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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 22

Chapitre vingt-deux – Théo

Trash
Théo m’a fait lui préparer une petite valise. C’était le week-end de l’ascension, on était mercredi après-midi, il prévoyait en effet que l’on passe les 4 ou 5 jours qui venaient, ensemble. Puis on a pris la route. Il s’est installé à l’arrière de la voiture. En chemin il m’a dit : — Arrête-toi à une pharmacie. — Bien Mon Roi.On s’est arrêté à la pharmacie à côté de chez nous, où j’ai l’habitude d’aller. Je pensais attendre Théo dans la voiture, mais il m’a ordonné de me garer et de l’accompagner. C’est une jeune femme que je connaissais qui nous servait.— Bonjour. Il nous faudrait des préservatifs.— Oui, bien sûr.Elle nous a montré le rayon. Théo lui a demandé :— Pourriez-vous nous conseiller ?La pharmacienne est venue près de nous. — Bon, déjà, il nous faut une très grande taille.— D’accord. Et vous avez des préférences ?Et là Théo m’a montré qu’en effet, il n’y aurait pas vraiment de limites. Il s’est tourné vers moi.— Dis-moi Mat, ta fiancée a des préférences ? Elle aime quoi comme goût ?— Euh... je ne sais pas trop.— Mmmm pas étonnant, il est vraiment temps qu’un vrai mâle s’en occupe.La pharmacienne rougissait. Puis se reprit :— Je peux peut-être me permettre ?— Oui bien sûr mademoiselle, avec plaisir.— Celles-ci sont agréables.Elle a montré une boite à Théo.— On va en prendre deux boites.— Il vous faudra autre chose ?— Non c’est tout bon. Tu paies Mat. J’ai payé sous le regard apeuré de la pharmacienne. Théo lui a dit au revoir et l’a remerciée pour ses conseils, en souriant. Alors que je lui tenais la porte ouverte :— Vous me direz si j’ai été de bons conseils ?
— Avec plaisir !On est repartis. Je me mis au volant et réalisai que je bandais, cette situation m’avait excité. Je me dis qu’au moins il prévoyait de la baiser avec capotes.On est arrivés en bas de l’immeuble. Je lui tenais les portes. J’ai ouvert la porte de l’appartement. Dans la voiture, il avait envoyé un SMS à Valentine, pour lui dire d’attendre dans la chambre quand on arrivait. On est allé au salon, il s’est assis dans un canapé. Il m’a fait lui servir un scotch, puis m’a demandé de me mettre en slip et à genoux à ses pieds. Impression de déjà-vu. Puis il m’a dit :— J’ai changé d’avis, va me chercher Valentine, tu la suivras à quatre pattes. En attendant que l’on reçoive ta laisse et ton collier, on va devoir te faire confiance !— Bien Maître.Je suis allé à quatre pattes dans la chambre. On est revenus au salon tous les deux, Valentine marchait lentement, roulant des hanches savamment, je la suivais. Elle s’est arrêtée au milieu du salon, j’étais à ses pieds. Théo la regardait. Il a juste acquiescé d’un gémissement.— Je te plais mon chéri ?— Mmmm, oui beaucoup. Il a dit ça en se levant. Lentement, il prenait son temps. Il s’est avancé vers nous. En contre-plongée, il était encore plus magnifiquement impressionnant. Il s’est planté devant elle, lui a pris la main et l’a fait tourner sur elle-même. — Mmmmmmm, vraiment superbe. J’ai vu sa main se poser sur le cul de Valentine et l’empoigner. Et elle de se cambrer en gémissant à son tour. Puis ils se sont embrassés, comme deux amoureux, elle se collait à lui, leurs mains parcouraient le corps de l’autre. Ils se parlaient à voix basse, ils riaient, ils s’embrassaient, se caressaient, ça a duré de longues minutes. Puis Théo l’a entraînée sur le canapé. Ils se sont assis collés l’un à l’autre. Et se sont roulés de nouvelles pelles. Puis Théo m’a regardé, en slip, à 4 pattes au milieu du salon. — Et bien qu’attends-tu ? Allez, au pied !Comme un bon chien je me suis approché jusqu’au pied du canapé. Valentine était collée à lui, une jambe sur lui, son escarpin pendant au-dessus de moi. Elle accentuait l’excitation qu’elle savait que cela suscitait en moi, en faisant du dangling. Elle m’a regardé en souriant :— Tu en as envie ?— Oui Princesse.— Sers-moi une coupe d’abord. Je me suis levé et suis allé lui chercher du champagne que je lui ai rapporté. Ils s’embrassaient tendrement. Elle n’avait pas changé de position, je me suis remis à ma place, le nez tout près de son escarpin. Elle m’a regardé sans rien dire, elle me faisait mariner. Puis sa voix m’a libéré.— Lèche, allez. Je me suis exécuté. Je léchais son escarpin, pendant qu’elle embrassait son amant. Le pied. Elle bougeait son pied juste pour me faire le suivre du visage, parfois sa semelle me mettait des petites gifles sur le visage. — Oublie pas le talon !Je l’ai pris en bouche, ils me regardaient tous les deux.— Applique-toi, ne l’abîme pas avec tes dents !— C’est qu’il suce bien dis donc, ah ah.Ils ont ri. — En parlant de sucer, ça fait longtemps...— Oui, depuis ce matin c’est long en effet.Ils se sont embrassés de nouveau et la main de Valentine est venue le caresser à travers son jean. Ils prenaient leur temps, ils savouraient l’instant, leur langue jouait l’une avec l’autre. Puis Valentine lui a ôté sa chemise, lentement toujours, puis léché et embrassé le torse. Il était vraiment bien foutu, le corps très bien dessiné. De nouveaux bisous. Puis elle a posé la main sur sa ceinture.— Attends ma belle.Il s’est levé. J’ai dû arrêter de lécher l’escarpin. — Enlève mon jean.Je l’ai regardé, sans bouger. — Je vais devoir te le redire combien de fois ?— Euh, non non, pardon mon Roi. J’ai commencé à déboutonner sa ceinture du bout des doigts.— Allez, dépêche-toi.— Oui Monsieur.— Et me touche pas la bite, je sais que tu en as envie.J’ai ouvert le jean et l’ai baissé sur ses chevilles, son boxer était plein. Il bandait à moitié, elle était déjà bien grosse. Il m’a fait lui retirer ses chaussures et chaussettes et son jean entièrement. Puis baisser son boxer, sa queue a jailli et a frôlé mon visage, j’ai eu un mouvement de recul.— Eh eh, n’aie pas peur !Il était debout au-dessus de moi, Valentine s’est glissée sur le canapé, et toujours assise, juste à côté de moi, elle a pris sa queue en main et a commencé à le masturber lentement. J’étais à genoux par terre, elle branlait ce gros membre au-dessus de mon visage. Puis elle l’a enfourné et l’a branlé activement dans sa bouche. Théo se tenait debout, droit, les bras relevés, mains derrière la tête. Il avait un torse vraiment superbe, des pecs des trapèzes et des abdos comme on en rêve. Il m’a sorti de ma torpeur :— On t’a dit d’arrêter de lécher ses pieds ?— Euh, non mon Roi, pardon.Je léchais ses escarpins l’un après l’autre, j’essayais aussi de la voir pomper son amant. Elle suçait comme une reine, comme une pornstar, elle ne le quittait pas des yeux, sa langue jouait avec le gland, avec les couilles. Elle bavait dessus, si bien que j’en ai reçu sur le visage. Il l’a fait se lever, lui a retiré son top. Elle était seins nus, il les a caressés, embrassés, malaxés, puis il lui a dit de s’asseoir sur mon dos, et a glissé sa queue entre les obus de Valentine. Elle le branlait entre seins, donnait des coups de langue à chaque remontée du sexe. Après de longues minutes de ce traitement, elle s’est remise debout, ils se sont embrassés, il lui a fait tomber la jupe. Elle était en bas et escarpins, divine. Puis il l’a soulevée et l’a posée sur mon dos, il s’est accroupi et l’a léchée longuement. J’avais mon crâne entre ses cuisses écartées, Théo léchait et la faisait tellement mouiller, je sentais sa cyprine me couler dans les cheveux. De ma position, je voyais le sexe pendant de Théo, gros. Puissant. Valentine a joui. Puis dans la même position, Théo s’est redressé pour la pénétrer.— Vous voulez que j’aille chercher les capotes ?— Ah ah, non c’est bon mon larbin, pas besoin.— Quelles capotes ?— T’inquiètes ma belle, je te raconterai.— Ok. Prends-moi mon chéri. Et il l’a prise, il l’a baisée dans cette position de longues minutes, le temps pour lui de la faire jouir une nouvelle fois. Après cela ils se sont embrassés sur moi et sont ensuite allés à la chambre, j’ai dû les suivre à quatre pattes. Ils se sont allongés sur le lit, j’étais à genoux au pied du lit et je léchais les escarpins, ils s’embrassaient. Puis Valentine s’est tournée, et ils ont baisé en cuillère, puis en restant en elle il l’a fait basculer sur lui et elle l’a chevauché ainsi lui tournant le dos. Les mains de Théo malaxaient ses seins tandis qu’elle allait et venait sur son pieu. Je léchais les escarpins, quand entre deux cris, Valentine m’a dit :— Viens me lécher.Je suis monté sur le lit, et entre leurs quatre jambes, je me suis mis à lécher sa chatte alors que la queue de son amant la limait. Théo d’un coup a accéléré le mouvement, ses couilles sont venues frapper mon visage plusieurs fois, Valentine me maintenait de sa main, plaqué contre sa chatte trempée. Il s’est figé en elle, au moment où un troisième orgasme envahit Valentine. Il la maintenait contre lui et on sentait que sa queue butait tout au fond de ma fiancée. J’ai dû lécher la mouille de cet orgasme puissant. Valentine après avoir repris ses esprits, toujours au-dessus de Théo est venue en 69 pour le sucer, il l’a de nouveau léchée. Elle avait le visage à 10 centimètres du mien et elle suçait ce membre raide. Elle m’a fait approcher plus près de ce chibre encore, et a commencé à me fouetter le visage avec ; elle souriait. — Elle est belle sa queue hein ?— Oui, très belle Déesse.— Elle est bonne en plus. Et elle l’a resucé longuement. Puis Théo l’a prise en levrette, mon visage sous sa chatte. Après de longues minutes de ce traitement, il a laissé son gland juste à l’entrée de la chatte de Valentine et a joui comme ça, si bien que tout son sperme m’a coulé sur le visage.— Oh merde, désolé mec, j’en ai mis partout.Les deux ont éclaté de rire, Valentine s’est retournée et a nettoyé sa queue juste au-dessus de moi. J’avais le visage couvert de sa semence. Ils se sont lavés et remis au lit, j’avais ordre de leur chercher à manger, j’ai obéi. Quand je suis revenu, ils baisaient. Ils ont mangé, pris un bain, baisé. Baisé toute la nuit en fait. Je me suis endormi dans la chambre d’ami. Valentine m’a rejoint dans le lit de la chambre d’ami, elle était nue, elle s’est mise tout contre moi. M’a réveillé doucement. Je pensais enfin avoir ses faveurs, mais je l’ai sentie s’agripper à moi. Théo la baisait à la cuillère. Il a joui en elle, et ils m’ont fait tout nettoyer. Puis sont retournés dans notre lit. Le lendemain il me faudrait nettoyer les draps de la chambre d’amis aussi car je venais de les souiller durant leurs ébats.
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