A 18ans j’étais pensionnaire en terminale dans un établissement préparant le baccalauréat, dans une grande ville du centre. Les dimanches après midi nous avions la permission de sortir seul. C’était l’hiver, il faisait très froid et humide. Alors je décidai de me mettre à l’abri, au chaud dans une salle de cinéma de la rue principale. Alors que je prenais mon billet, je sentis un regard qui se posait sur mon dos, celui d’un homme dans la soixantaine, aux cheveux blancs et assez bedonnant. Il était vêtu d’un long manteau.Je pénétrais dans la salle où de nombreux spectateurs avaient déjà pris place et je pris un siège situé vers le fond de la salle. J’enlevais ma veste et je la posais sur mes genoux. Un peu plus tard, alors que la salle était plongée dans l’obscurité, un homme vint s’assoir dans le siège à côté du mien. D’abord je ne fis pas attention à lui mais quand il enleva son manteau je m’aperçus qu’il s’agissait de l’homme mur au long manteau que j’avais croisé dans l’entrée. Il retira son manteau et le déposa délicatement sur ses genoux. Dix minutes après le début du spectacle, je m’aperçus que la jambe de l’homme touchait la mienne. Je ne fis pas trop attention car j’étais concentré sur l’action du film. Un peu plus tard la pression de la jambe s’accentua et je réalisais alors que l’homme frottait sa jambe volontairement contre la mienne. Je m’aperçus qu’il me regardait fixement et qu’il respirait très fort, profondément. Je sentais la chaleur de son souffle sur mon cou, vers mon visage. Je sentis l’odeur de son haleine chargée de vapeurs d’alcool. Je me sentais mal à l’aise mais je n’osais pas réagir de peur d’alerter les autres spectateurs. Je laissais ma jambe subir ce contact.Finalement la sensation m’était plutôt agréable car j’appréciais qu’un homme mur s’intéresse à ma personne. Je me laissais faire quand je sentis qu’il avait avancé sa main sur mon genoux en profitant de son manteau qui recouvrait son bras. Sa main était grosse, ses doigts noueux et dégageaient une impression de force. Je me sentais déjà soumis à ses volontés et à mon tour, je m’étais mis à respirer très fort à cause de ces émotions qui m’envahissaient. Soudain la main de l’homme empoigna mon bras et avec force l’entraina sous son manteau. Il posa ma main sur son sexe qu’il avait déjà sorti de son pantalon. Je ne pouvais résister. En fait j’appréciais le contact de ma main sur son sexe qui était assez court mais très épais. Malgré moi, ma main se mis à caresser son gros gland doux et chaud, déjà tout mouillé et gluant.Je me mis à caresser sa courte tige, la prenant entre mes doigts et actionnant délicatement la peau qui recouvrait son gros gland.L’homme aimait ce que je lui faisais, il respirait de plus en plus fort, poussant des gémissements heureusement étouffés par les bruits du film. Mon sexe était tout raide, bien dur. J’étais très excité par ce qui arrivait, par ce que je faisais. Je me conduisais comme une femelle qui s’occupe d’un gros sexe bien dur avec envie. Alors je sortis ma bite de mon pantalon et j’entrepris de me masturber à la cadence des mouvements de mon autre main qui s’activait sur la queue de mon voisin.Je sentis le sexe de l’homme se raidir encore plus, et puis je perçus des secousses . Elles furent suivies de nombreux et abondants jets de crème chaude et gluante qui giclèrent surrmes doigts et coulèrent sur le sexe et les testicules de mon compagnon. L’ homme poussa un long soupir et s’enfonça dans son fauteuil, satisfait de ma prestation et de la sienne.Je retirais ma main toute gluante, je l’approchais de mon nez pour sentir l’odeur assez forte du sperme et puis ....j’ai passé ma langue sur mes doigts pour les nettoyer mais surtout pour goûter cette crème onctueuse et chaude. C’était la première fois que je goûtait un homme, j’étais alors certain que cela ne serait pas la dernière. Cet homme mur venait de me donner envie de recommencer, de me soumettre aux volontés d’un autre mâle, de bien me laisser faire, de lui donner du plaisir. Une odeur de sperme règnait autour de nous mais curieusement aucun autre spectateur n’avait manifesté un quelconque intéret ou une quelconque désapprobation pour ce qui venait de se passer tout près d’eux. Il faut dire que le film était passionnant, captivant....
