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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 21

Chapitre vingt-et-un – obéir et servir

Trash
Elle buvait le champagne. Et me regardait. On venait de commander le collier, la laisse et une cage de chasteté avec clef. Elle m’a redemandé ce que j’avais le plus apprécié dans les SMS que j’avais lus le matin même.— Ce qui m’a le plus excité c’est la manière dont vous parlez de moi tous les deux, et le fait qu’il vous ait baisée en ma présence. — Ah oui ? Tu as préféré quelle fois ?— Quand vous m’avez enfermé dehors je crois. — Mmmmm oui, un régal. Sa queue est tellement bonne, tu peux pas imaginer comme il me remplit bien. Il me fait jouir à chaque fois.— J’en suis heureux Déesse.— Tu devrais le remercier. Tu ne crois pas ?— Euh... oui, oui, sûrement.— Tu m’as dit être prêt à tout, je ne me suis pas trompée ?— En effet oui. — Parfait. Bon, lèche mes cuissardes, je vais le prévenir que tu es au courant.Je l’ai fait. Elle lui a envoyé un SMS qu’elle a lu à haute voix en l’écrivant : — « Mon chéri, je suis avec mon petit cocu là, je lui ai tout dit, il aimerait te dire quelque chose »J’ai pris un peu peur mais essayais de bien me concentrer sur ma tâche. Son téléphone a sonné. Elle a lu le SMS : « Parfait ma belle. Enfin ! Qu’il m’écrive ».— Tiens écris lui.Elle m’a tendu le téléphone, j’ai écrit un SMS, nu, à genoux au pied de mon amour : « bonjour Mr, je voulais vous remercier de si bien baiser ma fiancée, elle est heureuse grâce à vous ». Valentine m’a arraché le téléphone des mains et a lu le SMS avant de l’envoyer. — Parfait. Tu es adorable avec lui mon chéri. Et elle l’a envoyé. — Putain, il est encore plus lopette que ce que je pensais. — J’ai envie de toi bébé. — On va faire ça bien. Dis-lui de m’appeler.— Sois gentil avec lui.Elle m’a tendu mon portable, après avoir composé le numéro. — Appelle-le, il veut te parler.J’étais dans la même position, et je m’apprêtais à appeler mon cocufieur. J’ai appuyé sur « appel » et porté le téléphone à mon oreille. Il a décroché après six ou sept sonneries.
— J’écoute.— Bonjour Monsieur, ici Mat ?— Qui ça ?— Le cocu de Valentine.— Ah oui, ok, je te remets. Que veux tu ?— Je voulais vous remercier de baiser Valentine et vous avez demandé que j’appelle.— Ecoute c’est parfait, le timing est excellent. Je veux que tu écoutes attentivement, prends des notes si nécessaire, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi. — Je vous écoute mon Roi. — Ah, j’aime bien mon Roi, parfait, garde ça. D’ailleurs enregistre mon numéro et mets ça comme nom. Bon : tu vas venir me chercher, je vais t’envoyer par sms l’adresse ou Valentine te la donnera, elle la connaît bien. Tu vas venir me chercher et m’apporter une bouteille de scotch que tu as dans ton bar, je l’ai adoré l’autre nuit. Avant de partir, tu vas lui dire de se préparer pour moi, je veux qu’elle m’attendre ultra sexy, un peu pute, elle saura faire je pense, mais tu peux l’aider, tu as l’air d’avoir bon goût. Compris larbin ?— Oui, mon Roi, à vos ordres. — Bien je te donne 30 minutes pour te présenter chez moi.— Bien mon Roi.J’ai fait part à Valentine des consignes. Elle a souri, elle avait l’air heureuse. Je me suis habillé, et avant de partir, j’ai rejoint Valentine dans son dressing. J’ai pris la bouteille de scotch dans le bar et me suis mis en route. Valentine allait être à tomber, quasiment habillée en pute, comme demandé par Théo : minijupe ultra courte et moulante noire et dorée, bas autofixants arrivant à la limite du bas de la jupe, escarpins à talons aiguilles de 14cm, top noir dos nu vaporeux, sur ses seins nus. Je suis arrivé à l’adresse que Valentine m’avait donnée. Je me suis garé comme demandé par Théo juste en bas de l’immeuble, un petit immeuble résidentiel. J’ai sonné à l’interphone, il y avait un couple qui attendait devant la porte. Théo a répondu :— C’est Mat.— Qui ça ? — Mat, le mari de Valentine.— Qui ?J’ai craqué :— Le cocu de Valentine.— Ah oui, pile à l’heure, je t’ouvre mon petit larbin. Dernier étage.Le couple me regardait. L’homme se marrait, la femme me regardait avec dédain. Il m’a ouvert. Je suis monté en ascenseur au troisième et dernier étage. Il vivait dans un deux pièces sympa, déco moderne, l’archétype du mec sûr de lui, tombeur de femmes. La porte était ouverte. J’ai sonné et suis entré, j’ai refermé la porte derrière moi.— Entre, n’aies pas peur, je suis au salon.Il m’attendait dans son canapé. Jean, baskets, chemise cintrée. Il était vraiment beau garçon, carré, physiquement puissant. De très très beaux yeux, une très légère barbe de deux jours, les cheveux coupés courts et bien coiffés. Il souriait. — J’ai sorti un verre, sers moi de ce scotch. J’ai obéi. — Assieds-toi.J’hésitais, il l’a vu.— Allez viens sur le canapé, profites-en, ça sera rarement le cas.— Merci.— Alors ? Résume-moi la situation.— Euh... Et bien Valentine accepte de rester avec moi, mais évidemment elle est libre de faire ce qu’elle veut, et ce qu’elle veut c’est vous comme amant.— Parfait, c’est bien résumé. Et tu acceptes ça ?— Oui, bien sûr. Je l’aime.— Tu acceptes qu’elle soit à moi ?— Oui mon Roi.— Pourquoi ?— Parce qu’elle a besoin d’un vrai mâle qui lui donne le plaisir qu’elle mérite, qui la fasse être la femme qu’elle est. Moi j’en suis incapable sur le plan sexuel.— Pourquoi ça ?— Mon sexe est trop petit, je suis précoce, et pas doué du tout pour ces choses-là.— Et du coup que proposes-tu ? Je veux dire en quoi vas-tu m’être utile, quand je serai avec ta fiancée ?— Je peux servir, obéir, être à vos ordres, votre larbin, serviteur, chauffeur, porteur, meuble. Je peux être aux petits soins pour vous.— Mmmmm, ok. Tu te juges bon dans ce genre de choses ?— Oui, je crois mon Roi. Et je ferai de mon mieux. — Parfait.Il me regardait, buvait son scotch, tout en lui respirait l’assurance, la prestance, la confiance.— Tu me trouves comment ?— Pardon ?— Tu as entendu, ne me fais pas répéter j’ai horreur de ça. Et d’attendre, j’ai aussi horreur d’attendre.— Pardon Monsieur. Euh, beau, très beau.— Ça te fait quoi de te dire que ta fiancée mouille pour moi ?— Ça m’excite mon Prince. — Et là ? D’être avec moi ?— Un peu aussi.— Un peu seulement ? Alors mets-toi à genoux, au pied du canapé. Allez, vite.Je l’ai fait. — Que t’a-t-elle raconté alors ?Je lui ai expliqué tout ce que j’avais découvert et ce que Valentine m’avait raconté. — Tu sais que j’ai commencé à la draguer il y a quelques mois, et qu’elle a été difficile à faire craquer. Enfin, difficile, tout est relatif, mais en tout cas, elle t’était fidèle. Elle ne voulait pas te tromper. J’ai dû user de ruses. — Lesquelles mon Seigneur ?— Je l’ai amenée à me parler de toi, le plus souvent possible, et petit à petit à lui faire dire d’elle même que tu n’étais pas un amant satisfaisant. Parallèlement, je lui ai fait comprendre quel genre d’hommes je suis. Je me suis tapé deux collègues du lycée qui lui ont relaté mes performances. Et un jour, je lui ai montré des photos de vacances en lui disant de les faire défiler sur mon téléphone ; elle est tombée sur des photos de moi nu, seul, et accompagné. Elle n’en revenait pas. Elle m’a alors parlé de son aventure avec ton pote Karim. Là, j’ai su que c’était gagné. Je ne l’ai plus lâchée, je la complimentais sur ses tenues, que j’ai remarqué être de plus en plus sexy. Je la remerciais de s’habiller comme ça pour moi, au début, elle niait, puis elle ne dit plus rien, et enfin un matin, elle m’a envoyé un SMS pour me dire qu’elle sortait de la douche, qu’elle ne savait pas comment s’habiller. Elle s’est carrément habillée pour moi ce matin-là, comme je le désirais. J’en ai bavé toute la journée. Je l’ai chauffée par SMS toute la journée, lui disant que je n’en pouvais plus, que je bandais comme un âne pour elle. Elle refusait que ça aille plus loin, malgré tout. Le soir je lui ai dit que je pensais à elle. Elle m’a répondu qu’elle était au lit avec toi. Que tu dormais. Je lui ai demandé de m’envoyer une photo d’elle. Elle a refusé, hésité, m’en a demandé une de moi d’abord, je lui en ai envoyé une, puis elle m’a envoyé une photo d’elle en nuisette. Alors je lui ai envoyé un SMS en lui dictant la tenue à porter le lendemain, ne lui laissant pas le choix. Ce n’était plus une discussion. Mais un ordre. Elle m’a répondu qu’elle verrait. Mais elle l’a fait. Le matin je l’ai vue arriver, habillée exactement comme je l’avais exigé.J’écoutais Théo, je bandais dur, dans mon slip, j’essayais de me retenir de jouir.— Je lui ai dit qu’on allait manger à l’extérieur avec des collègues, qu’elle devrait venir. Elle a accepté, je lui ai proposé de venir dans ma voiture. Je l’ai emmenée chez moi en lui disant que les autres nous rejoignaient. Elle a un peu râlé. Mais elle s’est détendue quand je lui ai proposé du champagne. Là j’ai eu un coup de pouce du destin vois-tu. J’ai reçu un appel d’une fille que je baise. J’ai répondu en mettant le haut-parleur pour que Valentine entende bien tout. La fille m’appelait pour me demander quand on pouvait se voir, qu’elle voulait ma queue, que je lui manquais trop, que son copain ne la baisait pas assez bien. Valentine ne me quittait pas des yeux, et quand je la regardais elle baissait les yeux, gênée. Alors que je nous servais une coupe, j’ai juste dit à la fille que je ne pouvais pas la voir dans l’immédiat, que toute mon attention était sur une autre femme. La fille a dit qu’elle comprenait mais a insisté en me disant de ne pas l’oublier et qu’elle n’était pas jalouse, qu’elle restait à ma disposition. J’ai raccroché. Et me suis assis sur le canapé avec Valentine, on a trinqué.— C’est à ce point-là ?— De quoi ?— Les femmes t’appellent te suppliant de les baiser ? — Pourquoi, toi t’appelle pas ton mec parfois pour lui dire que tu as envie qu’il te prenne ?Je l’ai regardée dans les yeux en souriant. Elle a baissé les yeux. — T’es con. Je me suis approché d’elle, nos jambes se touchaient.— Les autres vont arriver.— Je ne pense pas non.Elle m’a regardé en souriant. — Donc tu m’as menti ?— Oui. Mais c’est la seule et unique fois.— Qu’est-ce qui me le prouve ?— Oh mais je peux te le prouver : je vais aller dans la chambre, appelle-moi et tu verras par toi-même.— Tu veux que je t’appelle ?— Oui.Je me suis levé et suis allé dans ma chambre sans lui laisser le temps de me répondre. Elle m’a envoyé un SMS : « je ne suis pas comme l’autre fille, je ne vais pas te supplier ». J’ai juste répondu : « appelle ». Et ta Valentine m’a appelé :— Bonjour Valentine.— Bonjour Théo, je...— Oui ?Elle a raccroché et m’a rejoint dans la chambre. Elle s’est jetée dans mes bras pour m’embrasser. Elle se collait à moi, mes mains l’ont caressée de partout, on s’est roulé de longues pelles. Je l’ai regardée, elle fondait dans mes bras :— Supplie-moi.Elle m’a souri :— Baise-moi Théo, je t’en prie, j’en ai trop envie.Je l’ai embrassée, l’ai fait s’accroupir devant moi pour me sucer. Elle a sorti ma queue, et m’a sucé, comme une reine, vraiment. Elle a tout avalé. Elle m’a demandé de la baiser après ça, je lui ai dit non, qu’on allait retourner en cours, elle m’a supplié cette salope. J’en avais envie crois-moi mais j’ai tenu bon, je lui ai dit qu’on reviendrait ce soir. A la fin des cours on est revenu chez moi, elle était en chaleur, elle s’est jetée sur moi, je l’ai baisée, elle a joui. Tu l’as même appelée, tu t’inquiétais de ne pas la voir rentrer. J’étais en train de la prendre quand elle a décroché. Elle m’a fait m’arrêter de la pistonner pour ne pas crier au téléphone. Et depuis elle est à moi.
— Merci Mon Roi.Je m’étais joui dessus, encore. — De ce qu’elle m’avait dit je savais que t’étais du genre cocu, mais quand je t’ai vu à la soirée, j’ai réalisé que t’étais vraiment une bonne lopette. J’ai vite compris qu’il n’y aurait pas de limites avec toi. — Oui Monsieur.— Bon, que dirais-tu qu’on aille chez vous ? On l’a assez fait attendre, non ?
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