Montre-moi tes seins Lors d’un après-midi d’ennui, je m’invite chez Laurine. Comme toujours, je suis bien reçue, et nous nous installons dans le salon, autour d’une tasse de café. Bien que nous débutions la conversation avec les banalités d’usage, Laurine enchaîne tout de suite pour en savoir plus sur mes exhibitions. Je lui raconte donc les quelques défis que j’ai eu à réaliser, ainsi que mes petites fantaisies avec Francis. Eh oui, j’ai eu le courage de lui annoncer que je m’exhibais devant lui, sans encore lui avouer pour le jour où il m’a caressé les seins. Elle m’a avoué qu’elle aussi, aimait faire plaisir à ce bon vieux Francis, sans en dire beaucoup plus que ça. Là où je trouve mon bonheur dans la sécurité du jeu avec Francis, j’en trouve tout autant à parler de mes petites actions auprès de Laurine, qui boit mes paroles. Je suis tout autant en admiration devant ses exhibitions ! Tenez par exemple, l’autre jour, au restaurant, assise à sa table, elle a relevé discrètement sa jupe pour que le serveur la remarque. Et le plus incroyable dans tout ça, c’est qu’elle ne portait pas de culotte ! Ajoutez à cela la présence de son mari, de son fils, et de quelques proches à sa table, et vous avez une histoire terriblement excitante. Alors que je suis ébahie par ses exploits, elle marque un silence, puis me demande fermement, mais avec le sourire, d’enlever mon haut. Je suis un peu prise au dépourvu, mais je sais que personne d’autre qu’elle ne pourra me voir. Alors, je franchis le cap, et j’enlève mon haut pour n’être qu’en soutien-gorge devant elle. Elle passe alors une main derrière mon dos, et d’un rapide, et habile tour de doigt, dégrafe mon soutien-gorge, et me l’enlève. Ma lourde poitrine tombe alors, nue devant Laurine, et je reste stoïque. Tout s’est passé si vite. Elle me complimente sur mes “obus”, et n’hésite pas à les empoigner. Je suis circonspecte, je savais qu’elle était sans tabou, mais je n’imaginais pas une telle franchise. Elle les sous-pèse, les malaxe pour en découvrir leur teneur, c’est comme si elle faisait son marché. Après quelques secondes, elle en devine même la taille exacte. C’est alors qu’elle enlève son haut, et me laisse admirer sa poitrine. Je découvre alors un 85C rond, ferme, et guilleret, tirant vers le haut pour lui donner un maximum de volume. Je trouve sa poitrine très jolie, même si elle soutient que la mienne est plus excitante. Elle balance ainsi nos affaires au loin, nous obligeant à rester topless. C’est la première fois que je suis dans cette situation avec ma voisine, donc il me faut un temps d’adaptation. Néanmoins, la bonne humeur décomplexée, et sans tabou de Laurine, me relaxe très vite. Nos sujets de conversation s’enchaînent très bien, et j’en oublie même que nous sommes à moitié nues, comme si tout ceci devenait naturel. Mais l’heure tourne, et je dois laisser Laurine préparer son camion pour la soirée. Au moment de me rhabiller, Laurine kidnappe mon soutien-gorge, et dit qu’elle le garde en souvenir. Au final, ça ne me dérange pas plus que ça. J’avais bien envie d’en faire de même avec le sien, mais que dirait mon mari s’il tombait dessus ? Et surtout, qu’est-ce que je pourrais lui sortir comme excuse pour justifier sa présence ? J’abandonne donc l’idée, je remets mon haut qui épouse maintenant la forme de mes seins, puis je rentre chez moi, en me disant que Laurine prend vraiment goût à notre complicité, et moi aussi.
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