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Un homme à la diète

Chapitre 4

Jeux thérapeutiques

Erotique
Le premier moment de stupeur passé, le Dr Bottin se ressaisit et se précipite vers la porte d’entrée : « Mlle Léa ! Attendez ! » Elle revient avec la grosse jeune femme, Mlle Léa donc. Le spectacle vaut le détour. Le docteur a un sein hors du corsage, le téton érigé, et sa jupe est à moitié prise dans sa culotte, révélant, entre culotte et bas, le haut de ses cuisses d’un blanc rosé très tendre. L’auréole de mouille sur sa culotte… on ne voit que cela. Le docteur tient par le bras une Mlle Léa pétrifié, rougissante, qui me jette à peine un œil en passant – surtout dirigé vers mon entrejambe déformé par une érection douloureuse, ce qui achève de la faire rougir. Elles rentrent dans le cabinet et le docteur, avant de refermer la porte, me fait un signe que je comprends comme un « attendez ici ». Non sans un clin d’œil, en remettant prestement le sein évadé dans son soutif.
Je retourne dans la cuisine. Sur la table, les objets avec lesquels nous avons joué, carotte, concombre épineux et radis noir, luisent de cyprine. Depuis quand Mlle Léa nous observait-elle ? Elle a dû me voir manipuler le radis noir dans la chatte du docteur tandis que je lui dévorais le sein. Elle a dû voir le docteur jouir, le visage déformé par le plaisir.
Je reviens dans l’entrée. A travers la porte j’entends surtout la voix du Dr Bottin, douce et persuasive. Je n’en distingue que quelques mots. « Jeux médicaux… masturbation… concombre dans la… lubrification naturelle… vulve dilatée… M. Formy… »
M. Formy ? C’est moi. Que lui raconte-t-elle sur moi ? J’ai beau prêté l’oreille, toujours des bribes : « … Sperme… vitamines… maigrir… plaisir… »Et toujours cette érection comprimée dans le jean qui me donne l’impression, à moi l’homme banal, d’être monté comme Rocco Siffredi. Et mes couilles alourdies par des semaines d’abstinence. La braguette tiendra-t-elle ? Je crois plutôt qu’elle va exploser. La porte s’ouvre. Le Dr Bottin me dit d’un ton très professionnel : « M. Formy, venez, s’il vous plaît. »
J’entre dans le cabinet et le docteur m’indique un siège à côté de Mlle Léa. Celle-ci ose à peine me regarder. Elle a dérougi quelque peu. Le Dr Bottin s’assied à son bureau.
— Comme je le disais à Mlle Léa, ces jeux médicaux que nous pratiquions lorsqu’elle est arrivée, ont plusieurs effets bénéfiques et particulièrement lorsqu’on cherche à maigrir. L’exercice sexuel et le plaisir qui lui est lié sont un facteur d’équilibre émotionnel tout à fait propice à une meilleure régulation de l’appétit, à la gestion d’un stress qui, chez vous deux, a tendance à vous rendre boulimiques.
Pendant que le docteur parle, j’en profite pour détailler Mlle Léa. Elle est tout en formes. Ses seins ? Deux pastèques fermes et juteuses. Son cul ? Une de ces citrouilles qui remportent un prix dans un concours de jardinage. Ses cuisses ? Deux jambons qu’on ne voudrait surtout pas trancher, plutôt en lécher le sel et le gras comme un chat gourmand. Son ventre ? J’aimerais, après avoir faire l’amour à Mlle Léa, poser ma tête sur ce dodu oreiller et m’y assoupir. J’aimerais le féconder pour qu’enceinte cette femme abondante prenne encore davantage d’ampleur. Si le Dr Bottin est une fée à mes yeux, Mlle Léa est la fille de l’ogre. Ah oui, je vous le rappelle : de l’imagination, j’en ai plus qu’il n’en faut. La scène me traverse l’esprit une seconde : la fille de l’ogre s’empale sur mon Petit Poucet et, ses cuisses serrées contre mes flancs, me viole longuement et tendrement de tout son poids, m’étouffant avec ses deux mamelles…
— Donc, continue le docteur, j’avais dans l’idée de vous mettre en binome. C’est une démarche à l’avant-garde de ce qui se fait de nos jours en matière de diététique, aussi vous demanderais-je la plus grande discrétion à ce sujet. Des confrères malintentionnés pourraient me voler mes idées et mes recherches.
Nous acquiescons. Mlle Léa est toute ouïe. Moi qui commence à connaître les jeux du Dr Bottin, je me demande ce qu’elle va nous inventer comme coquinerie.
— L’idée est que vous vous aidiez à maigrir par un soutien psychologique réciproque, puisque vous êtes tous deux célibataires. Mlle Léa, vous apporterez à M. Formy vos appâts, en particulier cette poitrine plantureuse, une vraie poitrine de nourrice. Il trouvera dans la succion, ou devrais-je dire dans la têtée, des endorphines qui apaiseront l’anxiété, source de grignotage. M. Formy, j’aimerais que vous offririez à Mlle Léa votre semence. Comme je le lui expliquais avant que vous nous rejoigniez, le foutre – pardon, restons sur le plan médical – le sperme a mille vertus, décuplées par la fellation préalable, dont il serait dommage que Mlle Léa se prive. Vous n’êtes pas expérimentée, Léa, m’avez-vous dit ?
Léa, de nouveau toute rouge, acquiesce timidement.
— Léa n’est pas vierge, mais pas loin. Un homme plus âgé comme vous l’êtes, M. Formy, saura mettre les formes qu’il faut à ce genre de pratique pour ne pas la rebuter dans son traitement. Mais je m’avance peut-être trop : M. Formy, peut-être que ma proposition ne vous sied pas ?
Elle est rouée, ma fée…
— Docteur, je suis partant pour cette expérimentation. Avec une réserve : je ne voudrais pas que Mlle Léa perde trop de poids car, vraiment, je trouve – Mlle Léa, je vous trouve magnifique telle que vous êtes.
Pour la première fois Mlle Léa ose affronter mon regard. J’y lis de la surprise et de la gratitude.
— Vous êtes un homme de goût, M. Forty, répond le docteur. Bien sûr, il s’agit de prendre de meilleures habitudes alimentaires et de perdre juste ce qu’il faut pour magnifier ces formes… maternelles, assez inattendue chez une jeune femme nullipare. Mais assez parlé ! Si nous commencions un premier jeu thérapeutique ?
Ce disant elle se lève, se positionne derrière Mlle Léa et lui ôte son pull-over. Puis elle lui dégrafe le soutien-gorge de cette jeune femme timide et passive. Ses seins magnifiques s’expansent dans la petite pièce. Ils sont laiteux, parcourus de quelques veines d’un bleu de porcelaine, marbrures précieuses. Cette blancheur contraste avec le joli visage que la pudeur rosit. Je m’agenouille devant elle et je dépose un baiser sur le sein gauche, puis un sur l’aréole, puis un sur le téton. Petit sursaut, petit cri. Puis je l’embouche avec une douceur infinie. Juste mes lèvres en jeu, je la tète ainsi. Sa respiration se fait saccadée. Ma langue entre en action tandis que d’une main j’effleure son sein droit. La voix du Dr Bottin nous accompagne :
— Très bien, détendez-vous Léa, respirez profondément… Vous sentez ce plaisir qui part de l’extrême bout de votre téton, qui irradie dans votre corps, monte au cerveau et descend à votre vulve ? Laissez-le aller où il veut, cet influx, c’est un ruisseau qui peut devenir fleuve et vous emmener très loin… Je ne vous promets par un orgasme dès aujourd’hui, mais une bonne dose de plaisir apaisant… Et vous, M. Formy, c’est le même influx qui vous traverse des neurones à l’extrémité du gland tandis que vous travaillez buccalement ce sein plantureux… Cela rassure le garçonnet toujours présent en vous, et c’est bien naturel…
Elle nous laisse continuer comme cela quelques minutes, puis :
— Maintenant nous allons changer les rôles. Relevez-vous, M. Forty.
Elle me déboucle ma ceinture, me baisse le jean, le boxer. Ma bite surtendue jaillie. Mlle Léa a un mouvement de recul.
— Asseyez-vous, et vous Léa mettez-vous à genou. Posez vos mains à plat sur ses cuisses, que vos peaux échangent douceur et chaleur. Et maintenant, vous voyez ce gland bien gonflé, ovoïde et violacé ? Désormais ce sera lui que vous sucerez. Au revoir, les Chupa Chups dont vous consommez un paquet quotidien et qui vous charge en mauvais sucres qui deviennent du méchant gras. Voici votre unique sucette désormais. Prenez-la en bouche aussi délicatement qu’une sucette qu’on ne veut surtout pas mordre, dont on ne veut même pas marquer la surface d’un trait de dent. Ça n’est que de la douceur. Allez !
Et ce disant elle lui appuie légèrement sur la nuque car Mlle Léa hésitait devant cette confiserie nouvelle pour elle. L’impulsion la décide et me voilà au chaud dans une cavité d’une douceur absolue. C’est sa première queue mais, experte ès Chupa Chups, elle trouve immédiatement ses repères et s’occupe de mon gland d’une façon remarquable. Il n’y a que le bâton qu’elle n’arrive pas à prendre. Dès que je m’enfonce un peu trop, elle a un haut le cœur. L’irrumation sera pour une prochaine leçon.
— Très bien, Léa, je vois au visage de M. Formy que vous vous y prenez très bien. Caressez ses couilles, tout en douceur là aussi, enveloppez-les au chaud dans votre main.
Ce disant elle la guide de sa main.
— Vous sentez comme elles sont lourdes ? Vous sentez le sperme bouillonner en elles ? Il va jaillir dans votre bouche et la remplir. Essayez de ne pas recracher ni gâcher ce complément alimentaire 100% bio que vous trayez quasiment avec amour, nourrissez-vous-en. J’ai l’impression que la dose va être conséquente… Prévenez-nous, M. Forty.— Oui, ça vient… Vous sucez si bien, Léa… Oh…
Et là j’éjacule comme jamais, relâchant des semaines de mise sous pression. La puissance du jet et sa quantité sont telles que Mlle Léa, par réflexe, me débouche aussitôt. Ma bite se redresse d’un coup et les jets suivants arrosent son visage et ses cheveux, le bureau du docteur, la moquette. Un vrai geyser de foutre. Sans perdre un instant, le Dr Bottin engloutit ma queue et recueille les jets qui s’enchaînent, décroissants, tandis que Mlle Léa se remet de ses émotions en avalant cette première purée. Sa petite langue récupère une traînée au coin de ses lèvres, nos regards se croisent : elle a une lueur complice dans l’œil et me sourit, tandis que le Dr Bottin achève cette fellation inédite et hors normes. Puis elle dit à Mlle Léa :
— Aidez-moi à nettoyer ce qui a giclé.
Et de lui montrer l’exemple en léchant les gouttes de sperme sur le bureau. Léa est surprise puis s’y met aussi. Une fois le bureau nettoyé, les deux femmes s’attaquent à la moquette. A quatre pattes elles récupèrent jusqu’à la dernière goutte. La poitrine de Léa pend. Prend-elle un certain plaisir à la caresse de la moquette sur ses tétons ? Puis le docteur prend Léa par le bras et lèche les gouttelettes égarées dans ses cheveux, sur ses seins où elles dessinent des rigoles. Mlle Léa se laisse faire, les yeux mi-clos, tandis que la langue du Dr Bottin s’attarde sur ces monts érogènes – plus qu’il ne faut, me semble-t-il, car je suis dans un semi-brouillard après cet orgasme qu’elles m’ont fait atteindre. Ma verge palpite et peine à débander.(A suivre.)
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