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Hommage a Emma

Chapitre 1

Travesti / Trans
Nous nous étions écris quelques mails toi et moi, toi désirant devenir ma soumise et moi recherchant une travestie très pute. Un jour tu m’as confié ce fantasme et c’est en hommage à toi que je le publie. J’espère que nous pourrons nous voir un jour.....

Quelque part dehors, dans un lieu discret mais jamais complètement à l’abri ... j’imagine une rencontre inopportune, moi appuyée sur l’auto, une jambe relevée contre la portière, découvrant mon bas noir et soyeux, et le haut de ma cuisse... avec un bel homme, plein d’assurance, venant dans ma direction... j’en ai chaud rien que d’imaginer cette scène... Et mille idées, mille fantasmes me viennent...:
Il vient se poser devant moi, souriant, me dévisage bien, puis baisse ses yeux sur ma tenue. Je me suis redressée, les jambes serrées, tenant d’une main le pan de mon manteau sur ma cuisse. Il me salue, en posant sa main sur moi, me chuchote quelque compliment pour me mettre à l’aise, puis ouvre délicatement le bas de mon manteau, découvrant ainsi ma petite tenue déjà bien imaginable à la vue de mes bas. Sa main glisse gentiment sous le pan de la petite robe ouverte ( que je porte actuellement en t’écrivant! ) , et découvre à son regard ma petite culotte étroite et gonflée de mon excitation... Il commence à me caresser, d’abord le sexe, longuement, pendant que son autre main se glisse sur mes fesses. Caresses chaudes, mes fesses deviennent brûlantes, sa main passe sous mes fesses, les serre fermement, je sursaute un peu, puis ses doigts se faufilent sur la bande de soie qui recouvrent ma petite raie des fesses... Une jambe vient s’intercaler entre les miennes, et les force à s’ouvrir un peu. Je sens le tissus de son pantalon au travers de mes bas, j’adore cette sensation, je me sens prise au dépourvu, je tremble, il le sens et en profite pour poser un baiser sur ma bouche, pendant que sa main sur mon sexe comprime fortement mes couilles. Sous la douleur, je suis forcée de me cambrer, et mon cul ainsi offert, il en profite pour passer ses doigts de l’autre main sous la bande de tissus, écartant alors mes fesses, pour découvrir tout huilé mon petit anus déjà dilaté de désir. Il me chuchote à l’oreille de me détendre, suivi d’un " ma charmante petite pute " , et m’embrasse à nouveau, plus longuement. Je commence à fondre, un doigt se faufilant en moi, et de l’autre main lâche mon sexe pour saisir mon visage. Je sens sa langue se frayer un chemin entre mes lèvres, j’ouvre ma bouche et la prend en moi.. Longue embrassade, je le sens bien en moi, et comprends que cette langue inquisitrice est l’avant goût de ce qu’il veux me faire sucer... Alors j’obtempère, complètement, je me soumets entièrement à lui... et il le sent.
Ses doigts se faufilent en moi plus profondément. D’abord un, puis deux, puis trois, qu’il écarte en moi, ouvrant mon petit cul, avant de les enfoncer aussi profondément qu’il peut. Il force, je me laisse faire, cambrant un peu plus mon cul... Il lâche alors mon visage, sentant ma soumission accomplie, et dégrafe son pantalon, prend ma main et la plaque sur son sexe énorme. Il est chaud et humide, je prends un réel plaisir à le caresser...
Puis il saisi à nouveau mon visage, et me force à me pencher sur sa queue. Je résiste un peu, plus pour qu’il me prenne fermement que par manque d’envie... Je sens sa main se serrer sur ma nuque, et force un peu plus pour me pencher. Je me retrouve ainsi, complètement penché sur lui, bouche grande ouverte, le cul en l’air, qu’il découvre du manteau qui le cachait, le gland de sa queue
bien raide entre mes lèvres, sentant déjà les premières gouttes de son plaisir couler sur ma bouche. Je prend complètement cette queue dans ma bouche, énorme dard, en me disant qu’il vaut mieux que je l’ais dans la bouche que dans le cul... avant qu’il ne se retire, me chuchotant comme un ordre de ne pas bouger, me fait pivoter d’un demi tour, et me dit de poser mes mains sur l’auto.
Je m’exécute avec peur et plaisir à la fois, et ne pouvant plus reculer, cambre un peu plus mon cul, qui reçoit quelques claques vives et délicieuses, avant de sentir ses doigts ouvrir mon petit anus, et sa queue lentement me pénétrer... D’abord son gland force le passage, je gémis un peu, il me dit " tu vas aimer ça, jolie salope " , et je m’ouvre toute à lui, sens lentement son sexe me pénétrer entièrement, me prendre ainsi, jambes ouvertes, moi toute penchée en avant, le cul en l’air, offert. Des va et vient commencent en douceur, puis s’accélèrent. L’homme donne des coup de reins de plus en plus fort, de plus en plus violent, il me dit des mots crus, très crus, des " tu as l’air d’aimer ça, petite salope " et autres doux " t’aime que je t’encule comme ça, petite pute, hein! Vas-y, dis le, que t’aimes ça! " ... je réponds doucement " ouiiiii " ...
Je commence à vraiment grimper, des petits cris de plaisirs s’échappent de ma bouche malgré moi, mon sexe coule de plaisir, plaisir de la soumission et du fantasmes du viol, je le sens de plus en plus excité, sa queue est de plus en plus raide, et m’empale violemment. Je me cramponne à l’auto, je suis brûlante, comme fiévreuse, je transpire sous mes bas que je regarde en même temps qu’il me prend... Je me vois ainsi, soumise et offerte. Ses coups de queue se font de plus en plus violent, ses couilles battent mes petites fesses de plus en plus fort, et dans un énorme coup de reins, je sens en moi sa semence venir inonder tout mon cul. Coups de reins répétés, et chaud sperme me remplissant, le temps s’arrête, je commence à jouir aussi, sans caresse, sans rien d’autre que le plaisir d’être ainsi prise... Je gémis de plaisir, pendant qu’il laisse sortir quelques râles très virils... Il reste ainsi, sa queue en moi, son ventre contre mes fesses, il me sert comme une étreinte... Lentement il se dégage, et me demande de le lécher pour le laver de son plaisir. Je m’agenouille, et lèche sa queue encore bien raide. Quelques derniers jets de sperme coulent sur mon visage. Il me dit " laisse l’endroit comme tu l’as trouver, veux-tu, jolie petite chienne " et je lèche sa queue jusqu’à ce qu’elle soit comme je l’ai trouvé...
Se sentant lavé, Il s’écarte de moi, reboutonne son pantalon, me glisse un billet dans mon décolleté, et s’en va comme il est venu, après m’avoir dit " merci ! "

Je me retrouve là, seule et les jambes chancelantes, avant de m’asseoir dans la voiture, côté passager. Je suis épuisée, je sens son sperme me couler entre les cuisses... je prends ma bouteille d’eau, un mouchoir en papier, et commence à me laver. Je repense à tout ça. Ma culotte est trempée, mon cul inondé, et moi toute émue... je finis de me laver, me rhabille un peu, et retrouve ce billet glissé dans mon décolleté. 50 euros, et une carte de visite que je lis puis glisse dans la boite à gants. A conserver !!!
Une auto arrive. Se gare à côté de moi. C’est toi. Je te raconte ce qui vient de m’arriver, tu me dit que je n’ai pas respecté les termes de notre contrat, et décides de m’infliger une bonne fessé. " Au moins 50 coups, un pour chaque euro gagner avec ton cul, petit chienne! ". Tu me forces à me mettre à 4 pattes, le cul bien en l’air, et à l’aide de ta ceinture, commences à m’infliger ma punition... Premiers coups doux, puis de plus en plus fort. Je commence à crier, tu me dis de me taire, mes fesses me brûlent, je les sens rouge écarlate, et je commence à bander, puis avec les coups de ceinture sur les fesses qui continuent, je me mets à bander très fort. Tu me dis que je suis une chienne à aimer ça, et m’ordonne de me caresser en même temps, je m’exécute, je me caresse doucement pour faire durer le plaisir, tu sens combien cela m’excite, tes coups se durcissent, puis s’arrêtent subitement, et je sens tes mains qui me redressent, m’appuient contre la voiture, et commences à me prendre. Je sens ta queue me pénétrer sans ménagement, et à grands coups de reins, tu me bourres le cul. Je me sens à nouveau prise comme une pute, tu me traites de petite chienne, de petite salope qui aime ça, tes mains pincent mes seins très fort, j’ai mal et c’est subtilement bon, et ta queue me lime le cul comme jamais, tu me dis que je t’excite comme un fou, et je le sens bien. Je te dis que j’aime ça, que j’aime être prise comme ça, j’aime être cette petite salope qui se fait prendre à tout va, par toi et par des inconnus, que j’aime cette humiliation de soumission totale aux hommes que je croise... Alors tu te retires subitement, prends mon visage, et jouis dessus, ton sperme gicle sur mes lèvres, tu me dit d’ouvrir ma bouche, je sens le jus chaud couler sur ma langue, j’aime ce goût, j’aime ton goût, le goût de mon Maître, j’en avale un peu en déglutissant, le reste coulant dans mon cou... Me caressant en même temps, je finis par jouir à mon tour, sur tes pieds que tu glisses entre mes cuisses, comprimant et caressant à la fois ainsi mes couilles... Je finis à genoux par terre, le visage sur tes pieds, et toi assis dans l’auto. j’ai honte de moi, et j’aime ça à la fois...
Je lave tes chaussures des traces de mon plaisir, comme je me suis lavé le cul juste avant que tu n’arrives...
On décide alors de se prendre une chambre d’hôtel pour y passer la nuit. Tu me promets de m’en remettre plein le cul. Je souris. Je me sens comblée, et je veux te combler à ton tour.
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