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Un homme à la diète

Chapitre 3

Séance d'épluchage

Erotique
Les semaines suivantes sont éprouvantes. D’une part je fais des efforts pour maigrir et ça n’est pas facile. D’autre part – surtout –, je suis excité par le dernier rendez-vous chez ma diététicienne. Le Dr Karine Bottin m’a masturbé puis m’a fait goûter ma semence en m’en vantant l’équilibre nutritionnel, non sans la goûter elle-même. Mais qu’a-t-elle pu bien faire de ce qui restait et qu’elle a soigneusement mis au frigo ?
Je bande continuellement en retournant ces choses dans ma tête. Je pourrais me soulager, mais je retiens toute éjaculation. J’espère bien que la séance se reproduise lors du prochain rendez-vous et je voudrais avoir une grosse dose de sperme à partager avec le docteur. Du coup, excité au plus haut point, me masturbant souvent mais m’interdisant d’aller jusqu’au point de non-retour, ma gêne grandit chaque jour. Plusieurs fois, je me retiens d’éjaculer d’extrême justesse.
Il n’y a qu’une nuit où j’ai joui, involontairement : en rêve. J’étais dans le cabinet du Dr Bottin mais c’était moi le médecin et, comme patiente, j’avais la grosse et appétissante jeune femme plusieurs fois croisées. Nous étions nus et je délectais de ses formes extraordinaires. Elle était assise face à moi et sa grasse poitrine reposait sur son gros ventre qui lui-même était posé sur ses lourdes cuisses qui, écartées, laissaient voir un mont de Vénus et une fente tout à fait glabres. Elle attendait mon sperme pour s’en nourrir mais je lui expliquais qu’il fallait « attendre le docteur ». Le docteur Bottin n’arrivait pas. Alors la jeune femme se penchait vers moi et me disait quelque chose dont je n’ai aucun souvenir, à part que qu’elle parlait d’une si voix si sensuelle que j’éjaculais tandis que la jeune femme quittait la pièce « pour aller chercher une cuillère ». Je m’éveillais aussitôt, mon éjaculation avait été bien réelle et je pris du sperme sur mes doigts que je suçai.
Puis je me rendormis.C’est la seule fois où cela s’est produit. Mes testicules s’alourdissent. Ils sont hypersensibles à mes caresses. Ne suis-je pas masochiste de m’infliger cette abstinence ? C’est que j’espère tellement revivre cette masturbation médicale et les becquées de foutre. Quand le jour du rendez-vous arrive, je m’y rends les couilles pleines, comme on dit vulgairement. Je ne sais comment dire autrement les choses : les couilles pleines. Cela parlera aux hommes. Aux femmes aussi, peut-être, qui en ont soupesé de lourdes avant de les vider ?
Me voilà dans le cabinet du Dr Karine Bottin. Elle est en beauté. Elle a fait raccourcir un peu ses cheveux gris, coupés en carré plongeant. Ses yeux sont plus maquillés que la dernière fois, d’un gris foncé qui fait ressortir leur clarté. Elle porte une mini-juple plissée noire et un collant — ou des bas ? Un chemisier blanc sagement boutonné sous lequel on devine la dentelle de son soutien-gorge. La quinqua a un air de jeunette. Malgré le masque elle est craquante et, fatalement, je suis en érection tout le long de la discussion. Dans le boxer je sens ma queue comme un morceau de bois et mes couilles comme deux prunes pesantes et gorgées de suc. Difficile de se concentrer sur la conversation dans ses conditions. J’attends le moment où elle évoquera la séminophagie. Je n’ose aborder le sujet le premier. Peut-être lorsqu’on passera à la pesée ?
— Je ne vois qu’une chose dans votre régime actuel, c’est que vous avez toujours du mal à manger des légumes.— Oui, c’est vrai. Je ne sais comment les cuisiner. — Les légumes sont d’une simplicité enfantine à cuisiner. On commence par les éplucher…— Mais justement…— Hum, je vois, vous êtes un homme à l’ancienne. Eplucher une carotte, un concombre, c’est déjà tout un programme ?— Exactement.— Alors suivez-moi dans ma cuisine, je vais vous donner un cours d’épluchage. Les bases !
C’est inattendu et plutôt sympathique. Nous voilà dans sa cuisine. Elle sort deux couteaux et des légumes.
— Donc, des économes, et comme travaux pratiques : deux belles carottes, deux concombre épineux qu’on appelle ainsi parce que leur peau est parcourue de petites aspérités, comme des picots, et deux radis noirs. Nous allons commencer par les carottes, regarder comment j’utilise l’économe et faites de même.
Je regarde comment elle manie cette carotte de belle taille dans sa petite main et, aussitôt, je pense à la façon dont elle m’a masturbé la dernière fois. A part que cette carotte est bien plus grosse ! J’essaye de me concentrer sur l’économe mais ma maladresse ne lui échappe pas.
— Tenez votre carotte fermement, mais avec souplesse, et caressez-la avec l’économe pour n’en éplucher que ce qu’il faut. Un beau légume comme ça, se traite avec respect, comme une œuvre d’art, comme une belle… une grosse…
Comme une quoi ? A ce moment-là que mon téléphone sonne. Je m’excuse, car c’est le boulot et je dois répondre. Elle me dit de passer au salon, j’y serai tranquille. La pièce me confirme l’impression que j’avais eu, quand je l’avais aperçu lors de mon premier rendez-vous : la solitude. On dirait que le Dr Bottin vit seule ici. Un séchoir à linge contre le radiateur attire mon attention. Il y a de la dentelle qui sèche dessus, un bustier bordeaux, un body noir, deux strings. Elle a bon goût, le docteur. Mon érection ne tarde pas à revenir malgré la discussion technique et ennuyeuse de mon interlocuteur. Je reviens vers la porte qui sépare salon et cuisine, une porte à petits carreaux avec un voilage. Mais ? J’en bafouille au téléphone. Le Dr Bottin a relevé sa jupe et, à travers une petite culotte en dentelle, se masturbe avec la volumineuse carotte qu’elle vient d’éplucher.
Ajoutez à cela qu’elle porte des bas et vous aurez une idée de la scène à laquelle j’assiste avec autant de surprise que de plaisir. Yeux mis-clos, elle frotte la carotte avec plus ou moins d’intensité, faisant parfois mine d’introduire le gros bout dans sa chatte à travers le tissu. Je bande dur et mes couilles demandent grâce tandis que je caresse ma queue dans le jean. Je mets fin à la conversation téléphonique assez abruptement et je pousse la porte. Ce n’est qu’arrivé tout près d’elle que le docteur s’aperçoit de ma présence.
— Docteur, vous allez me faire aimer les légumes.
Je prends la carotte de ses mains, lui passe un bras autour des épaules et la masturbe avec cette plante bisannuelle de la famille des apiacées. Le Dr Bottin s’abandonne à moi. Je la lime quelques minutes, à l’écoute de ses gémissements. Puis j’écarte le triangle de tissu et découvre une jolie chatte à la toison bien taillée que je commence à pénétrer avec la carotte. Le docteur enlève son masque prestement :
— Enfilez-la moi…
J’arrache mon masque à mon tour et nos lèvres se joignent tandis que la carotte entre et sort sans difficulté de cette jolie vulve lubrifiée à souhait. Le docteur ne gémit plus. Elle respire de façon saccadée et c’est tout juste si elle a la force d’articuler ces quelques mots :
— Vous êtes doué…— Et vous, terriblement gourmande, docteur. Si on essayait le concombre ?
Le concombre est plus court, mais plus épais et, comme je l’ai dit, muni d’aspérités dont on peut espérer quelques effets. J’assois le docteur sur le bord de la table, cuisses écartées, et je commence à la travailler avec le concombre, en douceur. Assez rapidement il trouve son chemin. Le docteur se tient à moi de plus en plus convulsivement et soudain c’est un cri, elle se renverse sur la table tandis que je maintiens le mieux possible l’épais cucurbitacé dans le fourreau. Quel orgasme délicieux. Je la laisse respirer un peu puis je retire délicatement le légume. Je ne peux m’empêcher de lécher sa belle peau verte luisante de cyprine.
— Passez le radis noir sous l’eau, me demande-t-elle.
Je le nettoie soigneusement. C’est un sacré morceau, de 25 cm de long, épais comme ce n’est pas permis et aux formes tordues.
— Allez-y doucement, ça finit toujours par rentrer…
J’en conclus que ma fée fée forestière est coutumière de ces pratiques rustiques ? J’y vais doucement, retirant souvant le radis noir pour le lubrifier, l’enfonçant un peu plus profondément. Le Dr Bottin fait parfois une petite grimace qui se change vite en sourire de satisfaction. Elle se concentre tout entière pour s’ouvrir. D’une main je déboutonne son chemisier, je sors un sein du soutien-gorge, joli sein de taille moyenne à l’aréole très brune, au téton pointu que je commence à téter tout en manipulant le légume. Cette manœuvre a pour effet d’accélérer sa pénétration et bientôt j’entame de lents va-et-vient attentifs sans lâcher son téton.
— Ah mon dieu, que c’est bon, oh oui, ramone-moi bien…
Parfois, d’un mouvement réflexe, son vagin bloque la progression du radis noir et je sens alors à travers le légume une puissance musculaire considérable. Puis il se détend et je reprends la manipulation. Je sens mon boxer s’humidifier de liquide pré-séminal. Après des semaines de retenue et une scène aussi érotique, il se pourrait bien que je vienne sans crier gare.
— Non, oh non !
Le Dr Bottin multiplie les dénégations de plaisir qui m’encouragent mais bientôt elle me repousse de son sein, retient ma main avec le légume à moitié enfoncé et quand je vois que ses « oh non ! » s’adressent à la fenêtre, je tourne la tête : la jeune femme obèse que je croise à chacune de nos rendez-vous, sur laquelle j’ai fantasmé et qui m’est apparue en rêve — cette jeune femme nous regarde de l’extérieur, rouge de confusion et peut-être de plaisir. Un instant tout s’arrête dans un jeu de regard où se mêlent la surprise, la honte et la curiosité. (A suivre.)
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