Caresses matinales En apparence, cette matinée ressemble à toutes les autres. Une température fraîche et agréable, et un quartier vidé de sa population pour cause de travail. Comme tous les matins, je sors, nue sous ma robe de chambre en soie, pour aller chercher le courrier. Mais ma boîte aux lettres étant aussi déserte que le quartier, je décide de rebrousser chemin. C’est alors que je croise mon voisin Francis, qui me salue chaleureusement. Je m’avance donc vers lui et nous nous échangeons les banalités habituelles. Suite à ça, il m’invite à entrer chez lui pour prendre un café. Depuis la dernière fois, c’est devenu un petit rituel matinal, auquel nous prenons part, presque chaque matin. Installés tous deux dans sa cuisine, nous continuons notre discussion. Comme à notre habitude, nous abordons tous les sujets librement. Mais suite à une discussion sur nos voisins, et plus particulièrement l’une de nos voisines qui possède une paire de seins si énorme qu’elle pourrait me renvoyer au vestiaire, la conversation dérive sur le sujet mammaire. Il commence à avoir l’habitude de m’avoir nue, ou presque chez lui. Je n’hésite donc pas à légèrement ouvrir ma robe de chambre, dans un mouvement naturel, mais à l’allure inconsciente. L’effet est immédiat, et je sens le regard de mon voisin se porter sur ma poitrine voluptueuse. J’aime jouer de la sorte, mais il faut savoir garder le contrôle. Je sais que je ne cours aucun risque avec Francis, toutefois, je me demande si je ne suis pas la plus excitée de nous deux, dans cette situation. Finalement, je craque, et je demande à Francis, s’il aimerait caresser ma poitrine, pour comparer avec celles qu’il côtoie régulièrement. Sans trop de surprise il accepte, et je me lève alors de ma chaise, pour venir jusqu’à lui. Ses mains plongent alors sous ma robe de chambre, et encerclent mes seins. Son toucher est habile, bien loin d’un tripotage coquin. Il ne faut pas longtemps pour que les tétons de mon 90E ne pointent, surtout lorsque ses pouces entrent en leurs contacts. J’aime sentir ses mains se balader sur ma poitrine, ça m’apaise, et me fait me sentir bien. Des pensées coquines me viennent alors en tête. Que se passerait-il, s’il avait tout le loisir de s’occuper de l’entièreté de mon corps ? Je m’en mords les lèvres, rien que d’y penser. En parlant de pensée, j’en ai une qui va vers mon mari qui, jusqu’alors, était le seul autorisé à toucher mes seins. Enfin lui, et ma meilleure amie Aveleen. Je me sens un peu coupable, mais je n’ai pas envie de m’arrêter pour autant. Pourtant, après une caresse insistante sur mes tétons, les mains de Francis s’éloignent de ma poitrine, en l’effleurant du bout des doigts. Je descends un peu brusquement de mon nuage, lorsque ses mains quittent ma poitrine, et que je l’entends complimenter, non seulement mes seins, mais mon corps tout entier. En regardant vers le bas, je me rends compte que ses caresses ont dénoué ma robe de chambre, et que j’expose à présent, mon intimité légèrement humide. Je reprends difficilement mes esprits, puis je renoue ma robe de chambre, avant de retourner m’asseoir. Ayant complètement perdu le fil de notre conversation, je le laisse enchaîner avec un nouveau sujet. Je vide petit à petit ma tasse de café au gré de la conversation, mais mes réflexions sont tournées vers ce petit moment que nous venons de partager. A l’heure actuelle, j’ai envie qu’il caresse de nouveau mes seins, mais est-ce vraiment une bonne chose ? Dois-je aller vers lui, en prenant le risque de dévoiler ma faiblesse ? Ou dois-je laisser faire les choses ? N’arrivant plus à suivre la discussion, je termine ma tasse, puis je remercie énormément mon voisin, pour son hospitalité. Il me raccompagne jusqu’à la porte d’entrée, puis je rentre chez moi, la tête remplie de questions.
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