je t’aime, et que c’est bon, tu peux, je veux dire, tu peux continuer à le voir, c’est normal.— Qu’est-ce qui est normal ?— Que tu couches avec lui.— Et pourquoi est-ce normal à ton avis ?— Parce que je ne peux pas te rendre heureuse sur cet aspect là.— Pourquoi pas ?— A cause de mon petit zizi.— C’est tout ?— Et que je suis précoce.— Et donc ? Tu vois les choses comment ?— Je t’aime. Je suis amoureux de toi, je suis prêt à tout, je veux rester avec toi, me marier avec toi, comme on l’a prévu.— Ah...Nous sommes restés là quelques longues secondes qui m’ont paru des heures. — J’ai besoin de réfléchir là. Nettoie ce bordel, et vas dans ton bureau, je te dirai quand tu pourras en sortir. Compris ?— Oui mon amour.Elle a quitté la pièce et est allée dans la salle de bain. J’ai nettoyé le sperme sur le sol, puis remis le lit en place, et je suis allé nettoyé le gode dans la cuisine. Je me suis rhabillé et j’allais dans le bureau. Je l’ai croisée.— Qui t’a dit de te rhabiller ?— Je croyais que...— Tu croyais mal, allez hop, mets toi nu, et vas dans ton bureau. Je me suis déshabillé, ai remis mes fringues dans la chambre et suis allé au bureau, j’ai fermé la porte, je me suis assis dans le fauteuil en cuire. J’avais peur que tout cela prenne fin. Je ne pouvais rien faire, je ne maîtrisais évidemment plus rien. Je lui ai envoyé un sms « je t’aime ». Puis, sans réponse, je me suis mis à bosser. Il s’est passé quelques heures. Je l’entendais parfois aller et venir, ses talons qui claquaient sur le parquet. Je l’entendais aussi parler au téléphone, mais sans parvenir à entendre avec qui ou ce qu’elle disait. Un peu avant 16h, j’ai reçu un sms :— Je t’attends au salon.Je me suis dépêché de la rejoindre. Elle était assise dans le canapé. Elle portait une micro nuisette en soie et dentelle rouge et noire, ouverte sur le devant, un string assorti en dentelle, des bas noirs et des cuissardes à talons aiguilles. Elle tapotait sur son tel, elle a levé la tête vers moi, et a posé son tel à côté d’elle. — Approche.J’allais m’asseoir à côté d’elle.— Non non, tu avais l’air parfaitement à ta place à mes pieds tout à l’heure.Je me suis agenouillé à ses pieds. — Je t’écoute.— Je t’aime Valentine, je veux qu’on se marie, je veux passer ma vie avec toi.— Je te comprends. — Je suis prêt à tout. J’accepte tout. — On verra ça. Ecoute, je t’aime aussi, enfin je suppose, sur certains aspects. On s’entend bien, et je n’ai pas envie de renoncer à cela, ni au train de vie que tu me permets d’avoir bien sur.— Oui, bien sûr.— Donc, je vais te garder.— Oh, merci, merci mon amour. — Mais je n’apprécie pas du tout que tu aies fouillé. Tu parlais d’implorer tout à l’heure...— Oui ma Reine, j’implore ton pardon, vraiment, je me sens nul.— Tu l’es. Mais on tutoie sa Reine maintenant ?— J’implore votre pardon ma Reine.Elle s’est penchée et a pris un sucre dans une coupelle posée sur la table basse. Elle l’a mis au dessus de ma bouche.— C’est bien, bon petit toutou.J’ai ouvert la bouche elle a lâché le sucre. Je l’ai laissé fondre dans ma bouche pendant qu’elle continuait.— Quelques règles : quand on est tous les deux, tu me vouvoies et tu continues à te comporter comme tu le fais là. Sauf si je te dis le contraire, ta place est à genoux à mes pieds. Tu es là pour me servir, obéir et me gâter bien évidemment. Compris ?— Oui Votre Altesse.— Je ne te suis redevable de rien. Toi, tu me dois tout.— Oui Déesse.— On va commencer par te commander un collier et une laisse et surtout une cage de chasteté, parce que j’en ai assez que tu en mettes partout.— Bien Princesse.— Parfait, on ira bien sur voir un avocat pour mettre tout cela par écrit. Il faudra aussi qu’on aille à la banque. En attendant, vas me chercher une coupe de champagne, et ramène moi ton portable aussi.Je l’ai fait, et me suis remis à genoux à ses pieds en lui tendant mon portable et la coupe de champagne.— On va t’acheter un téléphone tout simple, juste pour m’envoyer des sms, et m’appeler. Tu n’auras aucun autre contact. Je garde ton tel à présent. — Merci Maitresse. — A présent, dis moi ce qui t’a le plus plu dans ce que tu as lu ce matin dans mon téléphone, petit fouineur ?
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